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 Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée

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Ayako Aoki
Membre des Balafrés


☠ Messages : 8
☠ Âge du Personnage : Inconnu
☠ Berrys (x1000) : 2524481
☠ Localisation RP : Présent-ation !
☠ Fruit du Démon : Aucun
☠ XP Dorikis : 1352
☠ Notoriété :
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☠ Karma :
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Ayako Aoki
Membre des Balafrés

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MessageSujet: Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée   Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée EmptyLun 30 Oct - 22:48



Prénom "Surnom" Nom




Prénom et Nom:Ayako Aoki
Âge : 23 ans
Sexe : Femme au dernière nouvelle
Avatar :Katarina
Groupe : Pirate
Métier : Sous-Chef Cuisinière
Espèce :Humaine
But : Trouver son père

---------------

Fruit du Démon : (sous réserve de validation) Aucun
Autres capacités : (sous réserve de validation) Aucune


Description physique

Le vent joueur, calmement se glisse dans ses longs cheveux flamboyants. Ces derniers dégradés de rouge et d'or fut pour cette femme, le début de ces malheurs. Fille unique d'une famille importante, la surprise fut grande lorsque sa mère accoucha d'une jeune fille à la chevelure rouquine. Couleur qui selon, les anciens du village attirait le malheur. La couleur unique de ses cheveux créait dans le cœur des villageois une grande peur. Mais les yeux verts de ce jeune enfant ne versèrent jamais de l'arme.

On dit souvent, que les épreuves du passé, peuvent se lire sur le visage ou encore sur le corps d'une personne. Mais le beau visage serein de cette jeune femme ne dévoile aucunement la douleur de son enfance. Ses lèvres roses affichent en permanence un petit sourire. Parfois joyeux, parfois mystérieux. Le jeune enfant, était rapidement devenue une belle femme d'1 mètre 65 aux courbes généreuses qui ne laissaient personne indifférente. Mince et gracieuse, elle adore afficher son tatouage fait sur son flanc gauche, qui lui remontait non loin de la poitrine. Elle qui avait une peur bleue des aiguilles, avait tout de même supporté, trois heures de désagrément afin de remporter un défi stupide.

Du premier regard, ce tatouage ne ressemble qu'à un dessin tribale qui part non loin de ces hanches, en prenant le temps d'analyser chaque courbe et tracées, on peut y voir une carte maritime. Véritable monde ou monde imaginaire? Il est dur, même presque impossible, de deviner de quels parties de l'Océan est représenté sur ce corps légèrement musclé par un entrainement de souplesse de cette rouquine. Malgré sa forte poitrine, ses hanches invitante et sa taille de sablier, rien ne vaut son intensité dans le regard. Ses yeux parlent d'eux-mêmes. Lorsqu'elle vous fixe, c'est comme si elle pouvait lire en votre âme. Le peut-elle ? Son visage doux et expressif, si cette dernière est contrariée, son nez se retroussera légèrement, ses lèvres afficherons constamment un petit sourire qui ne quitte jamais son emplacement même quand elle est triste..

Même si elle n'aime pas la couleur unique de ses cheveux, Ayako les portes longs jusqu'à la naissance de ces fesses. Parfois noué par un ruban de soie, sombre comme ses vêtements, la plupart du temps libre d'entrave bercé par le vent frivole.

La seule marque de son passé est une petite entaille faite non loin de son œil gauche. Encrée dans sa chaire, cette douleur physique c'est estompé depuis plusieurs années, aujourd'hui encore, le souvenir de sa mère cherchant à la tuée ne lui revient que vaguement en songe. Cette marque indélébile lui donne un petit charme et alimente le mystère qui l'entoure.  

