La Voie De La Rage

Satsujin porte les marques d’une vie passée plus que douloureuse, le minks est un ours de très grande taille quatre mètres pour environ trois cents kilogrammes de muscle avec un petit ventre qu’il garde pour se donner un air d’ours moins méchant même si c’est difficile à croire. Comme dis précédemment, l’ours porte des marques d’une vie passer part forcement noble, sa peau a était marquer des blessures du champ de bataille, brûler part le feu, brisé part les marteaux de guerre.

La fourrure autrefois blonde c’est assombri pour devenir brune légèrement marron, les seules marques qui sont restées blondes est une croix en plein milieu de son torse une ancienne cicatrice de guerre qui n’a pas repoussé de la bonne façon. Et l’autre est une partie de sa gueule qui est quand a-t-elle de famille. En restant sur le corps de l’ours, on peut deviner aisément qu’il est bien entretenu avec des séances de sport intensif qui le mette à rudes épreuves. En remontant sur sa tête ont discerné deux choses. La première étant qu’une de ses oreilles celle de gauche en l’occurrence lui manque un bout arracher part une balle, et la deuxième est c’est deux minuscules orbes noirs injectés de fil de sang en permanence alors qu’autre fois ils étaient beaux et bleu.

Attardons-nous devant le visage... Du moins la gueule de cet étrange personnage, une truffe noire avec une cicatrice dessus, des poils qui partent de tous les sens. Plusieurs cicatrices sur le visage. Un air menaçant est en permanence. Quand il sourit ont peux voir plusieurs crocs manquants et certains cassés en biais, rajoutant cet air effrayent. Sauf pour les enfants… Qui le voit comme un gros nounours. Des cernes ornent ses yeux, rajoutant un côté insomniaque au personnage.


Un physique c’est beau ? Mais sans les vêtements qui vont avec, ça ne sert à rien. En temps général quand il est en service, il porte la tenue traditionnelle de la marine ajustée à sa taille et extensible, sinon un faux mouvement est… Crack. Plus d’uniforme. À sa ceinture il n’est pas rare de voir une bouteille de saké a sa ceinture, puis derrière son dos on peut voir une petite sacoche qui contient sont tabac et sont kiseru.

Quand il est en repos dans ses quartiers, il porte un haori et un kimono de couleur rose avec divers motifs tels que des fleurs de cerisier, des pots de miel et des bouteilles de saké.
Une chose se fait remarquer sur son accoutrement de repos, une femme habillée comme une geisha brune avec deux émeraudes aux yeux, tenant un éventail et une lanterne.  

L’ours est un animal torturé part sont passé peux glorieux, les esprits des personnes qu’il a pu tuer ou même les événements qu’il a pu subir, créant une sorte d’homme bête incapable de trouver sa place dans une société civilisée. Il est torturé, il n’a pas la conscience tranquille. Le nombre de personne qu’il a tué pour avancer… Chaque soir les échos de leurs cries résonnent dans son crâne lui provocant d’incroyable crise de cauchemars réels et d’insomnie chronique, créant des troubles de la personnalité assez importants.


Tsuyoshi est une personne de nature calme, montrant pas forcement ses émotions à part avec son équipage qu’il considère comme sa Famille, il est prêt à perde la vie pour eux. Il montre toujours une facette calme et froide, savant dissuadé avec sa carrure. Il n’aime pas être guidé, cherchant à chaque fois sa propre voie part lui-même, tête de mule pour lui faire entendre raison il faut y aller. Grognon est aussi un bon adjectif pour le qualifier, il râle quand il n’a pas sa dose de bouffe, on pourrait le décrire comme un hercule gourmand pour finir...

De base il est un grand solitaire a la morale douteuse, avec lui il ne faut pas trop réfléchir… D’abord on tape et après on parle.  Tous sont moyens pour arriver à son objectif, s’il faut passer par une tuerie de masse ce n’est pas qu’elle que personne de plus sur ne sont compteur qui l’arrêtera, il utilise la peur à son avantage pour qu’on le laisse tranquille.  À force de vivre dans la société humaine, il a développé comme tout le monde des vices qui lui étaient inconnus sur Zou.


