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 Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]

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Charlotte Elilly


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Charlotte Elilly

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MessageSujet: Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]   Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours] EmptyJeu 25 Juil - 1:12



Charlotte Elilly











Prénom et Nom: Charlotte Elilly
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin
Avatar : Momo Yaoyorozu- My Hero Academia
Groupe : Francs-Marins
Métier : Vigie
Espèce : Humaine
But : Rendre au monde sa beauté en n'écartant plus les plus démunis de celui-ci. Ne plus se couvrir de ridicule en parlant. Donner à chaque enfant qu’elle voit une barrette rose pour les cheveux. Parfaire sa technique de combat du « Ikazuchiken » ou « Poing Foudroyant » de son dojo de formation

---------------

Fruit du Démon : Gomu Gomu No MiFruit du Caoutchoutier
Autres capacités : (sous réserve de validation) XXXX


Questionnaire

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !

1. Apparence physique


Taille : 1M77
Poids : 62 Kg
Cheveux : Bruns et longs
Yeux : Noirs


2. Tenue vestimentaire habituelle


Quand je m’habille, j’essaie de faire des efforts, parce que je suis une fille quand même relativement sophistiquée, du genre de celle qui font du shopping durant des heures pour trouver LA tenue parfaite, ça vous paraît sûrement ringard, mais moi ça me plaît, parce que ma tenue reflète une confiance en moi que je n’ai pas. Donc, même si ce n’est pas la tenue la plus pratique, je suis plutôt du genre à mettre des robes de soirées, c’est avant tout pour me sentir bien. Et puis ça met en valeur mon visage et mon corps. Par contre, quand je dois vraiment partir en mission, je m’adapte, et j’enfile des tenues discrètes, des tenues pratiques, qui vont me laisser toute liberté et toute latitude pour le combat. Bien souvent, il s’agira de la tenue de mon dojo d’ailleurs, un gi brun mordoré orné de l’emblème du dojo de l’Ikazuchiken.

3. Motivations


Mes motivations sont très simples… Je veux protéger le monde alors que certains veulent le rendre toujours plus inégal. Et c’est quelque chose que j’ai appris très tôt, dans ce monde, certains naissent avec un désavantage, et d’autres avec un avantage, et tout le monde devrait pouvoir avoir les mêmes  chances au départ. Et je me bat pour ça. Je voulais aussi faire en sorte de pouvoir m’exprimer clairement pour les autres, ce qui est compliqué étant donné que je suis bègue de naissance, ce qui veut dire que mes phrases ressemblent à ça « Bon...Bon...Bonjour, je vous assu...sure que tou...tout va bi...bi..bien». Ce qui peut certes être drôle, parce que ma phrase peut prendre un autre sens sans que je le veuille, mais qui m’a surtout valu moqueries et rictus. Et je ne souhaite ça à personne, alors je me bats pour faire en sorte que plus personne n’ait à subir de moqueries de gens qui seraient nés favorisés, et si je pouvais limiter les effets de mon petit problème cela m’arrangerait. .
Je me bats également pour promouvoir le dojo où j’ai appris mon art du combat, un des nombreux dojos de Karaté Island, dont je maîtrise le style de l’Ikazuchiken, le Poing Foudroyant. Enfin, j’en maîtrise les bases, je me bats pour promouvoir ce style de combat sur les océans, ainsi que pour en parfaire ma propre maîtrise.
Aussi, j’ai toujours été un peu curieuse, alors explorer l’océan en même temps que j’accomplis les objectifs des Francs-Marins est une assez douce récompense. Alors autant joindre l’utile à l’agréable


