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 Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé]

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Dai Kon Ran
Pion de la Franc-Marinerie


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Dai Kon Ran
Pion de la Franc-Marinerie

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MessageSujet: Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé]   Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé] EmptyDim 17 Déc - 19:40



Sigma "Big Si"




Prénom et Nom: Sigma
Âge : 18
Sexe : Masculin
Avatar : Colonello - Reborn
Groupe : Pirate
Métier : Herboriste
Espèce : Tontatta
But : Ne plus rentrer discrètement dans ma ville zer. Finir le travail de mes parents sur les fruits du démon.

---------------

Fruit du Démon : Fruit des tonnes - Ton Ton no Mi
Autres capacités : Faire pousser n'importe quel végétale.


Description physique

Comme tout les Tontatta, Sigma n'est pas bien grand mesurant 13 centimètres, il possède aussi cette caractéristique typique qu'est la queue touffu. Il est très difficile de distinguer une musculature sur un si petit corps, mais il est capable d'une grande force comme tout les gens de sa race. Sa chevelure blonde et courte est très souvent décoiffé le rends assez reconnaissable, enfin à condition de le voir. Il a un visage rond lui donnait un air plutôt amical, contrastant avec ses yeux azurs allongé qui donne cette impression qu'il est souvent en colère ou très sérieux.

Vestimentairement, il porte souvent un bandana sur son front ce qui est sûrement son signe distinctif le plus clair. Pour le reste des vêtements, cela varie, plus jeune il en portait au couleurs de la nature, désormais il préfère les vêtements plus classieux ou plus flashy de sorte à se faire repérer et se distinguer des autres. Il s'habille de manière à attirer les regards et parfois cela varie énormément d'un jour à l'autre, pouvant être habillé un jour à la manière d'un noble et le lendemain de multiple couleurs bariolés ne pouvant passez inaperçus, du moins si ils étaient porté par un être humain de taille normal.


Description mentale

Sigma est un Tontatta qui rêve de grandeur. Côtoyé le monde humain et plus particulièrement les nobles l'a rendu amoureux de gloire et d'argent. Honteux envers son passé durant lequel il fuit laissant derrière lui ami et famille. Il s'est secrètement promis de ne plus jamais abandonner ses amis. Néanmoins, avoir des amis est devenu quelques choses de très strictes pour lui. Il confie difficilement sa confiance et ne rêve que d'être au sommet, qu'on le regarde et qu'on l'acclame ! Malgré ses rêves de gloire, il y a une chose à laquelle il tient encore plus qu'à sa futur popularité. Le secret de ses parents. Ils ont consacrés deux années entière de leurs vie à la recherche sur les fruits du démon et surtout un moyen de les reproduire. Il garde toute les notes de ses parents enregistrés dans sa tête.

Frustré par sa petite taille qui ne lui permet pas de briller, il n'en est devenu légèrement complexé que lorsqu'il apprit qu'il y avait d'autre espèce vivante sur cette terre, beaucoup plus grande que lui.  Sa différence l'a rendu tolérant, ou du moins une version de tolérance. Il ne juge pas les gens sur leurs race, leurs taille, leurs poids mais seulement leurs rêves et leurs objectifs. Parfois un peu hautain et vantard, il est tout de même conscient de ses capacités et sait reconnaître un adversaire plus fort que lui. Souvent il se la joue badboy, la raison de son comportement et la confiance lui. Il a perdu un peu en assurance depuis ses défaites et en se comportant ainsi il regagne peu à peu cette confiance perdu, ne se défilant jamais face à un adversaire. La route vers le sommet risque d'être longue mais pour l'atteindre il faut se débarrasser de ses adversaires c'est pour cela qu'il ne fuit plus à moins d'être en danger de mort.


Histoire

Quel est le nom de cette île pour le gouvernement ? Je l'ignore toujours, mais pour cette rétrospective appelons là comme je l'appelais, Terre Tontatta. Aux yeux des autres Tontatta, nous étions probablement morts, à nos yeux, ils l'étaient probablement aussi. Ils étaient partit il y a de cela plusieurs siècle, du moins c'est ce que les parents et les grands parents racontaient. Nous, les jeunes, qualifiions plutôt ça de légende. Cela n'est pas si lointain mais résonne comme un écho d'une autre vie pour moi. La légende disait que notre terre avait connut une grande catastrophe inexplicable, plus rien ne poussait et cela aurait entraîné la majeur partit de la population à la mer, à la recherche de ressource pour pouvoir survivre. Seul quelques réticents, peut être peureux ou bien trop attachés à l'espoir d'une crise passagère restèrent. On raconte qu'ils étaient peu, mais que leurs travail commun permit à notre terre de traverser sa période de crise et retrouver sa gloire d'antan, faisant de nous leurs descendants.

Mes deux parents : Shango et Nikka étaient des scientifiques. Du moins ce qui s'en rapprochait le plus chez nous. Passionnés par les végétaux comme nombre d'entre nous comptant principalement sur leurs cultures pour survivre. Ils avaient cette folie et ce savoir en plus. Dans notre habitation ils étudiaient toutes sortes de végétaux et les cultivaient ou du moins s'y essayaient sous couvert d'une culture alimentaire et de recherche passionnel. Nos camarades ne se doutaient pas de jusque où ils allaient aller.

Je grandis normalement jouant avec les tontatta de mon âge, Logan était mon meilleur ami quand nous étions enfant. Mes parents me tenaient plutôt à l'écart de leurs expérience mais parfois je les observaient et écoutaient avec attention. Face à ma passion, ils m'apprirent à cultiver et faire pousser des végétaux. D'abord ceux pour se nourrir, ceux pour se soigner, bien que leurs techniques et pédagogie ne soit pas des plus communes, cela marchait à merveille. Je me souviens qu'il commençait parfois à m'expliquer avant de partir en courant sur des expérimentations me laissant seul à comprendre et patienter. Je prenais donc quelques initiatives. Majoritairement non concluante mais, cela m'apprit au moins que la patience était la clef, tout en développant une certaine passion pour le monde végétal. On peut faire tellement de chose avec les plantes.

Et un jour mes parents firent une étrange découverte, alors que je rentrais à la maison âgé d'une dizaine d'année. Je découvris, en rentrant dans le compartiment de la maison dédié à l'étude des végétaux, un fruit étrange. À vrai dire, je ne le réalisait pas tout de suite, jouer dehors avait creusé mon appétit et j'allais souvent chercher à manger des fruits que l'on faisait pousser. Sachant que toute une partie de la maison était dédié à faire pousser des plantes et les étudier. Je ne m'attardais guère sur son apparence étrange, bien trop affamé et croquai dedans avec appétit l'avalant directement. Puis vint le goût, indescriptible, sûrement la plus infâme des choses que j'eusse mangé. Je reposais le fruit dans une grimace affreuse tout me fendant d'un "Aaaah" expressif.

Une fois remis de mes émotions négatives. Mes yeux posées sur lui réalisèrent que même si il avait la forme d'un fruit que je connaissais, il n'en avait pas le coloris. Un autre détail me troublait, les formes spiraloïde sur sa peau. Mes parents m'avaient dit que dans la nature, souvent, ce qui avait mauvais goût était dangereux. Du moins, ils avaient dû me dire cela avant de nuancer en me présentant nombre végétaux réfutant ses propos, mais cela suffit à me faire paniquer. J'accourais fruit à la main des larmes coulant de mes yeux.

