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 vyse + if i go there's just no telling how far i'll go

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Vyse Silverlake


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Vyse Silverlake

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MessageSujet: vyse + if i go there's just no telling how far i'll go   vyse + if i go there's just no telling how far i'll go EmptyJeu 14 Déc - 3:41



Vyse Silverlake




Prénom et Nom: Vyse Silverlake.
Âge : Vingt-quatre ans.
Sexe : Masculin
Avatar : Ike (Fire Emblem : PoR & RD)
Groupe : Chasseur de primes
Métier : Charpentier
Espèce : Homo Sapiens
But : Survivre ? Plus sérieusement, tu rêves d'explorer le monde en entier, mais pour le faire, il faut bien survivre.

---------------

Fruit du Démon : (sous réserve de validation) Gura Gura no Mi
Autres capacités : Sabreur


Questionnaire

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !

1. Apparence physique


Taille : 1m75
Poids : 70 kg
Cheveux : Bleus
Yeux : Bleus


2. Tenue vestimentaire habituelle


Le point le plus important de ta tenue est ta cape sans laquelle tu ne t'imaginerais pas un instant sortir. Il n'y a pas de raisons particulières qui justifient ton attachement à cette pièce de tissu abimée par le passage des années. On peut évoquer qu'elle appartenait à ton père, mais ton attachement dépasse la simple notion d'héritage. C'est un peu ta marque de commerce, tu espères qu'un jour on pourra te reconnaitre grâce à ça.
Le reste peut varier, selon tes envies et selon ce que tu peux trouver. L'habit que tu préfères - celui avec lequel tu es parti de chez toi - est composé de pantalons clairs avec de hautes bottes de cuir, d'une chemise rouge recouverte d'un par-dessus bleu et doré. Avant de quitter ton île pour ton aventure, tu t'es procuré un plastron qui ne couvre qu'une très petite partie de ton torse, à savoir ton coeur, ainsi que des gants de cuirs, une nécessité pour bien tenir une épée.

Au fond, il faut surtout souligner ton manque de goût vestimentaire évident. Coordonner des couleurs dépasse tes capacités.

3. Motivations


Tu es assez simple : ton rêve, depuis l’enfance, c’est d’explorer le monde, de découvrir tout ce qu’il peut réserver. Habité par ce seul rêve, tu fais tout le nécessaire pour l’atteindre, sans pour autant tomber dans l’extrême. Il faut comprendre par-là que malgré ton attachement à ton rêve, tu ne diras jamais que la fin justifie les moyens. Au-delà de ce rêve de toujours, il y a une réalité qui t’a été imposée : une malédiction. Rapidement, tu as été confronté au fait que tu représentes un danger pour autrui et pour toi-même. Tu ne peux donc que rechercher une façon de contrôler pleinement ce pouvoir.
Pour le reste, il faut revenir à l’idée que la majorité des tes choix visent à te rapprocher de tes objectifs principaux. Par exemple, être chasseur de primes a été la solution à la question de l’argent. Au-delà de cette raison monétaire, ça a aussi l’avantage de ne pas te rattacher à un cadre restrictif. Tu conserves ainsi une part de liberté alors que tu sais pertinemment que ça n’aurait pas été le cas dans la Marine. Être pirate aurait été une autre option, mais cette voie ne t’a jamais attiré. Tu préfères de loin attraper des criminels plutôt que risquer de te faire attraper.

4. Opinion sur le gouvernement mondial


Tu n’as pas d’opinion particulière sur la question du gouvernement mondial. Tu considères que c’est une nécessité vu comment ils protègent les civils, mais pas uniquement pour cette raison. Grâce au leadership du gouvernement, le monde ne tombe pas dans le chaos, pas complètement. Tu supposes simplement qu’ils font au mieux pour préserver un équilibre ardu. Si bien que l’idée qu’ils vous auraient caché des choses ne te dérange pas. Tu n’y penses pas plus et te dire que c’est pour l’intérêt général qui l’ont fait te suffit. Pour autant, bien que tu respectes ce qu’il peut faire pour les civils ou pour le monde en général, tu préfères ne pas avoir affaire à ses représentants. Tu ne veux pas leur causer des problèmes, pas plus que tu veux qu’ils ne t’en cause. T’en tenir le plus loin possible est donc la solution que tu as choisie, c’est pour cela que la voie des chasseurs de primes t’a appelé.

