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 Noir, comme mon café - Sabbat.

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Kobby Caïn


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Kobby Caïn

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MessageSujet: Noir, comme mon café - Sabbat.    Noir, comme mon café - Sabbat.  EmptyMer 8 Nov - 2:23



Sabbat "Patte de Velours"


Thème ♫



Prénom et Nom: Sabbat, ou Velours.
Âge :  29 ans (4 ans et demi).
Sexe : Machculin.
Avatar : Black Sad - John Blacksad
Groupe : Marine.
Métier : Vigie officiellement / Barman officieusement.
Espèce : Mink - Panthère noire.
But :  Faire changer les préjugés sur son espèce, flâner dans le monde entier, protéger et servir (en toute tranquillité et dans le feutré, bien sûr ~).

---------------

Fruit du Démon : N/a.
Autres capacités : Résurrection. 生命帰還 Elle se base sur le contrôle et la manipulation des différentes fonctions et parties du corps et capacités naturelles Mink.



Questionnaire

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !

1. Apparence physique


Image d'Archive:

Taille : 1m90
Poids : entre 85 et 150 kilos en règle générale. (voir capa).
Pelage : Noir et blanc sur le museau et intérieur des oreilles (cas rare de dépigmentation).
Yeux : Iris de couleur olives. (voir anatomie féline ndlr).

Sabbat, on ne peut pas le louper. C'est un gros matou d'un mètre quatre vingt dix, un pelage noir comme la nuit, sauf cette tâche qui encadre son museau et fait ressortir ses crocs. Un feulement grave en sort quand il est en colère, ou doit alerter son équipage. C'est la vigie, parce que personne n'a l’œil comme lui pour repérer les anomalies dans la nuit. Ses yeux de félins, précieux cadeaux de la génétique, ont la couleur des olives, fendue par une grosse pupille noire d'encre chacune. Grand, il en reste néanmoins athlétique, fait pour la grande vitesse sur de petites distances, et des efforts explosifs. Il a pas son pareil pour grimper au mat, avec ses pattes agiles et griffues. Tout comme ses postérieures, ses antérieures, bien que pourvues de doigts, sont capables de blesser à volonté. Si vous vous posiez la question, oui, Sabbat possède bien des sourcils. Son visage est par ailleurs extrêmement expressif, et il faut vraiment être aveugle ou complètement débile pour ne pas comprendre ce qu'il pense. Bien sûr, notre matou sait cacher ses "mauvaises" intentions comme tout le monde, mais s'il n'y prend pas garde, son visage le trahira. S'il possède des cicatrices, personne n'en a jamais vu en tout les cas. Il porte toujours une arme pouvait tirer jusqu'à six balles d'un petit calibre, avant de devoir recharger. Munitions en granit marin si la situation l'exige. Il aime beaucoup les holsters.


2. Tenue vestimentaire habituelle


Sabbat est un grand amateur de classe et de seyance (c'est un mot inventé oui, je sais ndlr), et sa tenue sera tout naturellement classieuse. Un condensé de bon goût et de flegme jusque dans les boutons de manchettes, en onyx noir. Il met un point d'honneur à toujours être bien habillé, car il sait les préjugés qui courent sur ceux de son espèces, et dans le cœur des autres espèces en règle générale : Il atténue son côté bête sauvage avec un complet costume, cravate et parfois trench coat par temps de pluie. Pas qu'il n'aime pas l'eau, mais pas quand elle est froide ~gara ! Il aime changer les matières et les couleurs, que ce soit de la cravate aux chaussures, tout en restant dans des tons rassurants. Il doit montrer le meilleur de lui même chaque jour.
Et puis depuis qu'il a découvert l'existence du coton, et du lin, ou de la soie ! Sa vie avait changé du tout au tout, il ne se lassait plus de son reflet dans le miroir, quand il réajustait son double windsor, passait son holster par dessus son épaule, et mettait en place le col de son trench.
Sans oublier le traditionnel étui de cigarettes en métal, ainsi que son mouchoir en tissus en cas d'urgence. Et le briquet, le briquet c'est très important. Il est gravé à l'effigie de la marine, ça lui rappelle de temps en temps qu'il doit faire son boulot. Et là, vous pouvez contempler Sabbat dans toute sa splendeur.