- Papa ! Maman ! Je vais mourrriiir !

Mes parents étaient affairés à leurs tâches habituels mais, ils se retournèrent simultanément alors que je hurlais en me jetant contre mon père.

- J'ai mangé ça, je vais mourir !

Je suis sûr qu'ils ont paniqués ce jour là. Même si ils parvinrent à garder leurs calme et adopter un air rassurant pour tenter au maximum de me calmer et de savoir ce qu'il se passait.

Tandis qu'il tentait de me rassurer, je sentais une chose étrange comme si mon corps s'alourdissait. Immédiatement, l'idée du potentiel l'effet d'un poison ne fit qu'augmenter ma panique et démultiplier cette sensation de lourdeur. Mon père récupéra le fruit d'entre mes mains et le reposa sur un plan de travail avant de me saisir sous les bras pour me soulever et m'amener à lui, mais lorsqu'il essaya, il réalisa avec stupeur l'impossibilité de son acte. Je restais cloîtré au sol malgré toute la force qu'il mettait pour me décrocher du sol. Réalisant cela, je ne fis que stresser davantage, d'autant plus que sous mon poids le sol de notre maison commençait se plier et je ne parvenais même plus à décoller mes pieds du sol. Ma mère se rapprocha de moi alors que j'étais comme paralysé par le poids de mon propre corps.

- Je ne peux plus bouger ! Je n'arrive pas à soulever ma jambe !

Leurs stresses camouflés étaient tout de même perceptible, ils ne connaissaient pas non plus ce fruit et ces effets étranges n'avaient pour l'instant rien de rassurant.

- Tout va bien se passer, on est là.

Elle venait me serrer dans ses bras, ce contact rassurant canalisait mon stresse et je sentais le poids de mon corps s'alléger. Mes yeux s'asséchaient petit à petit, les larmes cessant peu à peu de s'écouler sur mes joues. Reniflant contre ma mère. Un silence s'installa, silence où seul les caresses maternelles rassurantes avaient leurs place.

Ce silence dura jusqu'à ce que je puisse à nouveau bouger. Je me séparais de ma mère, mon père inquiet avait profité de ce silence pour analyser ce fruit que j'avais mangé, mais son visage le trahissait, il n'avait aucun explication mais il semblait avoir une idée derrière la tête.

Mes parents s'échangèrent alors un regard complice, leurs interrogations étaient communes et nul n'avait besoin de mot pour deviner ce que l'autre pensait. C'est mon père qui brisa le silence.

- Allons-voir Popo.

Oh, j'y pense, je n'ai toujours pas présenté le doyen du village, Popo ! Son vrai nom est Polak mais tout le monde le nomme Popo. Il est le plus vieux Tontatta et possède un savoir immense ! Lorsqu'ils rencontrent des situations improbables mes parents le questionnent, il était le seul au courant de leurs expériences, ils règnent entre eux une confiance mutuelle.

C'est donc naturellement qu'après une courte discussion entre mes parents nous primes la direction de sa maison. Mon père portait un sac dont j'ignorais encore le contenant à l'époque. Un second était porté par ma mère dans lequel je l'avais vu enfoncé les restes du fruit que j'avais mangé. Nous traversâmes alors le village en adoptant un air naturel même si nous pressions le pas. Fort heureusement personnes n'eu l'air de soupçonner quelques choses d'étranges et nous purent arriver chez Popo sans encombre.

La maison de Popo était loin de la notre. Il vivait plus au sud et légèrement surélevé alors que nous, nous étions dans une partie un peu plus creuse de notre terre. Sa maison était la plus grande de tout le village malgré qu'il y vive seul. La richesse n'existait pas pour nous, du moins elle n'était pas établit comme elle l'était par le gouvernement mondial ou par le monde actuel en somme.

Nous étions en fin de journée quand la main de père frappa la porte à trois reprises. Quelques secondes qui parurent durer une éternité s'écoulèrent avant que la porte ne s'ouvre montrant le visage chaleureux de Popo qui nous accueillaient déjà avec un sourire.

- Entrez, entrez donc.

Nous n'avions pas le temps de le saluer qu'il nous invitait déjà à rentrer, en vérité nous n'étions plus surpris par ce comportement alors nous nous exécutions naturellement. Il refermait la porte et mon père en profita pour prendre la parole.

- Bonsoir Polak, dit-il d'un air calme.

- Bonsoir la famille, allons-nous installer pour discuter.

Je répétais la formule de politesse après que ma mère l'ai faite. Je restais collé contre elle qui m'entourait d'un bras rassurant alors que nous avancions dans la maison jusqu'à un salon, dans un silence à mes yeux oppressant.

Nous prenions place à sa suite sur une banquette placée face à un fauteuil sur lequel il s'était installé. C'est à cet instant que mon père, inquiet, curieux et impatient déballa le contenu de son sac sur la table basse posée au milieu de nous.  À ma grande surprise un fruit ressemblant étrangement à celui que j'avais mangé s'y trouvait. Ce qui m'étonna le plus fut que je sois visiblement le seul surpris à sa vision. Popo se contenta de faire rouler son regard du fruit jusqu'au yeux de mes parents, silencieusement, il attendait une explication.

- Je vois qu'il est inutile de vous rappelez, votre regard témoigne de votre mémoire.

C'était mon père qui parlait, répondant à l'attente de Popo et à la mienne chaque seconde de plus passé ici semblait regorger de secret.

- Et nous savons aussi que vous nous avez demandé de ne pas effectuer de recherche sur ce spécimen et sur tout spécimen s'en approchant. C'était il y a longtemps, une dizaine d'année au moins. Sachez qu'étonnamment nous vous avons écouté malgré le désir de savoir, jamais ce fruit n'a quitté la cachette où nous l'avions mis.

J'apprenais ce jour là que mes parents cachaient cet étrange fruit depuis des années. Popo lui, acquiesçait simplement comme un remerciement du respect de ses conseils, mais il resta muet attendant la suite que mon père ne tarda pas à lui dévoiler.

- Malheureusement, les choses ont bien changées. Au cours de l'une de nos explorations avec Nikka, nous avons trouvé un second fruit de la sorte et Sig' l'a mangé.

Je me souviens de cette vision comme si c'était hier, le vieux Popo semblait désolé et légèrement apeuré. Son mutisme n'avait aucun effet positif sur cette conversation et sur nos morales malgré qu'il ne soit que de courte durée.

- Je vois. Très bien, je vais vous dire ce que je sais.. Mais ce ne sont que de vieille légende.

Il tentait vainement de détendre l'atmosphère, nous ne répondions que par l'attente de ses révélations.

- Ces fruits étranges seraient des fruits maudits par le démon des mers.

Le démon des mers. C'est une croyance de mon peuple, vieille de plusieurs siècles. Elle a sans doute prit racine après la séparation du peuple Tontatta. C'est une croyance assez abstraite qui n'a aucune représentation, la seule distinction physique que l'on lui accorde serait une taille gigantesque. Les parents l'utilisaient souvent à mon époque pour effrayer les jeunes Tontatta. Mais malgré son utilisation parfois fantasque, tous dans notre peuple le craignait et le tenait responsable de nombreux maux liés à la mer et à l'eau. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle prendre la mer était impossible jugé comme un acte suicidaire.