Les femmes est une litanie importante chez lui, l’alcool ou même les jeux sont des choses qu’il le détende à ses fins de journée. On peut le poser dans un coin avec une machine à sous, tant qu’on ne le gêne pas qu’on lui apporte de la nourriture ou de l’alcool, il ne dira rien puis partira quand il en aura tous simplement marre. Et c’est encore mieux si une ou plusieurs femmes, il lorgne beaucoup les femmes depuis qu’il vit dans le monde des Hommes, il y trouve un certain réconfort... Voir une chaleur qui arrive encore a animé son cœur de pierre froide.

M’enfin, voilà un animal paumé dans une société où il ne trouvera jamais sa place, marine politiquement incorrecte et bon à rien. Je dirai ça pour le décrire.

Prologue

Prologue

Prologue

Une ombre anormale marchait dans le noir de ce petit village perdu dans le monde, une sorte de géant marchait sous la pluie torrentielle à la recherche d’un endroit bien défini, une auberge de passage pour une nuit.
Il filait dans la nuit telle une panthère dans la jungle, évitant soigneusement les personnes encore debout à cette heure de grande pluie, au loin l’homme anormal voyait de loin l’enseigne « Au Poulet Heureux ». Il fit une dernière foulée avant d’entrer… Ils rester trois voir quarts poivrots qui était en train de cuver. Notre protagoniste était habillé d’un masque recouvrant totalement sa tête. Des habits noirs trempés. Un homme d’une quarantaine d’années l’invite à s’asseoir et à commander quelque chose à manger ou à boire.

Il avait commandé juste une coupe de saké, l’ambiance était festive à cette période de la nuit. Les clients raconter leurs histoires les plus loufoques, d’autres plus sérieuses, beaucoup était d’ancien mercenaire. Les histoires de guerres et autres, qui étaient intéressantes. L’homme d’une quarantaine d’années regarda l’homme en noir et lui dit :

- Eh toi… T’n’aurais pas une histoire à nous raconter, tu ne dis rien depuis tous à l’heure !

Il réfléchit avant de soupirer et de prendre la parole d’une voix gutturale.

- Eh… Oyaji, je peux te raconter l’histoire d’un bon à rien qui a emprunté la voie de la rage pour échapper à son destin. »

Tout le monde c’étaient tu, les mots de l’homme en noir avaient du faire grand effet, tous c’étaient regrouper autour de lui.

- « Bien… Notre histoire commence sur Zo… »

Chapitre 1 : Ourson 
L’île de Zou... Mobile, imposante. Monter sur un éléphant géant, une infinité de mètres pour plusieurs tonnes de chairs qui se déplacent dans les différentes mers du globe. Berceau d’une antique civilisation d’homme bête, à la fois proche et différente de la race humaine... Les Minks. D’incroyables créatures dont nous allons suivre un ourson nommé... HM. Du moins. Cette enfant n’avait pas de nom, c’était ça le premier hic de cette histoire, un enfant dont la mère en voulant donner la vie en est morte. Cette mort créa un fossé entre l’ours et son père.

Tous commencent dans une petite maison où le jeune sans nom s’est recroquevillé sur lui-même nu dans une flaque de sang... Les violences récurrentes ont brisé peu à un peu l’animal. Humiliation, viol, battage à mort. Les moyens le plus récurrents pour le briser. Dans la tête du garçon animal, il se doute que les choses ne tourner part rond, les mots ne viennent pas quand il veut en parler, du coup il se taisait.

Très jeune, il commence à développer des symptômes d’insomnie chronique, durant les longues nuits il s’occupa comme il le pouvait, c’est à ce moment-là qu’il découvrit sa passion pour le bois. Il fit vite sa patte, il commença par créer des lettres en bois avant de faire des statuettes ou même des maisons. Il a commencé à travailler très tôt, les jeux avec les enfants ce n’était pas son truc. Âpres comme tout bon minks qui se respecte... Le sang des lutteurs était avec lui, il avait le sang chaud.

C’est sur ce bonhomme de chemin qu’il croisera un veille minks bison, un fier combattant maitrisant le kung-fu. Sage comme une tortue, qui le prit sous son aile.  Le bison s’appelait Hiden, il l’avait croisé pendant l’un des entrainements du sans nom. Le bison grand et avec une voix rassurante dite a l’ourson.


