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 Présentation de Abel Bonney

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AuteurMessage

Abel Bonney


☠ Messages : 37
☠ Âge du Personnage : 20 ans
☠ Berrys (x1000) : 11760
☠ Points Votes : 50
☠ Localisation RP : South-Blue
☠ Fruit du Démon : Fruit de l'ectoplasme
☠ XP Dorikis : 2454
☠ Notoriété :
Présentation de Abel Bonney Ync950 / 99950 / 999Présentation de Abel Bonney Gubc
☠ Karma :
Présentation de Abel Bonney Ml89500 / 999500 / 999Présentation de Abel Bonney Pe6n

Abel Bonney

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MessageSujet: Présentation de Abel Bonney   Présentation de Abel Bonney EmptyLun 15 Oct - 11:21



Abel Bonney






Prénom et Nom: Abel Bonney
Âge : 20 ans
Sexe : Homme
Avatar : Juuzou Suzuya [Tokyo Ghoul]
Groupe : Franc-Marinerie
Métier : Aucun
Espèce : Humain
But : La chute du gouvernement

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Fruit du Démon : (sous réserve de validation) Horo Horo No Mi, fruit de l'ectoplasme
Autres capacités : (sous réserve de validation) Épéiste


Questionnaire

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !

1. Apparence physique


Taille : 1m60
Poids : 48 kg
Cheveux : Blancs
Yeux : Rouges foncés


2. Tenue vestimentaire habituelle


Abel est un jeune homme mince âgé d'une vingtaine d'années. Mesurant plus d'un mètre quatre vingt-seize pour environ quatre vingt kilos, le jeune homme ne possède pas une musculature conséquente mais son corps est suffisamment entraîné pour battre n'importe quelles montagnes de muscles ne faisant pas preuve d'un minimum d'intelligence. Celui-ci possède une longue chevelure aussi sombre que la nuit, ses yeux gris contrastant avec sa peau de couleur légèrement olive. De nombreux tatouages arborent son corps, tatouage qu'il porte depuis maintenant quelques années après être passé chez un tatoueur et qui représente en gros le début de sa rébellion, de sa nouvelle vie. À noter que la plupart des dessins représentent des visages de démons grimaçants qui mettent un peu plus en valeur l'aspect dérangé que peut posséder Abel lorsque celui-ci perd le contrôle et déchaîne sa rage.

D'un point de vue purement vestimentaire, Abel s'habille habituellement d'un simple pantalon et d'une paire de bottes afin de ne pas être ralentie par une charge inutile. De toute façon, ce n'est pas un pull qui le sauvera d'une blessure. Autre point intéressant à relever est que le jeune homme semble avoir un goût prononcé pour les capes possédant une capuche, utile en tout temps pour se fondre dans la masse ou simplement pour résister un peu mieux au froid et ne pas se balader bêtement à poil. Malgré ça, tout dépend de la température. En temps de froid, il n'hésitera pas à s'habiller chaudement, il n'est pas non plus complètement débile.

3. Motivations


Les motivations de Suzori sont assez complexes quand on s'y plonge. Au premier abord, on pourrait penser qu'il est un pion parmi tant d'autres dans l'échéance de ce mouvement mais c'est beaucoup plus profond que ça. Il voit comme tous un monde meilleur avec de plus grandes libertés sans un gouvernement pour le diriger, surtout qu'il tient une dent contre la marine. Mais s'il fait réellement cela, ce n'est pas pour passer pour un révolutionnaire. Ce n'est pas pour l'honneur. C'est seulement pour s'adonner pleinement dans un but, dans une mission. Francs-Marins ou pirate. Pour lui, tout est bon à prendre. Il ne se bat pas pour la reconnaissance. Il ne se bat pas pour l'argent. Il ne se bat pas pour le pouvoir. Non, il se bat pour donner un sens à sa vie. Il se bat pour changer les choses car il aime se battre. C'est ce qu'il aime faire. Il ne recherche pas une bataille mais une guerre. Il ne recherche pas une aventure mais une quête.

4. Opinion sur le gouvernement mondial


Son opinion sur le gouvernement mondial n'est pas emplie d'admiration. Loin de là l'idée de pensé ça. Il en veut à la marine de l'avoir rétrogradé pour seule raison qu'il avait pris une initiative et provoquée des dégâts collatéraux. Pourtant, personne n'était mort ce jour-là. Et en prime, il en était sortie avec un fruit du démon. Hait-il tous les membres composant les troupes de la marine ? Non, évidemment pas. Il hait seulement les responsables de son exclusion. Il souhaite seulement faire tomber le gouvernement mondial car il ne peut pas voir l'image de leur dirigeant en photo. Ils n'ont pas réussi à protéger sa mère quand il n'était encore qu'un gamin et pour ça, il compte bien détruire chaque brique qui compose la puissance mondiale qu'est le gouvernement et il y prendra du plaisir.