5. Opinion sur la piraterie


À l’inverse de ce que tu penses du gouvernement mondial, tu as une opinion plus tranchée pour ce qui est de la piraterie. Même s’ils ne t’ont jamais rien fait, tu n’as pour ainsi dire aucune histoire tragique à raconter en ce sens, tu ne supportes pas les pirates. Ils sont certes des cibles idéales et c’est grâce à eux que tu peux gagner des sous. Ils sont ton gagne-pain et pour cela tu te dois de les apprécier un minimum. Il y a aussi le fait que tous les pirates ne sont pas mauvais. Il y a des nuances, des réalités que tu ne connais pas. Tu n’y penses pas souvent, considérant surtout que tu ne peux approuver leurs choix de vie. Tu comprends le désir de liberté, mais il y a d’autres options qui seraient tout aussi valable, des options qui n’impliquent pas de mettre en danger des civils. Ainsi si tu devais te mouiller et donner ton opinion franche, tu dirais que tu les vois comme des adversaires, des indésirables. Tu n’es pas hostile au point de vouloir leur éradication, une idée trop extrême pour toi, mais tu apprécies avoir la possibilité de pouvoir les arrêter. À quelque part, ils te rendent utile.

6. Opinion sur la franc-marinerie


Tu n’es pas en faveur de ce mouvement. Leur objectif est peut-être noble, après tout rétablir la vérité est souhaitable, mais leurs méthodes ne le sont pas. Quel est l’intérêt de s’attaquer à l’ordre établi si ce n’est que faire naitre le chaos ? Au-delà de cette question et d’une éventuellement réponse à laquelle tu n’es pas parvenu, tu n’y as pas réfléchi davantage. Tu ne peux savoir qui a raison et qui a tord. Tu t’en fiches d’ailleurs, parce que ça n’a pas d’influence sur toi. Ça ne change rien à tes objectifs au fond. Tu suis le développement avec peu d’intérêt, mais tu te doutes qu’à un moment tu devras choisir un camp.



Histoire
« Raconte encore les aventures de papa. » Tes yeux brillent alors que tu regardes ta mère avec insistance. Trop jeune, tu ne réalises pas encore le mal que ça peut lui faire de te raconter les aventures du paternel. Tu ne fais que rêver et te laisser bercer par les histoires racontées. Tu t’imagines surtout suivre ses traces et partir à l’aventure. Tu es néanmoins bien loin de pouvoir le faire. Tu es trop jeune pour l’instant, mais surtout ta destinée est différente. Comme ta mère avant toi, tu deviendras un charpentier. Avec de la chance, tu pourras aspirer à de grands contrats, mais jamais ta vie ne sera synonyme d’aventure. Tu devras donc te contenter des bateaux que tu construiras, rien de plus. Peut-être est-ce pour cette raison que tu veux autant en apprendre sur ce que ton père a fait de sa vie. Il est peut-être absent, tout ce que tu sais te vient des histoires racontées par ta mère, mais au moins il est ton rêve.

(...)

Puis, un jour, bien des années plus tard, ta vie change drastiquement. Tu as beaucoup grandi entre temps, mais tu ne t’es pas transformé au film des années. Il faut dire que tu n’en as pas eu l’occasion. Ta vie jusqu’au jour fatidique n’a été qu’un rythme de contrats que ta mère a pu obtenir. Tu as du apprendre le métier, sans avoir aucun intérêt pour la chose. On ne refuse pas son destin que ta mère t’as dit.
Eh bien disons que le destin t’a trouvé et ce n’est pas celui que tu aurais cru avoir. Dans tes tâches d’ainé d’une famille nombreuse se trouve celle de faire des courses. Une nécessité évidente, mais aussi une perte de temps pour ta mère qui doit passer le plus clair de son temps à réparer ou construire les différents navires qu’on lui confie. Cette responsabilité, au même titre que l’apprentissage qu’on t’impose, ne t’intéresse guère. Si bien que cette fois, comme toutes les autres avant, tu optes pour la rapidité. Armé de la liste écrite par ta mère, tu te frayes un chemin dans le marché et achète tout le nécessaire avec le moins d’effort. C’est là que se trouve ton erreur. Tu ne fais pas vraiment attention à ce que tu prends, te contentant de les mettre dans ton sac. C’est là que ta main se pose dans le sac d’autrui, sur un fruit qui n’en est pas vraiment un. Pensant tout bonnement que c’est le sac du marchand, tu y laisses quelques pièces en guise de paiement. Tu ne comprends pas ton erreur, pas sur le coup. Alors que tu t’éloignes des installations, tu entends une commotion, une grosse voix s’élève. « Au voleur ! Si je te chopes, tu vas me le payer. » Inconscient de ce que tu as fait, que tu es le voleur rechercher par la grosse voix, tu poursuis ton chemin. Il est temps pour toi de rentrer.
Sur le chemin du retour, une faim te prend. Il n’y a là rien de surprenant, mais la gourmandise te pousse à te sustenter. Ta main fouille ton sac à la recherche de quelque chose à te mettre sous la dent. Ta main attrapes à nouveau le fruit. Ce n’est qu’à ce moment que tu remarques les spirales qui l’ornent. Si la prudence aurait du te pousser à le déposer, satisfaire ta curiosité te tente bien davantage. Tu prends donc une bouchée, trop naïf pour réaliser l’impact de cette bête décision. Le goût infect envahit ta bouche et tu jettes le fruit par réflexe. Peut-être que tu n’aurais pas du le manger, tu espère seulement ne pas être malade.