Cette jeune femme de 23 ans est une cuistot, propre de sa personne, son odeur corporelle rappel les fleurs d'été et sa peau satiné est douce au contacte. Son habillement provocateur dévoile facilement son corps agile et svelte. Il fut dit, que l'arme d'une femme est son apparence, une fois l'homme aveuglé par la beauté d'une nymphe ce dernier est facilement manipulable. Cette jeune fille est parfaitement consciente de sa beauté et utilise souvent cette dernière pour se tirer de mauvaises situations dans lequel elle se plonge facilement.



Description mentale

Femme secrète et réservée, elle apparait souvent comme une personne énigmatique. Une aura de mystère émane de son regard, qu'elle entretient plus ou moins volontairement. Ayako est vive, alertes, enjouée et particulièrement communicative. Charmante et élégante, elle cherche à plaire ainsi qu'à faire plaisir. Cette jeune femme, apparaît extravertie et a besoin des autres pour se sentir exister. Douée de facultés d'élocution et d'expression, elles adorent être en représentation, parler et échanger ses idées. Gamine, elle éprouve un plaisir certain à amuser son entourage, mais c'est souvent dans ce moment que son coter sadique et froid se fait ressentir. Sensuelle et gourmande, Ayako aime mordre la vie à belles dents et jouir de tous ses plaisirs. Elle a de l'humour et aime faire rire, étant amateur de jeux de toutes sortes. Elle manie pourtant l'humour, bien que parfois dans un sens unique. Sceptique, méfiante et prudente, elle use fréquemment d'ironie, sinon de sarcasmes, s'appuyant parfois trop sur les démarches de son jugement.

Excellente comédienne, adaptable, capable de mimer les défauts d'autrui, elle possède un esprit critique et un sens aigu de l'observation. Rapide et maligne, elle sait facilement se tirer d'embarras. Cette navigatrice est curieuse et intéressée par tout, ce qui peut la conduire à une certaine instabilité. À l'affût d'horizons nouveaux, elle a toujours le goût des voyages. Cette fille ambitieuse aime le jeu et les amusements et déteste l’ennui. Derrière ces grands yeux, ses rires et ses sourires charmeurs, se trouve plusieurs défauts qui lui attirent souvent des ennuis.

Notre jeune Ayako est une grande dépendante affective qui cherche l'approbation des gens qui l'entourent. De plus, sa curiosité la pousse souvent dans des situations risquées. Diriez-vous que cette jeune fille est facilement manipulable ? Où est-ce vous, qui vous laisse berner par ses beaux sourires et ses gestes gracieux ?

Elle supporte difficilement les besognes inutiles et routinières qu'elle exécute rapidement, avec une grande habileté, pour passer à ce qui l'intéresse. Elle est souvent douée manuellement et peut se révéler une parfaite bricoleuse, maniant tout aussi habilement l'aiguille que la dague, ou encore l’art du massage... Raffinée, élégante, Ayako a l'instinct de la qualité et fera preuve d'un goût certain dans son habillement. Elle se montre particulièrement sélective dans ses choix de tenu qui ne sont pas uniquement classe, mais chaque tenue choisie doit être également pratiques.



Histoire




   

   



   
Chapitre un

   
L'inconnu  

   EElle était si belle et si pure, la jeune fille du village. Aimé de tous, son sourire éblouissant les gens et créaient dans leurs cœurs une douce chaleur d'été. Sa beauté était si foudroyante, que les hommes chantaient une fois la nuit tombée sous sa fenêtre, chanson d'amour au poème du jour dans l'unique espoir de croiser les yeux verts de cette jeune femme convoité de tous. Malgré les demandes nombreuses de mariages et les réprimandes de ces parents, la jeune blonde ne souhaitait prendre époux. Vivant dans un petit village perdu non loin de la mer, il était rare de voir de nouveau visage. L'ennui avait pris d'assaut le beau regarde de ce jeune enfant. Un jour, ou le soleil brillait dans le ciel, un navire accosta sur la berge. Tel un diable, un homme vêtu de noir c'était aventuré dans le village. Son regard sombre et froid eu rapidement raison du cœur de la jeune femme qui tomba éperdument amoureuse de ce bel inconnu.Ils consumèrent cet amour le temps d'une saison. Cependant, l'homme d'aventure qui a connu la liberté d'une mer capricieuse ne reste pas longtemps sur terre. Il repartit alors laissant sa conquise seule sur la berge. Le vent bordait les voiles vers l'inconnu, sous le regard remplis de l'arme de la belle fille au cœur brisé. Elle était restée jusqu'à la tomber de la nuit, pieds nus dans le sable froid à observer l'horizon là où le navire était disparu. Dans l'espoir de revoir les grandes toiles noires ornés d'un crane blanc.

