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 Ciro Corleone

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Ciro Corleone


☠ Messages : 3
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☠ Localisation RP : Présent-ation !
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Ciro Corleone

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MessageSujet: Ciro Corleone    Ciro Corleone  EmptyDim 27 Mai - 3:02



Ciro "Semaforo" Corleone








Prénom et Nom: Ciro Corleone.
Âge : 26 ans.
Sexe : Masculin.
Avatar : Nicolas Brown.
Groupe : Civils.
Métier : Ingénieur.
Espèce : Humain.
But : XXXX

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Fruit du Démon : Magu Magu no mi - マグマグの実.
Autres capacités :


Description physique

Physique du personnage


Description mentale

Mental du personnage


Histoire

† Il figlio della profezia †

« Parrain, l’enfant est né. »

Un jour d’hiver, alors que la neige recouvrait complétement le royaume de Verone, tu es venu au monde, avec déjà, un sourire carnassier qui te sied parfaitement. Ta famille était l’une des plus influentes de Grand Line, elle avait mains basse sur le trafic d’esclave. Sa réputation n’était plus à prouver. Ton père, grand parrain de cette mafia international, était surnommé « le boucher », sans doute pour ses excès de colères et ses massacres orchestrés contre ceux qui avaient, par le passé, voulu prendre sa place. Il détestait au plus haut point la trahison. Il considérait ses hommes comme sa famille et pensait, que la trahison, n’avait pas sa place dans une relation aussi intime que celle-ci. Sa vision de la mafia était archaïque, se fiant encore aux vieux codes du banditisme comme un prêtre de Saint Uréa se fierait à la bible, il ne cachait pas sa frustration et son dégoût quand il devait aborder des sujets comme les nouveaux moyens de communications ou encore les nouveaux organigrammes de ses concurrents. Il pensait qu’une famille mafieuse était semblable aux femmes en général, que sans une poigne de fer, l’organisation entière disparaitrait et les hommes, courageux et loyaux qui la composent, avec elle. Malheureusement pour lui, rares sont ceux qui partagent encore sa vision du banditisme. Pire encore, rares sont ceux qui, à son âge avancé, sont encore parrain dans une famille aussi importante que la sienne. C’est d’ailleurs à ce niveau-là que tu entres en jeu, toi, le fils du légendaire Salvatore Corleone.

Le jour de tes dix ans, toute la famille était présente. Tes descendants directs organisèrent un grand banquet pour ton anniversaire, l’alcool, les femmes ainsi que les armes étaient de mises. Tout était planifié à l’avance, le repas comme la réunion secrète entre les parrains des différentes familles mafieuses du coin. Les rassemblements comme celui-ci étaient rares, les tensions encore présentes entre les différents clans, les effusions de sang ainsi que les insultes n’étaient pas des choses peu banales lors de ce genre de rendez-vous. Et c’est ce qui se produisit malheureusement. Ton père, devenu alors trop vieux pour imposer le respect d’après les autres parrains, dut faire face à une coalition fougueuse emmener par la jeunesse dorée qui avait pris les reines de leurs paternels. Il tenta malgré tout de ne pas perdre la face, mais face à leurs motivations sans faille, il dut se résigner logiquement à céder du terrain et perdre le respect même des hommes qu’il avait sous son commandement. Gravé dans ta mémoire, ce jour funeste fut le dernier pour le légendaire parrain des Corleone. C’est d’ailleurs toi, alors que tu allais récupérer un ballon lancé trop loin par tes camarades de jeu du jour, qui retrouva son corps ensanglanté et criblé de balle. « Père ? Père ? » Dis-tu d’une voix craintive en tentant, malgré ton corps frêle, de secouer le corps inerte de ton paternel. Malgré ton jeune âge, tu savais ce que cela voulait dire pour toi et ta famille, c’était la fin d’une époque, la vôtre, à la tête d’un clan sans scrupule et puissant. Tu savais aussi, au plus profond de toi, que la vengeance serait obligatoire pour laver, dans le sang impur de ceux ayant commis ce crime, l’honneur de ta famille. Aujourd’hui tu sais clairement que c’est cet évènement qui t’a forgé et fait devenir le monstre que tu es et pourtant, peu bavard, peu de gens connaissent vraiment ta vraie histoire.

