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 Jouons caché, vive l'esclavage

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Ziara


☠ Messages : 3
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☠ Localisation RP : Présent-ation !
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Ziara

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MessageSujet: Jouons caché, vive l'esclavage   Jouons caché, vive l'esclavage EmptySam 2 Juin - 0:24



Elisa "La Matriarche" Wellington








Prénom et Nom: Elisa Wellington
Âge : 22 ans
Sexe : Femme
Avatar : Akeno Himejima - HighSchool DxD
Groupe : Pirate
Métier : Vigie
Espèce : Humain
But : Vivre libre et assouvir sa soif de pouvoir

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Fruit du Démon : Aucun
Autres capacités : Style de comat avec des chaînes aux diverses possibilités


Description physique

Je t'aurais bien dit d'aller te voir dans une glace avant de te vanter, mais ... j'ai bien peur que cela ne t'aide pas le moins du monde. Il n'y a aucun doute à avoir à ce sujet : tu es une belle plante, si je puis dire. Tu avais cependant, par pure envie de contradiction, décidée de te pomponner devant le miroir ... Regarde toi, une femme, très grande tout de même, disons que tu tourne autour des deux mètres trente, voir deux mètres quarante, donc à ce stade là, trois mètres, ça paraît pas si loin. Si ? Pourtant, ta taille ne te rends pas moche, loin de là, tes formes suivent avec, n'étant pas du tout large, tu es tout de même dans les bonnes grâces de Mère Nature qui semble avoir bénie ton berceau, chose dont tu semble pleinement fière. Tu as toujours su l'entretenir, ce n'es pas une nouveauté pour toi d'y faire attention, d'une nature légèrement coquette, jamais tu n'a eu de marques sur ton corps si délicat, ou du moins, tu ne le reconnaîtra pas, trop humiliée d'avoir reçu ces coups dans ton passé.

Te focalisant alors plus en détail, tu était surtout très chanceuse d'avoir ce joli minois encadré par quelques longues mèches de cheveux d'un somptueux noir de jais, tandis que le reste était attachés en queue de cheval à l'arrière par un noeud jaune. On ne choisit pas son corps à la naissance et la roue de la chance a bien tournée. Regarde toi bien, te dévisageant, tu ne prend pas longtemps à reconnaître ce visage, le revoir, le définir. Il est loin d'afficher une quelconque innocence ou le moindre signe de fragilité. Loin de là. D'un faciès froid, ce visage exprime surtout une sorte de mépris envers les gens, très peu de personnes ont eu l'occasion de te voir sourire hormis un petit sourire sadique, bien loin de la folie dont peuvent faire preuve certaines femmes. Tu parait très observatrice, tes jolies prunelles noisettes scrutant le moindres détails à l'affût des moindres opportunités possibles. Ta bouche, fermée la plupart du temps, n'exprimant que très rarement une quelconque désignation de joie ou d'un infime petit sourire. Ton nez, tes oreilles, que pense-tu dessus ? Pour toi, ce ne sont que des parties de ton corps purement utilitaire, ne servant à rien d'autres, en effet, l'esthétique compte, mais ... un nez, c'est un nez, non ?

Ta plus grande fierté, c'est ton corps, tout simplement, le corps que tu as forgée durant de si longues années, celui-là même qui approche désormais de la trentaine d'année, bien qu'il en soit pas encore très proche. Si tu étais un homme, il y'a bien longtemps que tu te serais mis dans ton lit. Ton aspect de mépris envers autrui offre pourtant une certaine attirance à ton égard. Tu inspire aux pêchés, on ne peut pas le nier. Contemple donc ce corps, peut-tu seulement oser dire le contraire ? Tu possède une poitrine si bien raffermie, assez opulente et qui ne semble pourtant pas faire office de serpillière, semblant également douce, si chauds, faisant sans doute bien des jalouses. Ton abdomen, finement musclés, laissant apercevoir de délicates marques de musculatures, sans pour autant achever ta féminité. Tes bras, joliment et légèrement affinés par les biceps. Tes jambes, les plus séduisantes parties de ton corps. Athlétiques, fermes, douce, loin d'être un simple duo d'allumettes usagées. Que veut-tu voir de plus ? Tu as le corps d'une nymphe.

Te tournant alors, doucement, tu te dirigeais vers ce qui semblait, être ton lit. Dessus s'y trouvé un débardeur noir, que tu enfilais, suivit d'une veste brune et de mitaines que tu mit également, attrapant donc un pantalon un jean qui s'y trouvait également, tu l'enfilais avant d'enchaîner avec des chaussettes et une paires de bottines, tel était ton style vestimentaire. Cependant, ta garde robe contenait aussi quelques tenues en cuir moulant, ou bien des vêtements plus ... cérémonieux tel que des kimonos, des robes et tant d'autres types. Tu peux bien l'admettre, tu es une femme si jolie, pourtant ... si fatale.


Description mentale

Fatale. C'est le mot exact pour te désigner. Sincèrement, as-tu déjà écoutée ce qui se dit à ton sujet ? Oh, je ne sous entends pas que tu es d'une grande renommée, mais, seulement, que l'avis de ceux qui te connaissent, ne donne pas spécialement l'envie d'approfondir ces connaissances à ton sujet. Je t'assure, quoiqu'il en soit, on n'y découvrirait rien de très chaleureux. Avoue le, tu n'es pas une femme destinée à être entourée et soutenue. Non, solitaire, c'est plutôt ton genre. Les gens qui t'entourent, ne sont à tes yeux, qu'un simple moyen de parvenir à tes fins. Je vais pas exagérer non plus, tu as bien quelques proches, mais il en faudrait peu pour te convaincre de les utiliser eux aussi, chose que tu fais déjà d'une certaine manière en soit. Du coup, il n'y a en aucun cas, besoin d'être un génie pour comprendre que tu as également une opinion très médiocre des gens. Les prenant bien souvent de haut, avec un certain dédain, un détachement certain et une insensibilité effrayante. Après tout, en soit, de ton point de vue, tout cela n'es qu'un pur avantage pour tes ambitions.

Parlons en d'ailleurs. Tu es une femme ambitieuse, c'est un fait, on ne peux pas le nier et c'est tout à ton honneur. Le soucis est ailleurs. Ce sont justement, tes ambitions. Tu sais, vouloir le pouvoir, la richesse et l'influence, c'est du déjà vu, par contre, ce que toi tu compte faire pour y parvenir, c'est de l'immoralité. A l'instant où tu as décidée de te lancer là-dedans, tu as perdue toute once d'humanité qu'il aurait pu rester au plus profond de toi. Oh, tu vois bien de quoi je parle, ce désir de tenter le marchandage d'esclaves. C'est un univers dangereux, tu le sais. C'est un univers mal vu, tu le vois. C'est un univers pourtant prolifique, tu en es sûre. Avouons le, beaucoup parle, beaucoup jugent, mais tout ces petits idiots ne sont pourtant pas les derniers à songer à en acheter. Tu l'a bien vu. Tous ne sont qu'hypocrite et, cela te fait doucement rire. Cela dit, tu n'a pas encore montée ton commerce, ça viendra pourtant très bientôt, sans aucun doute.