4. Opinion sur le gouvernement mondial


Je suis membre d’une organisation que le Gouvernement réprouve, pourtant, en soi, le Gouvernement Mondial ne m’a personnellement jamais rien fait de mal, je n’ai jamais eu à subir l’influence de cet instance sur ma vie, alors en soi je ne devrais pas avoir de raisons de les détester, mais je vois ça d’une autre façon, je me dis que ce n’est pas parce qu’un homme qui assassine des enfants ne m’a personnellement jamais rien fait que je ne peux pas pour autant le détester, j’applique ce principe au Gouvernement Mondial, qui maintient la société dans l’ignorance de ce qu’elle à le droit d’apprendre, qui laisse les gens parfois mourir de faim à cause d’un système qui impose beaucoup trop dû à la différence sociale instaurée pour favoriser les nobles, et je préfère me battre contre ce système quitte à en mourir, plutôt que de passivement l’accepter, tel était ma résolution.


5. Opinion sur la piraterie


En ce qui concerne les pirates, je suis assez partagée, disons que cela dépend de ce que j’ai en face de moi, Parce que la piraterie est quand même un très bel appel à la liberté à mes yeux, et sûrement d’ailleurs que si je n’avais pas pu rentrer chez les Francs-Marins, je serais devenue une pirate. Mais guidée par les rêves, l’appel de l’aventure, la liberté promise par l’océan, ce qui fait que la vie de forban vaut la peine d’être vécue finalement. Mais d’un autre côté, il y a ceux qui ne vivent que de pillages et de massacres, ceux qui tuent pour la moindre piécettes, alors certes, moi-même il m’arrivait de céder à une violence froide et effrayante, mais jamais dans un but aussi égoïste. Si il s’agit juste de se défouler, autant devenir chasseur de primes ou exécuteur du Gouvernement, au moins on est payé pour tuer dans ce cas-là. En tout cas, pour ces pirates avides de massacres et de tueries, je serai toujours là pour les remettre à leur place.

6. Opinion sur la franc-marinerie


Les Francs-Marins, en voilà des gens qui en veulent vraiment, qui veulent changer les choses, qui ne comprennent pas les agissement du Gouvernement, ils sont beaucoup de choses selon les médias : des extrémistes, de dangereux criminels, des fanatiques menés par un pirate fou, d’insaisissables rebelles. Mais pour moi, ce groupe représente un exemple, un exemple que n’importe qui peut montrer son meilleur jour dès lors qu’il prend la peine de s’en donner les moyens. Une poignée de mains, un logo sur votre coque, et vous pouviez tenter de vous opposer à la mainmise sur la société et tout ce qu’elle contenait que représentait le Gouvernement Mondial, je trouvais cela assez inspirant.  



Histoire

Mon histoire commence sur South Blue, lorsqu’une famille sans histoire de Karaté Island donna naissance à la petite dernière de la famille. Cette petite dernière, c’était moi. Je suis arrivée après mes deux frères et ma sœur, autant dire que ma famille était déjà bien remplie. Mais elle pouvait largement subvenir elle-même à ses besoins, parce que sur Karaté Island, à partir du moment où notre métier à quelque chose à voir avec les arts martiaux, les gens se renseignent, et mes parents possédaient une boutique uniquement axé sur les arts martiaux. Quand on avait besoin de réparer un objet d’entraînement cassé à force de taper dessus, quand on cherchait à trouver une nouvelle tenue de combat, où tout simplement quand on cherchait un sac de frappe, c’est chez mes parents que l’on venait. Cela permettait aussi à mes parents d’être assez bien vus de la communauté des combattants de Karaté Island, de s’imprégner de leur traditions, ce qui me desservit d’ailleurs quand mes problèmes d’élocution sont apparus. Et cela me rendait très fière, seulement, moi, j’allais bien vite devenir le vilain petit canard de la famille.