Elle ne revit jamais, le navire. Malgré les jours à attendre assise sur la berge, la solitude était présente autour d’elle. Les gens du village avaient rapidement appris la nouvelle, la belle fille du village qui avait consumé un amour interdit, attendait un enfant. Doucement, les gens ne lui portaient plus attention, même ses parents lui tournèrent petit à petit le dos. Au fond de son cœur, la belle fille continuait de l’aimer. Malgré la douleur de l’isolement, elle espérait toujours revoir son regard qui l’avait chaviré.

Cette solitude dura 9 mois et la belle fille du village mis au monde un bébé. Cet événement si joyeux devient rapidement cauchemar. Cette nouvelle mère venait d'enfanter un poupon à la chevelure rouquine. Tel un pestiférer, les gens du village c'était rapidement éloigné. La belle du village sombra alors de plus en plus dans la démence. Le destin avait choisi cette punition, pour cet amour hors des liens du mariage. La jeune fille vient alors à détester sa progéniture.



   



   
   

   




   
Chapitre 2

   
Le Suicide...

   L'amour qui avait autrefois imprégné les murs de cette petite maison de campagne, c'était dissipé avec le temps. Le départ soudain de son amant, avait créée dans le cœur de la jeune femme un grand mal. Comble de malheur, l'enfant qu'elle venait de mettre à terme, était selon les anciens du village, un monstre qui ne méritait aucunement le droit de vie. Le cœur si pure de cette jeune femme s'assombrit alors, afin de ne plus sentir cette terrible douleur, la belle fille du village plongea ses lèvres dans le pêcher de l'ivresse. Oubliant alors son rôle de mère, elle laissait son poupon pleuré de faim une fois la nuit tombée, le regarde perdu sur la berge elle maudissait son amour d'être partie sans elle.

L'isolement du village n'aidait en rien la belle fille qui devient rapidement démente. La simple vue de son bébé l'horrifiait au plus haut point. Le regard noyé dans les larmes, un soir ou la douleur dans son cœur déchiré était si prononcée, elle s'était penchée au-dessus du berceau, criant à son enfant d'arrêter de pleurer. Le regard remplis de rage, elle avait pris un couteau non loin, le soulèvent alors à deux mains au-dessus de son enfant. Fabulant à haute voix que tout était la faute de cette pauvre enfant. Les mains de sa mère tremblaient encore contre le métal froid de l'arme. Elle ne voulait pas rompe le dernier lien qu'elle avait avec l'homme aimé, mais la douleur qu'elle ressentait mélanger aux nombreuses bouteilles consommées la poussaient à abattre le couteau sur son enfant, à deux reprises… La première fois le couteau se planta dans le coussin non loin du visage de l'enfant, mais le second coup rempli de violence entra en contact avec le visage de l'enfant qui se mit à hurler de douleur. Ce hurlement secoua la mère qui recula, le regard sur le sang qui ornait son arme. Ses mains tremblantes laissèrent le métal souillé tomber sur le sol.

Prise de panique, la jeune femme reculait sans regarder où elle m'était les pieds, son regard allai en direction de la berge. La belle venait de réaliser la tristesse et la détresse qu'elle portait en elle et tel une personne faible, elle choisit la fuite. Courant jusqu'à la mer, le regard toujours aussi détruit le cœur en miette, elle plongea dans l'eau, dans l'espoir de pouvoir rejoindre son bel aimé.