3. Motivations


Pour savoir ce qui le motive, sur tous les plans, il faut bien comprendre qu'un Mink restera toujours soumis à son instinct, peut importe les efforts pour travailler dessus. Ainsi, parmi toutes les motivations qui agite cette sombre carcasse, des désirs triviales sont aussi à la base de ses actes. Il adore l'herbe à chat, les soieries et autres tissus qu'il appelle "Noble", ou encore les pelotes de laine. Il ne peut passer quelques jours sans monter sur quelque chose, et quand il fait nuit un besoin irrépressible de s'agiter le secoue des pieds à la tête. Il sait tout cela, et son salaire de la marine lui permet d'assumer ses besoins colossaux en notes de tailleurs, et autres accessoires. Il aime les bonnes choses, Sabbat. Un bon vieux bourbon dans un verre adéquat,  les goûts de vanille, de carmel et de maïs se mélangeant, sans oublier cette petite note de chêne fumé et cette mains experte qui a brassé le mélange ... Ce bouquet là, le met au ange ! Ses sens plus développés qu'un humain classique, il veut tout voir, sentir et goûter. Combler son désir de découverte, tout en faisant le minimum ! Un hédoniste qui utilise la marine afin de se faire importer des produits rares quand il le peut, que ce soit des tenues, une nouvelle cravate de West Blue par exemple, ou encore des plats exotiques. C'est la raison la plus triviale qui le pousse à supporter les épreuves, et à subir le racisme de ses contemporains, sans retourner derechef sur son île.

Puis il y'a les objectifs à long terme, ou bien encore ceux qui lui tiennent à cœur, et qui naissent de ses réflexions. Ils se rappelle toujours devoir un retour à l'envoyeur sur Jaya, ou encore devoir prendre des nouvelles d'une certaine personne qu'il protège, sur Drum. Malgré son air débonnaire, sa présence dans la marine n'est pas inconnue de sa motivation à faire changer le monde en profondeur. Il rêve d'un monde où toutes les races existeraient en paix, et même si ce n'est qu'une utopie, il y travaille avec ardeur tous les jours. Déjà, commencer par son peuple, s'engager dans la marine et faire entendre sa voix. Prouver qu'on peut être un Mink sans être raciste, hautain et vindicatif. Puis étendre cette logique à toutes les races qui existent et coexistent tant bien que mal dans notre vieux monde.

Son rêve ne consume pas sa jeunesse déjà dépassée depuis quelques années, bien au contraire,il guide son bras tous les jours dans la direction d'une justice posée, relaxe, détente, feutrée et clémente.

Un peu comme ce gros matou ronchon, pourvu d'un cœur aussi gros que les papattes.



4. Opinion sur le gouvernement mondial


S'il y travaille, c'est pour de bonnes raisons. Déjà, c'est la plus grande organisation mondiale, ses actions ont donc une portée bien plus grande à mesure de son évolution dans la hiérarchie. Ce sont ses patrons, et même s'il n'approuve pas toutes les méthodes (en plus de ne pas en connaître toute l'étendue), il apprécie la chance qu'on lui laisse. Il a déjà essayé de jouer en dehors des clous, en pure perte. Maintenant il fait selon les règles, et c'est le meilleur moyen de pouvoir régler ce qui ne lui convient pas en étant couvert par leur influence. Bien que ce ne soit ni un féru d'autorité, ni un limier dressé et sans cervelle, il respecte les ordres qu'on lui donne, étant la seule chose qu'on lui demande en échange de son salaire.
Il garde néanmoins une certaine objectivité, sans toutefois toujours la signifier à ses chefs, quand on est déjà peu intégré à cause de son code génétique, on évite de la ramener. Ainsi, s'il peut discrètement influencer les choses pour que tout se passe pour le mieux, il le fera, mais il est conscient d'être mal vu et de devoir le faire discrètement pour l'instant.

5. Opinion sur la piraterie


Franchement ? Il pense sincèrement que la piraterie manque de classe, et de bon goût. C'est finit le temps où les pillages, c'était sympa, rafraîchissant, nouveau. Place aux jeunes, à la paix globale et mondiale, à la justice et tout le tintouin... La machine du gouvernement, bien qu'elle protège certaines injustices qu'il faut corriger, fait son boulot le plus souvent. Sabbat, bien que pouvant s’énerver très facilement devant des pirates, leur laissera toujours une planche de salut, sachant que l'on peut saisir une seconde chance pour devenir un type bien. Que ce soit une histoire de volonté ou de malchance, le passé reste le passé, et bien que les exactions l'insupporte, le marine dépasse toujours ce sentiment pour tendre la patte. Il sait que la piraterie relève de la tradition, et de la géographie particulière du monde. Lui qui ne connaissait rien de la piraterie  dans sa jeunesse, isolé sur Zo, fût assez vite jeté dans le bains de la réalité. Il connaissait les histoires, mais la paranoïa et le clivage imposé par un groupe d'individus mal intentionné lui causa bien des problèmes. Il est temps maintenant de payer rubis sur ongle les dettes du passé, et de s'assurer d'assainir un peu les océans.