Autant vous dire que la nouvelle ne fit plaisir à personne et surtout pas à moi qui à l'époque m'attendait déjà au pire.

- On raconte que manger un de ses fruits revient à signer un pacte avec le démon des mers. Si l'on survit au repas, celui qui l'a mangé se voit acquérir d'extraordinaire capacité. Mais en contre-partie il est impossible pour lui de nager et à la fin de sa vie son âme sera dévorée par le démon, c'est de là que leurs viens leurs appellation : fruit du démon.

Une révélation choc qui amena d'autres questions et ainsi pendant des heures. Leurs discussion fut si longue que je finis par m'endormir contre ma mère. La fatigue m'emportant malgré les récentes révélations, tout était si frais je n'avais pas encore les idées clairs.

Je réappris dès le lendemain à vivre avec mes nouvelles interdictions, au départ bien plus stricte j'étais très surveillé pendant le premier mois. Nous avions testé avec mes parents la véracité des propos tenus et effectivement, je coulais et il m'étais impossible de nager. Seulement il y avait comme dit des côtés positifs à avoir mangé un de ces fruits maudits, les supers pouvoirs ! Pour ma part j'avais cette capacité à changer ma masse sans changer mon enveloppe corporel, très pratique pour être aussi léger qu'une plume ou plus lourd qu'un rocher ! Je m'amusais grandement à planer au rythme des courants d'air ou immobiliser mes amis avec mon poids ces nouvelles capacités firent rapidement de moi la nouvelle attraction du village.

Après la panique, la vie retrouvait un cours normal mais le quotidien de mes parents fut à jamais brusqué.

A partir de ce jour ils se mirent en tête d'étudier ces fruits maudits dans le plus grand secret. Même moi je l'ignorai car oui, malgré ma nouvelle occupation, je revenais toujours apprendre avec mes parents les secrets des végétaux. J'avais l'âge d'aider, alors j'aidais comme je le pouvais, apportant mon expérience au village, expérience acquise par le savoir de mes parents. J'entretenais nos plantation et perfectionnais ma connaissance des végétaux avec une passion vorace qui en impressionnait plus d'un.

Et finalement tout aurait put être comme cela. Nous aurions pus mourir ici, laisser derrière nous notre descendance et prospérer au moins une génération de plus. Mais le sort en avait décider autrement. J'avais 15 ans quand les choses se mirent à bouger, c'est moi qui l'ai vu le premier. Une lourde construction de bois se dirigeant vers notre île. Même de loin elle était gigantesque je m'étais empressé d'allez prévenir mes parents qui comme à l'accoutumée communiquèrent cela à Popo.

Les grands du village furent réunis dans une discussion d'urgence. Ils s'enfermèrent dans la maison de notre doyen et n'en ressortirent qu'une trentaine de minute plus tard. Je n'avais aucune idée du dénouement de la discussion mais quand tous sortirent, ils nous ordonnèrent de rentrer chez nous. Nombres enfants et adolescents s'exécutèrent mais pour moi il était hors de question de me terrer.  Logan et moi avions pris la décision de les suivre discrètement. Une filature longue de quelques minutes qui nous amena jusqu'à la plage en bordure de notre île. Nous restions dans la partie boisés comme les adultes que nous filions. Ils attendaient l'arrivé de l'embarcation qui se dessinait de manière plus en plus clair. Sa stature imposante déchirait l'horizon au rythme des vagues qui faisait tanguer cet énorme navire. Une houle faible venant s'écraser à rythme périodique sur la coque en bois. La mer était calme et ce navire s'approchait inexorablement, nous ne pouvions empêcher son arrivé et ce quoi qu'il contienne.

Un sentiment de stresse commença alors à monter, moi et Logan, camouflé de la vue de nos parents respectifs et des autres adultes ressentions aussi cette tension monter, autant autour de nous qu'en nous.  

Le moment fatidique ne tarda pas à arriver, simultanément nous retinrent nos souffles alors que le bois vint s'enfoncer dans le sable comme un couteau dans du beurre, écrasant la plage jusqu'à s'y encastrer. Nous entendions des gens crier sur le navire et nous distinguions des formes qui semblait tous afférer à des tâches particulières. La chose qui me surprit fut leurs taille. Ils étaient gigantesque, en comparaison à nous en tous cas. Ils ne tardèrent pas à fouler le sable, descendant les uns après les autre. Ces nouveaux arrivaient nous ressemblaient sans la queue et en bien plus grand mais ils nous ressemblaient.

Je voyais que cette similarité physique créaient curiosité et engouement chez une bonne partie des miens, même Logan semblait moins suspicieux, mais pas moi. Je ressentais quelques choses de négatifs, des intentions malsaines, je ne pouvais l'expliquer mais pour moi nous ne pouvions leurs faire confiance et nous nous devions pas tenter d'établir une communication, les adultes en décidèrent autrement.

De notre position, il nous étaient impossible de distinguer autre chose que des sons sans sens fort heureusement nous avions nos yeux. Mes parents, plus méfiant restaient en retrait dans la partie boisée avec une faible partit des adultes tandis que Popo accompagné des autres se dirigea vers eux avec un air assez surpris mais enjoué. Après tout il venait de la mer et n'avait pas succombé au démon des mers !

Pendant quelques minutes ils semblèrent échanger de manière cordiale. Ce qui m'étonnait était la sérénité de nos nouveaux arrivants, nous étions surpris à leurs visions mais eux semblaient avoir déjà vus des gens de notre gabarit. Je me souviens à l'époque avoir naïvement pensé qu'ils étaient descendants des Tontatta partis en mer.

La vérité éclata assez rapidement et mon intuition ne m'avait pas trompé. Je vis les miens monter sur le navire des nouveaux arrivants. Quelques minutes s'écoulèrent avant que les hommes ne redescendent sans nos compères.

Mon inquiétude était porté vers Logan, ses parents étaient sur ce navire et il commençait à ressentir le côté dangereux de cette histoire.

- Sig' ?

J'acquiesçais d'un simple "Hmm ?" le regard braqué sur les hommes qui après être à nouveau descendu se dirigèrent vers les bois.

- Ils font quoi ces gens ?

- J'en sais rien Logan.

Logan avait toujours été un peu peureux mais sa fidélité n'était plus à prouver, malgré sa peur il ne laissait jamais tomber quelqu'un et affrontait courageusement ses angoisses et effrois. Il aspirait à une vie tranquille. Il était un peu celui qui me gardait les pieds sur terre en quelques sortes et moi celui qui l'entraînait vers le ciel.

- On y va !

Je n'attendais pas son approbation et je sautais de la branche sur laquelle nous étions perchés juste après que les hommes aient commencés à pénétrer dans la forêt de l'île. Mes parents accompagnés des quelques autres étaient retournés au village pour des raisons qui m'échappaient.