Le bébé, restait seule dans son berceau, le sang avait inondée son joli visage, imprégnaient ses vêtements et la petite couverture qui avait été posée sur elle. Ses pleures résonnaient dans le silence de cette demeure déserté par l'amour. La porte de la demeure grande ouverte, laissait pénétrer le vent froid d'automne. Les pleures déchirant de l'enfant fut entendu par un passant, un homme qui n'était point du village. Ce fut la curiosité de l'homme qui le poussa à entrer, ce dernier ne pensait pas y trouver une scène si troublante. Pourtant, ce dernier avait vu bien des choses dans sa longue vie et aurait probablement laissé l'enfant mourir, dans ce berceau, mais ce dernier c'était approché, le regard bleuté de l'homme c'était glissé sur le visage de l'enfant qui venait doucement d'arrêter de pleurer. Leurs regards se sont croisés, malgré le sang qui inondait le visage du poupon et la douleur qu'elle pouvait ressentir. Le cœur du pirate, venait de fondre, cette armure forgée depuis tant d'année avait été percé par les beaux yeux verts d'un bébé.

   




   
   

   




   
Chapitre 3

   
Souvenirs douloureux  

   MMon plus beau moment passé sur ce navire était lorsque j'avais cinq ans, j'étais assise sur les marches du navire, mes yeux observaient le voile céleste. Une douce odeur d'épice et de crème qui s'échappait de la cuisine, venait doucement caresser les narines de l'équipage déjà ivre à cette heure tardive. Comme s'il avait souhaité rendre ce moment plus magique, Edgar le violoniste avait doucement glissé son arche sur les fines cordes de son instrument à vent. Le doux son qui résonnait dans le violon de bois se mariait parfaitement avec le timbre de sa voix. Ce dernier assit sur le rempart, avec les deux yeux fermés et chantait un air qui me marqua a jamais. Même encore aujourd'hui ces paroles restent gravées dans mon cœur. ‘' Toi qui crois que la terre est ronde, tu n'te doutes pas une seconde que ton histoire pourrait changer... Si tu n'veux plus rester dans l'ombre avant qu'un beau jour ne fondent tous tes espoirs, que tu n'te sentes un peu partout étranger...

Viens, il existe un nouveau monde où la lune est toujours blonde et les étoiles restent allumées... Ne crois pas tout ce qu'on raconte ce qu'on peut lire dans les contes si tu veux voir la liberté... Prends entre tes mains ton destin mets les voiles dès ce matin pour la mer où tu veux vivre... Prends le large rien ne te retient c'est ta vie elle t'appartient si tu veux être un homme libre... Viens, tu verras la route est longue parfois le ciel devient sombre mais les nuages sont encore loin...

Et même si de fatigue tu tombes dans ta course vagabonde ait le courage de continuer ton chemin... Dis-toi que rien n'est écrit l'avenir se construit Il n'y a que toi pour savoir quelles sont vraiment tes envies... Il n'y a que toi pour savoir quel sens donner à ta vie c'est ta vie elle t'appartient si tu veux être un homme libre. ‘’

Je me souviendrais toujours, des gens de ce navire. Ces gens ont été pour moi une famille, une raison de vivre et d’avancer. Les rires que nous avions échangés, les histoires interminables et les repas animés. Resterons à jamais dans mon esprit, dans mes rires et mes sourires. Même si le Joaillier a sombré emportant avec lui mes amis et mes rêves, je continuerais d’avancer aveuglément dans ce monde. Cette douleur qui me déchire le cœur, ne devra jamais s’estomper, car je ne veux pas oublier leurs visages.