Ce n’est qu’à ton retour chez toi que la réalité te frappe. Tu as à peine le temps de passer le pas de la porte que ta mère t’interpelle : « Tu tombes à pic, j’ai besoin de ton aide. » Tu fronces les sourcils bien que tu ne trouves pas le courage de t’opposer à sa directive. Tu sais pertinemment que c’est nécessaire, quand bien même ça ne te fait pas plaisir. Tu déposes donc ton sac à l’entrée avant de te diriger vers l’atelier. Ensuite tu attends, prendre les devants est à ta portée maintenant que tu as quelques années de pratique sur la ceinture, mais tu n’en as pas envie. Ta mère arrive un instant plus tard. « Mets toi au travail veux-tu. » Sévère, elle ne laisse pas passer ta paresse du moment. Son ton t’énerve. Tu te sens idiot alors que tu fais de ton mieux. Tu suis le geste de tête qu’elle fait pour te diriger vers la coque endommagée. Le travail n’est pas immense, mais il ne te tente pas. Tu te forces à attraper tes outils et t’atteler à ta tâche. C'est quelque chose que tu connais, que tu crois pouvoir faire les yeux fermés. Pas cette fois. Non, au contraire, ce n’est pas très long avant que des problèmes surviennent. Peut-être ta frustration de devoir aider alors que ça ne te tente pas le moins du monde, peut-être manques-tu seulement de concentration. La colère monte en toi lorsque tu réalises que tu n’arrives pas à réparer les brisures dans la coque. « Ça fonctionne pas, merde. » Rien de grave, du moins en principe, mais l’énervement qui te prend suffit à te faire voir rouge un court instant. En temps normal, tu aurais pesté quelques minutes et ça se serait terminé là. Cette fois, tu n’as pas cette idée en tête. Tu décides de passer ton énervement sur le bateau. Tu donnes un coup, rien de trop fort, dans le vague espoir que cette marque de violence t’aide à te concentrer. Il n’en est rien. Au lieu du petit toc auquel tu t’attendais, c’est un craquement qui se fait entendre. Tu te recules rapidement, paniqué par ce son soudain. Tu prends une grande respiration, puis une autre. Ton regard se pose sur l’endroit que tu as touché et tu ne peux que remarquer les craques qui sillonnent à présent. La panique te prend et tu relèves. « J-je reviens tout de suite. » N’attendant pas sa réponse, tu commences à courir. Tu ne sais pas où tu veux aller, mais tu sais que tu dois t’éloigner. Dans ta panique, tu ne remarques pas immédiatement les vibrations qui t’habitent, pas plus que le sol qui commence doucement à trembler sous tes pas.
Une fois une distance mise entre l’atelier et toi, tu tentes de te calmer. Ça ne doit être que dans ton esprit. C’est ce que tu te répètes encore et encore pour tenter de calmer l’angoisse qui te prend par les tripes. Ça ne fonctionne pas vraiment et tu te laisses tomber au sol. Ce n’est qu’à ce moment que tu remarques des craques au sol, semblables à celles qui se sont retrouvées sur le bois. Est-ce toi le coupable ? Cette question reste sans réponse alors que tu restes recroquevillés dans l’espoir que l’angoisse ne te quitte.

(...)