5. Opinion sur la piraterie


Par rapport à la piraterie, il ne ressent aucune rancune. Il n'a pas vraiment une dent contre la piraterie. Pour lui, c'est déjà bien mieux que le gouvernement. À choisir, il préférerait faire partie de la piraterie que de faire partie de ces corrompus qu'est la marine. Ce n'est pas pour autant qu'il ne s'en prend pas aux pirates. S'il peut en voler quelques-uns, pourquoi s'en priver. Si jamais l'un d'entre eux se met sur son chemin, ça ne changera pas grand-chose d'un marine. Donc pour résumer, il n'a pas d'avis négatif sur la piraterie. Disons simplement qu'il est neutre.

6. Opinion sur la franc-marinerie


Enfin, pour ce qui est du cas des Francs-Marins il faut savoir qu'avant sont entrés dans le groupe de ses révolutionnaires il n'avait aucune idée qu'un tel mouvement pouvait exister. Après tout ce n'était pas un haut gradé de la marine. Il n'empêche que depuis qu'il a rejoint leurs rangs, il se sent enfin à sa place. À présent que Suzori possède un but dans la vie, il ressent à nouveau cette motivation qui l'animait quelques années plus tôt, du temps où il souhaitait s'engager dans la marine mais en beaucoup plus fort. Il voit dans la cause que revendiquent les révolutionnaires une quête, une guerre. Un moyen de prendre sa revanche sur le gouvernement et faire tomber une bonne fois pour toute ce système. De plus, le fameux leader Scarface inspire grandement le jeune Suzori qui ne peut s'empêcher de vouer de l'admiration pour lui, autant dire qu'il n'est pas prêt de changer de camp.


Histoire

Pourquoi est-ce que je dois raconter mon histoire dans cette escargophone ... ? Ça n'a aucun sens, après tout ma vie n'est pas intéressante, il y a beaucoup plus intrigant ailleurs ! ... Bon, si vous insistez ... Ma vie n'est pas un conte de fées. Elle n'est ni une épopée ni un poème et encore moins une aventure. N'importe qui serait jeter dans mon univers, dans mes noirceurs et mes cauchemars en ressortiraient profondément touché. Changé à jamais. Je n'étais pas riche. Je ne faisais pas partie de la classe moyenne. J'étais pauvre et vulnérable. Pour moi, ce n'était pas une vie. Ce n'était pas non plus une mauvaise passe. C'était un enfer. Une véritable souffrance. Mais ainsi est ma vie. Laissez-moi donc vous racontez l'histoire de ma vie et ... accrochez-vous bien.

¯`·.·´¯LE COMMENCEMENT¯`·.·´¯

Présentation de Abel Bonney Tumblr_nc7x6h6HTq1rm0imuo1_500

Commençons par le début, c'est déjà un bon départ n'est-ce pas ? Alors, je m'appelle Suzori Bonney et je suis né le 13 octobre 1398. Je suis originaire de l'île Baterilla, dans la mer de South Blue. Mais si vous savez ! l'île affiliée au gouvernement et qui plus est une île censé être magnifique et chaleureuse. J'insiste bien sur le mot "censé" car de mon point de vue, j'aurais nettement mieux préféré naître ailleurs. Mais bon, ainsi va la vie. En parlant de naissance, je suis né d'une mère qui portait le doux nom de Rose. Nous étions inséparables l'un de l'autre. C'est d'ailleurs grâce à elle que je vous parle encore aujourd'hui. Oh, vous vous demandez peut-être ce qu'est devenu mon père ? Disons qu'il a jugé bon de laisser une mère et son enfant seul en faisant des promesses dans le vide. Pour moi, il n'a jamais été mon père. C'était un inconnu. Une enflure, faut dire c'qui est. Que faisait-il quand mère et moi étions sans un sous pour payer notre loyer ? Où était-il quand la nourriture commençait à manquer et que ma mère s'en priver pour m'en laisser ? Il devait certainement être partie sur une autre île pour se la jouer avec une autre femme pendant que NOUS on galérait à survivre. Et le pire dans tout ça, c'est que ma mère croyait encore qu'il reviendrait auprès de nous pour nous sortir de ce pétrin. Mais ce n'est jamais arrivé …

