Ambroisie S. Alade

Notre histoire commence il y a trois décennies, qu'elle que part sur le nouveau monde. Je ne puis donner une position GPS précise, car ce lieu est mouvant. Non, il ne s’agit pas d'un bateau, mais bien d'une île. Une île perchée sur un éléphant géant, géant au point d’être grand même pour un géant. Il s'agit de l’île de Zo.

Cependant, ce n’est pas l’île qui nous intéresse, mais un événement survenu un doux jour de printemps. Des cris de douleur suivie de cris de joie, c’est cela le miracle de la naissance. C’est là qu’est apparu Ambroisie aux milieux de 4 autres sœurs. Et oui que voulait vous les lapins sont du genre productif à ce niveau-là. Ha oui, je ne vous l'ai pas dit, mais les habitants de cette île, sont aussi étrange qu’elle. Les Minks, comme on les appelles, sont des sortes d’hybrides entre humain et animaux, plus précisément des mammifères à fourrure.

Cette île isolée du monde était un terreau fertile à la tranquillité mais pas à l’exploration… Mais ça ce n’était pas encore le problème du lapereau. Elle est c’est sœurs furent chouchouté, bordé pourri gâté, à un t’elle point qu’elles en étaient étouffés… Très vites, tout cette amour étouffant donna à Ambroisie une envie de respirer. C’est à l’âge de 5 ans qu’elle effectua ça première fugue. 
La famille Alade est une famille importante de Zo. De ce fait, les enfants étaient protégées et surveiller. Une barrière entourée le domicile familial, Celle si ne faisais que deux petit mètre, mais pour des enfants c’était très grand. Malgré cela Ambroisie réussie tout de même, après de nombreuses tentatives, a sauté par-dessus et aller exploré l’île. 
Cette île, elle ne la connaissait que du point de vue de ces parents, la ville, l’arbre baleine, point barre.
Elle avait envie de voir d’autre choses, elle partie donc à l’opposer. Elle passa la journée entière à gambadé dans une des forêts environnante elle trouva énormément de joie dans l’exercice d’exploration et de découverte. Exercice de courte durée malheureusement, son père la rattrapant avant la nuit. Le lendemain, la barrière avait gagné un mètre. Que notre chère lapine blanche finie par sauté également. Et cela continua pendant longtemps. Ambroisie s'enfuyait, la barrière gagner en hauteur, ça devint une habitude.

Faisons un bon de lapin dans le temps, 11 ans plus tard pour être précis. 
La barrière fessait maintenant 22 mètre, et ne pouvait monter d’avantage sans risque de s’écrouler. Mais ça n’arrêtait toujours pas notre bien-aimée lapine. Mais elle faisait moins preuve de dissidence ces derniers temps, vu que son père l’entraîner au combat avec une autre de ces sœurs. Évidement comme tous les Minks des l’enfances, les 5 sœurs avait était entraîné au combat et à la maîtrise des pouvoirs électriques des Minks. Mais elle et ça grand sœur Salsepareille avait plus de facilité que les trois autres dans les pratiques du combat. Ambroisie n'aimer pas spécialement combattre, mais il s’agissait de la seul activité qui lui était autoriser sans qu’elle ce sente traité comme une petite poupée fragile. 
Avec ça grande sœur elle entretenais une relation d’amour haine assez visible. En même temps, ces deux êtres était opposer. Ambroisie était qu’elle qu’un d’extraverti, tout le temps joyeuse, moqueuse par moment et bougrement dissidente, Salsepareille était introverti, le visage continuellement fermé, elle était membre du club du premier degré et était plus obéissante que l’obéissance. Cependant, il y avait un point commun, elle n’était pas de faible, petit lapereau coquette comme leurs sœurs. Et pour ça elles avaient un profond, mais dissimuler, respect l’une pour l’autre.

À leur 17éme anniversaire les deux sœurs furent emmené par leur père sur l’arbre baleine. c’est ici qu’il raconta à ces héritières le rôle de leur famille au saint de Zo.
- Les Alade sont une famille qui a de l’importance à Zo comme vous le savez. D’ailleurs comme je l’ai dit à votre sœur Mandragore, ce n'est pas par ce que nous somme important que nous devons nous croire supérieurs au autre Minks...
- Papa, tu t'égares.
- Ambroisie, ne coupe pas notre père ainsi.
Le ton condescendant de Salsepareille fit souffler Ambroisie, qui se mit à bouder.
- Tousse tousse, Bon, bref, reprenons. Je disais ... Heu...
- Et voilà, il s'est encore perdu. dit ambroisie d'un ton désespéré tout en levant les mains au ciel.
- "Les Alade son une famille qui a de l’importance à Zo’’ cita Salsepareille d’un ton calme et posé.
- Ha oui, les Alade sont importants, car depuis de nombreuse génération un a deux membres de notre famille sont choisies pour faire parti du groupe qui veille sur l’arbre Baleine. C’est d’ailleurs pour cela que nous faisons parti des rares Minks a pouvoir vivre nuit comme jour. Cette Mission nous est confiée directement par le roi de l’aurore. Mais ça ne nous incombe pas par le droit de naissance. Pour ce privilège, nous nous entraînons très dur. Et vous allez devoir a votre tour assumer ce rôle. Salsepareille, tu es née en première et tu es la plus forte, ça sera toi un jour la chef de famille et tu sera en charges de protéger le secret de cette arbre, mais je compte sur toi aussi Ambroisie. Ta sœur aura besoin de soutien, tu es une moins bonne combattante, mais tu es bien plus doué en vitesse, tu as des qualités propre qui feront de toi une l'allier essentielle.