Il ne t’a pas fallu bien longtemps pour réaliser deux choses : d’une part que tu es bien le responsable des craquements, d’autre part que c’est une malédiction. Tu n’as pas compris ce deuxième point de toi-même, non, c’est en retournant en ville que tu as découvert la chose. On t’a raconté ce qui s’est passé l’autre jour : quelqu’un avait dérobé un fruit du Démon. Tu n’as certes jamais été si brillant, mais il n’est pas très difficile de faire le lien. Tu comprends alors le danger que tu représentes, ce que ces vibrations impliquent. Cette conclusion en amène une autre : pour ta mère et le reste de ta famille, il te faut partir. Tu sais que tu devrais être content, c’est une raison de partir réaliser ton rêve, mais tu ne peux empêcher la tristesse de t’envahir. Maintenant que tu es confronté à la nécessité de partir, tu n’en as plus pleinement envie. Parce que c’est un grand pas, c’est un saut vers l’inconnu que tu n’aurais jamais cru possible. À force que ton quotidien ne tourne qu’autour de ta famille et des contrats de ta mère, tu n’as pas cru à la possibilité que ta vie soit différente. Peut-être t’y étais-tu résigné depuis le temps, peut-être que passer ta vie entouré de ta famille n’est pas un si triste destin.
Tu te résous pourtant à quitter ta vie tranquille, ton avenir de charpentier. Tu le fais autant par égoïsme que par sacrifice. Tu ne fais pas vraiment de plan, tu ne sais pas ce qu’il te faudrait. Non, c’est une décision impulsive que tu prends, comme si tu suivais un instinct. Tu quittes pendant la nuit, trop lâche à l’idée de dire adieu à ta famille. Tu sais que ta mère ne comprendras pas ta décision, tu te doutes que tu lui feras plus de mal que tu ne le souhaites, mais tu espères que ta décision est la bonne. Avant de partir pour le port, tu dérobes quelques pièces que tu sais que ta mère garde pour des situations imprévues. Tu répugnes à l’idée de lui dérober quoi que ce soit. Pour combattre cette pointe de culpabilité, tu te dis que dans l’immédiat tu es celui qui en a le plus besoin. Il te faut quitter l’ile, c’est une évidence. Tu ne sais pas comment tu pourras le faire, mais l’argent te semble être un point de départ. Tu pourras toujours te trouver un travail, du moins tu l’espères.

Alors que tu gagnes le port de la ville voisine, le destin te mène alors à faire une découverte. C'est à croire qu’on se joue de toi. Ce n’est qu’une taverne que tu cherches, un endroit pour passer la nuit et là dès ton entrée dans la place, des cheveux bleus ressortent du lot. Conscient que ce n’est pas la couleur la plus répandue, tu t’en approches. C’est la curiosité qui te pousse à le faire, mais peut-être encore cet instinct incompréhensible. Ton coeur manque un battement lorsque tu te retrouve devant un visage vieilli et fatigué, mais surtout familier. « Papa ? » Combien d’années ont passé ? Combien d’histoires as-tu réclamées à ta mère ? Il ne fait pas de doute. Il n’y en a point dans ton esprit. C’est bien lui. Mille et une questions traversent ton esprit et pour commencer, tu te contentes de deux seules, les plus importantes. « Qu’est-ce que tu fais là ? Tu reviens à la maison ? » Penser une telle chose provoque une nouvelle vague de tristesse en toi. C’est la réalisation que tu ne seras pas là pour son retour. Tu ne peux pas y être. Peut-être est-ce mieux ainsi en soit, ton départ pour son retour. C’est presque poétique comme idée, non pas que cette idée t’aide à accepter la chose. « Pas tout à fait… » Perdu dans tes pensées, tu manques presque sa faible réponse. Tu relèves alors la tête pour le fixer de tes grands yeux bleus. Ça veut dire non ? Tu maintiens ton regard, sourcils froncés, en l’attente d’une vraie réponse ou au moins d’une explication. Voyant que tu ne démords pas, il se résout à préciser le fond de sa pensée : « Je vis ici maintenant… » Tu ne comprends pas, rien de ce qu’il dit ne fait le moindre sens à tes yeux. Un long moment de silence s’installe sans que tu ne bronches. Puis, il se met à t’expliquer, vraiment : « Tu t’en souviens peut-être pas. Je suis parti lorsque tu étais très jeune. On m’avait promis une place dans un équipage. J’ai voyagé avec eux pendant… quelques mois je crois. Trouver des contrats… c’était pas facile. Puis un jour, des pirates nous sont tombés dessus. Ça a été un massacre. J’ai survécu parce que je me suis caché pendant l’abordage. Après j’ai jamais réussi à m’engager dans un autre équipage et je suis revenu ici. Ça fait plusieurs années de cela. » Le récit est dur à entendre. C’est ton héros de jeunesse qui se voit descendu de son piédestal. C’est une longue chute pour lui. La conclusion de l’histoire n’est pourtant pas bien difficile à capter. Il est revenu sur l’Ile de Dawn il y a plusieurs années, mais la honte l’a empêché de revenir vers vous. C’est une raison bête, c’est idiot à tes yeux. La colère te prend par les tripes à l’idée qu’il ait abandonné ta mère pendant tout ce temps. Tu as envie de lui faire comprendre la souffrance qu’il vous a causé. Tu sens ton poing se serrer, mais après un court moment tu réalises autre chose, une opportunité qui s’ouvre pour toi. « Apprends moi à me battre. » Il a une épée, tu l’as bien remarquée derrière lui. Il sait se battre. Il peut t’apprendre à te défendre. C’est à la fois une idée pragmatique, après tout prendre la mer sans savoir se battre n’est pas loin d’une tentative de suicide, mais c’est surtout une envie profonde. Tu veux pouvoir te défendre, tu veux qu’il soit celui qui t’apprend. La réponse ne se fait pas attendre et elle est loin d’être celle que tu espères. « Non. » Du tac ou tac, tu rétorques : « Si tu le fais pas, je dirai à maman où tu es. » L’idée te vient naturellement, quelque chose que tu n’aurais jamais cru. Ta menace parait tout de même ridicule. Je vais le dire à maman. C’est con, mais tu vois bien que ça lui fait peur. S’il n’a pas eu le courage de se montrer à son retour, il voudra encore moins qu’elle l’apprenne après des années. Tu attends, espérant que ça fasse mouche. « Soit. Je vais t’apprendre. »