« Tout le monde sait ce qu’il lui reste à faire ? » Dis-tu d’une voix autoritaire tandis que tu fixais, un à un, la dizaine d’homme qui semblait être sous ton commandement. Le décor avait changé, tu n’étais plus sur l’île de Verone, mais sur Baterilla, sur South blue. Ta famille n’était plus une famille mafieuse, ta mère travaillait pour tenter de subvenir à tes besoins et même comme ça, elle n’arrivait jamais à joindre les deux bouts. C’était fini pour toi la classe à l’italienne, les grands palaces et surtout l’argent qui tombait du ciel. Tu te promenais, alors que tu n’avais que dix-huit ans, avec des chaussures trouées et une rage insatiable au plus profond de ton être. Ta mère tentait de te calmer quand la colère te submergeait, mais rien, tout perdre pour un homme comme toi et surtout, la cicatrice laissée par la découverte du cadavre de ton père n’allaient pas se refermer avec un simple câlin. « Dio Ti Aiuti. » Dis-tu alors avant de tourner le dos aux hommes à qui tu donnais des ordres. C’était la nouvelle version de la famille Corleone, ta version dans laquelle tu avais apporté plusieurs mises à jour.

Pour toi, plus de règle archaïques et démodés, seulement une seule : Tout le monde ici devait suivre tes ordres. Tu étais le seul qui pouvait décider pour la famille, personne d’autre. Malheureusement, ta famille n’était que l’ombre d’elle-même. Ce n’était pas une famille mafieuse par définition, mais plutôt un gang, car la vraie famille Corleone, celle que ton père avait commandée, était tombée aux mains de son second juste après sa mort. Ce dernier avait décidé poussé par les autres parrains locaux de Verone, de ne pas suivre les règles mafieuses et de ne pas te rendre, à toi le successeur héréditaire du poste, ce titre tant prisé. Au lieu de ça, il t’avait lâchement envoyé sur Baterilla en compagnie de ta mère, loin de ces histoires de clan et de pouvoir. Son but était logique, t’éloigner du pouvoir pour le garder, mais encore aujourd’hui tu te demandais pourquoi ne t’avait-il pas fait assassiné ? Certains disent qu’il est, en bon successeur de ton père, un bon mafieux et donc, qu’il ne tuait ni les femmes, ni les enfants. Ce qui était loin d’être ton cas, toi, l’homme qu’on appelle aujourd’hui « Semaforo », pour ton tempérament de braise et ton caractère … Magmatique.