Logan ne tardait pas à me suivre et rapidement nous atteignîmes le bateau en question qui n'était pas désert comme le pont le laissait suggérer. Avec discrétion, nous progressâmes dans les différents compartiment du navire, préférant esquiver les quelques hommes que nous croisions plutôt que de leurs taper la causette comme l'avaient fait nos disparus. Et finalement nous les retrouvions. Enfermé dans des cages ou l'espace entre les barreaux étaient conçus pour que nous ne puissions pas nous échapper. A notre vue, certains furent pris d'une joie tel qu'ils se mirent à beugler, d'autre nous intimèrent immédiatement de fuir. Malgré nos petites voix le bruit qu'ils firent fut suffisamment fort pour alerter un des hommes responsable de la garde du bateau et c'est là que mes ennuies commencèrent.

Il pénétrait dans la pièce en hurlant.

- FERMEZ-LA LES NAINS !

Puis son regard se braqua sur moi et Logan avant que sa bouche ne se déforme d'un sourire carnassier, j'avais tout de suite compris que j'allais devoir lui péter sa gueule !

Il s'élançait vers Logan pour tenter de l'attraper mais mon ami se subtilisait avec agilité et rapidité, des avantages données par notre taille. Pour ma part, je m'étais élancé dans les airs réduisant ma masse à quelques grammes seulement pour planer dans les airs en suspens proche du plafond alors que l'autre lascar lançait une seconde offensive sur mon ami. J'augmenta soudainement mon poids me recroquevillant sur moi même. Posté à quelques mètres du sol, je retombais à une vitesse phénoménal pesant environ une tonne, je vins heurter l'épaule de notre ennemi. Un crac écoeurant suivis d'un hurlement de douleurs et d'un bruit sourd d'un corps heurtant le bois. La douleurs l'avait entraîné au sol où il se tordait de douleurs en criant diverses choses peu catholique. Sans attendre nous nous précipitâmes vers la cage cherchant un moyen de l'ouvrir mais rapidement les cris de l'autre alertèrent ses collègues présent sur le bateau.

Et ce n'est pas une, pas deux, mais bien trois de ces géant qui poussèrent la porte. Je ne voyais que la fuite envisageable mais tant que Logan serait là je me battrais avec lui. Voyant leurs camarade au sol, ils n'eurent pas de mal à comprendre que nous en étions la cause et le combat devint rapidement plus dangereux. Les trois gredins sortaient leurs sabres courbés de leurs fourreaux et s'avançaient vers nous visiblement prêt à en découdre.

L'un d'eux s'élança et tenta diverses balayages à l'aide de sa lame, ses mouvements n'avaient pas de grâce particulière mais leurs efficacité restaient fatal, il avait clairement appris le maniement d'une arme sur les champs de bataille et nul part d'autre. Je me faufilais avec dextérité entre les coups de lames, dansant avec celle-ci attendant une opportunité.

Logan ne savait pas quoi faire les deux autres hommes commençaient à s'approcher de nous et la peur le gagnait lentement, rendant ses mouvements hésitants.

Dès que j'aperçus une ouverture je la saisis, me faufilant entre les jambes de mon adversaire à diverses reprises, je le faisais tourner en bourrique jusqu'à profiter d'un moment de confusion pour disparaître parmi les multiples cachettes pour quelqu'un de ma taille. J'attendais de pouvoir contre-attaquer.

Ma disparition provoqua un moment de panique chez nos adversaires, celui en charge de moi s'écria.

- Il a disparu !


Canalisant momentanément l'attention de ses deux collègues permettant à Logan de reprendre le dessus sur sa peur. Il tenta alors vainement d'ouvrir la porte de la cage. Sûrement trop paniqué pour avoir des idées rationnelles, cela eu au moins le mérite de concentrer l'attention des hommes sur lui et ils partirent pour le stopper sans hésiter.

Il prit directement ses jambes à son cou, tentant de fuir au travers de la pièce. N'attendant pas qu'il se fasse tuer, je sortais de ma cachette pour venir infliger un violent coup de queue sur le sommet du crâne d'un d'entre eux. La puissance que j'y avais mise fut suffisante pour l'envoyer faire un long sommeil, mais tandis que je m'étais hors combat l'un d'entre eux. Je fus pris de vitesse par un second qui me balayait d'un revers de l'épée, me frappant avec le plat de celle-ci, il m'envoya valdinguer contre un des murs de la cale. Le choc me fit légèrement tourner la tête, mais rien de grave j'étais habitué au choc violent, et j'étais suffisamment loin pour être me relever avant que l'un d'entre eux ne représente une menace pour moi. Malheureusement, ça, Logan ne l'avait pas compris.

Me voyant subir un coup, il s'élançait dans ma direction mais négligea l'esquive et un coup de pieds violent vint l'encastrer contre la cage. Le choc résonna dans la pièce tandis qu'il retombait au sol immobile, mort ? Je n'en savais rien mais cette vue de mon ami entrain de se faire rosser suffit à faire germer cette graine de colère en moi.

Je me relevais, les idées embrumés mais avec un but clair, lui éclater sa tronche. Celui qui m'avait touché était déjà en route pour m'achever mais il n'était pas ma cible. Je feintais alors l'étourdissement, tanguant dans ma position debout j'attendais le dernier moment pour agir. Lui ne voulant certainement pas me tuer, levait son épée dans les airs et s'apprêter à m'asséner un coup vertical avec le plat de la lame comme pour m'écraser. Réduisant mon poids, je fuis entre ses jambes usant de moins de force pour me déplacer, je décollais du sol avec une aisance insultante. Après être passer entre ses jambes, je bondis pour atterrir sur le sommet de son crâne. Bêtise ou colère ? Cela n'était pas mon intention première, mais il se fendit lui même le crâne en deux avec son épée qu'il s'abattit sur le sommet de la tête dans le but de me toucher.

Pour esquiver, j'avais à nouveau bondit en usant de mon poids réduit, me propulsant contre un mur de la pièce sur lequel je posais le plat de mes deux pieds avant de propulser à nouveau en direction du dernier adversaire debout, celui qui méritait ma haine.

Il peinait à me voir tant à cause de ma petite taille mais aussi dû aux divers bonds que j'effectuais dans tout les sens. Mais il avait visiblement un bon instinct car ses coups de sabre aléatoires bloquait mes angles d'attaques peut être était-ce de la chance ? Peu importait en vérité car il ne me fallut pas longtemps pour contourner sa défense approximative. Venant frapper à l'arrière de son genoux à l'aide de ma grosse queue, le choc fut suffisamment violent pour lui faire poser son genoux à terre. A peine mon coup faisait mouche que je passais entre ses jambes, heurtant volontairement ses testicules au passage le faisant lâcher ses armes et l'amena à s'agenouiller pour de bon en pleurnichant de douleurs. Suite à cela, je grimpais sur lui et vint prendre appuie sur son nez, ainsi installé je lui décrocha une série de punch dans les yeux jusqu'à ce qu'il ne puisse plus rien à voir. Simple et efficace ! Castré et aveugle, ce gars gardera un bon souvenir de cette île ! Pour le mettre définitivement hors d'état de nuire, je sautais au dessus de lui et vint écraser le sommet de son crâne avec ma queue tout en augmentant mon poids d'une centaine de Kilo.