Tu comprend bien que, avec de telles ambitions, ta réputation va de pair, pourtant, tu n'en a que faire, sincèrement, pour toi, ce serait même le début de ton influence sur le globe. Tu sais bien que ce sera long et éprouvant, que tout ne sera pas rose, d'ailleurs, tu déteste le rose, c'est si ... froufrou et nyan-nyan. Néanmoins, comme je disais, tu sais bien tout cela et, d'une nature patiente, tu persistera pour imposer ta poigne de fer là où tu passera. Peu importe le moyen utiliser. N'ayant évidemment, aucunes sortes de scrupules pour détruire, semer le chaos et même tuer. C'est ainsi. Cependant, il faut bien reconnaître que quelque chose en toi est pourtant surprenant : tes talents de cuisinière. Lorsque tu te mets au fourneau, on pourrait presque penser que tu es une femme tout ce qui a de plus simple, douce, agréable. Tu pourrais même te mettre à chantonner.

En soit, c'est globalement la femme que tu es, malgré les petites choses amusantes de ton caractère, malgré ta démarche gracieuse et ton penchant pour la séduction, penchant que tu manie d'ailleurs à la perfection, parvenant à jouer là-dessus auprès des hommes. Bref, malgré tout cela, tu es en effet, une femme fatale. Une femme emplie de perfidie, de fourberie et une femme malhonnête, on ne peut pas dire que tu ne tient pas tes engagements, car c'est faux, mais ... la triche, le mensonge, la ruse, la manipulation et autres petits stratagèmes douteux, ce sont là des pratiques que tu juge utile dans le milieu et, évidemment, l'assassinat en fait partie. Alors oui, tu es une femme dangereuse, la mante religieuse que l'on ne veut pas croiser. Ce genre de femme qui fait froid dans le dos tout autant qu'elle attire et attise.


Histoire

Chapter One : The past is your burden

Tu es née, il y'a de cela, vingt-deux longues années, au sein même du Royaume de Saint Uréa et d'une famille pauvre. Cadette d'une fratrie de trois jeunes filles, tes parents ne t'avaient pas fait par envie d'agrandir la famille. Non. La raison était tout autre. Tu es née dans la frange de la ville. Cette zone où règne la pègre, la pauvreté, où vivre résulte d'un combat sans merci pour obtenir le peu de denrée disponible et surtout, accessible. Alors oui, tu es née dans avec un objectif bien précis : avoir un revenu supplémentaire. Tes deux soeurs, âgées de 6 et 7 ans, passaient leurs journées à vagabonder dans les rues, volant les plus rêveurs, arnaquant les plus naifs. Tout ceci, c'était leur moyen de survivre sans être battues par des parents violents et colériques. Cependant, pour toi, ton père avait un tout autre destin et ... il en avait décidé ainsi dès ta naissance. Ses mots avaient sonné comme une prédiction du destin "Celle-ci, il faudra veiller qu'elle ne manque pas du nécessaire. Elle nous rapportera gros ..."

Ta mère avait entièrement confiance en lui, puis, quoiqu'il en soit, elle n'éprouvait que du mépris envers ses enfants, envers tout enfants d'ailleurs. Elle était grossière, indécente, une chose est sûre, ses filles n'avaient pas héritées de la laideur de leur maternelle mais plutôt de leur géniteur, ce dernier plutôt bel homme, était tout aussi impitoyable que son épouse. La pauvreté l'avait rendu aigri, prévoyant et sans vergogne. Passant de nombreuses heures à boire, rackettant qui il pouvait, il était plutôt mal vu dans le quartier et cela ne jouait pas en sa faveur. On ne choisit pas ses parents, c'est ici que tu es née, tel sera ton fardeau. Ta mère avait compris les indications de ton père. Elle te nourrissait convenablement, s'occupant de toi comme toute mère le ferait, cependant, elle ne voyait pas sa fille en toi, non, elle te voyait comme un porc que l'on engraisse avant de l'amener à l'abattoir. Il fallait que tu soit la plus belle possible, la plus en forme, que tu sois le trésor de la famille. La mine d'or. Tel était le projet de ton père et, quand ta mère manquait à son devoir, il ne manquait pas de la rappeler à l'ordre avec brutalité.

"Mère ..." Une gifle s'était abattue sur ta joue, tu avais alors six ans, une simple fillette. "Ne m'appelle jamais comme ça, petite idiote. Tu me fais honte. Je refuse d'être ta mère, tu ne sera bientôt pas mieux placée que tes soeurs. Toutes les trois, vous ne valez rien." Ces mots, ils retentiront en permanence dans ta mémoire, c'est de là que tout à débuté, c'est ici, que tout s'est chamboulé. Tu étais une très jolie fillette. De longs cheveux, un minois si innocent, pourtant si triste déjà. Tu ne savais pas lire, tu ne savais pas écrire, tes soeurs, Mahike et Ayuni avaient apprises par elle-mêmes et te l'apprenaient à toi. C'était bien elles que tu considéraient comme tes protectrices. Tu ne compte plus le nombres de fois où tes géniteurs t'ont envoyés auprès d'elle pour ramener le butin journalier. Tu ne compte plus le nombre de fois où elles ont étés battues pour toi, aussi bien par tes parents, que par le monde extérieurs en voulant te protéger, de peur d'être battues par votre père si il t'arrivait quelque chose. Pourtant ... elles n'en gardaient jamais rancunes, tu n'était qu'une enfant, une victime, tout comme elles ... ton avenir les effrayait, le fait que ton père veuille te garder intact était quelque chose qui les avais surprise. Pendant quelques temps, lors de ta naissance, elles avaient eu l'espoir que la famille change, mais ce n'était qu'une illusion, une douce utopie. Au final, jamais tu ne fut battue, hormis cette gifle de ta mère, jamais tu ne reçue le moindre coup. En revanche, ton éducation commença de la manière la plus brutale, la plus dégradante. Les plans de ton père furent bien vite démasqués.

"Désormais, tu appellera ta mère Madame, moi, Monsieur. Ton apprentissage commence aujourd'hui. Tu n'aura plus aucun droit, tu obéira quelque soit l'ordre. Compris ?" Un regard froid sur toi, ta mère était assise sur une chaise en bois, ton père, debout derrière toi, alors qu'il t'enfilait une sorte de bandeau autour du cou. "Ce bandeau montre que tu nous appartient, si jamais tu le retire, tu en paiera le prix fort." Baissant la tête, comme tes soeurs le craignaient, il avait des ambitions qui lui rapporteraient gros, mais te concernant, tu n'étais désormais plus rien, juste une chose, un objet que l'on use et abuse pour ses propres envies quelle qu'elles soient. A partir de ce jour, tu appelais ton père Monsieur, ta mère Madame. Tu faisais l'intégralité des corvées, sans jamais être frappée. Ton père t'obliger à garder ton corps en bon état, il faisait en sorte que tu reste en bonne santé. Petit à petit, cependant, il brisait toute envie de lutter dont tu aurait pu faire preuve. Le mot est certes fort, mais si vrai : il te dressait, comme on dresse un animal.

