(Fin)Le rêve d'un combattant !

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !



Taille : 1M85
Poids : 89 KG
Cheveux : Des cheveux noirs en épis qu'il ne coiffe jamais.
Yeux : Des yeux noirs assez basique en soit.



Ashiro aime bien avoir une liberté parfaite sur ses mouvements, ce que les autres vêtements ne lui offre que très rarement, c'est pour ça qu'il porte presque tout le temps la même tenue ! Une s'agit d'une tenue de combattant portée par les guerriers de son île, Une tenue orange portant sur le dos et sur la poitrine l'inscription : Dojo Ken en Kanji. Cette tenue est parfaite aux yeux d'Ashiro car elle offre une liberté incroyable sur tout ses mouvements, le comble pour un combattant ! Cette tenue est accompagnée par des ballerines kung-fu bleu offrant des appuis favorables aux sols



Ce qui motive Ashiro ? C'est semble, il y a deux choses : La cuisine, il veut crée le plat parfait capable de lui filer l'énergie nécessaire pendant des semaines pour ses entraînements. Et d'un autre côté : Apprendre tous les arts martiaux du monde. C'est plus qu'un objectif, c'est un philosophie de vie ! Ashiro veut tout apprendre et devenir le combattant ultime et polyvalent. D'ailleurs l'idée de rencontrer des gars super fort l'excite énormément. C'est pour ça qu'Ashiro voyage sur l'océan pour apprendre auprès des tous les maîtres possible tout les arts du monde.



Oh eux ? Ashiro admire ce qu'il font ! Faire règner l'ordre sur les mers ça demande beaucoup, vraiment beaucoup de travail ! Mais les responsabilités c'est pas trop son truc, c'est pour ça qu'il ne veut pas s'engager. Bien sûr, il ne connait pas toutes les affaires sombre ou trempe le gouvernement mondial, son île était une île assez paumée donc il ne connait pratiquement rien sur le monde qui l'entoure. Bien qu'il préfère les éviter en raison de ce qui est arrivée à sa maîtresse.



Brrr ! Les pirates ! Une belle bande de barbare ! S'ils veulent explorer le monde, ils peuvent pas devenir des aventuriers ou quelque chose dans le genre ?! Ashiro a été élevé avec des comptes racontant les faix exécrables des pirates, il se fait une image des pirates comme des gros barbues avec des jambes de bois et surtout comme de véritable porc et barbare qui ne respecte rien.



La quoi ? Ashiro ne connait pas vraiment leurs objectifs, changer le monde et le gouvernement en cours ? Ashiro espère qu'ils savent ce qu'ils font car ça risque de créer une ère de chaos encore plus forte que l'ancienne, bien que sa maîtresse semblait y appartenir le jeune guerrier pense que ce groupe est un inconscient.

- Ce qui s’est réellement passé...



- La famille Jaguardo ne se laissera pas marcher aussi facilement sur les pieds, Luigi… Si tu veux t’en prendre à moi, je te donne ce précieux conseil. Apporte tout tes gars avec toi, car il y a plus de force dans mon poing que dans toutes ta saloperie d’armée.


« Eh bien Mario… Tu es sûr de toi et de la puissance de ta famille ? Très bien. Sache que tu ne sera à l’abri nul part, chez toi. Sur la mer… Sur n’importe quelle île je t’attendrais, ou mes sbires t’accueilleront… Et quand cette guerre se terminera, ça sera avec ta tête au bout d’un pique.  Fin. »

« Fin. »


Mario Jaguardo et Luiji Pizzapasa, Ces deux hommes sont des pointes du marché noir : Mario est une sorte de hors à loi, il baigne dans plusieurs affaires de meurtres et d’escroquerie. Luigi est plus tourné vers les armes, bien qu’il trempe dans les mêmes affaires.