6. Opinion sur la franc-marinerie


Un peu dubitatif sur ce groupe, il en est encore à se demander à quel genre de criminels le gouvernement fait face cette fois. Bien que des ordres sont donnés pour les appréhender et parfois même les descendre, cela ne le concerne pas trop. Le gouvernement vous ment ? C'est pas le troufion chargé de te garder en vie qui va savoir le pourquoi du comment, ni l'organisation du bazar. Il est en bas de la hiérarchie pour l'instant, mais compte bien découvrir la vérité, à voir si elle doit être divulguée. Si jamais c'est un secret, c'est qu'il doit y avoir une raison qui échappe à ceux qui s'en offusquent. De part son ascendance, il en sait plus que quelqu'un de lambda sur les secrets du monde, et les efforts de certains pour garder l'histoire intacte. Toujours est-il que la violence engendrera seulement une escalade de force, qui va encore blesser le peuple. Autant arrêter ses gens avant qu'ils ne causent plus de dégâts, et démêler l'affaire plus tard en coulisse. Certaines vérités ne sont tout simplement pas bonne à savoir.



Histoire


Noir, comme mon café - Sabbat.  Mini_421340illu2


▬ Graouh ! Ce serait pas Shabbatte-kun qui arrive là bas ~gara »

Sabbat. Sabbat j'arrête pas de vous le dire c'est pas possible !
»


A l'image de nombreux Minks, je suis né sur l'île de Zô. Un énorme pachyderme plus grand que vous ne pourriez l'imaginez, on dirait presque que sa trompe pourrait côtoyer les nuages quand il la déploie pour noyer l'île sous des trombes d'eau. Ce rituel existe depuis des milliers d'années, et continuera encore quand je serais mort et enterré. Condamné à marcher, maudit par le destin d'une vie immortelle, il nous porte tous sur son dos, nous vivons grâce à lui, nous prospérons au rythme de sa marche lente et inexorable.
Deux parents, des léopards assez respectés dans la communauté des animaux nocturnes. Je me souviens que l'île était comme découpé en deux, la ville étant occupée par ceux du clan diurnes, et la forêt par ceux qui préféraient vivre la nuit. Rares étaient ceux qui pouvaient faire la navette entre jour et nuit, ses fameux oiseaux de nuit étant une caste bien à part chez nous. Il faut bien comprendre que nous sommes autant des animaux que des humains, et que certains instincts chez nous sont bien plus puissants que nos objectifs. Ainsi, j'étais solitaire comme toute ma famille, ma mère exceptée. Mon grand frère suit d'ailleurs la même voie qu'elle, et sera sans doute un jour l'un des membres des Minks qui réunit notre race. Ouai, je suis le petit dernier de la famille, une panthère noire, comme mon grand père avant moi. Sauf que j'ai une décoloration étrange du pelage, ce qui n'a fait que de me rendre plus tactiturne dans mon enfance. Déjà qu'être noir n'est pas commun, les soucis de pigmentation m'attiraient de lourds regards appuyés déjà à l'époque.

J'ai peu suivi l'école, je préférais traîner dans la foret et courir d'arbre en arbre avec d'autres gros matous bien décidés à ne pas rester toute leurs vie prisonniers de ce vieil éléphant. Faut pas dire, on l'aimait bien notre île, mais comme tous les gamins à qui on commence à apprendre le monde, on rêvait tous de mieux. Chez certains, cette attirance était plus forte que chez d'autre. Moi y comprit.  Dans ma famille, le taux de départ est drastiquement élevé, et il est rare de croiser un Mink de la race des panthères n'ayant pas voyagé deux fois avant de revenir passer une retraite bien méritée à la maison. Zô est un havre de paix fonctionnant au rythme du temps qui passe, et des pas d'un énorme éléphant. Tout y semble passer plus lentement, plus tranquillement. Même marcher y est agréable pour les minks, le sol confortable étant particulièrement doux pour des coussinets, notamment.  La nature nous apporte tout ceux dont nous avons besoin, le système d'irrigation mit au point permet de toujours avoir des réserves d'eau fraîche. On pouvait même se baigner l'été dans les énormes flaques, que certains reliefs créaient à ce moment là. C'était un jeux pour les plus courageux, auquel je me prêtais guère souvent, n'ayant aucune attirance pour l'eau froide.