(...)

Tu as passé quelques mois avec ton père, des mois pendant lesquels il a tenté de t’inculquer un maximum de connaissances du combat à l’épée. Ce n’est rien d’aisé pour toi. Rien ne te vient naturellement et tu buttes aux instructions de bases. Les premiers jours, tu finis avec un corps criblés d’ecchymoses et un coeur meurtri. Ce n’est pas qu’il est méchant envers toi, mais ton manque de compétence te pèse. C’est surtout que tu as toujours espéré que si tu devais un jour prendre une épée, tu serais un minimum doué. Il faut croire que, malheureusement, les rêves ne donnent pas des capacités. Puis, avec le temps, les séances où tu ne te fais que malmener passent. Tes coups cessent de se faire bloquer et tes tentatives se révèlent de plus en plus fructueuses. Ce n’est rien de grandiose, mais la première fois que tu réussis à envoyer son épée voler est une réussite à tes yeux. Présenter la chose ainsi occulte le fait que tu as tout de même fini au tapi l’instant d’après, mais tu progresses.
Tes progrès sont nettement moins satisfaisant pour ce qui est de l’étrange capacité qui t’accable. Faute d’un mentor pour t’apprendre les allants et venants, tu fais selon tes instincts. Tu essaies d’abord de maitriser quand les tremblements se manifestent pour éviter d’être une bombe à retardement. Cette belle idée n’est pourtant pas très accomplie. Très souvent ils apparaissent lors de vos entrainements. Pas de façon utile, non, bien au contraire, ils te nuisent le plus souvent. Tu perds pied lorsque le sol se met à trembler avec toi, tu te déconcentres lorsque ce habilité se déclenche contre ton gré. Tu n’es pas loin d’un gamin, incapable de rester suffisamment en contrôle de tes émotions pour rester dans le combat.
Puis, avec le temps qui passe et les journées qui s’enchainent, tu t’améliores enfin. Tes mouvements à l’épée se font plus fins. Ton style n’est pas fin ou même gracieux, mais il a le mérite d’être efficace. C’est surtout cela que tu retires des enseignements de ton mentor. Si bien qu’un jour, lorsque l’entrainement débute, tu décides plutôt de fondre sur ton adversaire. Agressif, tu frappes son arme à plusieurs reprises pour le forcer à se replier dans une défensive plus prononcer. Tu profites de ta force physique supérieure pour le repousser dans ses retranchements. Tu as appris qu’un adversaire est plus dangereux lorsqu’il est acculé au mur, mais tu as découvert - à tes dépends - que c’est aussi dans ces moments qu’il prend de mauvaises décisions. Lorsque ton père commence à répliquer, tu t’arrêtes dans ton attaque et te concentre sur toi-même. Les tremblements en toi se font plus forts au point de faire vibrer le sol un court instant. C’est loin d’un séisme, mais c’est suffisant pour qu’il soit celui qui perd pied cette fois. Profitant de l’instant, tu feintes et parviens à le désarmer. Ton épée envoie la sienne valser un peu plus loin et une vague de fierté s’installe en toi.