Ambroisie était sur la tête de Zunesh, elle contemplée la mer, pensive. Protéger l’arbre baleine et son secret… C’était la une tache importante, mais qui semblais si… immobile. Ambroisie aimé exploré, et resté à regardé un arbre millénaire pousser lui paraissaient une vie si ... fade.
- Encore en trin de bouder ?
Ambroisie fit un bond de trois mètres.
- Qu… Qu’est... Qu’est-ce que… Tu fais là… Sal… Salsepareille. 
Son cœur bâtait la chamade et son souffle était court. Elle était tellement plongée dans s’est pensée qu’elle avait était totalement surprise.
- Tu viens toujours ici quand tu es pensive. Tu sais que cela est interdit au fait ?
- Oui, oui… Mais d’ailleurs qu’est ce que tu fais là ?? Non mais sérieusement ? Tu n'as jamais franchi aucune règle !
- Aujourd’hui est l’exception qui confirme la règle. Tu seras en effet une alliée formidable. Personne ne connaît mieux la forêt chez les Alade que toi. Et même si je suis la plus forte, tu es la plus agile et rapide. Ensemble nous serions invincibles.
- Ouiaiiiiiiiiiii.......................
On pouvait aisément entendre son manque d’enthousiasme dans ce cri de ‘’joie’’ peut convaincant.
- Mais ça n’arrivera pas !
- ? Ambroisie était des plus étonnés par cette réponse. Elle releva la tête et tandis les oreilles d’un coup. 
- Je ne te vois pas resté en place plus d’une journée. Tu n’es pas faite pour surveiller, mais pour explorer.
- Explorer ? J’ai fini d’explorer l’île, il y a bien longtemps.
- Et tout ça ? dit t’elle en pointant l’horizon.
- La mer ? Il n'y a rien à exploré dans l’eau… dit-elle avant de se prendre un coup de patte de ça sœur dans la tête. Hé ! répliqua Ambroisie tout en ce frottant la tête et en là faisans.
- Il n'y a pas que de l’eau, tu n’as jamais entendu la légende du clan des singes qui dit qu'un Minks a fait le tour du monde ? Il a rencontré nombreuses îles sur le chemin.
- Mais oui, tu as raison ! Elle se releva, les oreilles dressées, prête à bouffer le monde. Mais une seconde plus tard ses oreilles tombèrent et elle s’affaissa. Mais les parents ne me laisseront jamais partir…
- Ouais possible, mais il suffit de leur demander.

- C’EST ABSOLUMENT HORS DE QUESTION !
Une fois rentré, la question avait était posé, mais la réponse ne c’était pas fait attendre comme vous pouvez le voir. Mais ce n’était pas fini, jusque la les deux sœurs étaient plutôt sereine. Jusqu’à ce que…
- Persil mon chéri, que ce passe t’il ?
- Ma cher Ciboulette, Tes filles veulent quitter Zo.
-QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.
La, les deux sœurs devinrent livide.
- Maman est énervée.
- Ouaip
- On fuit ?
- Ouaip
Les deux sœurs fuirent donc à toute vitesse. Ambroisie aida Salsepareille à sauté par-dessus la barrière et elle filèrent en direction de l’arbre baleine.


Une fois bien cacher derrière une des grandes racines de cet arbre millénaire, elle pouvait souffler. Cependant, le repos fut de courte durée, ce qu’elles comprirent quand un sabre se planta entre elles.
- Çà, c’est le Kasaha.
- Le Kasaha, mais c’est le sabre de… elle levèrent les yeux pour pouvoir observé une silhouette d’une lapine à contre jours ... salut maman hihi son petit rire crispé n’arranger pas la situation, malgré le contre-jour. Les deux jeunes lapines pouvaient sentir le regard noir de leur mère.
 - Alors comme ça, vous voulais quittée Zo ?
Il y eu un court moment de flottement avant que Salsepareille répondit en pointant ça sœur du doigt.
- C’est elle, c'est pas moi !
- Traître, s’indigna Ambroisie avant de se faire attraper par les oreilles et soulevé à la hauteur de sa mère. 
- Tu ne partiras pas de cette île, on est en sécurité ici. Compris !?
Pendant un instant Ambroisie hésita à dire oui, à ce résigné. Mais si le vaste monde était son destin, il ne fallait pas ce dégonflé.
- N… Non ça crédibilité n’était pas optimale, elle était pendu par les oreilles et en boule.
- Pardon !
- Je ne ... ne veux pas resté ... Immobile, j’ai besoin d’… Explorez le monde… de voir plus que cette ...île…
Ciboulette avait déjà entendu des mots similaires par le passer. Cela se voyait à son visage. Bien qu’elle avait une apparence similaire à Ambroisie, elle avait plutôt le caractère de Salsepareille, du coup Ambroisie n’avait rien vue, pas Salsepareille. 
Ciboulette lâcha ça fille, qui tombât. Aie et pendant que la fille se remettait de ces émotions, la mère pris une décision.
- Si jamais un vrai Minks revient vivant, je te laisserais partir. Mais en attendant fini les petits entraînements cools avec ton père, maintenant, c’est moi qui vais t’entraîner.
La jeune lapine blanche réussie à avoir un teint encore plus pale. Ce qui fut ponctué par un.
- Je ne savais pas qu'un lapin blanc pouvait être encore plus livide… de sa sœur.