Tes hommes avaient déjà bougés. Ils sont allés se placer, suivant ton plan, élaboré depuis plusieurs mois maintenant, à la lettre. Tu avais pris pour cible une réunion de mafieux en ville, dans un restaurant italien au centre-ville. D’un pas motivé, tu pénétras dans le restaurant, ta clope illuminant ton visage d’une couleur rougeâtre, faisant ressortir ton sourire carnassier. Les hommes devant toi se retournèrent, le parrain d’une des familles de Verone était dans le lot et semblait t’avoir reconnu, car sa peur se lisait clairement sur son visage. « Bonsoir messieurs. Je suis Ciro Corleone, fils du légendaire Salvatore Corleone, j’espère que je n’interromps pas quelque chose d’important ? » Dis-tu avec un petit sourire carnassier sur le coin des lèvres. « Que fais-tu ici ? Ton père est mort, tu veux vraiment finir comme lui fils ? » S’exclama alors le parrain avant d’enchainer avec un geste de la main en direction de ses subordonnés, leur indiquant de pointer leurs flingues sur toi. Malgré cette pression négative, tu ne bougeais pas d’un pouce, pire encore, le sourire sur le coin de tes lèvres ne cessait de s’agrandir. Aucune peur n’était présente chez toi, tu savais que ta mort n’était pas prévue aujourd’hui de toute manière, alors pourquoi devrais-tu craindre des pistolets ? « Je vois que l’image qu’avait mon père de vous est la bonne, celle d’hommes incapables de se mouiller, préférant envoyer des sbires faires le sale boulot à leurs places. Personnellement, je ne suis pas comme ça et mon père encore moins. On le surnommait « le boucher », vous savez pourquoi ? » Dis-tu d’une voix calme à en faire pâlir plus d’un dans cette pièce avant de reprendre après quelques secondes d’arrêt la parole. « Il tenait son surnom de sa capacité à faire le sale boulot. Voyez-vous, il se mouillait, ça ne le dérangeait pas, car contrairement à vous, il pensait que la famille était un tout et que même avec son statut de parrain, il devait montrer l’exemple pour que ses hommes continuent de le suivre. » Le regard noir, ton interlocuteur principal en la personne du parrain en face de toi, avait compris ton sous-entendu. Tu le traitais indirectement de lâche, même en ayant des armes pointées en ta direction et cette peur, qui normalement devait être tienne, se propagea doucement à l’intérieur de lui. Le sentiment avait changé de camp, tout comme la sueur qui commençait doucement à couler le long de son front et tout ça, seulement grâce à ta présence en ce lieu.

Ton aura envahissait la pièce, laissant transparaître crainte et dégoût sur les visages de tes interlocuteurs. Ce soir, tu n’étais plus ce petit homme qui avait perdu son père lors de ses dix ans. Tu n’étais plus Ciro Corleone, fils d’une légende mafieuse morte par négligence, non, tu étais seulement la faucheuse. La leur, tout comme celle de bon nombre de personne dans le futur. Avant même que le parrain se tenant en face de toi ne puisse reprendre la parole et te répondre, tes hommes pénétrèrent dans la pièce et commencèrent à tirer. Les rafales se succédèrent, tout comme les effusions de sang qui commençaient doucement à tacher les murs de ce restaurant. Tous les hommes qui te faisaient face succombèrent rapidement aux armes automatiques de tes subordonnés, tous, sauf un : le parrain. Ce dernier fut touché aux jambes et tomba au sol. Il tenta désespérément de ramper vers toi, mais c’était trop tard. « Tu le paieras de ton sang … C..c..ça ne resteras pas impuni, mes fils viendrons … me venger. » Dit-il avec la respiration saccadé tout en t’attrapant au niveau de la cheville avec sa main remplie de sang. Ton regard impassible était posé sur lui, tandis qu’avec ta main droite tu retiras la cigarette de ta bouche avant de sortir le pistolet que tu avais à la ceinture pour au final le viser. « Qu’ils viennent, nous les attendons de pied ferme. » Dis-tu avant d’appuyer sur la détente et loger ce projectile de plomb en plein dans son crâne. « Requiet in pace. » Un parrain était mort ce soir là, vive le nouveau.