« Sombre enfant de catin, ma femme est restée sur l’île… Grr venir me faire chier alors qu’elle attend un gamin, assurez vous de lui accorder la meilleure protection du monde et un duo de médecin. Si jamais elle revient avec une seule égratignure, je jure de tous vous faire souffrir, il faut absolument la faire quitter cette maudite l’île. »

« Oui boss ! » Hurlaient les hommes de main avant de partir direction cette fameuse île ou se trouvait la future mère. Annah Jaguardo, Comment une femme pouvait t-elle accepter d’épouser Mario ? Oh, vous savez… L’amour ça s’explique pas ! Et puis Mario n’était pas si mauvais ! La femme du maffieux arriva avec une escorte blindée, la meilleure sécurité que des Hommes pouvaient lui offrir, elle était accompagnée de plusieurs médecins payer par la famille Jaguardo pour qu’elle puisse mettre au monde son enfant sur le navire de son époux, Mario savait très bien que sur cette île pouvait se trouver des membres de la famille Pizzapasa la laissée ici serait comme coller une affiche géante et clignotante : ‘’Venez réduire mon cœur à néant en butant ma femme.’’


« Mario ? Pourquoi m’avoir fait me déplacée… » Demanda t-elle essoufflée dans tous ses états.

« Mon amour ! J’en suis terriblement désolée, mais nous ne pouvons pas rester sur cette île. Tu dois absolument aller dans ta chambre, je l’ai aménagée pour que tu te sente bien… Aussi pour l’accouchement, nous ne pouvons pas nous permettre de rester ici. »

« Trè...Très bien. » Des hommes de mains aidaient la femme du bandit à rentrer dans sa chambre, tandis que Mario lui rentrait en cabine pour essayer de trouver la position de son adversaire afin d’envoyer un groupe d’assassin. La tension grandissait chez l’homme, il était face à un adversaire invisible mais qui pouvait le tuer ou s’en prendre à ses camarades à n’importe quel moment.  Quelqu’un frappa à sa porte, un de ses sbires pour venir lui apporter des nouvelles.

« Oui ? »

« Boss ! Votre femme ! Je crois qu’elle va mettre au monde son enfant ! »
« Quoi ! Déjà ! Mais ils m’ont dit que ça devrait probablement venir demain ! Charlatant de médecin ! Bon… Ils sont sur le coup au moins ? »

« Yup ! Le trio que vous avez demandé s’occupe bien d’elle. »

« D’acco… Le trio ? » Quand Mario aligna pourquoi il avait un troisième médecin à bord, il venait d’avoir un choc. Sa femme et son enfant était en danger ! Immédiatement il saisit son nodachi et sprinta direction la chambre de son épouse. Un coup de feu résonnait dans tout le navire, il défonça la porte d’un grand coup de pied et vu un médecin avec une épaule au sang, tandis que l’autre essayait d’immobiliser l’imposteur. Un assassin envoyé par la famille Pizzapasa s’était infiltré et avait tenté de tuer la femme du parrain Jaguardo, heureusement qu’un brave médecin s’est interposé y laissant son épaule. Un seul geste et agresseur se retrouva au sol sans sa main et sa vie. Le parrain eu un long soupire de soulagement, mais sa femme était terrorisée… Et il savait que la moindre source de stress pouvait tout faire foirer littéralement…

« Merci mon brave d’avoir sauvé ma femme. » Dit t-il en demandant des soins pour le personnel médical, puis il se tourna vers sa femme pour s’approcher d’elle. Il attrapa sa main et la regarda dans les yeux.

« Tu es tombé amoureux d’une grosse cible chérie… Je… Nous allons faire tout notre possible pour  que ton accouchement se passe pour le mieux, alors il faut que tu te calme… le stress peut-être très mauvais pour toi. »


Comme pour faire taire le boss Jaguardo, un énorme coup de canon retenti. Et surtout des bruits de lutte sur le pont, Luiji et sa clique venait d’arriver et ça s’était très mauvais pour la suite des évènements.

« Le salaud ! Chérie… Il faut que tu te calme ! Fait le pour nous ! Pour notre fils ! Je regrette, mais je vais devoir te laisser. Il faut que je les empêches de venir jusqu’ici. » Cracha le parrain avant de partir rejoindre le front tout en assignant ses deux meilleurs éléments à la protection de la chambre. Les médecins eux s’occupaient de calmer la mariée et d’essayer de lui faire mettre son enfant au monde sans problème.