Ma famille et moi-même, on s’est très vite rendu compte du problème, étant donné qu’il est arrivé quasiment dès que j’ai commencé à parler, les médecins ont dit que ça arrivait aux personnes anxieuses ou inquiète à l’idée de parler aux autres, c’était peut-être vrai j’en savais rien, mais toujours est-il que j’étais bègue et que je ne pouvais pas y faire grand-chose. Surtout que mes parents n’ont pas été à ce sujet très compréhensif. Sur Karaté Island, les gens ne comprenaient que le langage de la bagarre, et quelqu’un qui ne sait même pas parler sans bégayer est un faiblard. En plus, je ne pourrais pas être commerçante si jamais je ne sais pas parler, ce qui inquiétait mes parents par rapport à ce que je pourrais faire plus tard. Si bien que j’ai développée une honte forte pour ma condition. Le genre de honte indécrottable qui vous fait dire que vous êtes moins que rien. Pourtant, en surface je ne faisais mine de rien, j’essayais de trouver une parade aux enfants qui se moquaient de moi, et la meilleure que j’ai trouvée c’est tout simplement de faire semblant de ne pas les voir même quand ils étaient en face de moi, en jouant avec la barrette rose que j’avais dans les cheveux, je devenais tellement douée dans cet exercice que je suis un jour rentré dans un petit qui se moquait de moi, nous faisant tomber à la renverse. J’ai quand même essayée de m’excuser :

« P...P…P…Pardon, je...je...je voulais pa...pas »

Le garçon se releva

« Tu veux ton papa ? Je vais t’emmener le voir pour m’avoir fait tomber »

Et il me colla un grand coup sur le nez, ce qui lui fit mal aussi vous me direz, vu qu’il avait frappé avec son poing et que ça fait mal de frapper du poing quand on est pas entraîné pour ça. Sauf que j’avais bien plus mal que lui. Le coup qu’il m’avait donné m’avait atrocement fait souffrir.  

J’en avais plus qu’assez, j’en avais marre d’être celle qui prenait les coups. Cela ne pouvait plus durer, si je ne pouvais pas répondre oralement, mes poings le feraient à ma place. C’est ce que je me suis dit devant la douleur. Et c’est ce que je me suis attelé à faire dès que je suis allée mieux, je suis allée chercher des cours auprès d’un Dojo qui m’accepterait. Sauf qu’aucun n’était prêt à accepter une petite fille bègue et sans force physique. Et ça m’énervait, et quand je m’énervais, mon bégaiement s’intensifiait.

« Ou...Ou… Ouais vous ve...ve...verrez, je...je...je vais de….de...devenir la plus fo...fo...forte de l’île pour vous dé...dé..démolir le po...po...portrait après ! »

Mes parents eux n’étaient pas opposés à l’idée que je m’entraîne, ils pensaient que cela pourrait m’endurcir un peu, mais eux aussi ne voyaient pas qui pourrait m’accepter. C’est en allant dans l’un des dojos les moins recommandés que j’ai trouvée la solution. Il s’agissait du dojo de Maître Akimi, le maître de son propre style de combat, l’Ikazuchiken, autrement dit le Poing Foudroyant, qui était considéré comme un art martial de « femmelettes », selon les dires des habitants de l’île.

Quand je m’y suis présentée, le maître du dojo était seul, il n’avait aucun élève, car aucun n’avait trouvé grâce à ses yeux, mais un dojo si peu réputé qui se permettait de refuser des élèves, cela m’intriguait, cet art martial devait être spécial.

« Bon...Bon...bonjour Maître, je veu...veux m’in...m’inscrire ici… »

Et il me répondit la même chose que tout les autres..

« Et pourquoi je laisserai une petite fille bègue et faiblarde étudier ici ? »

Seulement, à force de ne pas parler, j’étais douée pour écouter la voix et le ton d’autres personnes, et là il n’y avait aucune animosité, il me posait juste sincèrement la question, il y avait du progrès.

« P...P...Parce que y a pa...pa besoin de pa...parler pou...pour se b...b...battre, et la fo...force peut s’acq….s’acqu…… se dévelo….développer avec le temps. »

J’avais eu du mal à prononcer acquérir, du coup j’essayais de changer pour un mot plus simple à prononcer dans ces moments-là.