Lorsque j'étais arrivée sur ce navire aux pavions noirs, personne ne voulait d'un bébé dans l'équipage. Mais le capitaine avait rapidement tranchés la discussion. Malgré mon jeune âge et le fait que j'étais une fille, ce dernier décida de me confier au cuisinier. Le temps c'était écoulé et j'avais rapidement pris de l'âge, je passais mes journées à courir sur le pont, à questionner tout le monde sur les sujets de la vie ou à apprendre à préparer les repas du soir. Les gens qui, autres fois c'était opposé à mon arrivée, ne doutait plus de moi et m'aidait à grandir. J'étais si bien, sur ce petit navire qui bravait vent et marée, c'était cela pour moi la liberté. J'ai appris tant de choses sur ce navire où j'ai passé 15 ans de ma vie. On n'avait rien, mais le soir tombé, on s'en fichait. Les hommes, souhaitent simplement vivre sans entraves, sans problème et surtout sans peur. Grâce à eux, les douleurs du passé ont diminué. Même si mon visage est marqué à tout jamais de la lâcheté de ma mère, je garde la tête haute. L'équipage du Joaillier est la meilleure chose qui pouvait m'arriver, même si dans mon cœur brillait toujours le désir de connaitre mon véritable père, je n'ai jamais arrêté de traiter le capitaine comme mon paternel. Ils m'ont donné un rêve, un but, une famille et une chaleur dans le cœur.

Le bonheur a toujours une fin et même encore aujourd’hui je ne comprends pas comment j’ai survécu…

   


   
   

   




   
Chapitre 4

   
Ciel et Mer

   Le ciel était si sombre qu'aucune étoile ne brillait. Le vent, tel le souffle du diable était violent et menaçait l'équipage de les passer par-dessus bord. Quelque chose se préparait et le capitaine était silencieux, son regard d'acier était fixé sur la mer qui était étrangement calme. Nous étions loin dans cette mer, peut-être trop loin pour faire demi-tour. Un silence de mort régnait sur le pont comme dans la cuisine où je me trouvais. Pomme de terre en main, je regardais le cuisinier qui regardait par le hublot. Mes mains tremblaient devant cette situation incompréhensible. La mer si calme soudain semblait prendre vie, une vague venue de nulle part frappa violemment le coq du navire qui fut presque renversé. Je pouvais entendre les hurlements du navigateur qui crachait ses ordres à l'équipage.

La vague m'avait fait tomber hors de la chaise qui était partie s'éclater contre le mur, heureusement pour moi, aucun instrument de cuisine n'avait eus l'idée de venir m'écraser contre le mur. La panique était bien présente dans mon regard, mais le calme de mon compagnon me rassura un peu, sourire amusé aux lèvres, il m'avait ordonné de rester ici avant d'aller rapidement aider les autres membres de l'équipage… Avant de refermer la porte, il m'avait dit que peu importe les épreuves, la douleur et la peur, je me devais de garder la tête haute. Sur le moment, je n'avais pas bien compris cette phrase, mais aujourd'hui cette dernière était remplie de sens. La mer se déchaîna, telle la colère d'un dieu, l'eau s'amusait avec le navire qui allait dans toutes les directions. Une pluie violente frappa le pont tel des clous qu'on enfonçait dans un cercueil. Moi qui écoutait rarement les ordres, j'avais décidé d'aller sur le pont afin d'aider les autres. Arrivant dans le déluge, je réalisai l'ampleur de la tempête, d'épais nuage noir tournaient au-dessus du navire, tel une tornade. La proue commençait à se fendre et une bonne partie du mat c'était envolé. Le Capitaine tenait toujours le gouvernail malgré les caprices du vent qui cherchait à le renverser.

Le ciel était en guerre contre la mer et nous pauvre mortel, on était pris entre les deux. Les nuages sombres bourdonnaient d'éclaire qui menaçait de s'abattre sur le navire et la mer cherchait à nous dévorés. En 15 ans sur cette mer, c'était la première fois que je voyais une tempête remplie de rage. Cherchant à venir en aide, je m'étais élancé en direction d'un câblage qui venait de se rompt. C'est à ce moment, que porté par le vent, un morceau de bois me frappait violemment à la tête… Ma vue devient alors flou, les cris de l'équipages devient alors un écho et l'inconscience me prie dans ses bras.