"Oh ! Petite, il cache quoi ce joli bandeau ? Tu nous montre ?" Levant la tête, tu avais neuf ans, tu étais sortie sous les indications de Madame afin de réaliser quelques commissions avec l'argents volées par tes soeurs. Ce jour là, tu avais trop traînée, relevant la tête, tes soeurs et toi n'étiez pas les seuls voyous. Un groupe de quelques jeunes gens avaient bien vu que tu tenais de quoi manger, quoi de plus simple que de s'en prendre à une enfant quand on es plusieurs ... frappée, tu héritait de quelques bleus, mais ce n'es pas tout. Ils arrachèrent ton bandeau. Pensant que celui-ci était fait d'un tissu rare, quelle déception lorsqu'ils virent que ce n'était qu'un simple bandeau minable, sales. Volant tout ce que tu avais achetée pour la famille avant de finalement te laisser dans la poussière, le bandeau déchiré par rage de tes assaillants. En le voyant, tu fut apeurée, mais tu avais un espoir que Monsieur soit indulgent. En revanche, tu avais perdue le gain du dur labeur de tes soeurs et tu ne ramenais rien à la maison ... passant alors le reste de la journée à essayer de voler quelque chose pour rattraper ta bêtise, mais ... tu étais bien peu douée dans le domaine. Rentrant alors bredouille, la nuit déjà présente, tous étaient couchés, sauf ... Monsieur, qui t'attendait de pieds fermes dans ce qui semblait être la cuisine, assis à table. "Assieds toi et mange" Obéissant alors, il semblait calme. Commençant donc à manger lentement et silencieusement ta soupe, tu n'osais pas le regarder, en revanche, tu sentais son regard sévère posé sur toi. "Monsieur ... pardonnez moi, on m'a arra..." Te coupant la parole, il avait tapé du poing sur la table en te faisant taire. "Je t'ai dit de manger, ensuite, tu ira te coucher, sans dire un mot." Sursautant au coup sur le support, tu n'avais rien dit durant tout le reste du repas, puis tu étais allé te coucher, en soit, plutôt satisfaite d'avoir rien reçue comme coups ou remontrances, cependant, cela semblait beaucoup trop beau ...

"Elle dort encore. J'en veux minimum 45.000 berries, j'irais pas plus bas."
"Je vais être charitable. J'en offre 50.000 berries et je veux aussi ses soeurs pour 30.000 berries chacune. Elles valent pas plus, les deux grandes sont pas éduquées et leurs santés n'es même pas garantit."
"Elles sont mon gagne pain ... je ne peux pas"
"Avec 110 00 berries, t'aura plus besoin d'elles, t'aura qu'à acheter une boutique, investir. Imagine toi dans les murs, menant une vie de bourgeois avec ton épouse, élevant des enfants et non des truies ... réfléchit bien, je monte à 35 000 pour les deux grandes, pas plus."


Cette discussion avait eu lieu trois jours après,  Monsieur semblait avoir trouvé un acheteur intéressé, mais, il semblait en avoir demandait beaucoup. "Debout, habillez-vous toutes les trois et descendez." Toi et tes soeurs vous étiez donc levées prestement, rejoignant la cuisine. Il s'y tenait donc, votre père, mais également un homme, habillé de manière chic, un chapeau sur la tête et une liasse de billets dans la main. Il s'était alors levé, te tournant autour, il avait scruté la moindre parcelle de peau, le moindre petit détail de ton corps. Une fille en bonne santé, c'est ce qu'il voulait. Il avait déjà décidé, il avait déjà tout préparé pour payer. "Je prend les trois. Les deux grandes semblent solides, elles iront au champs, quant à la petite, elle sera sans doute ma domestique. Voilà les 120 000 berries comme prévu. Ce fût un plaisir de faire affaire avec vous, je vous souhaite bien du courage pour votre futur. A bientôt peut-être." C'est ainsi que toi, ainsi que tes soeurs, aviez été amenées sur un bateau, des chaînes au poignets et au chevilles, aucunes de vous trois n'avez eue le courage de se révolter, de tenir tête, vous voilà ainsi dans la cale du bateau, parmi d'autres gens comme vous, des hommes et des femmes, des enfants, un point commun vous liait tous : vous étiez tous, désormais, rien de plus que des esclaves.

Chapter Two : Harassment of chains

"Grandes soeurs ... ont va où ?" Deux jours en mer, enchaînées dans la cale, toi, tes soeurs et tant d'autres personnes. Tu n'était pas bête, vous aviez bien compris toutes les trois que votre père vous avez revendue comme esclave. Cependant, tu n'avais aucune idées de là où tu serais amenée. En soit, ils auraient pu vous le dire dans le but de vous y préparer, mais ça, c'est si ils vous considérez encore comme des êtres ayant eu des droits. Ce n'es visiblement pas le cas. "Sur l'île aux esclaves petite. Où d'autres ?" Ce vieil homme semblait pourtant en savoir plus que toi, il semblait déjà savoir ce qui l'attendait en fait. Toi, rien que le nom de l'île;, qui était apparemment qu'un surnom donnait à ce lieu qui, recelait, apparemment, d'esclaves et de champs selon les déductions, ne t'inspirait clairement pas confiance. Assise au sol, dans une cage, avec tes soeurs, tu baissais la tête, geignant minablement, tu reste qu'une enfant après tout. "Ferme-la morveuse." La porte de cette pièce qui, semble-t'il, était une sorte de prison dans la cale, s'ouvrit, laissant apparaître l'homme qui vous avez tous achetés. Il s'approchait, se mettant au milieu de la pièce avant de te regarder, avançant avec un certain amusement, une certaine envie de te montrer que l'enfer n'était rien à côté de lui, mais ... il avait bien d'autres projets. "Vous n'avez pas besoin de me connaître, appelez moi tous Maître. Vous êtes sans doute tous apeurés, au bord de la dépression. Tant mieux, un esclave brisé est un esclave éduqué. Certains d'entre vous seront revendus, quant à d'autres ... comme toi, ainsi que tes soeurs par exemple, resteront avec moi. Habituez-vous y, je compte bien m'occuper de vous. Une fois arrivé, soyez gentils, je n'aimerai pas créer de scandales." Cet homme, semblait bien sûr de lui, après tout, il avait pas tout à fait tort de l'être. Il avait une influence sur vous tous, il était le seul décisionnaire de votre futur et votre vie ne tenait qu'à un fil. Cependant, il semblait avoir déjà décidé de ton sort. Tu resterais donc à son service. Bonne ou mauvaise chose, ça restait encore à voir, mais ... tu savais très bien que tu n'en aurais pas le choix, alors à quoi bon ... tu étais déjà résolue à obéir docilement. Merci à ton père, il t'avait vraiment bien éduqué, ou plutôt, il avait fait de toi une très bonne esclave.