Ainsi, à la fin de ces quelques mois, lorsqu’il te juge fin prêt (ou du moins un minimum compétent pour te défendre) il te fait assoir pour une discussion sérieuse. « Je veux que tu prennes mon épée. » Tu hésites, incertain d’où il veut en venir. Que veut-il que tu fasses avec cette épée ? « Pourquoi ? » Question simple, sans doute idiote, mais c’est la seule qui te vient. Après tout, vous n’utilisez même pas de véritables armes dans vos combats. Tu n’en as donc pas besoin. Visiblement découragé, il continue : « Tu peux partir maintenant, j’ai plus rien à te montrer. » Cette fois, tu captes ce qu’il veut dire. Il ne pense pas seulement que tu es prêt, il veut que tu le laisses en paix. Il ne laisse pas place au débat. Avec le temps passé, tu as appris à connaitre cette déception qu’est ton père et tu sais que rien de ce que tu pourrais lui dire ne le ferait changer d’avis. Qu’il te chasse ainsi te blesse et une part de toi te susurre une idée, celle de dire à ta mère qu’il se trouve ici. Il a peut-être rempli sa part du marché qu’il a conclu avec toi, mais il l’a quand même abandonné. Il vous a abandonné. Tu y réfléchis alors que tu ramasses tes choses, résigné à devoir le quitter. Puis, tu décides finalement à garder le silence. Ce n’est pas seulement pour lui que tu le fais, c’est aussi pour toi. Bien sur, il a tenu sa part du marché et tu lui es redevable, mais surtout, tu ne te vois pas davantage revenir vers ta mère. Autant détestes-tu ton père en raison du fait qu’il n’est jamais revenu, force est de constater que tu n’es pas beaucoup mieux. Toi aussi tu es parti, tu t’es mis en quête d’un autre univers, d’une autre vie. C’est exactement ce qu’il a fait, tu ne suis que la même voie. Ce n’est donc pas ton droit de vendre son secret, parce que tu partages à présent le même. Cette honte devra te suivre dans tes voyages et tu ne sais si un jour tu parviendras à avoir le courage de faire face à cette mère que tu as quitté sans un mot. Peu importe tes intentions, la vague idée de sacrifice qui t’a habité au moment de faire ton choix. Tu es comme ton père à présent. Cette réalisation te dérange, non pas que tu fasses quelque chose pour y changer quoi que ce soit.
À la place, tu quittes la maison de ton père pour les quais. Tu ne t’arrêtes qu’en chemin pour te procurer des protections minimales à savoir un petit plastron de cuir et des gants. Ce n’est que le strict minimum, le seul équipement que tu peux te payer en gardant de l’argent pour acheter un passage sur un bateau. Tu souhaites rejoindre un équipage, trouver ta voie, une façon de te rendre utile, mais tu ne trouves pas de chaussure à ton pied. Tu embarques donc dans un navire sans t’engager à titre d’équipage. Tu cherches une nouvelle maison à quelque part, un endroit où tu te sentiras à ta place.

(...)