† Lava come una culla †

Cette soirée t’avais fait connaitre à travers les blues, mais ton nom était encore inconnu. Il n’y avait aucun témoin de la scène, donc personne pour raconter qui avait commis cette atrocité. Une rumeur parcourait les blues, celle d’un enfant revenu d’entre les morts pour venger son défunt père, mais elle était infondée, même si véridique en même temps. Quelques mois passèrent, après cet incident, tu fus obligé de te faire petit, pour que le monde t’oublie. Tu avais réussi à prendre ta vengeance sur une des familles mafieuses responsables de la mort de ton paternel, mais il en restait encore quatre. Pourtant, ton geste effraya complétement les parrains et ils décidèrent, ensemble, de ne pas sortir de Grand Line pour aller sur les blues, le temps que cette histoire ne soit réglée et le coupable tué. Tu te savais donc recherché, tu n’étais d’ailleurs plus que l’ombre de toi-même après cette soirée. C’était ton premier meurtre et qui plus est, pas n’importe lequel. Certains peuvent tuer de sang-froid sans éprouver le moindre remord, d’autres, comme toi à cette époque, en sont incapables. Tu laissas complétement tomber ton organisation, tu devenus fou et complétement à la rue pendant quelques mois. Tu vivais sous un pont quand il pleuvait, dans un champ quand le soleil était présent. Tu repensais à tes cibles, encore et encore, jour et nuit, jusqu’à ne plus savoir dire quelque chose d’autre que leurs différents noms. Tu n’étais devenu que l’ombre du chef ambitieux et intelligent que tu laissais auparavant transparaitre. Jusqu’au moment où, peu de temps après tes dix-neuf ans, ta mère se fit lâchement assassinée. La nouvelle se répandit rapidement sur l’île et vint faire couler tes larmes, une fois qu’elle caressa tes tympans.  Ce fut comme un électrochoc, la haine ainsi que le désir de vengeance devinrent beaucoup plus grand que les remords pour avoir ôté la vie. Il était temps de faire ton retour, tu le savais. Surtout que le bruit courait comme quoi elle aurait été tuée par ta faute, par un tueur à gage professionnel qui avait pour mission de te tuer toi. S’étant introduit chez toi et ne t’ayant pas trouvé, il s’était attaqué à ta mère et l’avait torturée pour la faire parler. Les mafias avaient donc décidés de ne plus respecter les codes ancestraux qui disaient que toucher à la famille était proscrit.

Tu te remis donc au travail juste après l’enterrement de ta défunte mère. Tu étais aujourd’hui un orphelin, un fils de la vengeance et le neveu de la colère. Tu n’avais plus qu’une seule idée en tête : Rendre la monnaie de sa pièce aux organisations mafieuses en général et surtout, aux cinq avec qui tu étais en guerre totale. Verone t’appartiendra un jour, mais avant, il fallait te construire une réputation, une vraie, avec des hommes qui te suivrons jusqu’à la mort s’il le faut. Le seul endroit pour ça sur Baterilla c’était chez Carlota, chef incontesté de la mafia de South Blue. Pourtant tu le savais éperdument, si tu apparaissais devant elle comme ça, sans rien en échange, tu te ferais tuer et ta tête sera envoyé à Verone pour y être exposée comme trophée.  Tu devais donc te rendre utile pour elle, mais comment ? Après plusieurs semaines à te demander comment tu pouvais réussir ce tour de force, tu entendu parler d’un colis qui faisait escale sur le port dans deux jours. Carlota n’y était pas pour rien, c’était un transfert du marché noir jusqu’au nouveau monde, pour des personnes très influentes là-bas. C’était ça, ta clef pour entrer, sans risquer de te faire trahir par la patronne de South blue, dans son organisation. Deux jours après, on pouvait te retrouver retrancher derrière un arbre en hauteur, regardant autour de toi tout le périmètre du port et le bateau que tu ciblais. Selon tes sources, la caisse en bois que tu convoitais était dans la cale de ce même navire, mais le port était très bien gardé. Il y avait plusieurs gardes sur les quais et d’autre encore sur le bateau en lui-même. Si le bateau était un coffre-fort, l’ouvrir aurait été plus facile. Aucune de tes approches discrètes ne marcheraient et tu le savais. C’est pourquoi tu t’avançais, l’air impassible et une clope au bec en direction du navire.
 