Le voyage se terminait le lendemain, en début d'après-midi. Arrivant à destination, des hommes de mains s'occupèrent de faire sortir les nouveaux arrivants. Aucune hésitation n'était visible sur leurs visages, aucune humanité n'était présente dans leurs gestes. Ils vous voyaient tous comme du bétail. Vous furent alors amenés, enchaînés, devant un champs, tous mis en file en file indienne. "Comme je vous l'ai dit, certains d'entre vous seront revendus au marché, je vais à présent choisir ceux qui resteront ici." C'est ainsi que tu avançait, pas à pas, avec tes soeurs. La majorité restaient au service de cet homme. Tous étaient à peine âgé de la trentaine d'années ou bâti comme une armoire. Tels étaient les critères de sélection apparemment. Quand ce fut ton tour, c'est sans surprise qu'il décidait de te garder, tu semblait être sa pièce préférée. Cela dit, logique, tu es déjà dressée. Tes soeurs, elles, bien qu'elles étaient moins docile, n'en restaient pas moins effrayées et il décida également de les garder. Le tri fut alors rapidement fait. Furent mis à la revente les vieillards, les femmes trop faibles, ceux qui sont tombés malades durant le voyage. En soit, il revendait la moitié de son investissement mais ... il en tirerait un fort profit, évidemment. Suite à cela, arrivait le placement des esclaves. Personne ne savait ce qui l'attendait réellement. Des suppositions étaient présentes mais ... rien de réel. Pourtant, ce fut bien plus basique que ce dont à quoi tu t'attendait. Il en avait mis la majorité dans les champs, tes soeurs également. Jugeant qu'elles étaient en trop mauvais état pour côtoyer la demeure qu'il habitait. Quant à toi et une dizaine d'autres esclaves, étrangement, toutes des jeunes filles ayant de 8 à 16 ans, furent amenées au sein même de la demeure. Tu fut violemment séparée de tes soeurs que tu avait regardée en pleurant silencieusement. Tu n'étais qu'une enfant, vendue par son père, reniée par sa mère, séparée de ses soeurs, tu avais seulement 9 ans, tu découvris tes chaînes, celles qui te harcèleront désormais. Qui dicteront ta conduite sous peine de sanctions.

Une fois à l'intérieur de cette demeure, prestigieuse, luxueuse, surtout très grandes, située sur une petite colline tout proche des champs, il s'adressa une dernière fois à vous. Assis au bout d'une grande table alors que vous étiez toutes debout, à l'autre bout de celle-ci, toujours mains liées. "Bien. Mesdemoiselles. Vous serez désormais à mes ordres. Vous n'avez droit ... à rien. Vous ne représentez ... rien. Vous ne gagnerez ... rien. En clair, vous n'êtes ... rien. Je ne m'adresserais plus jamais à vous. Mes consignes seront transmises par mes contremaîtres. Osez désobéir et, je vous assure une humiliation dont vous vous souviendrez éternellement. Bien. Maintenant, tournez vous, dos à moi." Le ton était donné, le calvaire empirait. Il vous avez ordonné de vous tourner, tu obéissait. La raison était pas très apparente, mais pourtant, elle était très simple : vous n'êtes rien, il ne veut aucun contact avec vous toutes, même toi. De ce fait, vous n'avez en aucun cas le droit de l'approcher ou de le voir. Ce dernier quittant la pièce, laissant une feuille avec ses indications. Suite à cela, les contremaîtres vous amenèrent dans une autre pièces. C'est ici que l'un d'eux te donnait une tenue, pas besoin d'être un génie, enfilant alors la tenue : Bienvenue dans le monde sauvage.

"Debout fainéantes, au travail !  Plus vite !" Le réveil fût brutal dans le dortoir, le contremaître donnant des coups dans la porte, frappant sur ton lit, enfin, sur ce qui te servait de lit. Cela faisait maintenant trois mois que tu servait ici. La routine était installée. Désormais debout, tu reçue les indications en même temps que toutes les autres filles. "Je dois nettoyer le sol du hall avec toi." Une fille, de ton âge sans doute, ou maximum un ou deux ans de plus, avait été amenée avec toi dans le grand hall. Le passage que tout le monde empruntait pour entrer et sortir. Nettoyer le sol ici, était clairement le pire des calvaires. Cela dit, à deux, c'est toujours mieux. La tâche durait bien la matinée, le soucis n'était pas la rapidité d'exécution. Non. Le soucis était tout autre. C'était le fait que votre travail ne valait rien aux yeux de tous, personne ne respectait le travail de deux moins que rien d'esclaves. Alors tout le monde passaient, repassaient, sans aucun scrupule pour les deux jeunes filles effectuant cette laborieuse pénitence. L'après-midi, toi et cette filles furent envoyés afin d'aller aider le contremaître à distribuer les rations de nourritures dans les champs. "Tu cherche tes soeurs... pas vrai ?" En effet, c'est bien ce que tu cherchais. Quelle folie tu as fait. Quittant la surveillance du contremaître, tu t'aventurais dans les champs, malgré l'interdiction censée être logique. Tu les cherchais, durant bien quelques heures, tu ne remarquais pas que tout le monde s'était remis au travail. Cette fille t'avait suivie pour t'aider, mais les champs étaient immenses, ils recouvraient toute l'île, tu savais que ton maître ne possédait pas tout, mais tu ne connaissais pas les délimitations. En revanche, ton absence elle, fût remarquée. Dès la lune présente, les recherches pour te capturer furent ordonnée. bien vite tu fut retrouvée. Le contremaître décidait lui-même de la raison de ton absence : tentative de fuite. La sanction pour toi et ton acolyte ne mirent pas bien longtemps à tomber. Suite à une correction de deux jours dans une pièce fermée, sans eau ni nourriture, vous avez été amenées devant les champs, sans être assez proche cependant pour avoir un contact avec les autres esclaves. "Vous aimez les champs, bien. Des déchets comme vous auront ce qu'elles veulent, parmi les vôtres, estimez-vous heureuse." Cependant, tu ne t'attendait pas à ça. En effet, niveau humiliation, voici la bonne dose. Des déchets furent renversés au sol, il y'avait de tout. Deux énormes pierres furent amenées dessus, puis également recouvertes d'ordures. Suite à ça, tu fut mise à genoux, devant cette pierre, enchaînant tes mains à la pierre face à toi, le traitement fût le même pour ta partenaire. Selon le contremaître, vous étiez désormais parmi les vôtres, devant les champs que vous aimiez tant. La cruauté de cet homme n'a de limite que sa laideur ... "Cela dit, c'est peut-être trop agréable pour toi, n'est-ce pas ... Elisa ? Tu ne verras pas tes soeurs, tes yeux seront bandés. Bonne nuit." Tes yeux furent en effet bandés, ceux de celle qui t'avait suivie également. "Elisa ... c'est ça ton prénom ? Je m'appelle Ohime ... je t'en veux pas ... moi, ils ont tuée mon frère, il a essayé de s'enfuir en montant dans le bateau ..." La boule au ventre, tu espérais que tes soeurs n'aient pas subies le même sort, qu'elles soient toujours vivantes, bien que ... dans ce genre de situation, la mort est bien souvent un cadeau du ciel. La sanction dura une semaine. Plus jamais, oui, plus jamais tu ne tenta de retrouver tes soeurs, ayant cependant des nouvelles de ceux qui travaillaient dans les champs, t'assurant qu'elles étaient en vie ... cependant, vérité ou mensonge ... peut-être cherchaient-ils seulement à épargner une petite fille ayant perdu sa seule famille. Voici donc tes chaînes, solides, indestructibles, enfin, c'est ce que tu pensais ...