Malgré les revenus qui commençaient à manquer, j'ai tout de même pu aller à l'école. C'était une nouvelle fois grâce à maman qui travaillait d'arrache-pied pour dégoter un peu d'argent. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle faisait mais il était commun qu'elle rentre assez tard le soir. À l'école, la situation ne s'arrangeait pas. J'étais toujours l'isolé de la classe. Je ne parlais pas aux autres élèves. Je restais simplement silencieux. Moi qui pensais pouvoir passer inaperçu. Mais évidemment, ça ne pouvait pas marcher. Un groupe de gamins ont commencé à me chercher des noises. Surtout la brute du groupe. Une vraie tête de con. Au début, c'était assez léger. Des bavardages, quelques rires. En soi quelque chose que je pouvais gérer. Mais très vite, ça a commencé à dégénérer. Surtout depuis qu'ils ont commencé à traiter ma mère de putain. Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire, après tout ce n'est qu'une insulte mais le fait est qu'ils avaient traité ma mère de putain. J'avais envie de me lever, hurler et de frapper mais je restais silencieux, ravalant ma colère car ma mère travaillait beaucoup trop pour que je me fasse virer de l'école. Et puis les paroles se sont transformés en bousculade. Puis les bousculades se sont transformés en coup. Un jour, à la sortie de l'école ce même groupe d'abruti a essayé de me voler mon collier que ma mère m'avait offert quelques jours auparavant pour mon anniversaire. Je n'en pouvais plus. La rage fulminait en moi. Elle tentait de se libérer. Le plus fort de la bande me pousse brusquement sans ménagement, me faisant ainsi tomber au sol alors que les rires affluent autour de moi. Je m'en veux terriblement d'être si faible. Si fragile. Ils se moquent, m'appelle Suzo la mauviette et des sanglots commencent à me monter aux yeux. Serrant le poing, j'attrape une barre de métal à mes côtés et commence à taper dans le tas. Le gros bras y passe en premier. Élançant mon bras violemment, la barre vint frapper contre sa tempe, le faisant irrémédiablement tomber au sol lourdement alors que le reste du groupe prend la fuite. Seul un autre garçon resta pour protéger le gros molosse. Aucun de nous deux n'arrivait à prendre l'avantage. J'avais beau tenter d'élancer mon poing, il arrivait toujours à le parer pour contre-attaquer derrière. Malgré les quelques coups que je me prenais, je me sentais enfin libéré. Je me sentais bien.

¯`·.·´¯LA CHUTE¯`·.·´¯

Présentation de Abel Bonney Tumblr_o8ludcu6z31vwtn8so1_500

Un adulte nous a finalement séparés de force. Ma mère a été convoqué et très vite j'ai été envoyé dans un établissement de correction pour jeunes pendant quelques mois. Je n'avais pas le choix, c'était ça ou bien ma mère devrait rembourser les parents de l'abruti que j'avais frappés à la barre de fer. Mais je ne voulais pas. Je souhaitais seulement qu'on me laisse tranquille. Je désirais seulement passer du temps avec ma mère ... « Ça sera seulement pour quelques mois chéris, tu verras ça ira très vite » Me disait-elle en essayant de ravaler ses larmes tout en souriant. Je ne voulais pas m'éloigner d'elle mais si c'était ce qu'elle voulait, alors ça m'allait. Arrivé dans l'institut, j'ai rencontré le directeur de l'établissement. Au début, c'était un vrai con. Il me réprimandait quotidiennement sur ce que je faisais, ma manière de réagir, etc ... Mais au final, il était plutôt cool. On parlait très souvent de ce qui s'était passé ce jour-là devant l'école. Bon, je disais seulement quelques trucs sans pour autant rentrer dans les détails mais au fil du temps, j'ai commencé à lui raconter ma vie. Peut-être était-ce de l'ennui ou simplement le besoin de parler. Je ne sais pas. Malgré ça, je voyais bien que quelque chose en lui clochait quand il me regardait. Enfin, les mois passent et finalement c'est le jour de rejoindre ma mère. Il était temps ! Attrapant ma valise, j'y jette quelques vêtements ainsi qu'une certaine quantité de babioles quand soudainement une main se pose sur mon épaule. Me retournant, je me retrouve face au directeur. Était-il venu m'amener à ma mère ? Du moins, c'est ce que je pensais sur le moment. Brusquement, il pose ses mains sur mon coup. Je ne comprends pas. Il force, je suffoque. En seulement une poignée de secondes, il me surélève. Ma respiration se fait de plus en plus difficile. La tête me tourne, ma vue se brouille. « Je t'ai supporté pendant tout ce temps ... J'ai écouté tes balivernes à deux balles ... J'ai essayé de bien faire mais ... mais je ne peux plus car ... CAR À CAUSE DE TOI, MON FILS EST DANS LE COMA ! … ET IL NE SE RÉVEILLERA JAMAIS !! » C'était le père de la fameuse brute. Des larmes coulaient le long de ses joues. Mais ce n'était pas de la tristesse. C'était de la colère. Soudainement, l'image de ce fameux jour me revint en tête. Je me revois en train de donner un puissant coup dans la tempe de la brute. Je me repasse cet épisode en boucle et peu à peu, je perds conscience mais soudainement la porte de ma chambre s'ouvre et j'arrive tant bien que mal à discerner ma mère. « LÂCHEZ MON ENFANT ! » Elle hurle à en cracher ses poumons en voyant le proviseur m'étrangler, la colère rugissait en son être intérieur et un bon coup de pied bien placé fit perdre l'équilibre au père de famille brisé, me lâchant par la même occasion, tombant au sol. Alors que ma mère s'approche de moi pour se rendre compte de mon état, l'homme l'attrape par les épaules et la pousse violemment sur le côté. Sa tête heurte un meuble de la pièce. Son corps tombe au sol. Elle ne bouge plus. Elle ne parle plus. Un liquide rouge commence à se répandre sur le sol. Je reste sur place, sous le choc face à la scène qui venait de suivre. Le directeur se laisse alors tomber contre un mur, plongeant ses mains sur son visage en pleurant. Je me rapproche lentement du corps de ma mère. Je pose une de mes mains sur son épaule pour la secouer un peu mais rien ne se passe. « Maman ... maman réveille-toi ... mam... » Je ne suis pas bête. Je sais ce que ça veut dire. Mais sur le moment, je ne voulais pas y croire. J'étais persuadé que ce genre de chose arrivait seulement aux autres. Que ma mère était invincible … intouchable. Je ne ressentais plus rien. C'était le vide absolu. Mes jambes devenaient lourdes au point de s'écraser pour que je termine à genoux face à elle. Mon corps était faible. Tout mouvement était difficile. Ma gorge nouée par des sanglots. Tout s'écraser autour de moi. La lumière devenait ténèbres. À présent, j'étais changé à jamais alors que les larmes coulées à flots le long de mes joues.