Certains dirons que ce soir-là, ton désir de vengeance se transforma en folie, mais c’était des foutaises sans nom. Tu savais pertinemment ce que tu faisais et comment les hommes, en face de toi, allaient réagir. « T’es qui toi ? C’est une zone privée ici, fait demi-tour et barre toi avant que je m’énerve ! » S’écria alors l’un d’eux en déposant son 347 sur ta tempe. Ta main bougea lentement pour venir enlever la cigarette de tes lèvres. « Tu penses que Carlota réagira comment si tu tuais un membre de la famille Corleone ? Je le sais moi, elle te tuera à son tour. » Dis-tu d’un calme qui fit passer cette zone en apesanteur. « Je te conseil de baisser ton arme, je suis juste venu vérifier si le colis est encore là, avant mon départ avec demain. Donc on peut parler toute la nuit, ou sinon on peut … » Dis-tu avant de bouger rapidement. Ta tête effectua un mouvement rapide vers l’arrière, le geste était fait pour esquiver une éventuel détonation. Ta cigarette vint alors s’écraser contre le poignet de ton adversaire, lui brulant la chair pour lui laisser un petit souvenir, avant que son poignet toujours ne se brise et ne lâche le pistolet. Tu l’avais maintenant entre tes mains, mais tu n’étais pas fan de ces jouets. « Pointe encore une fois cette arme sur moi et je ne me contenterai pas de te casser le poignet, mais de t’arracher la vie, capice ? » Dis-tu en jetant l’arme de ton adversaire avant de le regarder avec insistance. « Désolé monsieur Corleone, vous pouvez passer, je préviens de votre venu ! » Dit-il avant de ramasser son arme de sa main encore valide et de passer un coup de fil pour prévenir de ta venue. Tu savais pertinemment qu’il fallait, à partir de maintenant, faire vite pour arriver jusqu’à la cale. Carlota n’allait pas tarder à être prévenue et si tu n’avais pas réussi à voler cet objet rare, tu serais dans de beau drap.

Avec cette stratégie, tu avais réussi à passer tous les points de contrôle jusqu’à la cale. Malgré ça, un homme avait insisté pour t’accompagner à l’intérieur de cette dernière. Dommage pour lui, il allait finir en morceau. Une fois à l’intérieur, au moment où la porte se referma derrière vous, ton poing vint caresser violement ses cotes tandis que ton coude, lui, vint embrasser son nez. Il allait dormir pendant longtemps avec cet enchainement et tu le savais. Pourtant, quelques secondes après, ton plan tombait à l’eau de lui-même. Ta couverture n’était pas très bonne, tu savais pertinemment qu’elle n’allait tenir que quelques minutes, mais tu pensais avoir le temps de repartir avec l’objet en question avant qu’elle ne tombe. Pourtant, tu étais coincé là, dans cette cale, avec un corps inerte sur les bras. Tu te dépêchas donc de bloquer la porte d’entrée avec des caisses et des barils de poudres. Tu savais que tu allais te faire prendre et qu’aujourd’hui sera ton dernier soir. Tu avais réfléchi à cette hypothèse avant même de tenter l’aventure, mais et alors ? Tu n’avais plus rien à perdre, car pour perdre, il fallait tenter. Tu ne tentais plus depuis la mort de ta mère, survivre n’était même plus dans tes projets, seule la vengeance l’était. « Ouvrez cette porte ! C’est la dernière chance qu’on vous donnera, rendez-vous et vous aurez une mort rapide et non douloureuse ! » Dit alors un homme derrière la porte. Sûrement un homme de main de Carlota prêt à tout pour se faire bien voir par sa patronne. Toi, tu étais quand même assez calme pour quelqu’un qui savait au fond de lui, qu’il allait mourir aujourd’hui.