Chapter Three : Tormentor or tormented, break your chains

Jamais plus tu ne revit tes soeurs, cette humiliation encore ancrée en ton âme, onze années passèrent, pourtant, tu te revoyait encore à genoux, dans les déchets. La boule au ventre, accompagnée Ohime. Tu avais appris à la connaître. Elle était d'ailleurs comme une troisième soeur pour toi. Vous vous étiez liées d'amitié toute les deux et vous vous souteniez dans les coups durs. Tu avais découvert en elle, un certain talent à rire de tout. Elle avait vraiment la joie de vivre. Tu te souviens des fois où elle te défendait lorsque tu te montrait maladroite, ou encore des moments où tu lui attribuait tes mérites quand elle ne finissait pas ses corvées à temps. Etre deux, c'est bien mieux qu'être seule. Depuis ton arrivée, tu n'a jamais revu le maître, tu l'a bien croisée certes, mais, il ne s'est jamais plus adressé aux esclaves, hormis par l'intermédiaire de ses contremaîtres. Tu le craignais, plus que quiconque. Même ton père, à côté, semblait être un ange. Pour cette raison, ni toi, ni ton amie, n'avaient plus jamais osées vous éloigner de la demeure ou des contremaîtres. Jusqu'au jour où ... des rumeurs circulaient au sein des esclaves. Oh, chacun priait pour qu'elle n'arrive pas aux oreilles du maître. Il serait bien capable d'utiliser des moyens radicaux sur le coup d'un soupçons.

Ohime semblait espérait que ces rumeurs soient fondées, tout comme toi en vérité. Des promesses de liberté, des rêves illusoires, mais ... tu avais, avec le temps, eu bien des idées. A tes yeux, l'être-humain n'avait rien de louable désormais. Dans ta jeunesse, tu aurais pu être douce et généreuse malgré ton esclavage. Cependant, au jour d'aujourd'hui, toi et Ohime, aviez bien d'autres projets. Cet homme, bien que hait, avait su prouver que l'esclavage est bénéfique à celui qui en profite. Tu as bien souvent pensée à être le tortionnaire et non le tourmenté, mais tu avais peur. "Tu verra Elisa, un jour, ce sera nous à cette place, on se vengera." Oui, la vengeance, mais dans tout les cas, tu commençais à prendre conscience que tu ne comptais pas être la tourmentée, toute ta vie. Ohime t'encourageait fortement dans cette voie là, alors oui, la nouvelle rumeur qui circulait était une véritable bénédiction. Cela dit, tu comptais bien en profiter avant. Il te fallait manipuler les événements de sorte à ne pas être accusée de quoique ce soit, hormis de fuite, mais en soit ... es-ce réellement un délit ?

La rumeur grandissait au fil des semaines, des mois. Six mois plus tard, tout cela prenait forme, réellement, certains contremaîtres étaient dans le coup, pour quelle raison ? Tu n'en savais rien, mais tout évoluait. Ce n'était plus une simple suggestion, c'était une résolution. Les esclaves comptaient se révolter, la Marine aurait pu intervenir, mais quel esclave reconnaîtrait ouvertement ... être un esclave ? La fierté était leur dernier trésor et tous comptait le garder intact. Le maître vous faisait alors tous passé pour des employés, reconnaissant que la situation était précaire en raison de la saison difficile actuelle, mettant tout ses "employés" dans une situation de grandes pauvret, enfin, il était temps pour toi de jouer le jeu du chantage avec le propriétaire de ces esclaves, ton maître.

"Première chose, tu t'infiltre dans mon bureau par la fenêtre, deuxième chose, tu te mets à mon niveau et enfin, troisième chose, tu ose me faire du chantage ? Serait-tu suicidaire ?"
"Monsieur ... je ne répéterai pas. Vous savez très bien qu'ils se préparent à se révolter. J'exige ma libération, celle de Ohime, ainsi que celles de mes deux soeurs. Sinon ... vous perdrez gros. Vous pouvez tous nous tuer, mais ... qui travaillera vos champs ?"
"Tes soeurs ? Il n'en reste plus qu'une. L'autre est morte. Messieurs, saisissez-vous d'elle et remettez la avec les siens, il semblerait que son enfance lui manque. Quant à son père ... foutu crétin. Tu parle d'un dressage ..."

Morte, une de tes deux soeurs était morte. Ca avait eu en toi l'effet d'une bombe, te bloquant quelques instants dans ton raisonnement, il avait réussi à mettre fin à toute sorte de chantage et t'avais fait remettre dans les ordures, de nouveau attachée à cette même pierre, elle n'avait pas changée, contrairement à toi. Tu avais tentée de faire preuve de courage, de prendre ton destin en main. Il avait tout rasé, tout ton courage, ta détermination, avec ces simples mots. Cette seule annonce avait suffit à te faire pleurer. En même temps, quelle annonce. Cependant, tu n'étais pas le mouvement, non. Dans ce qui se préparait, tu n'était qu'un pion, comme tout les autres, Ohime en était un aussi. Vous étiez tous des pions, mais toi, oui, toi, ainsi que ton amie, aviez tentés de vendre les autres dans le but de sauver votre peau. Tu ne valait finalement pas plus que les autres ... Le soir même, Ohime était venue te voir en faisant attention de ne pas être vue. Tout se passera dans une semaine. Elle avait réussie à convaincre tout le monde de tenir une semaine de plus, le temps que tu sois détachée. Oh, ils ne savaient pas ce que vous aviez tentés de faire, mais, es-ce bien grave ? Tu t'en moque pas mal d'eux. Durant une semaine, les esclaves ne se gênaient pas, le travail était bâclé, les contremaîtres devaient faire preuve de plus de fermeté encore, mais ils ne pouvaient pas sanctionner, ils étaient trop nombreux. Cependant, une semaine plus tard, libérée de ta sanction, les premiers débordement eurent lieu. Rien de bien grave pour appeler cela un événements, disons simplement que, le maître passait désormais son temps à se méfier. Il avait bien raison. Ce fut pourtant l'occasion rêvée. Il y eu de nombreuses émeutes devant la demeure. Tu n'en faisais jamais partie, en revanche, Ohime était parvenue à ramener ta grande soeur survivante. Les retrouvailles furent des plus émouvantes. Onze longues années, de séparation. Tu en avais tellement était heureuse que, tu avais oubliée l'occasion de filer. Toi, Ohime et ta soeur, Mahike, furent attrapées par les tortionnaires et mises en cage. Les contremaîtres parvinrent en deux jours, à stopper la tentation de rébellion. Quant au maître, il avait déjà une idée pour calmer cela définitivement. Un fin sourire aux visage, il avait fait preuve de patience avec eux, il faisait maintenant preuve d'honnêteté devant les esclaves, toute les trois, à genoux, dos à lui, tandis que vous aviez les mains liées. "Très chers esclaves. Il y'a de cela quelques jours, ces trois femmes se sont présentés à moi, elles vous ont dénoncés, vous, leurs compagnons, dans le but de se sauver elles, d'avoir leurs liberté. Comment pouvez-vous vous m'en vouloir, quand vous vous trahissez entre vous ? Elles seront punies, la mort est bien trop simple, mais je vous prie de cesser tout ce cirque, je vous ai acheté, vous m'appartenez. Dans le cas où vous persistez, je vous tuerai tous." Un discours clair et éloquent alors que dans la foule résonnait les injures à l'égard du maître, mais aussi de vous trois. Tu es la principale concernée d'ailleurs, il a certes menti en disant que vous étiez trois dans son bureau, mais, cela était stratégique ... Suite à ça, toi et tes acolytes aviez été enfermées dans une cage au sous-sol de la demeure durant des mois. Tous vous croyez mortes malgré les dires du propriétaire. Cétait d'ailleurs sans doute mieux pour vous trois, sinon vous seriez réellement morte suite au lynchage qui vous attendaient en cas de réapparition miraculeuse.