Donc une enfance heureuse, même si j'avais le sentiment d'étouffer. J'étais plutôt bon chasseur, et on me confiait souvent la tâche de trouver le dîner. Au fil des ans, j'éprouvais mes sens contre toute la faune comestible de l'île. A l'age de treize ans, je pouvais déjà tuer certaines proies d'un seul coup de gueule à la nuque, généralement de nuit et de dos. Se nourrir ne nécessite aucun honneur, aucun challenge, et aucune pitié. Je suis un prédateur, la faiblesse m'ennuie au mieux, et me tente dans la plupart des cas. Je dois en profiter, rien que pour le défi.
J'avais déjà comprit ça à l'époque, et on louait mes compétences de pisteur, ce qui m'amena rapidement à apprendre le combat avec les autres. Je n'aimais pas ça, frapper sur de pauvres minks moins fort que moi, pour la plupart. Cependant, je me consolais en me disant que cela les rendraient plus fort pour plus tard, pour le jour ou ils en auraient le plus besoin. Rapidement repéré, on m'a même parlé d'une unité protégeant le Duc de la nuit sur Zô. Sans dire oui ou non, j'acceptais déjà d'être pris en charge par un guerrier de son entourage, Ganesha, un lion à l'aspect redoutable, et à la réputation redoutée. C'est lui qui me permit de développer mes compétences naturelles, mais aussi à maîtriser entièrement mon corps. Il me fallait près d'un an d'entrainements assidus, mais un jour, à force d'exercices rigoureux, de rythmes frénétiques et éreintants, j'arrivais enfin à contrôler mon corps par ma volonté.

- Fait attention Shabbatte-Kun, cette technique à un gros point faible que je vais te montrer dès maintenant ... ~graou
- Mais maître c'est impossible ... Vous, vous êtes invincible vous !
- Faux, il y'a toujours plus fort que nous, mon petit Sha-kun. Et c'est grâce à nos arts de combat que j'ai pu combler mes lacunes, il te reste encore beaucoup à apprendre ~graou.

Il souriait de ma naïveté et il avait raison. J'étais loin d'avoir fini ma formation qu'arrivait un événement qui me poussa à partir et quitter son enseignement. Et elle allait me manquer. J'avais un avenir tout tracé, même si tout le monde se doutait que je ne tiendrais pas longtemps à végéter dans la forêt de Zô. Je connaissais déjà tous ses arbres, le moindre de ses buissons, chaque centimètres carrés d'herbe gravés dans mon esprit, chaque coin à gibier bien implanté dans ma mémoire. Je savais ou l'on pouvait trouver les pepomkat, ses fruits rouges et à la pulpe si sucrée. Ou encore dans quel coin poussait la meilleure herbe à chat qui existe.

A l'époque, ses connaissances, mon charisme, mes manières bien léchées, faisait de moi un vrai bourreau des cœurs. Il y'avait eu beaucoup de femme dans ma vie alors que je n'avais que seize ans à l'époque. L’éducation que l'on recevait depuis tout jeune gommant les barrières naturelles de nos instincts bestiaux. Il y'avait donc eu beaucoup de femelles, mais aucunes comme Jazabel. Une petite oursonne rudement mignonne, avec des cheveux roux laissant juste dépasser ses deux petites oreilles. Enfin, passons les détails. Elle, elle m'aimait malgré tout, mon comportement asocial, ma grinche habituelle, mes moues mécontentes, mes remarques cinglantes. Tout. J'étais un autre mink à cette époque, pas bien dans mes basquettes je représentais pas du tout ma race, si enjouée d'habitude.

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Le père de ma belle m'appréciait de moins en moins, on était chien-chat, et lui hésitait pas à me lancer des œillades à chaque fois qu'il me croisait. Persuadé que j'allais gâcher la vie de sa fille avec mon comportement, et l'ayant promise à l'un de ses oncles du côté de sa mère, il espérait que notre amour terminerait aussi vite que j'en avais l'habitude avec toutes les autres. Malheureusement, c'était lafille dont je ne pouvais me passer, alors il vint me voir un soir, me proposant de financer mon voyage pour partir loin et laisser sa fille tranquille.
J'étais hors de moi ! On en est venu aux mains et finalement, dans un grand fracas, je l'ai blessé sérieusement. Je ne pouvais plus me regarder en face, ni appeler Jazabel pour simplement lui adresser la parole. Alors le soir même je lui empruntais son bateau, et débarquait à la première île proche de notre localisation. Heureusement, c'était le pays de Wa, et personne ne sembla trop me remarquer ni à mon arrivée au port sur une petite barque ayant perdu sa voile, ni pendant mes déambulations dans la ville.
Assez rapidement, je me suis rendu compte qu'il fallait payer pour manger, et que les forêts du coin étaient bien moins tendres que celles de mon pays natal. J'ai tenté de resquiller l'auberge ou j'étais descendu, et de voler de la nourriture au marché. Conséquence de quoi, je me suis retrouvé avec un régiment de troufions au cul, prêt à m'écharper si jamais ils mettaient la main sur moi.  J'ai quitté l'île le soir même en m'embarquant clandestinement sur un bateau de commerçant en soie.
Une découvert incroyable ! J'étais dans un véritable cocon de douceur, planqué dans la marchandise comme un poupon dans son couffin. Je me suis juré ce jour là de ne jamais plus porter autre choses que ce genre de matières nobles. Ma deuxième découverte fut moins plaisante puisque je suis tombé sur les gardes un jour ou je voulais aller voler quelques provisions. Ils me dévisagèrent longuement, étonnés de voir un homme panthère de cette corpulence sur leurs routes à ce moment du voyage. Ils réagirent néanmoins très vite, et avec toute l'efficacité fulgurante de mercenaires du Pays de Wa, qui tiennent autant à leur réputation qu'à leurs vies. Un sabre contre ma gorge, un autre sur mon torse, on m'emmena voir le capitaine, un vieil acariâtre originaire d'East Blue qui faisait régulièrement affaire autours du monde, et surtout du Nouveau. Il n'était pas du genre à déconner avec les malins dans mon genre. Et son racisme envers les créatures comme moi, me fit débarquer de nuit dans une mer glacée, non loin d'une île inconnue.

