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 Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano

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Derino D. Luciano


☠ Messages : 154
☠ Âge du Personnage : xx
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Derino D. Luciano

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MessageSujet: Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano   Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano EmptyVen 10 Aoû - 12:36



Derino D. "Pretty BOI" Luciano





















Prénom et Nom: Derino D. Luciano
Âge : 30
Sexe : Homme
Avatar : Worick Arcangelo - GANGSTA.
Groupe : Pirates
Métier : Lecteur de Ponéglyphes
Espèce : Humain
But : Luciano n'a que pour seul et unique but de détrôner les Rosoff et prendre leur place à la tête du monde underground de la Mafia. Il semble avoir d'autre motivations, mais aucune n'est aussi forte que celle-ci. À Voir dans l'histwèr

---------------

Fruit du Démon : Kachi Kachi no mi : Fruit Incassable
Autres capacités : Force Incroyable, supérieure à la normale.


Questionnaire

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !

1. Apparence physique


Taille : 1.92 mètres
Poids : 81 kg
Cheveux : Longs, blonds, toujours attachés.
Yeux : Borgne, oeil gauche inutilisable. Yeux bleus azurs, en amande, semble toujours fatigué/endormi/désintéressé.
Particularités : Accent forcé assez débile, expressions hors du commun, accroc au sexe opposé, mais n'a aucun réel désir.


2. Tenue vestimentaire habituelle


« Si si, ma bella, la classe à la Veronna, tu connais? »


Regardez le qui parade comme un paon dans son costume trois pièce charbon. Sa chemise entre ouverte fait plaisir aux petites soeurs qui pourront d'hors et déjà apercevoir la musculature de notre jeune éphèbe... Éphèbe? Non, faut dire que ce type est déjà assez vieux, assez vieux pour ne plus être considéré comme un gosse, mais pas assez pour être pris pour un pépé.

« L'âge idéal ! »

Vous répondrait-il à chaque instant s'il vous prenait de lui poser la question. Mais il est clair que contrairement à certains membres de la famille Derino lui, il avait une hygiène de vie assez formidable.

Son corps était forgé de par les entraînements qu'il s'infligeait, des combats qu'il avait du mener, des coups qu'il avait reçu... et son oeil manquant avait été le prix à payer pour se bâtir son physique, ainsi que sa réputation.


3. Motivations


« C’est que ça coute des sous les cigarettes, peut être que je devrais me motiver à arrêter de fumer. »

Il s’est autrefois fait une vague promesse, se hisser à la tête du monde Mafieux pour prouver aux familles qu’il était quelqu’un sur qui il aurait mieux valu miser dès le départ. Peu lui firent l’honneur de croire à ses dires et alors qu’il goutait aux miettes du gigantesque gâteau qu’était le monde invisible, le nom qu’il donnait à toutes les manigances imperceptibles cachées derrière l’attitude des familles, il ne put s’empêcher de faire gonfler son ambition. Ceux pour qui il travaillait, était-ce mérité ? Qu’avaient-ils de plus que lui ? La réponse était l’influence et la crédibilité.

Pour lui qui n’avait côtoyé que les strates supérieures de cette structure immergée, il ne pouvait s’empêcher de vouloir toujours aller plus profondément, déceler la moindre des facettes, trouver les clés qui lui permettraient d’ouvrir les portes du succès… et pour ça, il n’y avait aucun autre moyen. Il fallait qu’il s’entoure de gens qui le comprennent, qu’il pouvait comprendre et qui œuvreront pour un objectif commun : Se hisser au sommet de la chaine alimentaire.

« J’espère que vous êtes prêts, les familles n’aiment pas la concurrence, imaginez-vous la tête qu’ils feraient s’ils apprenaient ce que nous sommes en train de faire. »

Les étapes de son plan étaient assez simples, premièrement, s’entourer d’une équipe, une équipe qu’il pourrait considérer comme les siens. Ensuite, viendrait le moment où, enfin, il se décidera à sauter dans le gouffre et pleinement s’immiscer dans les bas-fonds de la mafia. Dans ce jeu où il sait qu’il ne peut y avoir qu’un seul gagnant, nulle personne autre que Luciano n’est plus enclin à tout miser sur sa réussite.