Néanmoins, un jour, une fois que tout le monde s'étaient calmé, la vigilance moins forte, un contremaître rebelle s'introduisit dans le dît cachot. Il semblait comprendre le raisonnement que tu avais eu, certes, il ne le cautionne pas, mais être esclave pousse à faire des choses horribles. Si vous restiez là, la mort vous attendez et il refusait de laisser des gens mourir pour leurs envie de liberté. Il n'eu aucune difficulté à ouvrir la porte du cachot et à vous détacher toute les trois. Toi, tu comptais bien garder tes chaînes, désirant plus que jamais faire payer à cet homme ces onze années d'esclavage. Le contremaître, du nom de Edward, vous guidait jusque lui, empruntant les chemins qu'il savait sûr, habitué, cela faisait une trentaine d'années qu'il travaillait pour lui, alors les parcours surveillés, il les connaissait bien. Vous étiez bien une fine équipe de quatre, plus que désireux de montrer le visage de la haine à l'oppresseur ultime. Entrant dans son bureau, cette fois, tu entrait par la porte, secouant les chaînes à tes poignets avant de les claquer avec violence sur le bureau. Tout cela fut apparemment bien trop rapide pour le maître qui, était certes, bien entouré dans le cas où tous étaient loyal envers lui, mais bien faible sans personne. C'est avec fureur que tu t'étais précipitée vers lui, glissant derrière son dos, enroulant tes chaînes autour de son cou. Tu brisais désormais tes chaînes ... avec une certaine ardeur, la mort vint alors s'emparer de lui alors que tu mettais le feu à son bureau. De cette façon, tu en étais sûr, personne ne remontera jusque vous. Tant de personne avait de bonnes raisons de faire ça, tout le monde te pensait déjà morte. A vingt ans, tu quitta les murs, encapuchonnée dans des couvertures trempées avec ta soeur, Ohime et Edward. Tout les quatre, vous aviez réalisés l'incroyable exploits de fuir. Les contremaîtres parvinrent à retenir quelques esclaves, les mettant hors d'atteinte du feu, d'autres, une cinquantaine, parvinrent à fuir alors que la Marine s'activait cette fois pour éteindre le feu et réellement, libérait ce qu'ils considéraient maintenant, comme des esclaves ...

Chapter Four : The missing link

"Combien de temps .. déjà ?" Une pièce sombre, quelques cachots ici et là, tu te quelqu part sur une île sous l'emprise des pirates et autres criminels. Une boutique plus précisément. Toi, mais pas seulement. Vous y étiez tout les quatre, depuis votre fuite, vous avez bien grandis et ce que vous avez vécus, vous à tous rapprochés, formant une sorte de lien, une corde vous reliant les uns aux autres. "Quatre ans. Pourquoi ? Tu pense à quoi ?" Ohime était également là, avec toi, toute les deux affairés à distribuer des rations de nourritures aux esclaves. Vous aviez depuis quelques années, étaient tous embauchés par cet esclavagiste. Oh, pas comme esclave, non, cette fois, vous vous occupiez d'eux, toi également. Préparation de repas, partage des rations, soins, entretien, bref, tout le côté basique de l'esclavage qui fait que les articles proposés soient de qualités. "Déjà quatre ans qu'on se tape ce boulot d'merde ... j'ai pas l'intention de torcher le cul des esclaves pendant cinquante ans ... je sais pas pour toi, mais c'est pas à ça que je pensais quand je disais vouloir m'imposer dans le monde ..." Continuant de broyer la nourriture dans de simple bol en bois, ou de vulgaires gamelles nettoyées, tu regardais ta camarade avec un air dépité et agacé. Tu l'avais admis, tu comptais t'imposer, oui, dans le business d'esclaves, être une figure emblématique du domaine, faire fortune mais surtout ... faire payer à ceux qui t'ont réduit à l'esclavage durant onze longues années. Faire payer à tes tortionnaires. Alors oui, tu digérée le mal de servir de nounou à des esclaves, sans y gagner ne serait que 25% du prix de vente. Le boss étant un véritable radin, c'est tout juste si tu avais de quoi te payer à manger. Cependant, tu ne pouvais pas te plaindre, il vous loger tout les quatre dans une petite bâtisse à l'abri des regard derrière la boutique, cette affaire n'étant pas très légale, les habitants de l'île pas très accueillant, il compte pas perdre sa main d'oeuvre, c'est tout à son honneur et tu en profite. "Soit patiente ... tu peut pas débuter tout en haut ... c'était inévitable. Le jour où on y arrivera, tu savourera ce moment, ton père le paiera cher.". Ta partenaire avait entièrement raison, tu le savais, mais ça t'énervait tellement, soupirant en la regardant, terminant de broyer les aliments, remplissant chaque récipients uns à uns, les chargeant d'une portion équitable pour tous. Tu avais appris vite à faire ton boulot comme il se doit.

Le métier d'esclavagiste était un domaine difficile, tu en avais conscience, il pouvait se passer tout, n'importe quand, des suicides avaient déjà eu lieu, c'est dans ces moments-là que tu faisais tes preuves. Tu ne peux pas éprouver de sentiments pour eux, sinon c'est la fin de ta carrière. Tu as, en quatre ans, appris à les considérer comme de simples bêtes, des articles à vendre, des ... choses. Purement et simplement, tu les voyais comme des êtres sans aucuns droits, tout juste bon à fermer leurs grandes gueules animales. Après tout, dès ton plus jeune âge, on t'apprenait à ne pas avoir de remords et de pitié, ton géniteur avait réussi, il avait fait de toi une personne sans scrupule, il voulait te soumettre, il l'a fait, mais il ne pensait sans doute pas qu'un jour tu te révolterait contre le destin, contre sa cruauté. Ce jour est pourtant bien là, tu n'es plus l'opprimée, tu es la tortionnaire, ou du moins, tu en es un maillon et très bientôt, la commanditaire.

"Elisa, grouille toi, l'heure c'est l'heure." Ta soeur c'était amenée dans l'encadrement de la porte, un air sérieux au visage, décidément, c'est pas demain la veille qu'elle serait détendue elle. Tout aussi décidée que toi à se venger de votre père. Cependant, elle avait conscience que ce n'était pas pour tout de suite. Te faisant alors signe de te dépêcher, il est vrai que vous aviez prise du retard toi et Ohime, chose qui n'était pas excellent en soit. Prenant alors le plateau, vous déposiez chaque récipients dessus avant de rejoindre les cellules plus loin, remplies de "bétails" dirons nous. Tu posais les bols au sol dans les cages un par un. Tous avaient droit au repas, ils mangeaient assez bien pour des esclaves, juste ce qu'il fallait pour avoir de beaux spécimens. Toi, tu les regardais, surveillant que aucun d'entre eux ne tentent une folie, bien que ... les aliments suffisamment broyés pour éviter toute tentatives d'étouffements justement. Une précaution qui avait toute sa cohérence en soit. "Ohime, Elisa, Mahike, le maître veut vous voir, bougez vous le cul, il a l'air contrarié" Edward, ce fameux Edward, aussi fragile qu'une fillette, il avait bien hésité avant d'accepter le poste de contremaître pour l'esclavagiste, tu ne compte réellement pas le garder longtemps auprès de toi, mais pour le moment, il savait se rendre utile. Tu n'es pas faible, mais, disons que le jeune homme est le type de gars haut sur pattes, musclé comme King-Kong et assez bagarreur, alors c'est toujours bon à prendre pour ta propre défense. Cela t'évite bien des ennuis que pourrait avoir une femme, enfin, soit-dit en passant, tu arrive tout de même à te battre. Ce que tu avais fait avec les chaînes lors de ta fuite, c'était plutôt grandiose, alors tu avais pris la peine de développer un peu ça à tes heures perdues, mais t'en perds pas beaucoup d'heures. Enfin bon, tout ça pour dire que, pour le moment, il est utile et qu'il ne te mets pas de bâtons dans les roues hormis quand monsieur joue au preux chevalier, vaillant protecteur de la veuve et de l'orphelin, ou juste de la veuve ? Non parce que, faut pas se mentir, le petit chenapan reste un homme coureur de jupons de temps à autres (bien que peu souvent en réalité), bien que n'osant pas proposer quoique ce soit a l'une de vous trois, sachant pertinemment à quoi il aurait droit. Enfin bon, quelques minutes après, vous voici dans la pièce principale de la boutique ... devant le grand patron, le big boss.