Non loin est un doux euphémisme, l'ami, j'ai dû nager près de dix heures d'affilées avant d'arriver à une crique escarpée. J'ai faillis m'échouer sur les ravines, les cailloux heurtant ma fourrure détrempée, la houle l'agitant de droite et de gauche. Mes habits déchirés, avec pour seul bagage un morceau de soie que j'avais pu arraché à la cargaison du vieux qui me revaudrait ça un jour, je me suis dirigé vers la ville. L'île de Jaya était tout sauf accueillante... alors oui, ses forêts étaient magnifiques et me donnaient envie d'y mordre à pleine dent. Cependant, Mock Town était une vraie décharge, dans tous les sens du terme. Moi qui ne connaissait que de très loin le terme de "Pirate" à cette époque, moi qui ne connaissait qu'une communauté soudée, et solidaire, juste. Je me retrouvais avec les pires qui soient, et on m'abusa si tôt un pied en ville. Il semblerait qu'un Mink comme moi vaille son pesant d'argent sur le marché noir, encore aujourd'hui d'ailleurs. Et que certains pirates semblaient croire que c'était possible de vendre la peau du Mink avant de l'avoir tuer. Ils m'approchèrent d'abords amicalement, mais voyant que j'agissais sous le coup d'un instinct bien supérieur à leur manigance, il m'attaquèrent tout de go. Du quatre contre un, c'était très injuste ... Pour eux.

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Sur ce coup là, j'ai eu de la chance. Déjà, les mecs en questions n'étaient pas ce qu'on peut appeler des "pointures", deuxio, quelqu'un me prouva que l'on pouvait encore se fier aux êtres humains dans ce monde. Il s’appelait Peroro, un vieux propriétaire d'un bar dans le centre, un bar devant lequel les pirates m'avaient attaqué. Le combat avait été farouche, j'étais fatigué, choqué, blessé. Je gisais sur le sol de terre battue, la boue sur ma joue et mon sang quittant mon corps par de larges blessures. Il vint à mon secours, et c'est lui qui me soigna et me sauva la vie.
Quelques mois plus tard, j'étais pleinement remis, et il m'avait prit sous son aile. Il m'apprit tout ce qu'un Mink ne peut savoir et donc vous transmettre ; Les jeux, les traditions, comment tricher et mentir sans jamais se faire prendre, préparer une boisson dans les règles de l'art, comme il disait tout le temps ... J'étais son employé, mais aussi comme un fils pour lui. Je le protégeais des brutes qui voulaient racketter son commerce sous prétexte de simplement exister, et lui me protégeait des intempéries, et des ennuis bien souvent.
Je l'ai jamais appelé "papa" ce vieux, je n'ai jamais eu le temps.

Encore une de mes nombreuses fautes, a vouloir trop bien faire, on se plante le plus souvent. J'avais tapé sur le mauvais type, le croyant bas de plafond comme tous les autres. Malheureusement le type avait un patron, un puissant, vil et fourbe. Un soir, alors que je rentrais d'une de mes nombreuses aventures trépidantes dans un lit chaud, sous une couette confortable, je vis le bar de mon père spirituel en flamme. Le bâtiment craquait et gémissait sous la pression de son propre poid. Pas le temps de réfléchir, que je m'élance et danse avec les flammes et les cendres, cherchant le vieux Peroro, crachant à moitié son nom, en même temps que la fumée résultante d'une vie de travail.