4. Opinion sur le gouvernement mondial

« Quoi ? La marine attrape les pirates, les pirates attaquent la marine ou fuient et nous, pendant ce temps-là ; on fait en sorte de récupérer du bon matériel chez nos sauveurs de veuve et de l’orphelin… non ? »

Il est vrai qu’au vu de sa condition, il est forcé d’avoir cette image négative du gouvernement mondial… Eh, après tout, c’est eux qui font des descentes dans les caches d’armes, eux qu’il faut payer lorsqu’on a besoin de faire passer du matériel de contrebande… Mais tout ça fait partie d’une boucle.  Il est vrai que le gouvernement peut être un frein considérable à l’expansion, mais lorsqu’on sait comment traiter avec eux, il se trouve qu’ils ont souvent des intérêts communs.

Encore faut-il que le jeu en vaille la chandelle, car lorsqu’on pactise avec le gouvernement mondial, il est assez compliqué de ne pas se retrouvé piégé dans un cercle infernal de redevance. Garder ses distances était le maître mot. Luciano fait en sorte de ne pas se faire remarquer, du moins, le moins possible ! Cependant, se faire un nom dans le milieu de la mafia était quelque chose d’assez complexe, surtout lorsque l’on est du genre à fracasser la porte d’entrée au lieu de toquer à la porte gentiment.

« Toc ! Toc ! Désolé, j’ai pas vu de sonnette ! »


5. Opinion sur la piraterie


« Raaah ! Ils nous font chier ces pirates, pourquoi est-ce qu’ils essaient de nous couler ? Ce n’est pas de notre faute s’ils sont pas foutus de reconnaître la camelote ! »

Ah… le fléau des mers comme certains l’appellent. Il est vrai que l’image qu’a Luciano des pirates est assez erronée par rapport à la normalité. Ayant uniquement côtoyé les mers de Verone, il était habitué à voir les pirates à l’image des empereurs Rosoffs. Il est vrai que nombre des mafieux de Verone semblaient vouloir à tout prix représenter l’image de leurs maîtres, allant jusqu’à recopier leur apparence parfois.

Je vous laisse imaginer la première fois qu’il prit la mer, seul, accompagné uniquement de ses vagues connaissances et d’un fidèle compagnon.
Oui, ce fut un réel désastre. Il fut choqué de la stupidité de certains, de la crédulité d’autres et de la brutalité dont ils pouvaient faire preuve. Rien à voir avec une rixe de rue, ou l’arme sortant le plus du commun était un sabre, tout au plus. Non, il lui était arrivé de se faire fracasser par des marteaux, se faire attaquer par des lances pierres et tout une diversité d’armes toutes plus étrange les unes que les autres.

« Woooh ! T’as vu la raclée qu’on leur a filé ? Et t’as vu ce gros lard là ? Ouais… il était chelou. »

En soit, il aime la piraterie et a adapté ce style de vie à celle d’un mafiosi de Verone. Il n’hésite désormais plus à user de violence avant même d’avoir posé la moindre question… à force d’être confronté à des abrutis, il avait fini par retenir la leçon.


6. Opinion sur la franc-marinerie


« Bon, qu’est-ce qu’ils veulent ces francs-marins ? Ils ont pas un rond et en plus ils ne veulent pas acheter d’armes… Tu leur as bien dit qu’on était amis, non ? »

Leurs intentions ne sont pas tout à fait clair pour Luciano, pour l’instant. Ses rares contacts avec les membres de cette organisation l’ont toujours conduit à penser qu’ils n’étaient pas assez sûr d’eux pour pouvoir représenter une quelconque menace pour le gouvernement mondial qu’ils provoquent sans cesse.

Le seul point commun qu’il partage avec eux est la récupération et la conservation de ce que l’on appelle des ponéglyphes, des bribes d’une époque révolue.



Histoire


Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano YG0yhhi
Introduction : Bonne Journée
— 14h du mat je me réveille sur un cauchemar
On me tirait dessus, je courais au ralenti, pris dans un traquenard,
Peut-être un signe mais bon toujours content d'être vivant
De plus un rayon de soleil traverse le rideau suivi d'un petit vent —



Des cadavres de bouteilles, des feuilles de papiers dispersées aux quatre coins de la pièce et cette fameuse affiche, qu’il trimbalait partout avec lui. Cependant, malgré tout le désordre de cette chambre, il y avait bien cette photo, soigneusement placée sur les rebords de la cheminée. De là, les yeux de la femme piégée dans l’image semblaient plonger directement sur Luciano… Endormi, une position approximative que le lit une place ne put contenir. Finalement, les premières lueurs de la journée vinrent se déposer sur la peau du Derino, quelques dizaines de minutes plus tard, il finit par se réveiller.