Chapter Five : Stalemate and reflection, devilish mirror

"Mesdemoiselles, laquelle de vous trois peut me dire combien coûte un esclave ? Humain disons." La question fatidique, celle qui désignait comme une évidence que toi ou une de vous aviez fait une connerie. Laquelle ? Cela restait encore à définir, mais ça sent pas bon pour votre matricule, clairement pas même, surtout au vue des mimiques du quinquagénaire. Il commençait à serrer les poings sur ce qui semblait être son bâton. Il avait toujours été assez agréable avec vous en soit, dur, mais compréhensif, agissant un peu comme un père, bien que ... pas du tout prêt à vous donner plus de berries que ce que vous avez. Soupirant, Mahike répondit avant que tu n'ai le temps de le faire. "Entre 350.000  et 500.000 Big Father." Se retournant alors vers vous, un regard énervé, tapant le bâton au sol alors qu'il s'approchait calmement, peut-être trop calmement d'ailleurs, de vous trois, Edward surveillant les moins que rien dans les cellules. "Merci ma grande. Maintenant, qui peut m'expliquer pourquoi vous faite que de la merde ?!" Un calme plat, aucune réponses, vous étiez pas non plus masochiste, mais comme prévu, vous aviez faite une connerie, une grosse erreur même au vue des termes employés par votre employeur. Il semblait extrêmement contrarié. "Big Father ... c'est quoi le soucis ?" Dangereuse approche dans un cas tel que celui-ci, mais il fallait au moins savoir la raison d'une telle situation non ? Alors autant enchaîner rapidement. "Le problème ? Bonne question Elisa, je vais te le dire moi. On a une gamine malade ! A ce rythme là, elle va contaminer tout les autres, alors maintenant, voici les deux options : soit elle crève, soit tout le monde crève. Dans la première, je perd 300.000 berries, dans la seconde, je ferme boutique ! Mais tu vois Elisa, tu m'a si gentiment demandée, que tu a gagné une promotion. Du moins, tu l'aura si tu fais tes preuves." Promotion ? Ca sentait le coup fourré à cent kilomètres à la ronde, mais tu ne pouvais pas refuser, c'était pas une question à choix multiple, il t'avait clairement posé une obligation, la suite de l'ordre ne tarderait pas et, tu le sentais très mal. "Tu va me débarrasser de cette morveuse, pigé ? J'te file une semaine, après ça, je m'en occupe et je me débarasserai aussi de toi. Maintenant, bougez vous le cul bande de sales petites connes"

Clair, explicite, sans appel, l'ordre était donné. Tu voulais ta promotion ? Débarasse toi de la gamine, si tu ne le fais pas, t'es foutue. Tu n'étais pas esclave, mais c'était tout comme, néanmoins, tu avais su faire des sacrifices et comprendre que jouer la forte tête en permanence ne t'amènerait nul part. Alors c'est ainsi que tu quittais la pièce, accompagnée de Ohime et Mahike qui semblait assez stressée et inquiète à ton égard. Toi, tu avais un visage fermé, froid, tu te préparait, si il ne suffisait que de ça, tu n'en aurais pas pour longtemps. Tu as déjà tuée, c'est pas ça qui va te faire reculer. Clairement pas. Te dirigeant alors vers les cellules, la petite était isolée, apparemment Edward avait déjà fait les manoeuvres nécessaires. Tu n'avais plus qu'à faire ton job. Ta soeur ne t'avait pas suivie, haissant te voir ainsi, quant à Ohime, elle en était toute déboussolée, elle pensait bien assistée là à ton avènement ... cependant ... ce fût le choc, le gros bug.

Tu ne pouvais pas, la regardant là, couchée, endormie dans sa cage, elle avait pas plus de six ans, sept tout au plus. Elle n'était réellement encore qu'une gamine ... une foutue gamine qui te rappelait toi au même âge. Sans doute elle aussi vendu par sa famille, ou capturée par l'esclavagiste, déglutissant, tu fis quelques pas en arrière, te collant au mur en la regardant, toujours et encore.

"Ohime ... elle est comme nous."
"Arrête tes conneries abrutie !"
"Ferme la, j'suis sérieuse ... j'peux pas ..."
"Vas y, j'vais respirer, t'es trop faible Elisa, vraiment ... c'est une esclave, on s'en fout ... tu as vue de la pitié envers nous ?! Non ! Alors bouge toi de faire ton boulot !"


La jeune femme sortit alors, te laissant là, seule, à tes réflexions, tu était clairement pas à l'aise. Tu l'entendais tousser, il fallait vraiment que ça tombe sur toi ?! Elle pouvait pas avoir dix-huit ans ? C'était obligatoirement ça qui devait t'arriver ? Comment pourrait-tu ? Tu en serais incapable, pas juste parce que c'était une gamine, tu t'en fous de ça. Tu te revois en elle, seule, abandonnée, ça t'attriste autant que ça t'énerve et tu serrais fortement tes chaînes, pendantes et se balançant à côtés de tes jambes. Ohime avait raison. Personne n'avaient eu de pitié envers toi, pas même un remerciement, rien, que des humiliations, de la destruction massive de toute fierté, de tout honneur. Pourquoi devrais-tu en avoir ? Quittant alors les cellules, tu balançait un violent coup de pied dans la porte en bois, te faisant plus mal qu'elle n'aurait pu le sentir, tu rejoignis Mahike, qui semblait ne pas tout saisir sur le coup.

"Et bien, tu es rapide dit."
"J'ai rien fait et foutez moi tous la paix !"

Faisant en sorte que ta soeur ne te suive pas, tu rejoignis de manière assez vive, les logements de "fonctions", derrière la boutique, t'affalant dans ce qui semblait être ton lit avant de t'énerver, de frapper tout ce que tu pouvais et de balancer tout types d'objets contre le mur face à toi. Proférant des jurons, des colères, avant de fondre en larmes, faiblement, alors que tu ne savais pas quoi faire, perdue entre ton passé et ton futur, entre ta souffrance et ton humanité. Cette humanité que tu pensais avoir détruite une bonne fois pour toute. Pourquoi ne pouvait-tu pas simplement tuer cette gamine ? Pourquoi était-tu trop fragile pour le faire ? Tant de questions qui se posaient là, te harcelant, tu ne devais pas hésiter ! Une quelconque marque d'affection et tout était fini, une quelconque marque d'humanisme et ta crédibilité en serait détruite. Non, tu devais le faire ...