Une fois que j'eusse réglé leurs compte à ses hommes, j'accourus vers Logan qui était seulement évanouis par la puissance du choc. Tentant de le réveiller à base de petite claque et autre, je laissa finalement tomber voyant qu'il allait encore dormir un moment mais qu'il était visiblement hors de danger. Je partis donc pour libérer les autres Tontatta de leur cage.

- Sig ! Comment vas Logan !

C'était la mère de Logan qui même enfermé s'inquiétait davantage pour son fils que pour elle. Je la rassurais d'un ton calme, je ne réalisais pas encore tout à fait ce qui se passait et je tentais de rester très sérieux malgré mes 15ans, nombre personne dans le village me faisait confiance.

- Popo ! Comment je peux vous ouvrir ?

Il était inutile de s'épuiser, l'armature de cette cage était bien trop solide pour que je puisse la détruire ou même la plier et Popo connait sûrement la réponse pour l'ouvrir étant lui même enfermé.  

- L'homme portant un chapeau, il détient la clef, mais n'y vas pas ! Tu te ferais tué, cache toi !

- C'est bon. J'y vais.

J'avais confiance en moi ce jour là, sûrement gonflé par mes précédents combats et par le fait que je sois l'un des seuls capable de sauver mon peuple, mais j'allais apprendre rapidement à mes dépends que ma force était loin d'être suffisante.

Je faisais volte face et sortait de la pièce, laissant Logan au sol persuadé que je serais de retour à temps. Personne ne tenta de me retenir, ils nourrissaient l'espoir de me voir revenir avec la clef et je ne pouvais les décevoir !

Fuyant le bateau pour retrouver les miens et cet homme au chapeau, il me fallut peu de temps avant de retourner au village. L'homme que je devais retrouvé et ses compères allait mettre du temps à trouver notre havre de paix dans cette forêt. Quand j'arriva sur la place je vis réunis les personnes restantes.

- Sigma !

Ma mère se jeta sur moi, inquiété de ma disparition elle me prenait dans ses bras, je la laissais faire avant de prendre la parole faisant taire toute conversation.

- Ecoutez moi ! Il y a une nouvelle menace sur l'île ! Ils nous ressemblent beaucoup mais ceux bien plus grand et n'ont pas de queue ! Ils détiennent enfermer une partie de nos camarades dans une cage sur une construction de bois flottant sur la mer. Ils sont dans la forêt et probablement à notre recherche ! L'un d'entre porte un chapeau, il détient la clef pour libérer nos camarades !

C'était surréaliste nous n'avions jamais réellement eu de prédateur ou d'adversaire réellement dangereux. La panique commençait à prendre tout le monde, seul moi et mes parents restions calme. Enfin calme, j'étais surexcité et en colère surtout et cela m'empêchait de ressentir la peur.

Alors que je m'apprêtais à me lancer dans un discours héroïque visant tant à motiver les gens qu'à gonfler mon ego pour ne pas perdre cette confiance en moi. Un cri dans la foule attira l'attention de tout le monde. Nos regards se braquèrent sur le détenteur de cette voix stridente et nous constations avec surprise et effroi qu'il était prit au piège dans une substance visqueuse et gluante ressemblant étrangement à de le soie d'araignée. Tout le monde s'empressa de tenter de le libérer, moi je cherchais du regard le responsable de cette attaque et ne tarda pas à les identifier. Les hommes qui retenaient prisonniers mes frères étaient là. Quelques secondes après que je les ai aperçus, ils déferlèrent sur nous comme une vague armé de filet et arme non létale. Je profita de la panique créer par leur arriver pour repérer ma cible, l'homme au chapeau !

Il restait en retrait derrière ses hommes, ses huit bras tissant une étrange boule blanche. Attendez, HUIT BRAS ?! Je cru d'abord à une hallucination mais non il avait effectivement huit bras qui s'agitait pour tisser cette boule blanche. J'eus le droit à une démonstration de sa précision alors que je m'approchais de lui décider à en découdre. Il toucha pour la deuxième fois un Tontatta malgré qu'il soit à plusieurs mètres de distance et que sa cible en plus d'être petite était en mouvement. J'entendais crier mes amis et cela ne fit qu'augmenter ma haine, je ne pouvais supporter d'entendre leurs cris de détresse.

Me hissant dans les arbres, je profitais de la hauteur pour tenter une attaque surprise sur mon adversaire concentré à tisser une troisième boule de soie. M'élançant bien haut en réduisant mon poids, je me mis droit comme un piquet à plusieurs mètre au dessus de sa tête avant d'augmenter ma masse à dix tonnes, mon maximum à cet époque. Je redescendais à une vitesse fulgurante et m'apprêtait à l'écraser et probablement le tuer sur le coup, mais au dernier moment il se substitua. Le choc avec le sol fut tel que mon petit corps pénétra la terre sans soucis et je me retrouvait à environ un mètre dans le sol, ma petite taille augmentant la force de pénétration. Fort heureusement  ce genre de choc n'était plus vraiment un problème pour moi. Je m'extirpais du trou d'un bond après avoir réduit ma masse à quelques grammes me permettant de me sauter très haut en fournissant le moins d'effort possible. Mais à peine je décollais du trou que ma cible devient mon prédateur, il m'envoyait sa boule de soie approximativement aussi grande que moi. Je donnais alors un coup de queue dans le vide pour créer une bourrasque légère, suffisante pour propulser mon corps léger plus haut et esquiver son attaque. Je retournais à mon poids normal pour ne pas être emporter par le moindre courant d'air et rejoindre le sol. Suite à quoi je partis m'engager dans un combat direct avec lui.

Je tentais de faire jouer ma vitesse et ma taille en ma faveur, me déplaçant autour de lui tout en tentant diverses attaques d'angle différente. Je commença par tenter de le frapper dans le genoux à l'aide de ma queue, mais il semblait bien plus doué que ses précédents camarades. Levant sa jambe, il bloquait mon coup à l'aide de son tibia avant de riposter m'envoyant une rafale de coup de poings de ses huit bras alors que je n'avais toujours pas toucher le sol et récupérer mes appuies étant obligé de sauter pour atteindre son genoux. L'esquive n'était pas possible. Un seul de ses poings faisant globalement ma taille j'avais commencé à valdinguer dès le premier mais il frappait avec une tel vitesse que quatre autre coup purent me toucher avant que je ne sois hors de sa portée.

Mon dos heurta le sol quelques secondes plus tard, je n'avais jamais subis de tel coup, il était puissant. Je me relevais néanmoins, malgré ma confiance ébranlé, ma petite taille l'empêchait de me poursuivre facilement du regard mais il ne m'avait pas perdu de vue et je le compris lorsque je dus me jeter sur le côté pour esquiver une autre boule de soie. Mon envie de l'affronter avait été revus à la baisse, je jetais un oeil sur mes camarades entrain de fuir et apercevais mes parents réussir à fuir vers notre maison situé plus bas.