Et puis tu te dis le plus simplement du monde, s’il fallait mourir, autant finir en beauté non ? C’était sûr ses paroles que tu t’approchas doucement du coffre contenant la chose tant convoitée par Carlota. Une fois ouvert, ce dernier laissa apparaitre un fruit. Tu fus dans un premier temps surpris par sa couleur rougeâtre et son attirance précaire, mais pourtant, la première chose qui te venais en tête c’était pourquoi se donner autant de mal pour protéger un fruit ? Tes capacités de déductions furent encore une fois rapides et efficaces. Au fond de toi tu savais que ce n’était pas un fruit comme les autres, sinon, pourquoi le protéger de la sorte ? La Mafia s’était déjà donnée trop de mal pour le faire venir jusqu’ici, puis pour le protéger convenablement. Carlota avait quand même affrétée une dizaine d’homme de main assez costauds et armés jusqu’aux dents, seulement pour la protection de cette chose. C’était quelque chose de très important à ses yeux, tout comme aux yeux de la mafia tout entière, sinon pourquoi se donner autant de mal pour l’amener à destination ? C’est pourquoi, tu ne te donnas pas les secondes nécessaires pour la réflexion. Tu ne pouvais pas te le permettre de toute manière, au vu des coups répétés sur la porte, cette-dernière allait céder dans quelques instants, il fallait donc que tu réagisses rapidement. C’est ainsi qu’après avoir pris le fruit dans la paume de ta main, tu n’en fis qu’une seule bouchée.

Le goût était dégueulasse, ta bouche ne put pas terminer de mâcher qu’elle avalait directement la première bouchée. Et pourtant tu te forças à finir, comme si ta vie en dépendait, il ne devait plus rien rester de ce fruit. Le pourquoi était logique, tu savais pertinemment que tu allais mourir ce soir, alors au moins partir avec la chose la plus convoitée par tes adversaires non ? Une fois fini, une sensation bizarre parcouru le long de ton corps, comme si ce dernier changeait doucement, mais sûrement. Comme si tes membres, ta tête et surtout ta puissance évoluait. Tu le sentais, mais tu ne savais pas ce qui se passait réellement. Et puis tout se passa très rapidement. La porte céda sous les nombreux coups des mafieux, ton cœur s’accéléra d’un coup et ton corps lui, suivant le rythme de ce dernier, se transforma rapidement … En lave. Tout se passa très vite, le bois sous tes pieds fut rongé par cette dernière et tu chutas dans l’océan. C’était la dernière chose dont tu te souvenais, cette chute dans l’eau et ton incapacité à te mouvoir une fois immergé, comme si tu corps tout entier était appelé par les profondeurs abyssales de l’océan. Le seul souvenir restant dans ton esprit fut l’image du bateau qui s’éloignait au fur et à mesure que tu coulais … Et puis, rien. Le noir total.

† legge del silenzio †

Perdu dans tes songes, tu ne savais même plus de quoi tu étais capable de rêver. Tu voyais les images de ton père. Il était quelqu’un de dur, froid au premier abord, mais gentil, fier et capable, au fond, d’aimer. De t’aimer toi, son seul et unique fils. Tu te réveillas sur une chaise, menotter avec des menottes en fer. En face de toi, il y avait une lampe qui pointée sur ton visage. Elle te faisait comprendre que tu étais la cible et que rien ne pourrait te sauver en ce moment, pas même le tout puissant qui prenait un malin plaisir, depuis ta plus tendre enfance, à te faire souffrir. Une femme s’avança vers toi. Son visage tu le reconnu entre mille : Carlota. « Où tu as mis le fruit ? » Disait-elle, tandis que son regard était aussi perçant que des balles qui sortaient d’un pistolet automatique. Ton cœur battait la chamade, tu ne savais pas ce qui allait t’arrivais. Pourtant elle demandait où tu avais mis le fruit, ce qui voulait dire logiquement, qu’elle pensait sérieusement que tu l’avais caché et non mangé. C’était ta chance pour sortir de ce pétrin.


† Ritorno del fantasma †


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Phendrana Kane
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MessageSujet: Re: Ciro Corleone    Ciro Corleone  EmptySam 14 Juil - 12:09

Yop ! Toujours avec nous ?
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MessageSujet: Re: Ciro Corleone    Ciro Corleone  EmptyVen 20 Juil - 21:35

Yo ! Je mets tout ça dans les archives, un petit Mp et tout est réglé
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