Le lendemain, l’entraînement commença.
L’entraînement de la maman lapin avait trois buts. 
• 1 endurcir Ambroisie, 
• 2 apprendre la maîtrise du sabre à Ambroisie, 
• 3 décourager Ambroisie. 
Et bah oui, maman lapin n’était pas du genre à encourager ça progéniture à partir de l’île, c’était même le contraire. Cependant, elle savait bien qu’elle ne pourrait pas retenir ça fille la plus dissidente éternellement... Donc elle l’entraîner à la dure pour lui permettre de survivre à ce monde qui lui fessais peur.

Spoiler:

Après la première semaine d’entraînement intensif avec sa mère, Ambroisie était sur les rotules. Elle avait besoin d’une pause, alors elle alla rendre visite à son ami ours Tsuyoshi. L'ours était charpentier, il travail notament sur un de ses fameux projet. Notament un bâteau, les copeaux de bois avais pénétré sa fourrure. Un bruit le distrait de sont travail, il vis la petite lapine d'Ambroisie. Sont air froid laissa apparaitre un grand sourire
- Salut Lapine !
L'ours put voir très vite que qu'elle que choses n’allaient pas, la lapine qui habituellement lui sauté dessus à coup de graou-bizou, semblais entre épuiser et triste, trispuiser. 
- Salut Nounours...
L'oreille droite de Tsuyoshi bougea et vis que la Lapine n'allais pas bien. Il posa ses instrument pour travailler le bois, enlevea le tablier puis se dirigea vers sont amie, vu la taille il posa un genoux a terre puis posa ses énormes pattes sur c'est épaules
-Sa va pas ? Dis t'il en penchant la tête sur la gauche.
- Non pas trop, elle se jeta à son coup pour lui faire un câlin Graou-bizou quand même. Pfff
Le regard de l'ours s'arreta de briller quand elle dis qu'elle allais mal, le quel l'avais emmerder... si c'était le cas, il allais lui casser la gueule. Il la pris dans ses bras en la serrant contre lui avant de la laisser partir s'assoir. Il se releva et la regarda.
Elle le lâcha et chercha un endroit pas trop occupé par le bois pour s’asseoir.
- Pfff... J'ai pris une décision. J'ai décidé de partir de Zo pour explorer le monde ...
- Tu veux partir de Zou? Hm.... Croc Blanc est partit. Et pour te dire j'allais partir. Le bâteau que je contruis actuellement est ma derniere création. Il la regarda et posa sont épaule [color:63cb=#Brown]Tu devrai attendre avant de partir.
Ses oreilles se redressèrent.
- Tu t'en vas ? deux lueurs ce décelé dans ces yeux, de l'espoir et de l’inquiétude ce que je ne t'ai pas dit, c'est que ma mère a passé un "pacte" avec moi. Si un Minks revient du monde extérieur, j'ai le droit de partir à mon tour. Mais pourquoi toi, tu me dis d'attendre ?
Il l'écouta et souris en voyant les lumières dans ses yeux. Puis il l'écouta avant de lui dire
- Oui je m'en vais,je fini le bâteau et je taille ma route. Hehe... Je vois que ta mére te laissera pas partir. Il viens posé sont front contre celui de la Lapine Tu n'est pas prête. Je me suis entrainner toute ma vie. Je veux juste découvrire le monde des hommes.
-Hé elle fit une grimace moi aussi, je me suis entraîné. Tu ne vas pas me dire que toi aussi, tu me prends pour un petit lapereau fragile. juste après avoir prononcé ces mots, elle sentie un choc électrique, l'un des coups que lui avait porté ça mère la relancer, comme pour la narguer. Bon OK je ne suis peut-être pas aussi solide que je le croyais, vu que ma mère me tape dessus depuis une semaine sans que je n’arrive à me défendre. Mais ce n'est pas une raison puis elle se mit à bouder. Et puis je pourrais faire une super second d'un équipage de fier matelot bon, là elle ne savait pas de quoi elle parler et ça se voyait un peut. Mais son ego qu'est ce que vous voulez.
Il souria et garda le front coller contre le siens, une main venant se poser sur l'arriere de sa tête, l'ours ferma les yeux
- T'est mon petit lapereau fragile Il souria de toute ses dents Peux-être. Devenir pirate ? Krararaara.... dis t'il en rigolant Tu sais, continu de t'entrainner, je viendrais te chercher. J'te tirerai pour crée notre équipage Dis t'il avec une certaine lumiére dans ses yeux.
Elle arrêta de bouder, l'inquiétude avait pris le pas sur l'espoir, même s’il resté présent. 
- Tu... Tu me le promets ? Tu reviendras ? Sans faute ?
Il la regarda en plongeant ses yeus dans les siens
- Oui je reviendrais en un seul morçeau. En attendent... Entrainne toi pour pouvoir être ma seconde. Dis t'il en souriant.
Elle s'extirpa de l'emprise amical de l'ours tout en arborant un large sourire. 
- Très biens, dans ce qu'a, je vais me donner à font dans mais entraînement avec ma tyrannique de mère. Toi, tu reviendras et on fera le meilleur équipage de Minks du monde.
Sa fatigue semblait avoir disparu, elle sauta dans tous les sens prenant des pose héroïque comme si elle se battait contre des ennemies imaginaire. Enfin jusqu’à ce qu’une douleur la paralyse dans une de ces dites positions héroïques. Elle fessait mine de rien.
Sa lui fis plaisir de la voir reprendre vie d'un coup, il se relevea et lui tapota la tête
- J'suis sur que l'électro tu le maitrise pas. Dis t'il pour la provoquer avant de remettre sont tablier de charpentier
- Fait attention a ta santé Lapinette.
Au moment où il la provoqua, Ambroisie oublia la douleur. Elle attendit que l'ours ait remis son tablier et ce soit retourné. 
- Très bien, mais avant de partir un petit cadeau.
Elle bondit d'un coup, utilisant sa grande rapidité pour ce lancé vair lui et frappa son bateau en construction, les étincelle furent suffisamment visible pour prouver à l'ours qu'il avait tors. Puis elle lui mordit l'oreille en signe d'affection amical et s'en alla.
Il se retourna en voyant les eteincelles frapper mon bateau.
-PUTAIN MON BEBE !! MONSTRE !! Dis t'il en venannt se faire croquer l'oreille.
- Dit moi quand aura lieu la mise à l'eau que je vienne te dire au revoir. Elle lui fit un clin d’œil et parti.
- Ouais j'te préviendré, aller fille ! avant que j't'en mette une!
...
Un temps indéfinie, plus tard, la lapine revint voir l'ours. Son bateau était prés même si on pouvait voir un petit roussissement du a un choc électrique sur la coque. 
- Salut nounours, GRAOU-BIZOU. elle sauta sur l'ours. Prêt au départ ?
Il avais fait les dernieres modificidations , il été prét a partir. Il se fit déçut
-Salut Lapine, ouais pret. J'attendais ton arrivé.
-J'ai un cadeau pour toi !, elle sortie de son sac un Jolly Roger.