L'enterrement fut une étape des plus difficiles de ma vie. Je ne pouvais m'empêcher de repenser à tous ces bons moments passés avec elle. Les fous rires passé ensemble. Et soudainement, cette image d'elle au sol. Sans vie. J'en voulais à la terre entière. Mais il y avait un homme à qui j'aurais réellement voulu faire la peau. Mon père, une fois de plus absent. Je le déteste. Je les déteste tous. Je me déteste... Finalement, j’atterris dans un orphelinat ... De mieux en mieux. Je ne fais plus confiance à personne. Je ne parle plus à personne. Je reste seulement dans mon coin, silencieux. À la cantine, je m'isole et m'oblige à manger un bout car c'est ce qu'aurait voulu ma mère, me voir continuer à vivre. Mais je me contente seulement de faire ça car c'est la seule chose pour laquelle j'ai assez de force. Je me lève, je mange et je dors. Voici ma journée. Le reste du temps, je reste sur mon lit sans dire un mot, perdu dans mes souvenirs. Ce n'est que bien plus tard, après une bonne centaine de séance avec un psychologue que je reprends un peu vie. Je recommence à parler même si cet épisode sombre est toujours encré en moi. Mon âme est corrompue, for ever. Je devais trouver un but dans ma vie. Quelque chose auquel me rattacher. Enfin, d'après l'avis de mon psychologue. C'est pourquoi vers l'âge de dix-sept ans j'ai cherché à faire partie de la marine. Une nouvelle vie pour un nouveau départ. Enfin, c'est ce que j'espérais. J'ai donc commencé à faire du sport. C'était même devenu mon activité principale. Je m'instruisais aussi, je me laissais plonger dans les histoires pour rêver un peu. Oublier tous mes soucis et mes souvenirs. Cette période de ma vie n'a pas été facile. Mais j'ai quand même réussi à me relever. Je me suis relevé en mémoire à maman, pour elle qui aurait voulu me voir vivre. J'ai même réussi à accorder un peu de confiance à mon psychologue. Mais c'est tout. En parlant d’entraînement, le sabre était d'ailleurs ma principale compétence. Rapide à manier, simple et efficace. Autant dire que c'était l'arme parfaite pour moi. Mon entraîneur était un certain Ruygo. Un grand roux. Il était plutôt sympathique. Il m'a donné pas mal de conseille et m'a même encouragé à faire partie de la marine. Il était une personne qui échappait à la règle. D'ailleurs, notre premier entrainement était certainement le plus dur émotionnellement...