Je le retrouvais, deux jours plus tard, sur la place publique. Pendu à l'envers, ses boyaux putrides et en décomposition pendaient sur son thorax. Une expression d'infinie douleur l'avait traversé au moment de la mort, ce qui avec la quiétude glacée de la grande faucheuse, donnait un mélange qui me marqua à vie. Cet homme, il était mort, pour de bon. Plus de place pour l'espoir, ni les rêves et les attentes de gosses qui me tenaillaient encore. Ce monde était brutal et sans pitié, soit. J'avais compris.

Je me fis une promesse ce jour ; De faire payer ses maudits pirates jusqu'au dernier.

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Quelques semaines plus tard, j'arrivais sur l'île de Drum. Il neigeait, les températures extrêmes vous agressaient à chaque pas, il fallait lutter pour avancer dans une sorte de manteau blanc que je ne connaissais pas à l'époque. On m'indiqua donc que c'était de la neige, pendant que je pensais que ce monde ne pouvait pas devenir plus fou que ce qu'il n'était déjà. Et pourtant, je m'apprêtait à en faire une, de folie. Devenir marine alors que l'on est un Mink, ça ne c'était jamais vu de mémoire d'homme, qu'il soit animal ou non dans le fond de son cœur. Je trouvais donc le premier comptoir de la marine venu, frappait à la porte, et devant l'air ahuris de l'agent de service, demandait à être officiellement intégré au service du gouvernement mondial. Il me répondit par un babillage incompréhensible, aussi m'enfonçais-je dans le bureau, et signifia ma présence au capitaine du petit boui-boui. Un petit bureau, des meubles de mauvaises qualités, et une chaise foutrement inconfortable m'attendaient, et formaient le quotidien des hommes en face de moi.
Passé la surprise, l'appel à son supérieur et l'autorisation orale de ce dernier, nous en venions aux choses sérieuses, et ma vengeance avançait d'un pas dans la bonne direction.

- Bien, déjà, votre nom et prénom s'il vous plait.
- Sabbat. Et sa se prononce S-a-b-b-a.
- Et votre prénom, Mr Sabbat ?
- Pardon ~gara ?!
- Votre prénom, Mr Sabbat, vous savez bien, celui que vos parents vous ont donné à la naissance !
- Eh bien ... Sabbat.
- Vous venez de dire que c'était votre nom de famille, vous vous payez ma tête ?
- Bien sûr que non, mais on m'appelle Sabbat. Rien que Sabbat. Je sais pas ce que c'est moi un ...
nom de famille, c'est sa ?
- C'est sa ... Il vous faut un prénom, et un nom de famille, sinon pas d'inscription. Donc ... Votre prénom pour notre identification s'il vous plait ... ?
- Sabbat.
- Et votre nom ?
- Mh ... Black. Black Sabbat.


Je vous passe les détails qui s'en suivirent, et les discutions, et les mises en garde, et la méfiance. Je vous passe l’interrogatoire quasi-militaire, et les questions embarrassantes auxquels je ne pouvais répondre sans trahir mon peuple. Toujours est-il que grâce aux enseignements de Peroro, je me fit intégrer dans les prestigieux rangs de la marine mondiale. Vive les mouettes, les uniformes blancs pas du tout à ma taille, et les ordres criés comme si vous étiez atteint d'une surdité aiguë ! Pour me surveiller sans doute, on décida de m'intégrer à une unité prestigieuse, et reconnue pour son leader fort et charismatique, en veine depuis des années avec le gouvernement. Plus tard, on la connaîtrait mieux sous le nom d'Aotsuki. A cette époque, elle était déjà haut placé, et je n'étais qu'un troufion. Je le resterais longuement, tandis qu'elle gravirait les échelons à une vitesse folle, pour terminer à la tête de la Marine. Il faut dire qu'elle le méritait déjà à l'époque, et que travailler pour elle ne me fit qu'aimer ce métier un peu plus. Il me donna une nouvelle impulsion, ou la vengeance passait au second plant, ou la mort n'était plus au bout du chemin, ou je pouvais à nouveau rêver d'un avenir, sans chaînes ni prisons pour me retenir.
C'est grâce à elle et ses hommes, si je suis devenu un vrais marine, un des leurs. L'intégration fut longue et douloureuse, mais la confiance qu'ils me témoignèrent après coup, valait tous les efforts fournis. Je parlais comme eux, mangeais comme eux, riais comme eux. J'avais même appris à tirer -mais pas comme eux, et mon revolver reste un héritage de cette époque, qui marque le début d'une renaissance. La fin des emmerdes j'espérais alors, le début d'une ascensions rêvais-je ensuite, et des cendres de la haine, pourrait naître ma légende. Celle d'un Mink qui avait battu tous les préjugés pour en arriver là.