Ton voyage ne te mène pas bien loin au début, certainement pas à l’endroit que tu recherches tant. Le bateau sur lequel tu voyages s’immobilise après quelques jours en mer. Toi qui ne fais pas partie de l’équipage, tu es le dernier à être mis au courant. « J’espère que t’es pas pressé. On va être coincé longtemps. » Tu sors de hamac qu’on t’a assigné pour faire face au marin « Comment ça ? » Tu ne t’y connais pas vraiment en navigation autant l’admettre, si bien que tu ne comprends comment ça peut être possible. Pas de vent ? Des ennuis en vue ? Une multitude de questions fusent et tu souhaites satisfaire ta curiosité. Tu n’en as pourtant pas le temps que le marin repart. « Ça te concerne pas, reste hors du chemin. » Réponse qui ne te convainc pas. Non, tu veux être utile toi et rester hors du chemin c’est la même chose que ne rien faire à tes yeux. Tu fais donc l’inverse de ce qu’on t’a demandé en partant à la suite de l’autre jeune homme. Lorsque tu l’as rattrapé, tu insistes : « Qu’est-ce qui se passe ? » Tu espères pouvoir être utile. Des pirates seraient donc plus ta tasse de thé même si, en vérité, tu doutes d’être réellement de taille contre des adversaires aguerri. « Je pourrais peut-être aider. » Tu insistes, espérant que ça fasse le truc cette fois. Le marin s’arrête brusquement et tu dois faire un effort pour ne pas le percuter. « Notre navigateur s’est gouré et on est coincé dans un récif rocheux. » Ce n’est donc pas des pirates qui vous menacent, mais une erreur du navigateur. Tu ne peux pas intervenir, tu ne sais rien de la navigation. Te plonger dans l’eau pour essayer de pousser n’apporterait rien non plus. C’est même une idée complètement idiote vu la mort certaine que ça impliquerait pour toi. Tu secoues la tête.
« T’as raison en fait, je peux pas vous aider. » L’autre ricane, moquant très clairement ton soudain changement d’avis. La vérité est pourtant autre. C’est une idée qui est née dans on esprit. Tu n’es pas certain de la possibilité de la chose, ce pourquoi tu n’essaies pas de lui en parler. Tu ne serais même pas capable d’exposer ce que tu comptes faire alors tu optes pour le faire, sans explication. Tu essaies de calmer la boule d’angoisse qui nait dans ton ventre. Tu sais que c’est risqué, que si tu échoues vous ne seriez qu’en plus grand danger. Tu te dis pourtant que c’est la seule solution, que sinon vous resterez coincés trop longtemps et manquerez donc de provisions. L’idée de rester ainsi en mer te fait peur aussi, plus que tu ne voudrais l’admettre. Tenter ton idée semble donc être la meilleure solution. Ça te permettrait d’être utile, ça t’éviterait d’être coincé en mer, mais surtout au-delà de toutes ces raisons, la solution te semble idéale parce que ça ferait un sens de cette malédiction qui t’accable. Tu as du quitter ta vie en raison du danger que tu représentais, pouvoir aider grâce à cet étrange pouvoir serait comme un retour du balancier. Tu comptes donc essayer, sans même avoir rien dit à personne. Tu te frayes un chemin vers le bas du navire où tu t’installes. Tu te concentres et les vibrations de ton corps se propagent au bateau. Ce n’est pas fort, tu n’oses pas user de plus de puissance. De toute façon, tu ne sais pas le faire. Le temps passe et tu commences à craindre que ta tentative soit vouée à l’échec. Puis un petit craquement se fait sentir et ta concentration se perd. L’angoisse monte un peu plus en toi jusqu’à ce que le bateau commence à bouger. Tu sens le ballotement des vagues qui terminent de décoincer la construction de bois. Ça a fonctionné ? Tu réalises seulement la chose et pour t’en assurer tu cours vers le pont principal. « Qu’est-ce qui s’est passé ? » L’équipage se tourne vers l’intrus que tu es. Le marin qui est venu t’avertir ricane à nouveau. « La mer était de notre côté on dirait. » Tu sais qu’il se moque de toi, tu le sens bien dans son ton de voix. Tu es pourtant rassuré. Ton intervention n’a pas causé de catastrophe. Une vague de soulagement t’envahit alors que tu retournes dans ton hamac. Peut-être que tout n’est pas si terrible finalement.


Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? dday
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! XXXX




Dernière édition par Vyse Silverlake le Lun 18 Déc - 17:00, édité 6 fois
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Vyse Silverlake


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MessageSujet: Re: vyse + if i go there's just no telling how far i'll go   vyse + if i go there's just no telling how far i'll go EmptyJeu 14 Déc - 23:22

petit up pour dire que je pense avoir terminé I love you
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Josh Leone
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: vyse + if i go there's just no telling how far i'll go   vyse + if i go there's just no telling how far i'll go EmptySam 16 Déc - 19:19

Salut Vyse ! Je n'ai pas encore lu ta prez en entier, mais à vue de nez, je ne pense pas que tu arrives à obtenir un fruit comme le Gura. Ce genre de fruit demande un vrai investissement, et ce n'est pas suffisant ici. Du coup, à toi de voir, je peux te valider quand même avec le risque que tu n'aies pas le fruit, ou tu peux modifier ta fiche
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Vyse Silverlake


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Vyse Silverlake

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MessageSujet: Re: vyse + if i go there's just no telling how far i'll go   vyse + if i go there's just no telling how far i'll go EmptyLun 18 Déc - 17:01

Nouveau up pour dire que j'ai étoffé la fiche en espérant que ça convienne cette fois I love you
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: vyse + if i go there's just no telling how far i'll go   vyse + if i go there's just no telling how far i'll go EmptyLun 18 Déc - 19:11




Validation


Salut Vyse ! Je passe donc enfin sérieusement sur ta prez ! Alors, qu'est-ce qu'on en a pensé ?