Entrant dans la grande salle de sports de l'orphelinat, je me retrouve face à ce fameux Ruygo. La lueur des projecteurs m'éblouissait légèrement la vue sans pour autant devenir un réel handicap. « Bonjour. Tu dois être Suzori ? » Sa voix résonnait dans toute la pièce, c'était assez déstabilisant. En plus il possédait un timbre de voix assez posé mais qui dégageait une certaine confiance. Je ne répondis pas à sa question. Je n'avais pas envie de répondre. Je ne voulais pas me battre, je n'en avais pas la force. Certes j'ai voulu devenir un soldat de la marine mais entre vouloir et faire, il y a quand même un grand fossé. J'étais encore atteint par la mort de ma mère. Fatigué, épuisé de cette vie. « Bon. Je suppose que c'est toi. Prends un sabre, on va commencer l'entraînement. » Tout ce que je savais, c'était que mon psychologue s'était démêlé avec l'administration pour pouvoir faire venir un entraîneur. M'approchant d'un pas lourd vers un sabre en ... bois, je l'attrape d'une main puis me retourne vers lui. « Commençons doucement veux-tu. Montre moi ce que tu sais faire d'accord ? » Je soupire légèrement puis décidé de m'avancer quelques instants plus tard vers-lui d'un pas incertain, donnant un premier coup plutôt faiblard. « Eh bien alors, tu as l'habitude de frapper comme une fille toi non ? » Serrant les dents, j'en donne un second, cette fois-ci beaucoup plus fort que le précédent mais fortement plus imprécis. « Même un bambin ferait mieux que toi, ta mère ne t'a jamais appris à frapper ? » L'image de ma mère gisante au sol me revint soudainement en tête à l'instar d'un boulet de canon qui me défoncerait le crâne de toute part. « ME PARLE PAS DE MA MÈRE TOI ! » M'élançant à toute vitesse vers-lui, je donne un puissant coup qu'il arrive néanmoins à esquiver d'un pas sur le côté, me poussant ensuite avec la garde de son épée dans le dos pour me faire tomber parterre. Le souvenir de ma mère venant s'écraser contre le meuble me revint alors et ... et tout ce sang sur le sol ... et sur mes mains. Je reste au sol, impuissant, les larmes me montant peu à peu à la tête. « Alors c'est ça l'image que tu veux donner de toi aux autres ? Ça sert à rien de se montrer fort si on l'est pas pour de vrai. Je sais que tu as perdu ta mère et j'en suis vraiment désolé mais à un moment donné il faut que tu prennes la décision de ne pas subir ta vie mais de maîtriser ta vie. Aussi fort et grand que tu sois, la vie te mettra à genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi n'importe qui. Personne d'autre ne frappe aussi fort que la vie. C'est pas d'être un bon cogneur qui compte, l'important c'est de se faire cogner et d'aller quand même de l'avant. C'est de pouvoir encaisser et de ne jamais, jamais flancher. Tu es né avec un talent unique. Tu es né avec rêve unique. Tu es né avec un avenir hors du commun. Et quand la vie voudra te faire tomber et te voir allonger au sol, tu te relèveras encore, encore et encore. Tu la regarderas dans les yeux et tu lui diras que tu es né pour être phénoménale. Que tu es né pour être inarrêtable. Tu tombes sept fois mais tu te relèves huit fois. ALORS MAINTENANT RELÈVE TOI !! »

Lança-t-il tout en élançant son sabre vers moi. Son discours m'avait atteint. Quelque chose en moi s'était déclenché. J'en voulais à la vie. Je voulais me déchaîner. Je voulais exprimer ma souffrance. Je voulais hurler de tout mon cœur les atrocités que la vie m'avait fait subir. Je voulais faire payer à la vie ce qu'elle m'avait fait. Bloquant alors son attaque grâce à mon sabre, je repousse son coup en hurlant à plein poumon, me relevant aussitôt pour lui bondir dessus, le bout de l'arme pointé vers lui. « C'est ça ! Déchaînes-toi ! » Fit-il tout en esquivant de peu mon offensive en reculant sur le côté. J'ai beau lui fondre dessus, il arrive quand même à parer tous mes coups. « Tu voudrais retrouver ta mère !? » Hurla-t-il alors qu'il déviait chacun de mes coups. « OUI ! J'VEUX RETROUVER MA MÈRE ! MAIS J'PEUX PAS CAR ... » Ralentissant le rythme de mes charges en arrivant en fin de phrase, Ruygo en profite pour me porter un coup de garde dans l'abdomen, me faisant ainsi tomber au sol, lâchant par la même occasion mon épée. « CAR QUOI ?! » Il se rapprochait vers moi à l'instar d'une bête sauvage s'apprêtant à se ruer sur sa proie, il lâche son sabre pour le laisser chuter au sol dans un vacarme qui résonna dans toute la pièce. « CAR ELLE EST MORTE ... PAR MA FAUTE !! » Il m'agrippe alors par le col tout en me regardant droit dans les yeux alors que les larmes coulent le long de mes joues. Je me sentais responsable de sa mort. Après tout, c'était ma faute. Je n'aurais jamais dû me battre. Je n'aurais jamais dû me défendre ce jour-là. Elle serait probablement toujours-là... à mes côtés. « Écoute-moi bien. Ce n'est pas de ta faute si elle est morte. Elle a fait ça pour te protéger. Tu m'entends ?! Pour TE protéger ! Alors maintenant ... » Me libérant de son empoigne, m'écroulant ainsi au sol. « Tu vas te relever. Tu tomberas probablement une bonne centaine de fois. Tu souffriras à n'en plus pouvoir. Mais tu te relèveras à chaque fois. Tu te relèveras pour elle. Tu te relèveras pour toi. Tu te relèveras car tu as assez encaissé. Tu te relèveras car à présent il est temps de riposter alors LÈVE TOI ! » Cria-t-il dans toute la salle, me donnant subitement un sentiment de vouloir en démordre avec la vie. Me relevant brusquement sur mes deux jambes, j'attrape mon sabre et retourne aussitôt au combat, encore et encore. Je ravale mes larmes et je frappe. Je frappe aussi fort que je le peux car à présent je ne subirais plus ma vie. Je la maîtriserais. Grâce à lui, j'ai appris une nouvelle fois à m'attacher aux autres, a retrouvé goût à la vie. Sans lui, rien de tout cela n'aurait été possible et pour ça, je lui porte une grande estime. Vous vous demandez peut-être ce qu'il est devenu ? Depuis que je suis partie dans la marine, on a arrêté de se voir. Il doit sûrement entraîner d'autres gars, après tout c'était son métier.