Spoiler:

 Le drapeau était parfaitement cousue, ce qui ne ressemblais pas à son travail.
- Évidemment, c'est moi qui l'ai fait, hihi. tout à coup une autre Lapine sorti de nul part.
- C'est faux, je te rappelle que tu ne sais même pas repriser une chaussette alors coudre un drapeau, Ha.
La Lapine rousse à lunette qui ressemblais beaucoup à Ambroisie était évidemment une autre de ses 4 sœurs.
- Aubépine tu peux me laisser faire des cadeau s'en tout gâcher ? 
A partir de la les deux Sœur commençait a ce disputé comme des chiffonnière.
Il se tourna vers la Lapine, il regarda le Jolly Roger.
-Heheh s'pas mal... Dis t'il avant de voir une de ses petites soeur. Il viens rigoler en les voyants se disputé Sa rappellera Zou au moins les filles Il finisser de faire sont sac.
- Bon, OK, ce n'est pas moi qui l'ai cousu, mais c'est moi qui en ai eu l'idée. Et c'est fait exprès que ça ressemble à Zo. C'est pour quand, tu auras le mal du pays dit t'elle avec le sourire.
Il souria, en vint prendre les deux lapines dans ses bras.
-Merci les filles , j'oublierais pas qui je suis et d'ou je viens quand j'aurrrai rencontrer les hommes.
- Et n'oublie pas, tu reviens en un seul morceau, et moi, je m'arrange pour qu'on ne t'érige pas un monument funéraire comme pour Croc Blanc, entendu ?
-Hm.... Laisse les faires. Sa donnera l'illusion a mon pére d'avoir réussis sa vie. Il lui caressa la tête.
- Et moi qui me plains de mes parents, rigolât elle.
C'était l'heure de la mise à l'eau, Ambroisie essaya d'aider, mais la force physique n'était pas ça qualité première, heureusement que Salsepareille, était là pour aider et revaloriser les Minks lapin.
Il tira le bâteau jusqu'au point de rendez vous.
- Sur Zou appart a toi et tes soeurs je manquerai a personne ! dis t'il en riant , il accrocha le jolly roger
- Le marchand de bois et d’outils aussi, non ? répondit-elle en riant, c'est petit échange vont me manquer à vrai dire.
- Moi ça m’arrange que tu partes, comme ça Ambroisie ne s'éparpillera plus et se concentrera sur son entraînement. dit Salsepareille l'air toujours aussi sérieuse.
- Hé, mais c'est méchant ça ! 
- Ouaip ambroisie lui fit les gros yeux.
Il les regarda en haussant les épaules
-P't'étre en attendent Salsepareille, Ambroisie est une super personne la dénigre pas rigole.
- Ouais, bien dis, ne me dénigre pas, je suis super forte.
- Je le reconnaîtrais le jour où tu me battras dans un combat singulier. Ambroisie ce mis à boudée.
- Bon, on le jette à l'eau ce rafiot !
Il regarda la soeur d'Ambroisie en soupirant
- Tu verra quand je reviendrais j'te ferrai avaler ton sifflet. Dis t'il se mettant a côté du bâteau. Il posa ses grosse mains avant de les regardé. Se n'est qu'un aurevoir les filles ! Merci pour tous !
Les au-revoir était arrivé. Avec le temps, les 4 sœurs d'Ambroisie avaient côtoyé l'ours, de ce fait elles étaient toute venue. Athelas apporta même une réserve de carotte et un des livres qu'elle avait écris, pour le voyage.
- Bon, c'est le moment. Qu'elle qu'un veux dire un mot pour la postérité ? dit Ambroisie.
Mandragore, la chipie de la bande s’avança et commença un éloge funèbre. 
- Nous sommes ici pour mètre à l'eau ... l'ours dont j'ai encore oublié le nom. Qu'il repose en paix, j’espère que de la haut il ...
- Qu'elle qu'un d'autre ? Coupa Ambroisie, légèrement agacé.
- Dit, tu fera mieux l'éloge funèbre pour Ambroisie quand elle partira j’espère!?
- Athelas ne t'y mes pas s'il te plaît.
Toutes se mirent à rire, sauf Salsepareille qui ne riait jamais, et Ambroisie qui en avait marre d'elles.
Il soupira en les voyans les soeurs se disputé, avec sa grande force il tira le bâtea sur la pente et monta d'un coup sec en fesant les aurevoirs en ayant au préalable pris les carottes et les livres. Il fit de grand signe au filles
-MERCIIIIII A LA PROCHAINE LES LAPINES !
Les Lapines répondirent en même temps.
- À la prochaine, bon voyage ! avant de le voir disparaître. 
- Il va me manquer mine de rien dit Mandragore. 
- Tu parles, tu n'arrêtais pas de l’embêter répliqua Aubépine.
- Bah justement l’embêté vas me manquer.
- Hahahahaha.
Les autres sœurs partirent, laissant Ambroisie seul face à la mer. 
- Ta intérêt à revenir, mh. murmura t'elle bon c'est l'heure de me faire torturer par ma mère. Espérons qu'elle sera de bon poil, l’entraînement sera moins dur ...