Qualité : 400/500


Tu n’y penses pas plus et te dire que c’est pour l’intérêt général qui l’ont fait te suffit
-> qu'ils l'ont fait

ils ne t’en cause -> t'en causent

une éventuellement réponse -> éventuelle

ta mère t’as dit -> t'a

Bon, si ta plume est très bonne, elle est néanmoins parsemée de très nombreuses fautes d'inattention, et ça c'est quand même dommage. Une simple relecture aurait suffi à les écarter.
Pourtant, ce n'est pas là que tu perds des points.
Si je t'en ai enlevé, c'est en raison de ta narration, à la deuxième du singulier. En soi, c'est une bonne idée, mais elle implique des sentiments forts, avec un côté interne poussé. La narration en "tu" doit faire la part belle aux sensations et émotions. Or, tu ne le fais pas, jamais. Ton personnage ne nous montre sa psychologie qu'à la toute fin, sur le navire. Il faut vraiment que tu essayes de mieux travailler ce point, parce que c'est une bonne idée sur le papier, oui, mais elle nécessite un plus grand travail et un meilleur approfondissement.

Cohérence : 400/500


Tu comprends alors le danger que tu représentes, ce que ces vibrations impliquent -> Et donc, à cause du danger, tu décides de partir ? Certes, tu l'as un peu mieux expliqué ensuite, mais ça reste quand même trop simple. Tu aurais pu, je ne sais pas, trouver une autre justification à ton départ, un appel irrépressible de l'aventure, qui te tiraille à chaque instant. Le manque d'approfondissement de ces points rend ton départ trop peu crédible, et c'est dommage.

Sinon, en-dehors de ces points, j'ai du mal à croire au fait qu'un pauvre marchand se retrouve avec le GURA dans son sac. Mais bon...

Longueur : 200/250


Niveau longueur, ce n'est pas très folichon, mais ça reste suffisant. Je t'enlève des points pour le rythme inégal, passant du très (trop) lent à beaucoup trop rapide parfois. Ta rencontre avec ton père et ton entraînement sonnent faux, justement parce que tu es passé trop vite.

Originalité : 250/500


C'est ici que ça se corse. Clairement, ton personnage ne présente pas vraiment de caractéristique qui le rende "intéressant". Je m'explique : effectivement, il a peur de faire du mal avec son fruit, et c'est quelque chose de rarement exploité, mais là, ton personnage manque clairement de profondeur. On dirait simplement un gentil aventurier lambda tombé sur un fruit fort. Tu n'approfondis pas assez sa psychologie et n'essayes même pas d'instiller un peu d'humour dans ton histoire.
C'est pour ça que je t'ai dit de regarder les autres présentations validées, parce qu'en le faisant, tu aurais vu que je demande toujours de l'humour. C'est la marque de fabrique du manga One Piece, cumuler l'épique au loufoque, avoir le burlesque et le puissant. Là, ton personnage me semble vraiment fade, alors que tu aurais pu avoir mille idées avec cet avatar et ce fruit. Par exemple, en faire un puissant bourrin, ou un gars qui a tellement peur de ses pouvoirs que ça en devient ridicule et donc drôle. L'auto-dérision est la clé, et tu ne t'en sers pas suffisamment.

Subjectivité : 250/250


Alors ! Malgré le début de l'histoire très lent, tu as su prendre du rythme au fur et à mesure, et nous sortir une jolie conclusion. Au final, ton personnage est attachant, pas pour son caractère transcendant, mais par sa naïveté et sa gentillesse, et la peur qu'il s'inspire à lui-même.

Je te valide le Gura, mais sache que c'est tout juste. Pense à prendre en compte tout ce que je t'ai dit, et tout ira pour le mieux ! Bon courage dans le monde du RP Very Happy

Note finale : 1500 Dorikis

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