L’homme se leva :

« Frappe ce buisson que tu vois. »

« Ce...Celui-ci ? »

Je ne comprenais pas vraiment, il me montrait juste un buisson en face de lui. Mais je me suis pliée à l’exercice, donnant un coup dans le buisson. Ce qui n’a pas eu l’air de lui faire quoi que ce soit. Ensuite, Monsieur Akimi s’en est approché, avant de le frapper précisément et en mesurant sa force, à tel point qu’il frappait la feuille qui s’envolait avec précision, l’arrachant d’un coup sec, mais laissant le reste du buisson intact, là où mon coup avait juste enfoncer mon poing au hasard dans le buisson, tordant les feuilles mais ne les arrachant pas.

« L’art de l’Ikazuchiken, est de frapper avec précision et la juste force nécessaire, l’exemple que je viens de te montrer avec des feuilles n’est pas très impressionnant, mais avec l’Ikazuchiken et la force suffisante, tu pourrais détruire des maisons entières juste en frappant le bon point du mur. Beaucoup des habitants de Karaté Island méprise mon art car il impose de la retenue et du contrôle de soi, là où Karaté Island préfère la force brute, te sens-tu prête à apprendre ?»

Je ne sais pas pourquoi, j’ai eu la sensation que je devais répondre honnêtement :

« Non… »

« Évidemment que tu n’es pas prête, je n’aime pas les vantards qui se disent près sans avoir pu jauger la difficulté d’un entraînement, ce sont eux qui se plaignent que c’est trop difficile après coup. Très bien, je veux bien t’enseigner mon art, à une condition...»

Il partit quelque seconde dans son dojo avant de revenir avec quelque chose dans les mains, il me montra ce que c’était : on aurait dit une sorte de débardeur avec l’adresse et l’emblème du dojo. Sa voix pris en quelques secondes des intonations de marchand de tapis

« Tu portes des produits promo du dojo en permanence pour me faire de la pub, qu’est-ce que t’en dis… Tiens c’est cadeau… »

Je n’ai pas pu me retenir de rire un bon coup, cela faisait du bien, j’avais oublié ce que cela faisait de rire. Peut-être que finalement je pouvais être un peu heureuse.

C’est donc à partir de mes huit ans que j’ai commencée à étudier sous la tutelle de maître Akimi. J’étais heureuse d’apprendre, et, en dehors du dojo, je m’étais prise de passion pour le dessin, un art qui me permettait de m’asseoir et de n’avoir rien à dire à personne, et qui me permettait aussi de dessiner les jolis paysages d’horizon que je pouvais voir depuis Karaté Island. Plus tard, je me disais que j’aimerais bien naviguer au gré de mes envies, peut-être même devenir un genre d’exploratrice, j’aimerais bien.

Je grandis donc en apprenant petit à petit les bases de l’Ikazuchiken, ce qui me permis de ne plus être embêté par les autres enfants quand ils ont vu que j’étais capable de casser le bras d’un petit qui avait voulu me pousser, mais à ma défense j’avais agi par réflexe.

Ma famille aussi m’encourageait dans cette voie, surtout parce que je parvenais enfin à ne plus les couvrir de honte. Et Karaté Island respectait la force martiale, ce dont j’étais maintenant pourvue. Et c’est à mes quatorze ans qu’un nouveau fait majeur se déroula dans ma vie.