Mais le sur le pont, c’était un véritable carnage. Dans les deux camps les morts se faisaient nombreux, mais la Jaguardo familly semblait perdre légèrement l’avantage. Surtout quand un mystérieux épéiste commençaient à répendre les organes de ses proies sur le sol. Il avançait doucement , prenant tout son temps pour trancher proprement les sbires de la Jaguargo familly. Il éliminait tout le monde jusqu’à tomber sur son adversaire de toujours. Le parrain adversaire.

« Mario ! Enfin tu te montre, j’ai entendu que tu attendais un évènement important. »

« Luiji fils de catin. Je ne te laisserais pas passer cette porte ! Même si je dois y mettre ma vie. »

Ainsi une lutte acharnée commença entre les deux, les deux se donnaient des coups de sabre d’une violence inouïe. Tous les assauts lancés étaient destiné à mettre fin à la vie de l’adversaire, mais Mario avait l’avantage et ça Luiji le voyait, c’est alors qu’envers ses hommes il ordonna un ordre très étrange.


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Pendant ce temps, Annah venait de mettre son enfant au monde. Grandement épuisée, elle n’arrivait presque même plus à rester éveillée.

« Félicitation ! C’est un garçon ! »

« Haha… Il a la tête de son père. »

« Comment voulez vous l’appeler ? »

« Attila Jaguardo… C’était le nom de mon grand-père. »

« Bien ... »


Sur le pont, une arme faisait trembler tout le monde. Une sorte de petite bombe qui d’après les dires  de Luiji pourrait probablement détruite tout le navire. Mario était paralysé, il ne savait pas quoi faire et surtout pensait à son enfant et sa fille.

« Nou...Nous nous rendrons, mais par pitié… fait partir ma femme et son enfant. »

« Hmm… Jamais ! Ça ne serait pas amusant de voir ta tête quand les deux seront mot sinon ! »

Cette phrase déclencha chez Mario une rage incroyable, il fonça vers son adversaire prêt à le tuer. Luiji activa son arme et la fit glisser vers le maffieux d’un coup de pied. Les membres de la famille Pizzapasa semblaient s’enfuir, et Luiji en quittant le navire appuya sur un bouton qui créa une énorme détonation emportant tout sur son passage.


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Sur une autre île deux heures après la bataille.


« Salaud ! Tricheur ! Menteur ! Arnaqueur ! Comment mon arme martial cuisinier ne peut t-il pas concourir ! Pas digne de cette grande épreuve !? C’est une insulte à mon grand-père créateur de ce style ! »


Un vieil homme qui venait de perdre une épreuve se baladait au bord de la plage en grommelant sur le fait qu’on n’avait pas accepter sa candidature et surtout qu’on l’avait tourné en ridicule.

Au loin, quelque chose l’intriguait. Plusieurs débris qui avaient sûrement échoués sur le rivage, mais ce qui l’intriguait le plus c’était cette forme féminine allongée sur le sol. Vaillant comme était le vieil homme, il se précipita vers la jeune femme qui semblait dans un piteux état. Elle tenait dans ses bras un enfant qu’elle tendit difficilement au vieil homme avant de lâché son dernier soupire. Elle venait de confier son enfant à un grand homme Natsumaki Doki Ken. Sans connaître le nom du petit naufragé, il lui donna lui même un nom. Ashiro Kaito Ken en hommage à son père. Il éleva l’enfant comme le sien et l’initia même au karaté pour le calmer. Ashiro était juste une énorme boule d’énergie qui faisait fuir toutes les bonnes femmes qui venaient le garder quand son père adoptif devait sortir s’exercer à son art. C’est pour cette raison que Natsumaki l’avait initié au karaté pour que le soir il puisse s’endormir facilement et ce n’était toujours pas le cas. Alors Natsumaki décida d’emmener son fils avec lui, il savait que ça ne servait à rien de le laisser à la maison il ne faisait que créer des problèmes. C’est de cet façon qu’Ashiro tomba amoureux des arts-martiaux.