¯`·.·´¯LA RENAISSANCE¯`·.·´¯

Présentation de Abel Bonney MealyAchingJuliabutterfly-size_restricted

Je suis à présent âgé de dix-huit ans alors que je m'engage déjà dans la marine. Heureux de pouvoir enfin quitter cet orphelinat, débuter une nouvelle vie, pouvoir repartir à zéro. Je comptabilise alors seulement quelques mois d’entraînement à mon arrivée devant l'instructeur, m'étant déjà bien entraîné durant mon adolescence pour enfin faire partie de la marine. Moi qui pensais que je serais rapidement lâché sur une mission intéressante, il a tout de même fallu que j'attende quelques mois de plus pour enfin recevoir une vraie mission ne consistant pas à effectuer quelques patrouilles et tour de garde mais bel et bien stopper et arrêter quelques pirates. Autant dire que j'étais tout excité ! La mission se déroula sur l'île où tout avait commencé pour moi. C'est sur cette même île que tout a basculé et que résident mes plus sombres souvenirs, L'île de Baterilla. Là où a commencé mon histoire plus que tragique. Même si j'ai un peu hésité à accepter, j'ai tout de même pris sur moi car affronter le diable est toujours mieux que le fuir bêtement. Le groupe de pirate avait été repéré dans un endroit public, plus précisément dans le bar où travaillait ma mère par le passé. Revenir là-bas n'a pas été facile. Je revoyais encore le fantôme de ma mère marcher dans l'établissement. Souriante et pleine de vie. Enfin … le terme utilisé n'est pas vraiment adéquat puisqu'elle est morte... Malgré ça, j'ai appris à ravaler ma souffrance et je reste silencieux, une nouvelle fois. Notre officier tente alors de négocier avec le capitaine des pirates pour éviter tout dommage collatéral mais quelque chose attire mon attention. En effet, sur l'une des tables où étés accoudés quelques pirates, un fruit résidait dans une sacoche légèrement entrouverte. Mais ce n'était pas qu'un simple fruit. Non, il ressemblait étrangement à un fruit du démon. Ces fameux fruits défendus, si rare que ceux qui en possèdent sont souvent à l'origine des peurs qu'elles inspirent face aux ennemies. Où est-ce que j'ai bien pu savoir ça ? Déjà de par les histoires que me racontait ma mère quand j'étais petit mais aussi dans les livres. Je ne savais pas vraiment pourquoi mais quelque chose m'attirer vers-lui. Peut-être était-ce l'envie de goûter à quelque chose que peu ont eu la chance de manger ou simplement de la curiosité.