Chapter Six : Stained with blood, the hands of the devil

Oui, tu devais, tu ne pouvais pas hésiter, tu n'avais pas le droit de décevoir les autres. Tu étais retournée de nombreuses fois voir cette enfant, chaque fois, plaquée contre le mur, tu l'avais regardée, incapable de faire quoique ce soit, revoyant ce moment où ton père avait fait de toi une esclave, revoyant ce moment où il t'avait vendue, revoyant ces humiliations sur l'île des esclaves, à genoux dans les ordures, tant de souffrances, tant de haine, tu le savais, cette petite risquait d'y passer, la tuer, serait l'aider, la sauver, mais ... était-ce obligé ? Dit, Alizée, où est passée ton envie de vengeance ? Serait-tu incapable de mettre fin au jour d'une gamine condamnée ? Tu en a pourtant déjà vu, des gosses mourir. Tes compagnons d'infortunes du temps de ton esclavages, tous très jeunes, certains morts à la tâches. D'autres étaient des enfants qui ont été ici et qui sont morts sous tes yeux, de leurs propres gré, déjà apeuré s par ce qui les attendait. Es-u réellement faite pour ça ? En es-tu finalement sûr ? Oui, tu en es sûr, mais cette petite ... c'est différent. Cependant, tu devrais cesser de te chercher des excuses ...

"Hé gamine .. comment tu t'appelle ?"
"Mh ? Mélusine ... Pourquoi ?"
"Pour rien, dors ..."
"Je suis pas bête ... vous allez le faire ?"
"J'en sais rien, dors j't'ai dit ..."


Tu avais hésité, oui, sans aucun doute, mais là, tu avais pris ta décision, réellement, tout était clair dans ta tête, mais tu ne pouvais pas le lui dire. Une semaine était passée, plongée entre dépression et amertume, la rancoeur d'un passé si peu glorieux, la certitude d'un futur prometteur mais le présent d'un crime non voulue. "Alizée, tu t'es décidée ?" Ne donnant aucune réponse, tu avais simplement rejoint la cellule de la gamine, assise au sol, contre le mur froid de sa cage, tu étais entrée, prenant le poignet de la petite avant de la traîner de force jusque la pièce principale où tu avais demandé a Big Father de se rendre. Tu allais commettre l'irréparable, tu allais vivre un tournant majeur de ta vie, une page se tournera et ton futur en sera à jamais affecté. Tu ne pourra jamais oublier ce que tu t'apprêtais à faire. "Bien, je vois que tu t'es enfin réveillée. Finissons en veux-tu, j'ai plus important à faire." Regardant alors ton employeur, la tension était palpable, tu ne pouvais pas le nier, le stress, la nervosité, tout était là, tu ne réfléchissais plus, tu ne devais surtout pas réfléchir où tu échouerai une fois encore. Regarde la, cette petite, cette marque de pureté, cette innocence incarnée, elle est pourtant malade, réellement malade, très gravement ... si tu ne le faisais pas, la maladie s'en chargerait, d'un côté, tu lui rendrais service ...

"Je suis désolée petite ..." Ton patron semblait enfin satisfait, détendu, contrairement à toi. Tes chaînes glissait le long de tes bras, quittant le camouflage de tes manches, se balançant toujours et encore le long de ton corps, la scène devenant assez longue, tu regardais alors l'employeur qui semblait commencer à s'impatienter. C'est alors que tout se mit à bouger. Tu bousculait violemment la gamine qui t'implorer de ses yeux de ne rien lui faire, elle n'était au courant de rien, mais tu avais déjà tout préparée, tout. Bondissant alors, le vieil homme ne semblait pas s'y attendre, attrapant un couteau, tu le poignarda, encore et encore, profitant de l'effet de surprise pour mettre fin à ses jours, tu avais fait ton choix, elle était malade, c'est une chose, mais tu ne pouvais pas, elle était comme toi, tu avais déjà laissée des gamins de son âge mourir, mais elle, quelque chose te rappelait ton passé. Les mains tâchées de sang, celui de Big Father, tu étais assise à califourchon sur lui. Ce dernier avait rendu son dernier soupir depuis bien quelques minutes avant que tu ne te relève. "On se barre. Maintenant. On prend la gamine avec nous. Je veux aucun commentaire, de personne !" Tu avais jeter un froid sur tout le monde, Ohime, Mahike, Edward, même la gamine qui avait assistée à la scène et devait sans aucun doute être perdue entre reconnaissance et peur. En soit, cela était plutôt logique et même toi tu ne savais pas si tu avais fait là, le bon choix. Cette gamine ne participera sans doute jamais à un quelconque trafics d'esclave, mais tu avais fait ta bonne action, tu avais tiré un trait sur ton passé, tu avais désormais réussie à faire preuve de courage. Tu n'avais pas tuée l'esclave, non, tu avais juste une fois de plus, brisée tes chaînes, celle que Big Father resserrait petit à petit autour de vous quatre, vous utilisant comme de simples pions, vous manipulant discrètement sous ses airs de vieux père bienveillant ...

Le jour même, vous aviez quitté l'île de Zaun, refusant de rencontrer des soucis avec les habitants, tu les connaissais les énergumènes et tu savais pertinemment que rester ici 23 heures de plus était dangereux., Cela dit, on ne peut pas le nier, tu l'a vu par toi même, ce type était une crapule pas spécialement apprécié ici, personne ne le regrettera et pleurera sa mort, mais il ne fallait pas que quelqu'un sache que tu y était mêlée, non, surtout pas. Tu ne voulais pas avoir de soucis avec la marine ... Profitant alors d'un navire marchand quittant le port, vous vous étiez faufilés à son bord en proposant de faire quelques temps de travail gratuitement si ils vous amenaient sur la prochaine île. Personne ne serait au courant de ce crime à part vous, oui, personne ... c'est ainsi que tu t'imposa comme Leader au sein même de ce petit groupe, il y'a de cela quatre ans. Aujourd'hui, encore sur les Blues, tu compte bien mettre une main sur le monde et engendrer un trafics d'esclaves conséquents dans le dos de la Marine, ton histoire, continue !


Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Je suis Josh
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! Josh est divin, faite que le divin soit clément #LècheBottes




Dernière édition par Elisa Wellington le Ven 15 Juin - 15:26, édité 1 fois
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Ziara


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MessageSujet: Re: Jouons caché, vive l'esclavage   Jouons caché, vive l'esclavage EmptyVen 15 Juin - 15:18

Et voilà ! A toi Joshnounet !!
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Phendrana Kane
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MessageSujet: Re: Jouons caché, vive l'esclavage   Jouons caché, vive l'esclavage EmptySam 14 Juil - 12:11

La validation est toujours d'actu ? Lolita ?
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Kara Frogzit
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MessageSujet: Re: Jouons caché, vive l'esclavage   Jouons caché, vive l'esclavage EmptyVen 20 Juil - 21:37

Yo ! Je mets tout ça dans les archives, un petit Mp et tout est réglé
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