Pendant des années il fit le tour de l’île avec son grand-père pour essayer de tout apprendre. C’est ainsi que son rêve venait de naître : ‘’Apprendre tous les arts martiaux du monde.’’ Pendant sa jeunesse il fit le tour de l’île pour apprendre avec les différents maîtres disponibles surclassant même plusieurs adultes de l’île, Ashiro était une sorte de génie qui pouvait apprendre facilement d’après son père adoptif, c’est comme ça que l’idée de l’inscrire au tournoi annuel de l’île lui vint à l’esprit. La catégorie junior allait accueillir cette année un nouveau candidat. Malheureusement, Ashiro ne fit pas le poids. Cet évènement faisait appel à des candidats qui venaient de toutes les mers et se fit surclassé par plus fort que lui, même si il avait décrocher la seizième place. L’envie de vaincre devint primordial pour Ashiro qui s’entraînait jour et nuit pour finir premier. Pendant treize ans il s’entraîna sans relâche, participant chaque année jusqu’à changer de catégorie sans jamais avoir la première place.


Cette année, le jeune combattant avait travaillé comme un fou pour dépasser ses limites et enfin concourir et aussi ramener le trophée de la première place.


« Encore une fois ! Nous accueillons Huitain Ruzuzu qui a tiré la première place lors de la dernière participation ! » La foule s’excita à l’entrée du numéro un sur le ring lors de la présentation des participants.

« Oh ? Nous avons encore le petit forcenet d’Ashiro Kaito Ken qui participe encore ! Souhaitons lui bonne chance ! »  Ashiro leva ses mains devant la foule pour la saluer.

« Yup ! Et je compte bien gagner cette fois ! »


« MESDAMES MESSIEURS ! NOUS AVONS UN PARTICIPANT DE HAUTE QUALITAAAAAYYYY ! IL S’AGIT DU GRAND KUMASHO KEMI ! LE GRAND LUTTEUR SUMO ! »

Un homme assez massif approchait en faisant trembler le sol.

« Bonjour à tous ! Votre île me plaît énormément et j’espère que ce tournoi démarrera bien-blurp ! »

« Quel homme sympathique! » Dit le présentateur avant de reprendre : «  Que tout le monde marche en direction des vestiaires ! Nous allons annoncer les premiers combats ! »

Ashiro était excité à l’idée d’affronter des adversaires forts ! Et surtout, il ne comptait pas perdre cette année ! Il voulait rentrer chez lui avec un gros trophée brillant pour son père.

Les autres adversaires furent écrasé par Kumasho et Hyujin, et ceux qui se présentaient devant Ashiro ? Son entraînement portait ses fruits et il repoussa facilement les autres combattants. Il se retrouva finalement devant Kumasho, les deux hommes avaient eux un parcours honorable pour arriver en quart de final. Mais ils n’allaient pas céder aussi facilement.

« Kumasho contre Ashiro ! Un combat qui risque de s’annoncer très impressionnant ! »


« Bonne chance-blurp. » Lança Kumasho à Ashiro.
Les deux combattants sur le ring se saluèrent, avant d’adopter une position de combat de type Hô tan. A peine le combat avait commencé qu’Ashiro fut chargé par Kumasho. Le jeune combattant esquiva en glissant vers la droite. Mais le Sumo avait anticiper et lui donna un unique coup de paume qui projeta Ashiro dans le décor. Une seule attaque avait suffit pour le mettre hors d’état de nuire. C’est de cette façon qu’Ashiro comprit qu’il existait des gars vraiment fort sur Terre. Le lot pour être arriver en troisième place était petit bateau assez gros quand même pour y vivre le temps d’un voyage.



« Ce n’est pas grave Ashiro, perdre est important ça nous permet d’apprendre nos erreurs. » Dit le père d’Ashiro.

« Je sais… mais cette fois, je me suis fait écrasé en un seul coup ! Je… Je me suis entraîné pour rien. »

« Ne dit pas ça, il existe toujours quelqu’un de plus fort que soi sur ce monde, alors ... »

« Apprend moi ton art papa ! » Dit t-il en s’inclinant devant le vieil homme.


« Mon art ! Très bien. J’attendais que tu me le demande ! »


Ainsi pendant deux longues années, Ashiro apprit l’art et la cuisine de son père et décida surtout de prendre la mer pour poursuivre son rêve.