Ce qui est arrivé à l’équipage restera pour moi un mystère, car lorsque je reviens à moi, j’étais seule allongée sur le sable blanc d’une plage. Quelque débris du navire dormait non loin de moi et la mer était calme comme le ciel bleu.  

   




   
   

   



 
Dernier Chapitre

   
7 ans sur cette île...

   Seule j'ai marché longtemps le long de la rive, dans l'espoir de trouver des survivants. Mais je ne trouvai que des parties de corps, des parties du bateau et que le silence de la mer. Voyant que me recherche ne menaient nulle part, je quittai donc la berge le cœur serré pour explorer cette île. À la tombée de la nuit, j'étais toujours seule dans ce cauchemar. La température froide m'engourdissait, mais je cherchais à ne pas fondre en larme. Je venais de tout perdre, les gens avec qui j'avais grandi, la sécurité de leurs présences, ma maison, mon monde et mon but. Les genoux contre ma poitrine, je tremblais de tout mon être. Malgré la volonté que j'avais, les larmes coulaient sur mes joues pour venir mourir non loin de mon menton. Les sanglots se mélangèrent aux murmures de la nuit et je m'endormis d'épuisement.

Ce fut une femme du village qui m'avait retrouvé frigorifié, lors de ça chasse aux champignons. Elle m'avait rapidement emporté chez elle afin de soigner mes blessures physiques et me donner un bon bain chaud. La tristesse était visible dans mes yeux, mais j'étais soulagée de voir qu'il y avait des gens sur cette terre inconnue. Cette dame, d'un âge plutôt avancé était la propriétaire d'un petit restaurant sur l'ile, elle m'offrit donc un travail en échange d'un toit. Je gardai silence sur les terribles événements de ma vie, travaillant alors dans la cuisine à couper des légumes, le cœur remplis d'hésitation. J'avais accepté l'offre de la femme pour deux semaines, mais les semaines deviennent des mois et les mois se transformèrent en années. 7ans avaient passés comme un coup de vent, sans que je retourne sur la mer qui m'appelait de plus en plus.

Ce village était devenu en quelque sorte une seconde maison, même je pouvais sentir une distance entre moi et les habitants. Je restais toujours une inconnue des mers à la chevelure de feu. La dame qui m'avait sauvée venait de rendre l'âme quelques jours plutôt, donnant alors, son restaurant à son petit-fils, mais ce dernier n'avait aucunement l'étoffe d'un responsable et je commençais à prendre peur, moi qui avait enfin réussi à devenir second dans les cuisines. Il m'arrive de plus en plus, de regarder la mer, attendant le retour de mon père? Ou encore de voir les toiles sombres du Joaillier. Ce qui est sûr, c'est que mon cœur appartiendrait toujours à cette eau claire. Un jour je sais, que mon âme de pirate renaîtra et que je quitterais cette prison.


   






Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Aya ou Mimie
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! Super fourm Very Happy



Dernière édition par Ayako Aoki le Jeu 2 Nov - 1:06, édité 1 fois
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Josh Leone
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée   Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée EmptyMer 1 Nov - 23:23




Validation


Salut salut, Blackheart Bay ! Première fille à avoir fini sa prez, première fille validée ! Quel honneur !

Qualité : 150/500


Ces derniers dégradés de rouge et d'or fut pour cette femme, le début de ces malheurs. -> Ces derniers, dégradés de rouge et d'or, furent, pour cette femme, le début de ses malheurs. Ici, il y a un gros souci de ponctuation, de conjugaison et de grammaire. Faut vraiment que tu te relises, Ayako ! :/

Couleur qui selon, les anciens du village attirait le malheur -> couleur qui, selon les anciens du village, attirait le malheur. Comme au-dessus, problème de ponctuation.