« Bonjour. » Soufflait-il tout en se redressant, se grattant l’arrière de la tête de sa main gauche.

L’on aurait pu croire que les salutations furent adressées à Vasca, tant la synchronisation avec son entrée fracassante dans la pièce était parfaite.

« À qui tu parles ? T’es chelou comme type. » Elle ne laissa aucun répit à Luciano, pas même le temps de s’étonner. Aussitôt après avoir balancé tous les objets présents sur une partie du fauteuil et avoir pris place sur celui-ci, elle poursuivit. « Bien, pendant que TU te la coulais douce, Gino et moi sommes parti à la recherche de ce gars, Mickey. »
« Et ? » Coupa Luciano, plus préoccupé par sa dernière cigarette que par le discours de Vasca « T’aurais pas une clope ? M’en reste qu’une et j’ai une longue journée. »
« Une longe journée ?! » Hurlait-elle, sa voix résonnant dans toute l’auberge. « Tu vas nous refaire la même qu’hier ? Gino a dû t’arracher cette bouteille des mains, mais visiblement, tu en avais un sacré stock caché ici. » Constatait-elle, admirant presque la quantité de bouteille au sol, certaines d’entre elles étaient encore pleine, visiblement, l’alcool l’aura emporté sur lui avant la fin de la bataille. « Rassures moi, tu n’étais pas seul, quand même. »
« Il y avait bien quelqu'un… » Lâcha le borgne, sourire en coin. « La fille de l’aubergiste, Catalina ? Claudinetta ? » Lorsque son regard croisa celui de la photo, il fut comme interrompu dans son récit. Comme s’il avait été rappelé à l’ordre par quelque chose d’imperceptible, même pour lui. « Peu-importe » Reprit-il avec un air sérieux désormais incrusté sur le visage. « Qu’avez-vous trouvé ? Est-ce que c’est bien lui ? »
Un sourire se dressa sur le visage de Vasca et d’un ton proche de l’arrogance, elle reprit. « Eh bien, heureusement que je suis là. On l’a trouvé qui baraudait non loin du Royaume de Flevance. Il doit prendre un navire qui se rend à Goa, c’est au moment de l’embarquement qu’on lui mettra la main dessus. » À la fin de sa phrase, on pouvait la voir, poing serré, une posture victorieuse comme si elle s’imaginait être la clé de la capture de Mickey. 
« Parfait Vasca, beau travail ! » Déclarait le borgne qui attrapait son cache œil. Et alors qu’il l’enfilait il poursuivit. « Préviens Gino, dis-lui… D’ailleurs comment ça se fait qu’il n’est pas encore là ? Il est du genre à venir me secouer dès l’aube, foutu connard celui-là. »

Immédiatement après, la posture de Vasca se détruisit littéralement, baragouinant le peu de mots qu’elle pouvait seul « G-G-G-GINO…. P-P-P-PROBLEMES. » furent les paroles comprises par le Derino. Il se leva aussitôt, sa carrure imposante envahit immédiatement la bulle de confort de Vasca au fur et à mesure qu’il s’approchait d’elle.

« Pourquoi as-tu attendu tout ce temps pour me le dire ? Vasca ?! » Il ne parlait plus, il hurlait. Et la demoiselle ne semblait pas être en position de dire quoi que ce soit. Elle redoutait l’annonce de ces nouvelles, mais elle s’attendait à ce genre de réaction, c’était arrivé tant de fois déjà…
Un nouveau croisement de regard avec la photo lui remit à nouveau les idées en places et lorsqu’il confronta celui de Vasca, il ravala sa salive dans la seconde.

Un canon, ou deux, étaient pointés droit sur lui le froid baiser de ceux-ci transformèrent le visage du borgne du sérieux à celui de quelqu’un ayant fait une connerie. Une énorme connerie. Passé de position debout, à genoux au sol, en moins d’une demi-seconde. L’on pouvait désormais entendre dans toute l’auberge le Derino supplier pour rester en vie.

« Qu’est-ce qu’ils nous font chier ces deux-là, qu’ils baisent un coup et qu’ils foutent le camp. »
Déclarera la tenancière de l’auberge.