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« Oooooye ! UN BATEAU ! C’est la première fois que j’en vois un aussi grand ! » Ashiro n’avait que 19 ans à cette période.

Un énorme navire venait de déchirer l’océan pour s’approcher.

« Oh ! Y a un pecnot dans s’navire de p’tite fille ! » Hurla une voix rauque, immédiatement plusieurs hommes venaient sur le pont pour regarder Ashiro sur son minuscule navire.

« Salut les gars ! Alors la mer est bonne hein ?! » Dit t-il en souriant.

Les hommes murmuraient entre eux : « C’est qui ce blaireau ? On fait quoi ? Peut-être qu’il est paumé. »

Quand sur le pont du gigantesque navire, un homme avec une voix grave coupa les murmures.

« Hey, bande trouduc ! Vous allez m’écouter ! »

« Oh capitaine ! Oui d’accord. »

« Ce gars voyage sur un p’tit navire comme ça, c’est peut-être un marchand descendez le buter et ramenez sa marchandise ! »

« Oui capitaine ! »

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Un petit groupe d’homme venait de glisser une échelle vers le petit vaisseau d’Ashiro avant de descendre.

« Ah, vous voulez peut-être venir manger avec moi ! Y a encore la bouffe de mon père dans la cale, il m’a fait un gros paquet. »

« La ferme. » Dit un homme d’un ton sec avant d’entrer de force dans la cale. Ashiro était bien trop naïf, mais savait que quelque chose clochait. Jamais il n’avait été confronté à la dureté de la vie, et il allait la rencontrer comme une mouche s’écrasant sur un pare-brise.

Un homme dégaina un pistolet et braqua Ashiro.

« Ok mon gars, tu va nous laisser ton p’tit navire et tes réserves de bouffe ! »

« Hein… Mais ? Calmez vous nous pouvons très bien discuter de tout ça autour d’un verre. Je dois avoir du thé à la cale. » Dit doucement Ashiro avec un large sourire, ses agresseurs n’étaient pas du même avis.

« Tu te fous de moi sale petit bâtard ! »

« Non… Je vous assure qu... » Deux détonations venaient de partir, deux balles venaient de perforer l’abdomen d’Ashiro. Le pauvre perdit presque connaissance et tomba brusquement par dessus bord, il venait de se faire voler. La première fois qu’il était confronté au danger du monde extérieure.

Son corps s’enfonçaient lentement dans les profondeurs de l’océan sans qu’il ne puisse bouger, la mort allait venir le chercher lentement. La fin d’un voyage sans avoir pu réaliser son rêve.

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« Oh ! Lève toi p’tit gars ! » Ashiro visiblement venait de s’échouer sur une île déserte, un miracle qu’il avait survécut. La chose qui venait de le sauver était un véritable saint, lorsque le petit combattant est tombé par dessus bord, son corps s’est échoué sur cette île est il s’est fait soigner par cette personne.

Ashiro ouvrait doucement les yeux en entendant une voix féminine à son oreille.

« Hmm… Papa ? »

« Papa ? J’ressemble à un mec petit enfoiré ? »

Ashiro ouvrit doucement les yeux et bondit de frayeur sur son lit pour se retrouver au sol.

« OH PUTAIN UN GÉANT ! »

« Une géante s’teuplait. » ça n’arrangeait rien, Ashiro était terrifié ! C’était la première fois qu’il voyait ça, il ne savait pas du tout comment il devait réagir ! Il se contentait de reculer tout en hurlant de peur jusqu’à que son dos rencontre un mur.

« Du calme le morveux ! Je t’ai quand même soignée. » Hurla t-elle en frappant sa main au sol faisant tout trembler autour d’elle.

Ashiro s’arrêta un instant, regardant son torse. Puis la géante.

« AAAH !!! Elle m’a foutue a poil en plus ! » Hurla t-il encore plus fort, la femme géante se frappa le visage avec la paume de sa main.

« Bordel t’es vraiment con comme gars. J’ai fait à bouffer si tu veux, file dehors si tu veux manger. » L’idée de manger était beaucoup plus forte que la peur qu’éprouvait et Ashiro se dirigeait dehors bavant déjà à l’idée de manger. Quand il ouvrit la porte sa tête manqua d’exploser devant ce qu’il venait de voir. Une énorme poele qui se trouvait sur le sommet d’un volcan.