Mais les yeux verts de ce jeune enfant ne versèrent jamais de l'arme. -> larme. On pleure des larmes, mais l'arme c'est une épée ou un fusil Razz

Bon, voilà quelques exemples. Grossièrement, tu as des soucis de ponctuation et de conjugaison, ainsi que quelques soucis de grammaire. Ce que je peux te proposer, c'est d'écrire tes rps sur Microsoft Word avant de les envoyer. Le correcteur de Word est très très bon, et trois fois sur quatre ce qu'il te proposera sera correct.
Il faut aussi que tu te relises plus, évidemment.

D'un autre côté, tout n'est pas noir, au contraire. Certains passages sont très bien écrits, comme le moment où la tempête attaque ton navire. Joli choix de vocabulaire, très bonne narration. C'était cool !

Cohérence : 250/500


Déjà, gros souci. Tu es cuisinière ou navigatrice ? Parce que c'est soit l'un, soit l'autre.

Cette jeune femme de 23 ans est une navigatrice propre de sa personne -> T'es pas une cuisinière ?

Bon, niveau cohérence, j'ai quelques problèmes. Déjà, comment tu sais que ta mère est une femme lâche ? Qui te l'a dit ? Le pirate ne peut pas savoir la raison pour laquelle ta mère a agi comme ça, et toi non plus tu ne peux pas connaître tous les détails de ton histoire. Personne ne te l'a raconté. Après tout, tu as a priori quitté le village en tant que bébé, et le pirate n'était pas un habitant. Alors où as-tu obtenu toutes ces infos ? On n'a pas assez d'élément, donc ça rend l'histoire un peu bancale.

De même, on n'a pas vraiment d'élément propre au forum. C'est dommage, tu as plein de trucs à mentionner, le nom d'un empereur, par exemple, ou une référence à la Blue dans laquelle tu es, ou au commodore en charge là-bas... Mais on n'a pas eu tout ça non plus :/

Longueur : 100/250


Ici, tu t'en doutais, la longueur pêche un peu. Pas en terme de ligne, hein, mais en terme d'informations. Tu as pour but de trouver ton père, mais tu ne nous indiques pas si tu as fait des recherches à son sujet, si tu es un jour retournée sur ton île etc...

De même, pas une seule fois on a eu une ligne de dialogue. Or, c'est vraiment quelque chose d'important, pour toi mais aussi pour le lecteur. On cerne le comportement d'un personnage à sa façon de parler, ça en dit long sur lui. Mais là, on ne peut pas le savoir puisque tu ne parles pas :/

Originalité : 300/500


Gamine, elle éprouve un plaisir certain à amuser son entourage, mais c'est souvent dans ce moment que son coter sadique et froid se fait ressentir.

Ton personnage est gamin et amusant, mais aussi sadique et froid ? Mais pourquoi ? Tu avais la possibilité de faire un personnage féminin mais tu tombes dans le travers classique du personnage de forum à personnalité multiple qui devient méchant quand il faut se battre et est gentil avec ses amis. C'est trop stéréotypé, je pense. Ca aurait été plus original, peut-être, de garder contenance en toute circonstance, de rester charmante et digne et que, même en plein combat, tu sois la magnifique rouquine que tout le monde aime.

Subjectivité : 200/250


Malgré tout ça, je t'avoue que j'ai pris du plaisir à lire ta présentation. Tes musiques étaient très bien trouvées, et tu es particulièrement douée pour retranscrire la mélancolie de ton personnage. Ayako n'est nulle part trop à sa place et est très réfléchie, ce qui est très très bien retranscrit dans ton histoire. En plus de ça, la petite histoire d'amour du début, bien amenée à la manière d'un conte, a fait mouche. Y a pas assez d'amour dans ce forum de brute, bordel de dieu !

Note finale : 1000 Dorikis

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Ayako Aoki Alias BlackHeart / Terminée
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