« Il faut qu’on aille récupérer Gino, Vasca, où est-ce qu’on peut le trouver ? » Lâchait le blond, retroussant ses manches, grande bouffée de fumée s’échappant de sa bouche.
« Sûrement à l’hôtel royal de Flevance, parait-il qu’il a réservé la suite du dernier étage… si Gino est quelque part, c’est sûrement là-bas… et au pire des cas… »
« Au pire des cas ? » Coupa Luciano, à deux doigts de recommencer son speech d’avant.
« Au pire des cas, on aura qu’à tous les tabasser un par un pour qu’ils nous disent où le trouver… ne t’en fais pas, on retrouvera Gino ! »


Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano ZC2B7mk
Chapitre I : Si t'es mon poto.
— Si t'es mon pote moi je débarque en 2-4-6
En cas de bagarre je t'assiste avec la patate de Dhalsim
Pas d'problème si financièrement t'es dead
Parce que la règle veut que j'tire un trait sur tes dettes —


À l’époque, la famille Derino n’était plus qu’une ombre de ce qu’elle était autrefois. Sa place dans le cercle fermé des familles mafieuses de Verone se voyait menacée par leurs éternels rivaux, voulant démanteler la famille afin de grossir leurs rangs. Un coup classique, après tout, ceux qui avaient rejoint la famille à l’âge d’or des Derino l’avaient fait pour s’assurer une place convenable, comme l’aurait fait n’importe qui. Ceci-dit, avec l’avènement du père de Luciano, Derino D. Lucenze, les choses changèrent. Il ne portait pas réellement le monde de la mafia dans son cœur et voulait toujours agir à l’encontre des coutumes des Derino.

Son père était plus érudit que criminel. Il délégua les tâches à celui que l’on connaît aujourd’hui comme « Deux faces » surnom qu’il avait mérité à force de changer d’allégeance comme de chemises. Nul ne vous contredira si vous dites que ce fut la décision qui précipita les Derino au bord du gouffre. Préférant passer plus de temps à s’occuper de l’éducation de son fils, lui apprenant tout ce qu’il savait, s’occupant de transmettre les connaissances de la famille et leur secret, secret qu’il fit promettre à Luciano de ne jamais révéler.

La simple connaissance de celui-ci pourrait justifier l’élimination complète de la famille par le gouvernement mondial.

Chétif, Naïf et prenant tout pour acquis, Luciano n’était rien d’autre qu’un gamin capricieux, s’imaginant que tout lui appartenait car il faisait partie d’une famille puissante… Tout changea avec la mort de Lucenze. Incapable de lutter contre une obscure maladie, il se retrouva seul, à la tête d’un puissant empire mafieux qu’il ne pouvait gérer… On ne lui avait jamais appris comment un Derino se devait de se comporter… La domination des Derino sur Verone toucha à sa fin.

Deux faces, s’occupant des affaires officieuses de la famille n’eut aucun mal à se mettre le reste des membres dans sa poche, nombre d’entre eux le considérait d’ors et déjà comme le véritable chef de la famille.

La situation se corsait pour Luciano. Il était désormais devenu une menace aux yeux de Deux Faces, il était le dernier des Derino et l’anéantissement total de la famille était quelque chose qui aurait pu lui permettre de s’asseoir comme étant le seul et l’unique dirigeant de la famille…

******

La fuite, seule chose dans lequel le jeune Derino performait. Agé de 13 ans, il se voyait déjà fuir des hommes ayant le double, voir le triple de son âge, à travers ruelles sinueuses et places bondées. Il courait, se faufilait dans chaque interstice, peu importe où cela pouvait le mener, il s’engageait dans chaque endroit qui lui permettait de distancer ses poursuivants.

« Il est là ! » Attrapez-le ! Lâchait l’un des hommes à ses trousses, ayant repéré cette tunique blonde « Le Don nous a promis une vie de richesse à celui qui lui amènerait le petit Derino ! »

Ils n’étaient plus très loin désormais et à force de courir dans tous les sens, Luciano commençait peu à peu à s’éloigner des ruelles de la ville, sa dernière option fut un genre d’entrepôt abandonné, à deux doigts de s’écrouler sur lui-même, les structures ferreuses étaient rouillées, le bardage du toit ne semblait pas être fini, la pluie s’écoulait au même endroit, si bien qu’avec le temps, l’eau avait creusé un petit trou. Aucune chance qu’ils ne le retrouvent ici.