« Maaais ? C’est quoi ce bordel ? » Ses yeux allaient s’enfuir de leurs orbites tellement Ashiro était surprit. La géante arriva et déposa une gigantesque assiette devant le minuscule humain. Elle tira sa poele et renversa une minuscule portion qui était gigantesque pour le petit humain dans l’assiette.

« Mange bien si tu veux récupérer. »


« BONNE APPÉTIT » Hurla le jeune homme avant d’aspirer tout le contenu de son assiette d’un coup sous le regard étonné de la géante, s’était la première fois qu’elle rencontrait un humain qui mangeait presque comme un gamin géant.

« ENCORE MADAME LA GÉANTE ! »

Elle étouffa avec son plat et rempli une seconde fois l’assiette d’Ashiro qui ne pouvait plus demander une troisième portion, dès qu’il termina son plat son ventre était gonflé et n’avait même plus de place.

« C’était tellement bon… Merci pour le repas, moi c’est Ashiro. »

« Je suis Alloha, la géante. Je peux te poser une question maintenant que tu t’es calmé ? »

« Oui. »

« Comment t’es arrivé ici ? »

« Ch’ui tombé par dessus bord après m’être fait tirer dessus ! » Hurla Ashiro en souriant encore une fois.

La géante était étonnée de l’attitude de l’humain, au moins il était sincère. Elle eut un soupire de soulagement avant de se relever pour débarrasser les assiettes et filer faire sa vaisselle dans l’océan.

« T’es genre un pirate ou t’es recherché ? »

« Nan, juste des pirates qui m’sont tombé d’ssus alors que j’allais vers Kakizuko pour apprendre un nouvel art. »

« Un nouvel art ? » La géante déposa les assiettes sur la table avant de laisser tomber tout en provoquant malgré elle un mini séisme.

« Yup ! Je veux devenir le plus grand artiste martial du monde en apprenant tout les arts martiaux ! »

La géante regarda Ashiro, avant de pouffer de rire ! Essuyant une larme au coin de ses yeux.

« Pourquoi tu rigole ? »

« Rien, juste bonne chance. Ça va être très long. »

« T’inquiète ! Je suis sur que j’peux vivre longtemps. »


« Tu sais quoi, je vais te faire une fleure et t’apprendre un art martial ! »

« OUAAAAH ? C’est vrai ? »

« Yup, mais avant. Je veux que tu me cuisine quelque chose, j’ai des livres sur la cuisine si tu ne sais rien à ce sujet dans la maison. Mais il va falloir que t’arrive à ouvrir la porte. »

En effet, c’était une porte pour géant ! En plus une porte en bois massif ! Ashiro allait avoir du travail. Ashiro impatient se mit immédiatement en route vers la maison de la géante. Un peu trop confiant, il commença à pousser la gigantesque porte sans qu’elle ne bouge une seule fois. Il utilisait toute son énergie. Mais rien, la porte ne se décala même pas une seule fois.


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Pendant des mois, Ashiro s’entraînait augmentait sa masse musculaire sans jamais réussir à faire vibrer cette gigantesque porte.

Jusqu’à que la géante fasse son apparition encore une fois.

« Ah ha ha ! Regarde gamin une vraie force de la nature. » Alloha prit une grande inspiration et soudainement sa masse musculaire venait d’augmenter de manière considérable. Elle ouvrit en poussant brusquement les deux portes avec cette nouvelle force acquise.

« Oraaaa ! » Les portes venaient de s’ouvrir grand devant les deux individus, et Alloha rentra à l’intérieure de sa maison en riant. Ashiro suivit la grande femme en affichant un visage tout triste.

« J’ai échoué ? »

« Non ! Test validé ! » Hurla t-elle en souriant jusqu’aux oreilles, visiblement tout cela n’était qu’un simple test, elle voulait tester la détermination d’Ashiro pour apprendre son art et pendant deux mois il avait essayé comme un fou d’ouvrir cette porte.