Un nouveau bon de lapin de 10 ans. (si cette blague est drôle, vous y connaissait rien)
Salsepareille avait réussi à se faire intégrer à la garde de nuit ce qui était le premier pas pour devenir un membre des gardes de l’arbre baleine. Ambroisie quant à elle, avais déçu son père, car ce n’est pas la voie qu’elle suivie. Par contre elle était tout aussi importante, car elle avait intégré les Oiseau Royal. 
Cela fessait 10 ans que Tsuyoshi était parti, et toujours pas de nouvelle. Ambroisie ne savait pas si elle était plus inquiète pour lui, ou pour son rêve d’explorer le vaste monde, mais quoi qu’il en soit elle était inquiète. Et cela fut remarqué par son professeur d’escrime. Ciboulette frappa sa fille à la tète avec le dos de sa lame.
- AIIIIEEEE, maman ! Ça vas me laisser une bosse désagréablement douloureuse ce genre de coup, dit-elle en ce tenant la tête.
- Tu n’es pas concentré aujourd’hui !
- Ouais, je sais, elle regardée le ciel ça fait 10 ans aujourd’hui qu’on a passé le pacte et bientôt tout autant d’année que Tsuyoshi a quitté Zo.
- Ton Amis Ursidé ne reviendra pas, il est mort.
- NON, il reviendra, il me la promit.
- Je suis désolé ma chérie, mais c’est mieux pour toi !
- Pourquoi tu es si réticente à l’idée que je pars ? Au moins un Minks est déjà revenu.
- Sun Wu'Kong n’est qu’une légende. Aucun autre est revenu. sur le vissage peut expressive de Ciboulette ont pouvez décerner un soupçon de tristesse à ces mots. Et cette fois Ambroisie pus le distingué.
- Et qui est la personne que tu connaissais qui n’es jamais revenu ?
- … Ciboulette gardé le silence. Elle se ferma plus qu’habituellement. on reprend l’entraînement, si tu arrives à me battre, je t’en dirais peut-être plus.
Il n’en fallut pas plus pour re-concentrer la jeune Minks. Elle attrapa son sabre et ce mi en garde. Ce fut donc la mère qui engagea les hostilités Kasaha, Iaido. Ambroisie pus esquivé ce coup, mais seulement car Ciboulette ouvré toujours un combat de cette manière. Ambroisie savait que sa mère lui était techniquement supérieur, il fallait donc rusé... En fuyant. L’environnement pouvez être aussi bien un inconvénient qu'un avantage. Et l’avantage c'est qu'Ambroisie connaissait bien cet environnement. Sa mère avait les mêmes capacités en saut est rapidité, mais bien plus agile avec un sabre. Donc il fallait l’empêcher de l’utilisait correctement. Ambroisie alla zigzagué dans les forêts les plus denses du coin. Mais c’était à double tranchant, car elle ne pouvait pas non plus attaquer et c’était sensé être un combat d’escrimeur. Cette stratégie avait toujours était payant à cour terme, mais finissait toujours par échoué, il fallait aujourd’hui faire preuve d’audace. Elle sortit un peut plus à découvert, mais elle n’arrêta pas d’utiliser l’environnement, les racines de l’arbre baleine était grande, elle sauta dessus de façon à être toujours en hauteur, dans un combat de sabre celui au-dessus a le dessus. Ce qui permit à Ambroisie de tenir bon, mais ce n’était pas suffisant. Elle finit par perdre l’avantage et re-descendis en bah de l’arbre baleine. Elle tenta le tout pour le tout. Elle laissa sa mère charger. Elle était sur une racine donc avait le dessus théoriquement. Juste avant le moment d’impacts elle sauta sur la lame pour la bloquer avec le pied. Mais avant de pouvoir asséné un coup à sa mère, cette dernière utilisée les capacités électriques des Minks pour électriser son sabre. Ambroisie lança le sien en l’air et sauta pour éviter l’électricité. Mais sa ne signiez là que sa défaite, car Ciboulette put répliquer avec un coup de sabre en plein torse, évidement seule les vêtement avait était entaillé. 
