La fille qui cherchait à changer le monde, Sara Vongolia [En Cours]

Sara Vongolia

Prénom et Nom: Sara Vongolia
Âge : 21 ans
Sexe : Féminin
Avatar : Jolyne Cujoh - JoJo's Bizarre Adventure
Groupe : Francs-Marins
Métier : Archéologue
Espèce : Humaine
But : Faire tomber le GM – Obtenir le respect de la Trinité et rencontrer le Duc – Découvrir la Véritable Histoire – Rester elle-même durant ses aventures - Battre Lucas J. Justice - Pas grand-chose d'autre si ce n'est l'espoir de bonnes bagarres

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Fruit du Démon : (sous réserve de validation) Suna Suna No Mi – Fruit du Sable

Autres capacités : (sous réserve de validation) XXXX

Description physique

Du point de vue physique, la jeune Sara était ce que l’on pouvait qualifier d’atypique, dans tout les sens du terme. Sa taille était un peu supérieure à la moyenne, dans les environs du mètre 80, avec une silhouette totalement athlétique. Mais sa bizarrerie vient surtout de sa chevelure verte et de son rouge à lèvre tout aussi vert que ses longs cheveux qu’elle attache de façon soigneuse, en deux chignons qu’elle entoure, c’est une coupe qu’elle change très rarement, et elle y met beaucoup d’application, alors il est assez facile de se dire que cela lui tient à cœur. Ses vêtements aussi sont toujours un peu spéciaux, une coupe très légère, faite pour profiter du soleil et de la mer. Ses hauts sont souvent courts, dévoilant beaucoup de sa peau, même si cela ne semble aucunement la gêner, ainsi que d’un pantalon tout ce qu’il y a de plus simples, souvent avec des couleurs chaudes surs ses vêtements, du rouge du jaune, etc. On peut également voir à ses bras et sa silhouette qu’elle entretient son corps physiquement, on peut ressentir sa force dès qu’on la voit. De plus, elle est constamment bardé d’un sourire franc qui la rend immédiatement engageante.

Par contre, dès qu’elle s’exprime la magie s’envole… Parce qu’elle braille comme une malade, et qu’elle s’exprime comme une enfant de cinq ans. Tous ses discours expriment à quel point elle est très peu intelligente. Surtout à cause de son accent de la campagne profonde. Elle s'exprime en mâchant ses mots et avec des expressions de ploucs. En fait, il serait plus juste de dire qu’elle est complètement teubée. Ses poings expriment surtout son envie de cogner, surtout sur des agents du Gouvernement. Même si sa posture alerte laisse supposer qu’elle est toujours prête à combattre, on pourrait croire qu’elle n’a aucun instinct de combat stratégique, mais cela ne reste qu’une impression, et Sara surprend toujours les gens, et pas que dans sa façon de s’habiller. Après tout, ses tatouages indiquent bien sa propension de surprise, avec la mouette qui tient un cœur dans ses serres qu’elle s’est tatouée sur l’épaule. Un tatouage surprenant, et très énigmatique pour ceux qui ne la connaissent pas.

Description mentale

La mentalité de la Vongolia est très simple à comprendre : Elle est complètement con, doublée d’une vraie mule. Jamais elle ne fera quelque chose de conventionnel. En même temps le conventionnel, ça l’ennuie assez vite. Elle aime quand sa bouge, quand il y a de l’action, et c’est pas en se posant et en réfléchissant qu’on obtient de l’action. L’expression « Cogner d’abord, penser ensuite » lui convient parfaitement. Non pas qu’elle pensait beaucoup de manière générale, quand elle ressentait un truc elle le disait, peu importe que ça lui vaille des problèmes derrière. Enfant, elle était capable d’insulter un grand et de se faire tabasser jusqu’à parce qu’elle trouvait qu’il puait beaucoup. Mais, étant complètement bête, Sara était d’une nature incroyablement franche, et il était par conséquent très dur de mentir pour elle. Cependant, il était parfois difficile de la saisir, car sa compréhension du monde faisait qu'elle traduisait tout en terme de vaches et de poules, notamment pour l'argent ou les services. Mais aussi pour des choses de la vie de tout les jours. Mais au demeurant, Sara était une personne avec un bon fond, elle n’était pas quelqu’un de méchant en soi, bien qu’elle ne se laissait pas marcher sur les pieds, elle était capable d’engager la conversation facilement, par contre, il ne valait mieux pas se mettre sur la liste de ses ennemis, elle serait capable de vous traquer peu importe que vous soyez planqués au trou du cul du fin fond de Grand Line ou du Nouveau Monde.

Sara n’est pas très maligne dans ses actions, cependant, elle veut malgré tout découvrir l’Histoire de ce monde, plutôt par défi d’ailleurs, car on lui a dit qu’elle en était incapable. Et puis on lui avait aussi dit que c’était l’objectif des Francs-Marins, alors elle voulait le faire. Et effectivement, elle était une Francs-Marine, une de ces rebelles qui emmerdaient le Gouvernement à force de chercher à découvrir le passé. Elle trouvait ce groupe très à même de porter un coup décisif à ce gouvernement pourri. Et même une idiote comme Vongolia pouvait les aider. En même temps si elle s’occupait de la partie baston elle n’avait pas trop à se soucier du reste. Et puis elle avait un sérieux problème avec l’inégalité, alors le concept de noblesse lui passait totalement au-dessus. Cela ne lui faisait aucun effet d’aller tabasser un noble, un mafieux ou le poissonnier tant qu’elle pouvait se battre. Ça c’était ce qu’était Sara Vongolia.