J’étais en train de rentrer du dojo comme à mon habitude, j’étais seule, mais les rues de Karaté Island ne me faisaient pas peur, et puis ma tenue du dojo suffisait à montrer que je m’entraînais au combat, ce qui dissuadait souvent les petits bandits de m’approcher seul. Seulement,ce n’est pas moi qui eut un problème, ce fut un homme, que je n’avais jamais vu sur l’île, sûrement un touriste où un marchand itinérant, j’ai simplement vu au loin quelqu’un lui plaquer une main sur la bouche avant de l’attirer dans une ruelle, certainement des bandits qui comptaient le dépouiller. Je me devais d’intervenir. Heureusement, j’étais trop loin pour que les bandits me repèrent, surtout si ils étaient concentrés sur le marchand qui arrivait dans l’autre sens, et à défaut d’avoir une bonne élocution, j’avais une très bonne vue. Je me suis approchée de la ruelle pour observer, heureusement les bandits n’étaient que deux, ils n’avaient ni l’air très malins ni vraiment trop forts pour moi, si je pouvais agir vite et bien, je pouvais sauver ce pauvre homme.

Je me suis alors le plus furtivement possible glisser derrière les bandits, avant de frapper le plus vulnérable directement dans la rotule, la zone la plus sensible derrière l’ennemi que je pouvais trouver, en frappant suffisamment fort, l’ennemi ne peut plus se relever, et j’avais mis la parfaite force dans mon coup. Le bandit s’écroula sans même comprendre, se tordant de douleur tandis que sa jambe était brisée pour au moins plusieurs semaines. Son allié se tourna donc vers moi, mais je voyais bien qu’il n’avait reçu aucun entraînement, en un contre un contre moi, il n’avait strictement aucune chance. Le combat fut expéditif. L’Ikazuchiken enseigne à ne pas gaspiller de temps et d’énergie dans un combat, il faut parvenir à y mettre un terme le plus rapidement possible, où alors temporiser jusqu’à fatiguer l’adversaire. Mais en un coup de pied pour déséquilibre mon adversaire, suivi par un méchant coup de paume de la main dans le larynx pour lui couper le souffle, je n’avais plus qu’à l’assommer d’un coup de pied pour gagner.  

Ma victoire était totale. J’ai alors immédiatement sorti le marchand de la sans attendre, celui-ci me remercia avec véhémence. Il m’offrit le bien le plus précieux qu’il avait, un fruit, ce que les deux bandits voulaient prendre parce qu’ils en avaient entendu parler, il s’agissait d’un fruit du démon.

« Je voulais le revendre, mais à chaque fois que je cherche à le faire, je finis par me faire attaquer ou quelqu’un essaie de me le voler, je ne pense pas être capable de le garder en sécurité, et j’ai encore moins envie de le manger, mais avec vous, et le geste si altruiste que vous avez accompli, je sais qu’il est entre de bonnes mains. »

Je trouvais étrange que le marchand m’abandonne ce fruit aussi facilement, mais vu ce qu’il en racontait, il n’en était pas à sa première agression, cela avait du beaucoup le freiner dans ses volontés de revente. Il ne voulait sûrement pas finir avec une lame en travers de la gorge, et lui ne voulait pas le manger. Seulement moi, je n’étais pas lui, et un pouvoir aussi précieux, cela ne pouvait que m’aider, car parcourir l’océan en tant que pirate était à l’époque une idée qui me séduisait énormément, avec un fruit du démon, mon parcours en serait facilité. J’ai donc avalé le fruit. Il me donna alors les pouvoirs d’un homme élastique, en fait, pour être plus clair, celui d’un homme-caoutchouc. Je pouvais étirer les parties de mon corps à volonté, même faire rebondir des objets dessus, et c’était marrant, je servais de catapulte pour les goodies de mon dojo, catapultant des t-shirts de l’Ikazuchiken directement sur les gens, un peu comme dans une compétition sportive.