Je serrais les poings et pris la décision de les rejoindre, fuyant face à cet adversaire d'un autre niveau, ensemble nous trouverons un moyen de le vaincre ! Je courus tête baissé, ignorant les cris de détresse de mes camarades avec la honte d'un lâche mais la promesse mental de les sauver. Mes parents étaient poursuivis par un homme armé d'un filet qui portait à sa ceinture un pistolet et un sabre. Je les rattrapaient avec facilité, j'étais le plus rapide des Tontatta de cette île après tout ! C'est donc en profitant de l'effet de surprise que je pus frapper l'homme qui s'apprêtait à jeter son filet sur mes parents dans la nuque, l'envoyant au tapis suffisamment longtemps pour nous permettre de fuir.

Mes parents n'exprimèrent pas immédiatement leurs joie de me retrouver, nous courûmes d'abord jusqu'à notre maison et partîmes nous cacher dans le laboratoire/serre qui occupait en vérité plus des deux tiers de notre propriété. Ma mère était haletante, mon père lui semblait pensif tandis que moi.. Moi je n'avais qu'une seule envie trouver une solution de sauver tout le monde !

- Sig ! Tu es fou ! Que faisais-tu là bas ?

Ma mère, plus inquiète que jamais me saisissait la tête avant de me serrer contre elle. Je la repoussais et me dégageais de son étreinte.

- Maman ! Il faut les aider ! On ne peut pas les laisser se faire emmener comme ça.

Mais avant même que ma mère ne réponde ce fut mon père qui prit la parole.

- On ne peut pas, aucun d'entre nous n'a la force de les affronter. On ne peut que fuir.

La véracité de ses propos m'énervaient et m'attristaient, je n'avais aucune chance contre cet homme au chapeau mais je ne voulais fuir. Mais avant que je ne puisse répondre quoi que ce soit, un bruit sourd retentit dans la pièce à côté. Quelqu'un venait de pénétrer dans notre maison et les pas étaient bien trop lourd pour un Tontatta. La panique put se lire sur nos visages.

- Nikka ! Il faut lui dire ! On ne peut pas laisser ça derrière nous !

Je ne comprenais pas de quoi mon père parlait, ma mère sembla hésiter mais lorsque les bruits se firent plus intense, il n'y eu aucune hésitation supplémentaire. Nous nous trouvions dans la partie scientifique de notre maison, une zone normalement fermé à clef et qui m'était interdite d'accès. Ma mère me tendit alors quelques notes que je saisissais sans comprendre la raison.

- On a essayé de reproduire les fruits du démon en utilisant celui que l'on a comme cobaye. Cela fait deux ans que l'on travail là dessus jour et nuit. Et récemment les tests semblent s'approcher de quelques choses de concluant.

C'était étrange cette manière qu'avait ma mère de reprendre un ton sérieux et calme lorsqu'elle parlait de chose scientifique et ce même lorsque la situation était catastrophique. Pour illustrer ses propos elle m'indiquait du doigt le fruit du démon et juste à côté de lui se trouvait un fruit, une pomme qui était marqué de trace ronde sur la partie supérieur seulement.
Spoiler:

- Tu as sur ses notes toutes nos recherche, on te sait capable d'arriver là où nous avons échoués.

Toute ces révélations me prirent un peu de cours, mon père m'arrachait les notes des mains pour les chargés dans un sac qu'il me donnait avant de me saisir par les épaules alors qu'on entendait s'approcher les pas de plus en plus.

- Fuis par la porte de derrière et vis pour nous, mon fils. Prends ça, cela te servira d'embarcation, fuit par la mer, ces hommes sont la preuve qu'il existe d'autre terre.

Il me donnait une graine, je la connaissais déjà elle avait cette capacité de gonfler dans l'eau prenant une forme allongé et creuse, sa flottabilité n'était pas à prouver, en revanche, elle était très petite même une fois gonflé pouvant accueillir au maximum deux voirs trois Tontatta.

- Non ! On vit ensemble ! Vous venez avec moi !

J'avais bien compris le double sens de ses paroles, un adieu si difficile pour un adolescent mais nous n'avions pas le temps de discuter de toute façon mon père ignorait mes paroles et sortit de la pièce suivit de près par ma mère. Je restais en arrière, refusant de fuir par la porte de derrière, rapidement nous nous retrouvâmes face à face avec l'homme qui avait pénétré jusqu'ici. Un géant pour nous, mesurant au moins deux mètres ! Il avait un regard plus dur et sombre que les autres. Il tenait par dessus son épaule un filet dans lequel était enfermé deux Tontatta.

- FUYEZ ! FUYEZ !

Nous criaient-il. Mais nous fîmes l'inverse mon père fonça sur lui pour faire diversion suivit de ma mère et moi là où j'aurais du fuir je décidais de les suivre. Nous parvenions à lui asséner des coups mais ils semblaient à peine effleurer son physique musclé. Lui tentait simplement de nous attraper d'une main sans succès, mais à chaque échec et chaque coup qu'il prenait son visage semblait se charger de colère et soudain, mon père lui décrocha un violent coup de queue dans la nez. Le faisant reculer de quelques pas. Je pensais avoir une ouverture et m'élança alors pour lui infliger le coup de grâce mais je fus accueillis par un violent coup de tête qui m'envoya au sol. Dans son excès de rage il dégaina son arme à feu et me pointait alors que j'étais encore sonné par son précédent coup. Même si nous ne connaissions pas les armes à feu il était facile de deviner qu'il ne me voulait pas du bien et cela suffit à mon père pour s'interposer.

Boum, le bruit d'une détonation je l'entendais pour la première fois de ma vie. Ce son et l'horreur qu'il créa resteront à jamais graver dans ma mémoire. La balle avait littéralement désintégrer mon père avant d'éclater à quelques centimètres de moi contre le sol. J'étais recouvert de son sang et de partie de son corps, il n'y avait plus rien de reconnaissable, il ne restait simple un bouillon de chair et de sang. Certains aurait ressentis de la haine à ce moment, pour moi ce fut la peur. Le bourdonnement dans mes oreilles, le visage terrorisant de ce géant en face de moi et ma mère qui me relève et me pousse pour me faire partir. Je fuis lâchement sans me retourner, courant jusqu'à la plage sur laquelle je m'effondrais en larme. Honteux et terrorisé.

J'aurais pus rester longtemps en boule dans le sable à attendre un miracle, mais non, la peur me poussa à prendre la mer le plus tôt possible ou peut-être était-ce ma dernière once de lucidité ?

Une fois sur l'eau, je passais des bonnes heures à pleurer la perte de mes parents et mon impuissance, haïssant ma lâcheté et ruminant ces événements à imaginer ce que j'aurais pus faire pour que cela change mais la faim me ramena vite à la raison. N'ayant aucun moyen de pécher et pas de quoi manger, ne pouvant pas plonger à cause de cette malédiction. Je faiblissais rapidement alors pour passer le temps, je lisais et relisais les notes de mes parents jusqu'à les connaître par coeur.

Au bout de deux jours passer à voguer sans boire ni manger et dormant à peine, j'aperçus enfin une parcelle de terre ! La joie me permit de retrouver quelques forces pour rejoindre la terre ferme. En revanche impossible de savoir où j'avais atterris mais le paysage était étrange au loin j'apercevais d'immense construction, des maisons pour des personnes de grande taille. Repensant à ces hommes qui nous avaient attaqués, je n'avais aucune envie de prêter ma confiance à ces gens alors, avant de m'aventurer là-bas je prenais une décision drastique. Faire disparaître toute trace des recherches de mes parents, j'étais le seul à avoir le droit de savoir ! Les jetant à la mer après avoir vérifié que je les connaissaient bien par coeur, je partis en direction de cette ville.