Mais le fait est que je voulais me sentir plus fort que je ne l'avais été. Je souhaitais enterrer la personne faible que j'avais pu être par le passé. Je voulais voir de mes propres yeux ce qu'il pourrait se passer s'il m'arrivait de manger l'un de ces fruits défendus. Et c'était l'occasion parfaite de s'y adonner. Avancer d'un pas sûr, je m'approche vers la table où étaient accoudés quelques pirates pendant que toute l'attention est retenue sur notre officier et alors qu'un d'entre eux tente de me repousser, je lui donne un violent coup de garde dans l'abdomen, le faisant ainsi irrémédiablement tomber au sol sous l'effet du choc. La panique s'installe dans le bar alors que les pirates autours sortes leurs armes pour attaquer. Les marines font de même, s'ensuit alors une terrible lutte à l'intérieur de ces murs et quelques civils en sortes gravement blessés. Dans la confusion, j'en ai profité pour attraper la sacoche et m'enfuir dehors avec le fruit que je convoitais tant depuis que mon regard s'était posé sur lui. L'attrapant ensuite fermement d'une main en laissant tomber la sacoche au sol, mon regard empli de désir et de curiosité se porte sur le fruit. Je rêvais d'une autre vie. Je rêvais d'un nouveau départ depuis mon plus jeune âge. Et à présent, cette chance allait enfin pouvoir m'être accordée. Je voyais en cela une renaissance. Je voulais être plus fort. Autant sur le plan physique que mental et peu importe les capacités que j'obtiendrais derrière, j'étais persuadé que ce fruit était pour moi. Ouvrant légèrement la bouche, je porte le fruit à mes lèvres avant de croquer lentement dedans alors même que des bruits de pas commencent à se faire entendre, se rapprochant peu à peu de ma position. Je prends une bouchée mais ... je ne ressens rien de particulier. Étonné et perplexe, je reporte une seconde fois ma bouche vers celui-ci pour en reprendre une nouvelle bouchée mais cette fois-ci le goût est infect. Je le lâche soudainement en tirant légèrement la langue puis sans crier gare, quelques membres de la marine viennent m'arrêter pour insubordination. Je ne résiste pas car mon esprit est concentré sur le fruit à mes pieds, je reste pensif. Je me demande bien qu'elle puisse être le pouvoir que j'ai obtenu. Enfin, encore faudrait-il que ce soit un vrai et pas un simple fruit destiné à être vendu à un imbécile. L'officier arriva finalement en face de moi, la tête bouillonnante et emplie de colère. « Vous devriez penser à mettre de la crème solaire m'sieur ! » Dis-je tout en sortant un grand sourire comme-ci de rien n'était, l'air insouciant. « VOUS ALLEZ PASSER UN SALE QUART D'HEURE SOLDAT SUZORI ! ET JE VOUS DEMANDE DE ME MONTRER UN PEU DE RESPECT !! »

¯`·.·´¯UN NOUVEAU DÉPART¯`·.·´¯

Présentation de Abel Bonney 175199577001202

Rétrogradé et expulsé de la marine suite à mes actes, je me retrouve une nouvelle fois sans rien, à la différence que cette fois-ci je n'avais pas de toit pour m'abriter. Depuis quelque temps, j'avais pu tester les capacités de mon fruit du démon. Il était assez compliqué à déchiffré mais petit à petit j'en apprenais les subtilités.  Pour dire, la première fois que j'ai utilisé mon fruit du démon c'était en me levant de mon lit. Je m'étire et voilà que des fantômes me sortent des mains ... oui, de la paume de mes mains ! Sur le coup, j'ai crié étant donné que je ne m'attendais pas à ça mais au final, j'en suis plutôt content. Le plus drôle dans tout ça, c'est certainement de faire peur aux gens. Que-ce que ça peut me faire marrer ça ! Enfin, les jours passent et alors que je me battais encore une fois pour survivre à la vie difficile que je menais, une idée m'est venue. Pourquoi continué à vivre honnêtement si c'est pour recevoir que des miettes ? C'est pour cette raison que j'ai commencé à voler des trésors et des ressources à des pirates et quelques civils inconscient, bien entendu dans le plus grand des secrets. Je dois avouer que l'utilité des fantômes peut-être plus qu'intéressante dans ce domaine, que ce soit pour jeter un œil dans la cale d'un bateau comme pour faire fuir des membres d'équipage. Je me contentais de prendre ce que je trouvais, il faut dire que je n'ai jamais été très difficile à vivre. Le matin je me lève pour commencer ma journée, je me débrouille pour trouver à manger en volant à droite à gauche et quand je trouve un bateau pirate, je me faufile à l'intérieur de celui-ci pour y dégoter quelques pièces d'or et autres babioles intéressantes à vendre.