Malheureusement, un incident sur Drum, une insubordination de ma part, et quelques baffes distribuées dans le mauvais camp, coupèrent court à ses dessins. Jeté au cachot dans une cellule aveugle, j'y resterais quelques mois ... Et je ressortais encore une fois, simple troufion à la solde des officiers. De la bleusaille, un blanc bec que l'on pouvait malmener. Et cette fois, je n'étais plus avec une unité prestigieuse, à courir après des criminels plus prestigieux encore. Mon efficacité avait fait oublié ma race, et l'on m'avait fait confiance.

Cette fois-ci, je recommençais tout, depuis une complexe situé sur l'île de Navaronne.

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Tout aurait pu être bien pire, j'y ai rencontré des gens sympas, comme des abrutis de première. La marine ne fait pas exception à cette règle universel de la connerie humaine. Quelques mois d'entrainement intensif, à suer sang et eau sous les ordres des instructeurs, me rappelèrent bien que je devais la fermer, obéir, et que l'on verrait plus tard pour mes réclamations, quand j'aurais fais mes preuves. Ils avaient raison, j'avais déraillé, et je ne suivais plus les bonnes rails ... Je risquais la sortie de route. Je devais prendre mon mal en patience, et attendre. Faire preuve de patience pour appliquer ensuite les codes et lois qui me correspondaient, toujours pour une justice feutrée et décontractée. Mon passage éclair au centre effectué, j'étais alors muté dans une caserne au Grey Terminal, sur l'île de Dawn. Un vrai enfer sur terre que je découvrais, une nouvelle infamie, qui cette fois était connue de tous et même couverte de quelques uns.
L'unité n'avait rien avoir avec celle de Corleone, l'honneur était bien souvent absent des débats, les résultats primaient sur les méthodes, et l'on avait de temps pour personne, bien que l'on essayait d'aider tout le monde. A trop se disperser on se perd, tu me diras. La dure réalité me frappa d'estoc, me laissant le souffle coupé devant la misère humaine. Il fallait que cela change, il fallait que le système évolue. C'était certains. Fallait-il pour autant débuter une guerre pour cela ? C'était la question que j'avais envie de poser à ses nouveaux criminels, les francs-marins. Comme si reprendre en partie notre nom leur donnait une légitimité supérieure. Comme si intégrer la marine dans ce titre, donnait le crédit à leur exactions. Comme si, sous prétexte de nous combattre, ils étaient meilleurs que nous. Ne prenez pas la grosse tête, vous ne restez que des criminels perturbant la vie de bonnes gens qui n'ont rien demandé.

Et nous somme le premier rempart entre eux, et votre violence inutile.

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Un jour d'été, le soleil frappant dur sur les vitres de mon appartement à la caserne, je recevais un courrier scellé par un sceau officiel, le tout dans une enveloppe kraft. Mes efforts étaient une nouvelle fois reconnus, et une seconde chance m'était donnée de mieux faire. A l'intérieur se trouvaient les détails de ma nouvelle affectation...




Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Lancelow, Victim' =O
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! savez vous planter les choux ?



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Dernière édition par Sabbat le Jeu 9 Nov - 12:48, édité 4 fois
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Kobby Caïn

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MessageSujet: Re: Noir, comme mon café - Sabbat.    Noir, comme mon café - Sabbat.  EmptyJeu 9 Nov - 11:50

Bio terminée, enjoy et merci d'avance ~gara.
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Josh Leone
Capitaine des Fortune Hunters
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Noir, comme mon café - Sabbat.    Noir, comme mon café - Sabbat.  EmptyVen 10 Nov - 10:34




Validation


Salut Sabbat ! Content de voir que tu as pu rester parmi nous malgré ton premier concept, et que tu nous sors un perso prometteur !

Qualité : 400/500


les boutons de manchettes -> manchette

son espèces -> espèce

peut importe les efforts -> peu importe ou peu importent, les deux se disent. Mais pas PEUT importe

les motivations qui agite -> qui agitent

des désirs triviales -> triviaux

C'est finit -> fini

les exactions l'insupporte -> l'insupportent

la paranoïa et le clivage imposé
-> imposés, vu que paranoïa et clivage s'accordent

Bien que des ordres sont donnés -> bien que est toujours suivi du subjonctif. Donc, bien que des ordres soient donnés

vous ne pourriez l'imaginez -> l'imaginer, deux verbes qui se suivent. Donc le second est à l'infinitif.