« Validé , Mais je n’ai même pas... »

« Je voulais voir ta détermination ! Et c’est ça qu’il faut pour apprendre le Chimei-Tekina Daidokoro… Une volonté d’acier mon p’tit ! » Elle tira un énorme livre de son étagère elle le lança vers Ashiro qui esquiva de justesse.

« Maintenant, je veux que tu me prépare un pain. Dans ce livre il y a des choses très spéciale pour la recette et aussi sur le Chimei. Je te conseil de le lire… Il y a une grotte vers le champ de blé, le temps d’y vivre et d’y préparer ton pain. Sur ce… A dans deux semaines ! »


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Le jeune guerrier se rendit sur le champ, et effectivement il allait devoir avoir beaucoup de temps libres. Ici tout étaient géant ! Ashiro se renseignait sur la manière dont préparer un pain. Et requête spéciale de la géante, il devait tout faire à la main. Interdiction d’utiliser un ustensile pour couper le blé.

« Canaliser son énergie… Inspirer… Oï ! » Hurla t-il donnant un coup de avec le tranchant de sa main vers une tige espérant la trancher, rien. Pendant plusieurs jours Ashiro s’exerça dans le but d’apprendre cet étrange capacité, et lorsqu’il réussit il se mit à préparer son pain pour aller l’offrir à la géante.


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« Oh bravo mon p’tiot ! Bon, il fait la taille de mon p’tit doigt, mais il est délicieux ! » Les entraînements commençaient à devenir de plus en plus dur, et Ashiro apprenait tout seul. Juste en suivant les livres de la géante, jusqu’à qu’une étrange page ne tombe au pied du petit guerrier.

‘’Changer le monde quand on est une géante.’’ Ashiro commença sa lecture sans vraiment comprendre le récit qu’il venait de lire.


« Franc-Marinerie ? C’est quoi ça ? »


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-Boum.- Un bruit d’explosion se fit entendre. C’était celui d’un canon qui tirait, le bruit venait de la maison ! Inquiet, Ashiro se précipita vers la plage est découvrit quelque chose de très étrange. Des soldats de la marine tirant sur la géante depuis la plage.


« Grrr ! Bande d’enfoiré ! JAMBE COUTEAU ! » Alloha leva sa jambe, déchirant l’air tel un couteau coupant un steak jusqu’à détruire la coque d’un navire.

« Alloha la cuisinière du diable… Te voilà ! Nous savions que tu te trouvais dans ses alentours, ton navire avait coulé dans ce coin d’eau. C’était une question de temps avant qu’on te retrouve, soit tu te rends… Soit nous t’abattons. »


« Allohaaaaaaaaaa! » Hurla Ashiro se faisant remarquer par la géante, les navires trop loin ne voyait qu’une forme minuscule courir vers la géante.

« Putain, Ashiro… Casse toi ! Barre toi vite ! S’ils voient ton visage, ils vont te traquer jusqu’à ta mort ! »


« J’m’en fous ! J’te laisserais pas crever ici maître ! » Dit Ashiro prêt lui aussi à se battre, un deuxième coup de canon vola et immédiatement, la jeune géante se plaça devant l’humain pour le protéger prenant donc un énorme coup au beau milieu du dos.

« Hein ? »

« Je t’ai dit de vite partir… Écoute, je suis une criminelle… J’ai fait des choses pas très sympa dans ce monde, sache le. Ce monde est fou et j’ai essayé de le changer, mais rien à faire la vérité ne pourra jamais refaire surface. »

« Putain, tu parle de quoi ?! Cassons nous vite ! Ils ne pourront jamais nous rattraper. »

« Nan, il y a un lieutenant de la marine qui arrive. Je… Je ne peux pas te laisser te faire buter, t’es encore un gamin et t’as même pas vu le monde, il faut… que tu accomplisse ton but, moi j’ai déjà atteint mes objectives léguer mon art. » Un deuxième coup de canon frappa la géante en pleine tête cette fois, bien que sonnée. Elle commençait à prendre la fuite, déposant Ashiro sur une barque et de sa force titanesque poussa cette dernière de toute ces forces pour éloigner un maximum le combattant de l’île. Ce fut la dernière fois que Ashiro vu sa maîtresse avant qu’elle ne meurt sur cette île.