J’ai par la suite développée mes pouvoirs tout en grandissant, continuant aussi ma route sur la voie de l’Ikazuchiken.  Jusqu’à entendre parler des Francs-Marins, vers mes dix-huit ans. Depuis quelques années déjà, je déplorais le fait que beaucoup naissait pauvre et sans le sou sans vraiment de raison. Surtout, prenant mon cas en exemple, certains naissaient désavantagés à cause d’un handicap ou autre chose, sauf que les faibles pouvaient progresser en s’entraînant dur, et j’essayais de redonner espoir aux enfants défavorisés de Karaté Island, ce qui se sentait rejetés, les laissé pour compte, j’en ai même fini par en faire mon métier, fondant une association d’aide aux enfants en difficulté. Et j’essayais de les aider, même si cela impliquait beaucoup parler, et mon bégaiement, même si il s’était atténué légèrement, restait un immense handicap. Par exemple à chacun, je leur offrais une barrette comme la barrette rose que j’avais quand j’essayais d’ignorer les moqueries, en leur expliquant que je focalisais mon esprit dessus pour ignorer les remarques, alors même si mon idée était saugrenue, cela pouvait les aider. Je critiquais aussi assez ouvertement les politiques du gouvernement Mondial, qui maintenait possible cet état de fait en laissant faire une société basée sur des classes qui dominaient les autres. Ce qui me valut de me faire approcher par un recruteur des Francs-Marins, mouvement que j’avais pris en sympathie, parce que je comprenais leur volonté de s’interroger sur le Siècle Oublié et sur pourquoi le Gouvernement Mondial nous cachait un siècle entier, avait-il peur de quelque chose ? En tout cas, j’ai accepté de les rejoindre, apprenant une poignée de main bien particulière. Et maintenant, j’essaie de faire en sorte d’aider les plus démunis, tout en faisant en sorte de cacher mon appartenance à la Franc-Marinerie.




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Charlotte Elilly


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MessageSujet: Re: Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]   Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours] EmptyJeu 25 Juil - 12:51

Salut, petit message pour signaler que ma fiche est terminée, bonne lecture.
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Klabautermann
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MessageSujet: Re: Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]   Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours] EmptyVen 26 Juil - 16:28

C'est moi qui vais m'occuper de ta présentation, la validation arrivera d'ici peu!
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Klabautermann
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MessageSujet: Re: Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]   Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours] EmptyLun 29 Juil - 18:32




Validation


C’est moi qui m’occupe de ta fiche, bonne chance!

Qualité : 400/500


Plusieurs  fautes de relectures et d’attention, mais rien de bien grave!


Cohérence : 400/500


Rien à dire, tu as su exploité l’univers de One Piece, avec le bégaiement de ton personnage qui donne un côté “comique”. Tu aurais pu jouer un peu plus là dessus, mais ce n’est pas pénalisant. là où j’ai un peu enlevé un peu de points, c’est parce que tu n’as pas du tout exploiter le contexte de Jolly Roger, qui est pourtant unique. La découverte du fruit est plutôt originale, tout comme la construction de ton personnage.


Longueur : 250/250


2300 mots pour l’histoire , c’est long et suffisant, on a le temps d’en comprendre plus sur Charlotte. Les descriptions sont un peu courtes, mais l’essentiel est indiqué et on parvient à se faire une bonne idée de ton personnage.

Originalité :450 /500


Là, tu marques des points, ton histoire qui commençait avec un dojo aurait pu être comme beaucoup, basique, mais tu as su exploiter le côté “différente” sur l'île . Ton recrutement dans la Franc-Marinerie est un peu simple et rapide, mais à part ça, tu as su me tenir en haleine jusqu’au bout. Comme dit au-dessus, la façon de trouver le Fruit est bien trouvée, et j'espère que la petite (dommage de ne pas en avoir eu plus!) touche d’humour avec le bégaiement sera exploitée dans tes futurs rp! Le coup des barrettes aussi d’ailleurs!

Subjectivité : 250/250


Je me suis attaché à Charlotte et j’ai vraiment hâte de lire ses aventures chez les FM!

Note finale : 1750 Dorikis et le Gomu Gomu  accordé ! Bonnes aventures !

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MessageSujet: Re: Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours]   Charlotte Elilly, pou...pou...pou...pour vous servir [En Cours] Empty

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