La nuit j'ai l'habitude de dormir un peu partout. Ça peut être dans des bâtiments abandonnés comme à la belle étoile, tout dépend de mes envies. Il m'arrive aussi de me payer une chambre d'hôtel quand j'ai quelques pièces d'or en trop mais c'est seulement quand il fait un temps pourri dehors. J'aime bien passer mes nuits à la belle étoile car ça me permet de rêver. J'observe les étoiles et j'y vois une vie meilleure. Un monde meilleur. Finalement, un an s'est écoulé et je vais bientôt fêter mes vingt ans. Enfin, quand je dis fêté ce n'est pas vraiment à prendre au pied de la lettre. Je ne fête jamais mes anniversaires. Sauf quand j'étais gosse. Ma mère avait l'habitude de faire soi-même un gâteau. C'était que des bons souvenirs … Mais un jour, tout changea à nouveau pour moi. Alors que je me contentais seulement de vivre tant bien que mal jusqu'ici, des rumeurs se profilèrent dans mes oreilles et un jour un homme se pointa face à moi pour me parler des Francs-Marins. Bon, depuis quelque temps il m'espionnait et j'ai d'ailleurs hésité à lui rentrer dedans mais finalement je ne me faisais que des idées. Il me proposait quelque chose que j'avais toujours recherché. Quelque chose qui me manquait cruellement. Un but. Un combat. Une cause. Liberté en serait la récompense si nous arrivions à faire tomber le gouvernement et honnêtement après ce qu'ils m'avaient fait je n'étais plus que partant pour me joindre à ce mouvement. Je partageais cette vision du monde et cette idéale de liberté. Mais ce qui me donnait réellement envie de me joindre à leur cause ce n'est pas l'honneur ou la liberté, même si ça joue un peu. C'est le combat. C'est cette sensation d'avoir enfin un objectif dans la vie. De ne plus être perdu à errer dans les rues d'une ville. De ne plus ressentir cet ennui lorsque je me lève le matin. C'était ça que je voulais.


Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? MrPomme
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Dernière édition par Suzori Bonney le Mar 16 Oct - 15:41, édité 8 fois
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Présentation de Abel Bonney   Présentation de Abel Bonney EmptyLun 15 Oct - 11:35

Hello Sazori ! Bonne chance pour ta fiche o/

En cas de soucis, n'hésite pas à me MP, ici ou sur Discord Very Happy
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MessageSujet: Re: Présentation de Abel Bonney   Présentation de Abel Bonney EmptyLun 15 Oct - 20:48

Merci beaucoup ! Smile 

Et pas de soucis, ça marche !
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MessageSujet: Re: Présentation de Abel Bonney   Présentation de Abel Bonney EmptyVen 19 Oct - 7:43




Validation


Salut Mr Pomme ! Je passe enfin sur ta prez Very Happy

Qualité : 400/500


 sans un sous -> sans un sou

 Ma mère a été convoqué -> ma mère a été convoquée

l'abruti que j'avais frappés -> que j'avais frappé

Tout s'écraser -> tout s'écrasait

cet épisode sombre est toujours encré en moi -> toujours ancré

pas mal de conseille -> de conseils

les pirates autours sortes -> les pirates autour sortent

Bon, une plume plutôt sympathique qui est toutefois entachée par mal de petites coquilles. Pense à bien te relire !

Cohérence : 250/500


si nous arrivions à faire tomber le gouvernement et honnêtement après ce qu'ils m'avaient fait je n'étais plus que partant pour me joindre à ce mouvement -> alors... Je suis assez déçu avec ton choix de rejoindre les FM, je t'avoue. je m'attendais, après le traumatisme que tu as vécu, que tu te focalises plus sur une forme de culpabilisation du gouvernement, auquel tu reprocherais de ne pas avoir sauvé ta mère, par exemple par des marines corrompus qui ne seraient pas intervenus pendant ton agression etc...

Ici, bien que tu essayes de te développer l'idée dans la partie "opinion", tu ne t'y penches que très peu dans l'histoire, alors que c'est quand même le plus important.

Longueur : 200/250


Une présentation relativement longue, mais qui manquait toutefois d'une scène de combat et d'exploitation réelle de ton fruit, ainsi qu'un vrai approfondissement sur les raisons de ton départ pour les Franc-Marins. La fin de ta présentation est vraiment accélérée, et cette impression de rush joue en ta défaveur.

Originalité : 400/500


Alors ! L'idée d'un personnage torturé et pas forcément hyper bourrin et puissant, ça change beaucoup de ce qu'on a l'habitude de voir. Toutefois, j'ai quand même trouvé ton perso un peu stéréotypé par moment, voire même un peu creux.

De plus, bien que le passage de l'entrainement fasse très shonenesque, One Piece est un manga qui laisse la part belle à l'humour ou au burlesque, et il aurait pu être intéressant de t'inscrire dans cette logique au moins à un moment ou un autre.

Subjectivité : 250/250


Une présentation fort sympathique, mais qui aurait mérité, je trouve, un peu plus d'approfondissement.

Après beaucoup de réflexion, j'ai décidé de t'accorder le fruit ! Bon courage et bonne chance Very Happy

Note finale : 1500 Dorikis



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