Ambroisie maintenant à terre, pouvait profiter d’un discours de sa mère.
- Tu as perdu, la vérité ne te sera pas… Elle fut coupé par une branche qui s‘écrasa sur sa tête. 
- J’ai gagné.
La mère qui se tordait de douleur à terre en ce tenant la tête répliqua. 
- Rêve… je t'ai tué avant, ... à l’extrême rigueur c'est un matche nul.
- Bon bah ça fait 6 624 défaite pour 1 nul.
- Ça ne t’apportera pas mes aveux.
Ambroisie aida sa mère à ce relevé et elle rentrèrent, toute deux de bonne humeur, pour une fois.



Mais un jour un Minks loup revint. Le fameux Croc Blanc. La légende des suicidaires ne s'était pas suicidé comme tout le monde le pansé, Car, non seulement il n'était pas mort, mais il avait rejoint les plus haut rang de la marine. Bon Ambroisie ne savait pas vraiment ce que la marine représentait, mais elle était tout de même impressionné. 
Le pacte était accompli, désormais Ambroisie pouvait partir. Cependant… Ce n’était pas Tsuyoshi. C’est là que le dilemme était donc, sois elle restée à attendre son ami, sois elle partait de suite sans lui… . C'est comme choisir entre une succulente fricassée de carottes et une délicieuse salade de pissenlits. C'était trop difficile pour la pauvre Ambroisie.  

Bon, concentrons-nous sur le loup pendant qu’Ambroisie se décide. 
Le loup blanc en imposer. Ce n’était pas le Minks qui en imposer le plus, la reine de la nuit le dépasser par exemple, mais tout de même. Il fessait 4 mètre de haut, avait une vois fort qui lui suffisait pour son discours sans aide d’un qu’elle qu’on escagomégaphone et une prestance qui trahissait une confiance en lui très grande. De plus son style était pas mal non plus, un manteau décoré richement et de nombreuses décoration militaire.

▬ Mes amis, Zo est une terre magnifique, mais il arrivera un jour où des personnes mal intentionnées la découvriront et tenteront de s'en emparer. J'ai dédié mes vingt dernières années au combat, affrontant sans relâche les criminels les plus redoutables de ce monde. J'ai parcouru des océans et découvert des trésors de beauté, et bien que rien ne me puisse jamais me faire oublier cet Éléphant qui nous a tous vus naître, je ne puis me résoudre à abandonner cet océan sur lequel il marche sans relâche.
- Tu parles des "personne mal attentionné", mais le jour où ils arriveront, qui les combattras ? Vu que tu veux emmener nos meilleurs et futurs guerriers !
Ambroisie reconnue facilement cette voix, vue que c'était celle de son père. Il en imposer peut être moins de son petit-maître soixante-dix, par contre il était respecté sur l’île et ses paroles étaient prises au sérieux. Malgré cela, Croc blanc sue quoi répondre.
▬ Beaucoup d'entre vous me prennent pour un fou. Ils le faisaient déjà lors de mon premier départ. Je ne suis pas ici pour corrompre vos enfants ni pour les dérober, je suis simplement venu pour leur indiquer que, s'ils le désirent, je peux les aider à s'épanouir d'une façon... Différente. Qu'il y a autre chose qui les attend s'ils le souhaitent.