Lorsque j'y arrivais, j'étais d'abord frappé par la grandeur de tout ce qui m'entourait, puis par le nombre de personne. Néanmoins toute ces tailles à mes yeux excessives étaient une aubaine me permettant de passer inaperçus, je volais eau et nourriture sans rencontrer de problème. Néanmoins malgré leur ressemblance physique avec les responsables de l'attaque de mon île, ils avaient aussi beaucoup de différence. L'accoutrement, ici les gens semblaient plus soigné de même pour le langage, ces gens semblaient plus calme et parlait d'une manière parfois presque incompréhensible. Et même si dans un premier temps ma méfiance envers eux me limitait à leurs subtiliser de quoi survivre. Ma curiosité me poussa petit à petit à les espionner.

J'apprenais énormément de chose, tout d'abord le fonctionnement du monde hors de notre petite île, l'argent, le gouvernement mondial, les pirates et les francs-marins. Mais aussi le luxe, la réputation et la gloire. Chez nous cela n'avait pas de sens, la réputation n'allait pas plus loin que notre île et n'offrait rien de particulier mais dans ce monde la réputation semblait être prioritaire. Et l'argent, ces gens que j'espionnais avait accès à tant de chose grâce à de simple morceaux de métal et de papier. Je me mis alors à voler cette chose, les berrys !


Rapidement je fus emporté dans le tourbillon du désir et de la gloire. Je rêvais que les gens me reconnaissent ! Et ma petite taille n'était pas la chose la plus approprié à cela. Je crois que le fait d'avoir été le sujet de curiosité de mon village pendant un certains temps avait réveillé en moi cette nécessité d'attention, mais désormais un monde tellement grand s'offrait à moi, j'étais pris de la folie des grandeurs !

La richesse que j'espérais pouvait aussi me permettre d'avoir accès à du matériel technologique, car je me rendais compte que le monde avait là dessus un temps d'avance considérable sur ma petite île. Elle me permettrait aussi d'avoir accès au savoir ! Pour l'instant je me le procurais à ma manière, notamment en m'introduisant dans les bibliothèques des plus riches habitants de la ville.

Néanmoins, même si j'étais attiré par l'argent et le luxe, une chose m'échappait toujours. Le comportement de ces gens. J'avais été témoin de quelques altercations et la justice était étrange chez eux. Il parlait souvent de statut social et peu importe les tords de certaine personne, elles semblaient toujours avoir raison. Je compris plus tard ce que cela signifiait et cela ne fit que renforcer mon envie d'être au sommet ! Pouvoir tout faire sans que personne ne s'oppose ! La vraie liberté !

Même face à toute ces nouveautés, je restais passionné par les végétaux et répétait chaque jour les notes de mes parents. Je les réécrivaient puis les détruisaient de manière à ne jamais oublier ne serait-ce que le moindre détails et ça sans laisser de preuve ! Un jour, je tombais sur un livre expliquant et répertoriant les fruits du démon, il y en avait énormément ! J'apprenais l'existence de trois type, Logia, Paramecia et Zoan. Celui que j'avais ingéré était visiblement de type paramecia. En lisant ce livre j'appris qu'eux non plus n'avait aucune explication sur l'existence de ces fruits. Car oui, j'avais cessé de croire à ce démon de mers, persuadé désormais que cela n'était qu'une légende dû à la peur de mon ancien peuple de prendre la mer.

Mon ancien peuple.. Je repensais parfois à eux, et j'étais pris de remord. Des cauchemar me hantèrent ou je revoyais mon père se faire tuer sous mes yeux. Puis lentement, cela passa jusqu'à n'être après quelques mois qu'un souvenirs de mon passé. J'avais pensé à me venger et m'étais rappelé des paroles de mes parents.. "Vis". Alors je vivrais. Comme bon me semble !

C'est sûrement à cause de cette mentalité que je finis par me faire capturer. Un jour alors que je m'étais introduis chez des gens pour y dérober à manger et quelques livres dans leurs immenses bibliothèque. Je fus repéré, capturé puis envoyé dans un cachot dans lequel je passa une semaine, enfermé et très peu nourris. Etonnamment cela ne me mit même pas en colère, je n'avais que de la haine pour eux et peut être de la jalousie aussi mais à cette époque il m'était impossible d'haïr plus que je ne les détestaient déjà.

Après ma semaine de captivité je fus chargé sur un bateau et envoyé je ne sais où dans une plantation géante où l'on me forçait à travailler plus de douze heure par jour à faire pousser des plantes. La vie semblait clémente avec moi pour cette fois. Je m'étais fais esclavager, mais dans un milieu que j'aimais bien et cela me permit de faire des rencontres, des humains gentils.

Ils apaisèrent ma haine vers leurs race et m'apprirent le véritable sens des classes et rang social. J'apprenais ainsi que même si l'esclavage était abolit, les nobles se permettaient encore cette pratique, le gouvernement mondial fermant les yeux contre de l'argent. Tout ce savoir ne fit d'augmenter mon désir de richesse. Néanmoins, l'un d'entre eux me fit comprendre que l'on ne devient jamais noble autrement que par le sang, d'autant plus pour moi qui n'était pas humain. Cette nouvelle ne me surpris pas et j'avais de toute façon une autre idée pour gagner en popularité : la piraterie ! Les pirates avaient des primes et leurs portrait faisaient le tour du monde et selon la hauteur de leurs primes ils étaient plus ou moins connus. J'appris aussi par le biais d'un d'entre eux que mes frères avaient probablement été vendus. Certains auraient été offusqués mais je crois que je comprenais ces gens. Je rêvais de pouvoir faire comme eux après tout, alors je m'opposerais à eux pour prendre leur place ! Je trouverais un moyen de devenir connus, quitte à devenir un criminel.

Comme tous ici, je ne nourrissais qu'un seul désire : m'échapper. Casser cette chaîne à mon pieds ne serait pas un problème mais, comment partir de cette île ? Au bout de quelques semaines d'observation, je réalisa qu'un bateau de ravitaillement venait récupérer nos récoltes pour les emmener je ne sais où.

Il me fallut six mois pour être sûr de mon coup, trouver le courage de me lancer. C'était bientôt l'anniversaire de mes dix huit ans, hors de question de le fêter en étant esclave. Laissez moi raconter ma spectaculaire évasion !

Nous étions en milieu d'après-midi, le bateau ne devait plus tarder à accoster, je l'apercevais au loin, nous travaillions en extérieur et nous avions vus sur le port en contre-bas. D'un rapide coup d'oeil j'analysa la situation, tout les esclaves travaillaient et le contremaître se la coulait douce, profitant de notre obéissance machinal pour faire une petite sieste.. Parfait. La chaîne que j'avais était autour de ma cheville constituait le majeur obstacle à ma fuite. Elle était  encastrer dans un mur du bâtiment en pierre qui nous servaient de dortoir. Profitant du sommeil de l'homme qui nous avaient en charge, je quittais mon poste. D'un saut après avoir réduit ma masse, j'atteignais le sommet d'un arbre que nous faisions pousser ici, un oranger. Je fis quelques tour autour de la branche, enroulant ma chaîne autour. J'en avais pris une particulièrement épaisse et l'avait enroulé à la base de celle-ci pour avoir une résistance optimal. Puis je me laissais chuter, augmentant mon poids jusqu'à plusieurs tonnes. La chute démultipliant mon poids, la chaîne se tendit et un maillon céda sous le poids imposé. Je parvenais à réduire ma masse juste avant de toucher le sol, évitant ainsi un bruit qui m'aurait peut-être valut d'être repéré.