« Eh, tu fais quoi ici ? »


Cette voix le figea de peur, était-ce les sbires de Deux faces ? L’avaient-ils déjà remarqué ?

« Qu-que me voulez vous ? » Bredouilla Luciano. Sans réellement savoir d’où cette voix provenait. Il reculait à tâtons, gardant l’entrée du bâtiment dans son champ de vision. « S’il vous plait, je ne sais même pas pourquoi vous êtes à mes trousses… » Poursuivait le jeune héritier, d’une voix tremblante.

« Bouh. »

Surgissant de derrière lui, un jeune garçon, du même âge que lui visiblement, provoqua la peur de sa vie à Luciano. Il le regardait avec un visage vide d’expression, comme lavé de tout sentiment.
Immédiatement, le petit blond poussa un cri qui fit écho dans l’entrepôt. Un cri de femme.

Soudain, de nombreux bruits de pas se firent entendre et même l’étrange gamin semblait soudainement craindre quelque chose.

« Il faut y aller. » Déclarait celui-ci. « Cette agitation ne me dit rien qui vaille. »

Il attrapa le jeune Derino par le col, et le tira au travers de l’entrepôt, jusqu’au fond de la bâtisse, là ou une brèche donnait directement vers l’extérieur, de l’autre côté du bâtiment. Il le faisait courir, le traînant au travers de ruelles dont il n’avait même pas connaissance, le jeune brun était un vrai jeune de Verone, connaissant la ville comme sa poche, semblant se repérer instinctivement dans celle-ci. Jusqu’à s’abriter dans la cave d’une échoppe, visiblement abandonnée.

Les habits classes de Luciano contrastaient énormément avec ceux de son sauveur. La différence de classe se faisait ressentir jusqu’à l’apparence vestimentaire. La façon de parler du Derino aussi, employant des mots plus ou moins compliqués, quand son interlocuteur parlait avec un langage simple, direct, sans fioritures.

« Alors, pourquoi est-ce que les Derino te pourchassaient ? Tu leur a volé ce costume et ces manières ou quoi ? » Demanda le jeune garçon.
« Les Derino ? » Demanda Luciano, qui ne semblait pas réellement comprendre ce qu’il se passait… les Derino s’étaient éteints avec la mort de Lucenze… peut être qu’il n’était pas quelqu’un d’assez bien placé dans la société mafieuse de Verone pour être au courant de ce genre de détails.
Et alors qu’il allait reprendre, le jeune garçon le coupa. « Tu connais pas les Derino ? Cette bande de charlatans est plutôt détestée par ici, hors de question de les laisser faire ce qu’ils veulent… Mais dis moi, comment tu t’appelles ? Moi, c’est Gino. » Il marqua une pause, le dévisageant de bas en haut avant de poursuivre. « Et toi ? Tu ne viens pas d’ici, qui es-tu ? »
« Luciano, Der… » Il s’arrêta, ce qui eut pour effet de faire arquer un sourcil à Gino, qui s’approcha du petit blond, plongeant son regard lubrique dans l’azur de ceux du blondinet. « Luciano, mais, tu peux m’appeler DDL. »
« DDL ? Les initiales de drôle de loustic ? T’es vachement naze quand il s’agit de te surnommer. Luciano ça ira très bien. »


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Chapitre II : Mon frère.
— Poto t'es fou prend tout maintenant
On s'en bat les couilles on est dedans
Les anciens laisse-les qu'ils s'amènent, qu'on leur mette des balles dans les dents
J'vois la scène avec toi devant, le glock pointé vers l'avant,
Cette pute qui visait la tête, mon calibre s'enraye en même temps. —


Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano R5f5Y7t
Interlude  : On s'en remettra
— Mes gars rentraient chez eux, moi j'faisais semblant d'rentrer
Certains m'ont interrogé, puis certains voulaient m'héberger
Par fierté j'ai dû refuser, non merci j'veux pas déranger
Alors j'ai traîné tard la nuit, brisé par l'ennui —




Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? DDL 2.0
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! XXXX


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Léthys Kol
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Léthys Kol
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MessageSujet: Re: Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano   Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano EmptyMar 28 Aoû - 17:35

Yop, des nouveautés par là ?
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Kara Frogzit
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Kara Frogzit
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MessageSujet: Re: Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano   Si, si, pasta pepperroni. Derino D. Luciano EmptyVen 12 Oct - 7:48

Petite prez archivée. Un Mp et tout rentre dans l'ordre biz!
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