Ambroisie devait choisir à présent, entre ours et loup. Resté à attendre son ami, avec son confortable poste d'Oiseau Royal, sa famille et ses réserves de carotte. Où partir, exploré le monde comme elle en rêvé maintenant depuis dix longues années. Attendre dans l'espoir d'une promesse qui n’arriverait peut-être jamais, en abandonnant ces rêves d'exploration. Où abandonner son ami ours. 
Finalement ce net pas cette dernière solution qu'elle choisis. Abattu les oreilles tombées, elle se résigna. Allant pour partir, elle avait les yeux pointés sur ses pieds, quand elle heurta qu'elle que chose. C'était grand, dur, mais pas trop, avec des poils, bons, c'était un Minks quoi. Ambroisie leva la tête pour voir qui elle avait heurtée et s’excusait. Mais quand elle vit le visage familier de l'ours, le sien s’illumina et ses oreilles se redressèrent ses yeux se remplir d'étincelle.
- Nounours ? GRAOU-BIZOU !
Ce graou-bizou ne semblais pas lui faire plaisir cette fois. Qu’elle que choses avait changer en lui, son aura de bienveillance avait disparu, son vissage traduisait une complexité dérangeante. Ambroisie avait, à vrais dire, un peu de peur, pas du Minks en temps que t’elle, mais de ne pas retrouver son ami. 

La vie était parfois étrange. Ambroisie rentrée chez elle remplie d’autant de détermination que de peur à l’idée d’annoncer son départ. Elle comptée bien rejoindre les troupes de crocs blancs. Elle savait déjà que sa mère piquerait une crisse et que son père serait déçu et accusateur. Mais en réalité ce qu’elle trouva n’était pas tout a fait ce qu’elle penser.
Elle était arrivé devant la porte, elle s’arma de courage ouvris cette satanée porte et… 
- Maman, Papa, je…
La scène qu’elle voyait était inhabituelle, son père qui était naturellement calme et sympathique, était à couteau tiré face a un invité. Cette invitée n’était pas n’importe qui carre, c’était le fameux Croc Blanc. Quant à Ciboulette, elle était à moitié allongé sur la table une bouteille de saké a la main. 
Ambroisie ne savait pas comment réagir. Elle avait les yeux écarquillés, la tête pencher à 45 degré sur la droite et les oreilles qui avait pris des formes à géométrie variable.
- Bonjour mademoiselle
- Au toi, ta gueule t'a perdu le droit de parler quand tu a quittées Zo !
- Oui, je sais, tu m’en veux d’avoir abandonné Zo. Mais ça fait 30 ans et tu croyez que j’étais mort le pardon n’est-il pas de rigueur ?
- Non ! Et quand à toi Ambroisie tu la fermes aussi, je sais ce que tu veux annoncer et c'est non, tu ne partiras pas avec ce traître.
- Tu m'as déjà volé mes sœurs, tu ne me voleras pas mes filles, dit Ciboulette en lançant son verre vide.
Croc Blanc esquiva puis rattrapa le verre avec une aisance et une rapidité que même les Minks lapin lui envièrent.
- Je suis désolé pour Basilic, Tomate et Lavande. Mais elles ne sont pas venu avec moi et je ne leur ai pas demandé de partir. Maintenant, les Minks Qui viendrons avec moi ne seront pas de la chair à canon et ne seront pas livré à heu même, il y a de grande chance qu’il revienne et même si il ne revienne pas, ils se sacrifieront pour protéger le monde et donc Zo par extension. N’est ce pas ce que tu souhaites Persil ? Protéger notre île natale, même dans notre enfance, tu ne pansés qu'a ça.
- Et quand vous serait parti, qui sera là pour protéger Zo en elle-même ? Quand des pirates nous attaqueront directement ? Il se ferma et quitta la pièce.
Croc Blanc soupira, il semblé un peut triste, et comment lui en vouloir apparemment, il était plutôt détesté par ces anciennes connaissances. Il quitta la maison des Alade, mais en passant, il parla à Ambroisie.
- Si partir vous intéresse malgré l’avis de vos parents, nous parton après demain sur les coups de midi. Ambroisie lui répondit par un hochement de tête que le loup lui rendit.