J'étais libéré, je me débarrasserais du bracelet autour de ma cheville plus tard. Pour atteindre le port, j'avais deux choix, descendre par le chemin conventionnel et risquer de me faire repérer malgré ma petite taille, ou sauter depuis notre point en surélévation en usant de mes capacités pour ne pas me retrouver écraser sur la plage plus bas. Le reste de chaîne augmentait encore légèrement mon poids mais j'avais déjà fais mon choix ! Arrachant une grande feuille d'un des arbres de la plantation, je courus jusqu'au précipice et sautais sans hésiter. Ne pesant presque rien, je flottais dans les airs en utilisant la feuille comme un parachute pour planer et contrôler ma chute. Je parvins avec succès à atterrir sur le pont du bateau qui avait accosté le temps que je me débarrassais de ma chaîne. Personne ne m'avais vu atterrir, je partis me cacher dans la première pièce que je trouvais qui se révéla être la salle du capitaine. Me camouflant dans le bordel de ses affaires je passais tout le voyage ici. Ma position me permit d'identifier le dit capitaine, un homme pour qui jeunesse rimait avec passé mais qui ne connaissait pas encore la sensation de ne plus avoir de dent. La quarantaine en somme, un visage fermé mais qui n'exprimait rien. Ni méchanceté, ni gentillesse. Sa neutralité était presque flippante.

Lorsque nous accostions, j'attendis quelques minutes que la machine se lance, tout l'équipage déchargeait la cargaison et je profitais de leurs travail pour m'éclipser et retrouver ma liberté.

J'avais atterris sur une île ne ressemblant pas du tout à celle que je connaissais. Les gens ici étaient plus simple, la majorité n'était pas noble contrairement à la première île humaine que j'avais visité. Dès que j'arriva, je partis trouver de quoi me défaire de ce bracelet de métal autour de ma cheville.

Cela remonte à deux semaines seulement. J'ai eu mes dix huit-ans il y a peu. L'île sur laquelle je suis se nomme Loguetown sur East blue. J'avais connaissance des mers de ce monde grâce aux informations que j'avais récupérer lors de mon premier naufrage, mais mon inexpérience du monde se ressentait. En deux semaines, j'avais eu le temps de m'installer dans un bâtiment abandonné, là-bas j'avais entrepris une plantation de plante diverses et j'avais même réussis à voler un appareil étrange enfin appareil était un bien grand mot. C'était un escargot à qui l'on avait installé un étrange système électrique permettant de prendre photos. Je voyais là un nouveau moyen de devenir populaire, il fallait avoir la classe après tout, mais aussi j'y voyais un moyen de surveiller le développement de mes végétaux que je prenais régulièrement en photo. J'avais pris quelques clichés de ma personne et avait commencé à les placarder sur les murs de la ville au nom de Big Si ! Non pas des fausses primes, mais juste des clichés de moi. Il ne me reste plus qu'à attendre que cela fasse son effet.
 


Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Xx-BgDu13-xX
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Dernière édition par Sigma le Sam 30 Déc - 17:11, édité 3 fois
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Dai Kon Ran
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MessageSujet: Re: Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé]   Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé] EmptyJeu 28 Déc - 17:50

Up pour dire que j'ai terminé
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé]   Sigma, la plus petite des grandes stars ! [Terminé] EmptyMar 2 Jan - 7:43




Validation


Salut Sigma ! Alors ? Est-ce que cette fois c'est la bonne pour ce perso ? On va voir ça tout de suite !

Qualité : 350/500


la queue touffu -> touffue

tout les gens -> tous

Avoir des amis est devenu quelques choses -> quelque chose

la raison de son comportement et la confiance lui -> confiance en lui

ils règnent entre eux une confiance mutuelle
-> il règne

malgré qu'il ne soit
-> bien qu'il ne soit (malgré que n'existe pas)

nous retinrent nos souffles -> nous retînmes

J'augmenta -> j'augmentai

Bon, si tu as un style et une plume efficaces, tu fais malheureusement de trop nombreuses fautes. Notamment des fautes d'accord et certaines erreurs qu'une relecture aurait pu effacer. Fais attention à toi, surtout que je t'en avais déjà fait la remarque avec ton premier perso.

Cohérence : 350/500


Au bout de deux jours passer à voguer sans boire ni manger -> Tu as mangé un fruit, tu es un tontatta qui n'a jamais navigué, et tu t'en sors sans problème ? L'océan est capricieux, hein, tu ne peux logiquement pas survivre sans souci en mer.

Bon, en-dehors de ce point, je n'ai pas relevé de flagrant point d'incohérence. Si ce n'est par rapport à la localisation de ta "terre Tontatta", qui me fait me poser des questions. De base, les Tontatta sont des créatures du NM, ou de GL au minimum. Ca veut donc dire que pour arriver sur East Blue, tu as dû en faire du chemin. Or, ça veut soit dire que tu considères que les déplacements sont faciles sur One Piece, ce qui est faux. Soit que ton île de tontatta est sur les blues, ce qui est faux aussi.

Longueur : 250/250


Niveau longueur, rien à dire, on a de l'enfance, des rêves, du combat, des dialogues. C'est cool !

Originalité : 350/500


Niveau originalité, on a ici droit à un tontatta, et ça c'est franchement super fun ! Vous allez avoir un sacré équipage maintenant !
En revanche, je trouve dommage que tu n'aies pas approfondi le délire encore plus loin, rien qu'avec le fruit du démon, par exemple, qui aurait dû faire ta taille, ou en décrivant le monde autour de toi comme quelque chose de gigaaantesque, et pas te contenter de ne le faire que pour le navire.
Je t'ai également enlevé des points pour ce qui est arrivé à tes parents, situation que je trouve assez dommage et presque inutile, au final. La mort de ton père totalement gore n'a pas vraiment provoqué de traumatisme en toi, puisque ton but c'est juste de te faire connaître par le monde. A mon sens, tu aurais totalement pu enlever tout le début de ton histoire que le propos aurait été le même. Parce que là, j'ai un peu l'impression qu'on a droit à un passage de mise à mort pour avoir un quota de mort. Ca n'a pas profondément bouleversé Sigma, donc j'en vois pas trop l'intérêt.

Subjectivité : 200/250


Alors ! J'ai vraiment beaucoup aimé ta prez, bien meilleure qu'avec Mojam ! Je t'ai toutefois enlevé 50 petits points pour l'absence totale de couleur de ta prez. Eh oui, chipotage, mais on est dans la partie subjectivité, hé.

Dans tous les cas, je te souhaite bonne chance dans le monde rp !

Note finale : 1500 Dorikis

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