Bon, alors ! Tu as un style très agréable et riche, avec un vocabulaire fourni ! Le gros problème, c'est qu'il y a pas mal de petites coquilles un peu partout qui viennent entacher la lecture. Autant dans les descriptions c'est pas vraiment très présent ni gênant, autant dans l'histoire... Y en a vraiment pas mal.
Il faut que tu fasses surtout attention à tes accords, tu mets des S quand c'est du singulier, et n'en mets pas quand c'est au pluriel.
Mais sinon, comme je te l'ai dit, c'est du perfectionnement. Tu as une très jolie plume, avec un bon rythme et un bel usage de la ponctuation.

Cohérence : 300/500


Alors ! Tu fais effectivement mention de la franc-marinerie - bien que ça ne soit que dans ton questionnaire - et as intégré Aotsuki à ta bio. Et ça, c'est franchement top ! La petite description
de Zô, elle aussi, fait le taf. Par contre, j'ai plusieurs vrais soucis de cohérence qui viennent entacher un peu le reste :

Il atténue son côté bête sauvage avec un complet costume, cravate et parfois trench coat par temps de pluie -> chipotage, mais tu le sais du coup, on en avait parlé. Ca c'est ta tenue civile. Ton uniforme est pas comme ça. Ca aurait été cool que tu parles, dès la description, de ton uniforme serré.

Alors le soir même je lui empruntais son bateau, et débarquait à la première île proche de notre localisation. Heureusement, c'était le pays de Wa, et personne ne sembla trop me remarquer ni à mon arrivée au port sur une petite barque ayant perdu sa voile, ni pendant mes déambulations dans la ville. -> Alors, non. Sur le Nouveau Monde, la navigation est chaotique. Pour tomber sur Wa, il faut un tri-log pose, et certainement pas une barque mais un vrai navire capable de résister aux courants et aux intempéries. Et, a fortiori si tu n'as jamais navigué, tu n'as AUCUNE chance de survivre sur cette mer là.

Non loin est un doux euphémisme, l'ami, j'ai dû nager près de dix heures d'affilées avant d'arriver à une crique escarpée. J'ai faillis m'échouer sur les ravines, les cailloux heurtant ma fourrure détrempée, la houle l'agitant de droite et de gauche. Mes habits déchirés, avec pour seul bagage un morceau de soie que j'avais pu arraché à la cargaison du vieux qui me revaudrait ça un jour, je me suis dirigé vers la ville. L'île de Jaya était tout sauf accueillante... -> je comprends pas, tu as pris un bateau vers Wa, donc au Nouveau Monde, et te fais balancer sur Jaya, au milieu de la première moitié de Grand Line ? Qui, quoi, où, comment ? Je comprends que ce soit compliqué d'expliquer comment on quitte le NM, mais dans ce cas il vaut mieux ne pas faire mention tout court du NM. Dire que t'as grandi loin de Zô, ou quoi.

et mon revolver -> sur OP, les armes à feu c'est des pistolets à silex. Effectivement, il y a des exceptions (j'en suis une), mais c'est une arme futuriste conçue spécialement par des ingénieurs. En tant que simple soldat, a priori, tu ne pourrais pas avoir droit à un privilège pareil. Sauf si tu en fais expressément la demande, bien sûr.

Longueur : 250/250


Niveau longueur, on a tout ce qu'il faut ! De l'enfance, de l'adolescence, des dialogues, de l'humour, des passages un peu tristes, de la virilitay !
Une histoire vraiment complète de bout en bout ! Avec son lot de petits rebondissements ! J'aurais quand même bien aimé avoir plus de détails sur l'incident de Drum, ça a été un poil trop rapide à mon goût, mais je comprends que tu aies eu envie d'en finir vite.

Originalité : 450/500


Déjà, mentions spéciales à quelques trucs que j'ai bien aimés. Ca, déjà : "tendre la patte" et ton nom, aussi : "Black. Black Sabbat."

Bien joué ! Alors, déjà, tu gagnes un point par ton espèce seule, parce que les Minks marines, effectivement, ça court pas les rues. (de là à dire que tu es le tout premier, je serais pas allé aussi loin, mais c'est pas bien grave au pire des cas).
En revanche, j'ai un petit problème avec un point de ton histoire, le fait que tu ne rejoignes la marine que parce que c'est un pirate qui a tué le vieux. Je trouve ça un poil simpliste, surtout concernant le personnage que Sabbat a l'air d'être et qui semble plus réfléchir que ça.
Il aurait très bien pu devenir chasseur de primes. Ou devenir marine par conviction, plutôt que par vengeance.

Subjectivité : 250/250


Bon, alors ! J'ai franchement beaucoup aimé ta présentation, qui est un vrai vent de fraicheur ! J'espère que ce concept n'est pas juste un lot de consolation par rapport à ton indienne viking, parce que, honnêtement, je le trouve très très bon, et bien plus original.

Note finale : 1600 Dorikis

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