Histoire

Sara est née sur South Blue, dans une île si petite que personne ne s’est même donné la peine de lui donner un nom, tout ce qu’on trouve là-bas, c’est quelques bicoques qui tiennent ensemble et des pécores, avec pleins de champ, et une très forte odeur de bouse de vaches. En bref, Sara est née dans la campagne profonde. Là-bas, tout le monde y parle en mâchant ses mots, avec l’accent bien particulier de la campagne profonde, on y compte pas plus loin que le nombre de vaches que l’on possède. Et c’est dans ce cadre qu’est née la petite Sara, dernière née de la grande famille Vongolia. Une famille de paysans du coin. Ils avaient cinq vaches, et avaient eu cinq enfants. Sans doute valaient ils mieux qu’ils n’en aient pas eu six, ils n’auraient sûrement pas pu compter jusque là. Malgré tout, bien qu’ils étaient un peu bêtes, la famille Vongolia avait quand même très bon cœur. Surtout, dans son village, on pensait la vie en termes de vaches, et de carrés d’herbes à brouter. Ce n’était pas comme si c’était un endroit assez développé pour accorder de l’importance à un bout de papier qui permettrait de payer, alors on s’échangeait des poules, des œufs, ou des vaches pour les gros besoins.

Le jour, la famille Vongolia cultivait son champ, nourrissait ses bêtes, et le soir, elle mangeait tranquillement et participait aux festivités du village. Alors à priori, il n’y avait rien du tout qui aurait pu prédisposer la jeune paysanne à ne serait-ce qu’en partir. Mais pourtant, c’est en fait un peu la faute de ses parents si elle à du partir. L’histoire en vaut la peine.

En fait, alors qu’à leur habitude, la famille Vongolia dégustait un repas composé de bœuf et, à la fin du repas, les parents Vongolia proposèrent des fruits cueillis sur l’île à leurs enfants, dont un fruit un peu particulier, mais surtout un peu plus petit que les autres. Les frères et sœurs de Sara, plus grand, ne lui laissèrent pas vraiment le choix et lui laissèrent le fruit un peu bizarre et plus petit.

Ses parents tentèrent de faire en sorte de rendre le fruit plus appétissant :

- Tu sais, le foin c’a pas l’air ragoûtant, pourtant les vaches mangent hein… Bah pour nous c’pareil, c’est pas parce qu’un fruit est pas ragoûtant qu’il est pas bon. Au contraire même, ça le rend meilleur, comme le camembert de nos chèvres, ça pue, mais c'est bon.

La petite à peine âgée de cinq ans croqua dans le fruit, qui n’était vraiment, mais vraiment pas bon. Mais comme le disait son père :

- Bondiou de bonsoir tu finis ton assiette ou je te laisse traire toute les vaches toute la nuit c’est compris ?!!!

Du coup elle finit son assiette. Et avala entièrement son fruit, même si il était infect. Il n’y avait qu’à espérer qu’elle ne serait pas malade.

Sauf qu’il le rendit un peu plus que malade. La jeune fille devint une vraie sorcière d’un seul coup. Elle pouvait assécher les cultures, l’herbe, et même les vaches. Et à partir du moment ou ce fut les vaches qui furent asséchée, l’île entière se souleva. Peut-être les paysans pouvaient-ils ne pas voir les plans de culture qui s’asséchaient, ou alors ils s’inquiétaient sans accuser à la sorcellerie, mais quand ce fut les vaches, l’île se réveilla comme un seul homme. Surtout quand il fut sûr que c’était à cause de la petite Vongolia que tout ceci arrivait. La mentalité arriérée du village les conduisit à penser qu’il s’agissait d’une sorcière. Même quand ses arents tentèrent de la défendre, l’histoire ne faisait que les convaincre d’autant plus du contraire.

- Mais puisque j’vous dit que c’est un fruit qu’elle a mis dans ses chicots bondiou ! Et depuis elle est toute bizarre, mais j’vous dit qu’elle aime toujours autant les vaches et que jamais elle leur ferait de mal !

Sauf que la pression du village fut bien trop importante. Il était impossible de lutter. Et Sara, qui n’avait pourtant que cinq ans, fut forcée à l’exil. Elle avait eu le droit à une barque, des provisions, et une vague direction de ses parents, qui lui intimèrent bien de ne jamais revenir. De toute façon, l’assemblée de torche et de flambeau qui lui hurlaient de partir ne la convainquait pas vraiment d’essayer. Sa barque vogua, pendant peut-être deux jours, où elle crut plusieurs fois passer par dessus-bord, voire même mourir. Jusqu’à ce que finalement, elle atteigne une terre. Elle se réveilla alors là ou elle passerait une bonne partie du reste de sa vie, le Royaume de Bliss.

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