Le jour du départ une bande de Minks c’était réunie à la porte d’entrer de Zo. Cette bande était bien hétéroclite. Du singe cuistot à la panda alcoolique, du chat sans poil au tigre au pelage soyeux, de l’ours grand et fort à la lapine petite et agile. Et encore plein d’autre. 
Il y avait aussi les familles et amis de tout les ‘’suicidaires’’. La plupart étaient là pour les suppliées de revenir sur leur décision de quitter Zo. Sauf pour Ambroisie, aucun Alade n’était venu pour ce départ-là. À si, elle voyer Athelas courir vair elle avec deux gros sac, ce qui expliquer son retard.
- Je t'ai apporté une réserve de carotte avec des restes de pissenlit, et ça ce sont des livres pour le voyage, évidement ces moi qui les est écrie alors si tu croises des bibliothèques tu peux leur en faire dont.
- Ouais, tu veux que je face ta publicité quoi ? Haha, ok pas de problème petite sœur. Et les autres ? Elle m’en veulent à ce point ?
- Rho non, pas temps que ça, sauf Aubépine qui veux plus te parler et Mandragore avez juste autre choses à faire.
- … un silence gênant se fit entendre au fait pourquoi tu n'as pas donné autant de livre à Tsuyoshi ?
- Je ne penser pas qu’il survivrait assez longtemps pour en faire la distribution.
Ambroisie ce mit à rire, Athelas la suivie, mais elle furent coupé par des membres de la marine qui annoncer le départ. Enfin, après avoir réussi à s’extirpait des graou-bizou que les Minks affligé au pauvre Minks simiesque sans poil. Bref, Ambroisie dit au revoir à ça sœur et embarqua dans la barque-ascenseur qui allait les mener en bah de l’éléphant millénaire qui les avait vue naître. 


Alors que la barque descendait un élément inattendu débarqua. Salsepareille sauta sur les abords de la barque. 
- À bah j’ai faille attendre, tu es en retard pour les au revoir grande sœur.
- Désolé, maman m'a tenu la jambe, en plus, j’ai pris le temps de cacher le saké…
- Ta bien fait.
- Bon, je suis pas forte pour les au revoir alors... au revoir.
- Bon bah à la prochaine sœurette.
- Ce fut un plaisir, ha au fait, cadeau de maman, Salsepareille lança un parapluie avant de partir. Mais en réalité, ce n’était pas un simple petit parapluie, il s’agissait du Kasaha, le sabre légendaire, témoin de l'amitié entre Zo et le Pays des Wa. Ce sabre avait était donner à Ciboulette par le précédent Roi du Jour et elle ne sent séparé jamais. Le fait qu’elle l'ait donner à sa fille pouvait vouloir dire deux choses. Soit "je ne te pense pas capable de survivre, alors voila une bonne arme pour augmenté tes chances". Soit "bonne chance". Elle choisit de croire à la deuxième option.
*Merci maman* pensa-t-elle.

Une fois arriver sur le bateau Croc Blanc commença à s’époumonait, lançant ordre après ordre pour partir 
- … ET COUPER MOI CETTE CORDE ! dit-il en pointant la corde qui relier le bateau à la patte arrière gauche de Zunesh.
Ambroisie décida d’essayée son nouveau Sabre Kasaha, Iaido. Elle réussit donc à coupé la corde entourant la patte de l’éléphant sans entamer la peau de ce dernier. 
- Pas trop mal mademoiselle Alade… dit Croc Blanc.
- Merci répliqua Ambroisie avec un grand sourire.
- Mais peu mieux faire.
Ambroisie fis grise mine et ses oreilles tombèrent. Mais elle ne laissa pas partir le contre-amiral ainsi. Il y avait une question qui lui trotté dans la tête.
- Monsieur ? Vous avez l’aire de connaître mes parents ? Je voulais savoir pourquoi ils était si opposer à mon départ. Et qui son c’est "Lavande Basilic et Tomate" ?
- Hum ? Tu ne connais pas le nom de tes tente coté maternelle ?
- Des tentes ?, ma mère n'est pas fille unique ?
- Apparemment, ta mère n’aime toujours pas parler. Bon pour répondre à toutes tes questions. UN, oui, je connais tes parents, ton père voulait me forcer a intégré les forces de protection de l’arbre baleine. Ta mère était une de mes amis d’enfance. Deux et trois, ces liés, si ton père ne veux pas que tu partes c’est qu’il veut garder tout les Minks à Zo. Mais ta mère a de vraies raisons.. Elle avait trois sœurs, à ce que j’en sais elle son parti en suivant mon exemple et elle son morte… La peur qu’il t’arrive la même choses et la colère à mon égard font le reste.
- Hum, je comprends mieux, merci. Moi, je ne serais pas transformé en civet vous pouvait me faire confiance, dit-elle en souriant pour souligner l’ironie de sa phrase. Croc Blanc réagis en rigolant très fort, rire Qu’Ambroisie suivi.
- Garde cette attitude, elle pourra t’être utile.

Et c’était parti, en route pour l’école militaire et une nouvelle vie. Bientôt, tout le monde connaîtra le plus grand de tous les équipages, celui de ces déchaînés de Minks.