- Salut, mon petit ! Que fais-tu la a frapper ce bloc de pierre ? Tu vas te bousiller les mains voyons !
- Bonjour Bison, je m’entraine, j’ai besoin d’être seul. Bonne journée.


L’air renfrogné de l’ourson lui fit mal au cœur, le bison n’était pas prêt à le laisser seul.

- Eh… Mon petit, tu sais que tu vas te briser les mains à force de taper contre un mur ?
Effectivement, le mur et ses mains était remplies de sang. Mais le vieux perçut une lueur d’espoir dans l’entrainement du jeune, il avait réussi à faire une légère entaille dedans. Mais lui ne s’en était pas aperçu.


-  Eh, mon p’tit… Ta quel âge.
- 7. Maintenant, partez s’il vous plaît, j’ai besoin d’être seul.

L’ourson allait remettre un coup au mur, mais la large main du bison vint bloquer le coup. L’ourson vient planter son regard froid dans celui du bison.

- P’tit. Je peux te proposer un marché, si tu arrives à me toucher, je te t’apprendre à détruire le mur facilement.
- Et si j’ne te touche pas ?
- Je ne t’apprendrais rien si tu ne me touches pas.

D’un coup l’ourson lâche sa cible première le mur pour venir coller un gnon au bison qui esquive habillement.
Tous s’en suis de rafale de coups de pieds et poings que le bison esquive habillement, assez impressionner Hiden, d’un coup il sortit son bâton situer dans son dos et vint bloquer des coups de l’ourson déjà trop bien agressif pour son âge. Les coups s’accélèrent, crochet du gauche, mawashegiri, coup de tête. Ce genre d’attaque commune pour le vieux bison. Il eut une idée commencée à se défendre et effectivement ça a bien marché… Il mit d’habiles coups de bâton qui avaient pour but de toucher l’ourson, qui esquivait chaque coup où les bloquer.

Le combat s’enfoncer dans la forêt, le bison certes vieux, mais agile sauta sur un arbre, la branche.

- Alors mon p’tit ! Qu’est-ce que tu vas faire pour monter ?
-Hm…

Effectivement il n’était pas très agile, voire pas du tout. Monter sur un arbre ce n’était pas son délire, il tourna les talons sous le regard surpris de Hiden.

- Alors tu tournes dos à ton ennemie ?! AHAHAHA !

Hiden c’était mis à rire comme un fou à travers la forêt. Fermant les yeux et soufflant jusqu’à craquement inquiétant le fit revenir sur terre, l’ourson c’était projeter contre l’arbre qui s’écroulait sous le poids du jeune. Hiden tomba au sol, avant que l’ourson pose son poing sur sa joue. Il l’effleura juste et se remit droit avant de regarder le bison étonné.

- Hem… P’tit… S’quoi ton nom ?
- Mon nom ? Je n’en est pas.
- T’en as pas ? Comment ça s’fait p’tit ?

Hiden se releva et prit l’ourson par l’épaule, avant de l’emmener chez lui. Une fois sur place une longue discussion entre les deux animaux s’en suivit.


- Donc tu me chantes la que tu n’as pas de nom ? C’est une bêtise.
- Non. Maman est plus la et papa m’appelle bon a rien.
- Maman est plus là ? Comment ça se fait ?
- Papa dis que je suis la cause de ses malheurs,je ne comprends pas ce qu’il veut dire. Il me met des coups et viens dans ma chambre le...
- Ok arrête-toi garçon !  Je vais aller parler à ton père, tu restes ici !
- Mais monsieur… Je vais me faire disputer si je ne rentre pas.
- T’inquiètes garçon ! Je m’occupe de tout ! Va dormir t’en as besoin.

L’ourson partit effectivement dormir, le vieux bison quant à lui partit à la maison du père. Une fois dedans ils commencèrent a parlé, visiblement l’ours était alcoolisé.

- Je te le dis Hiden ! C’est un bâtard j’aurai du le noyer a la naissance il est la cause de tous mes problèmes ! Il doit mourir ! Je ne veux plus le voir !
- Bien, Taemasu. Si tu n’en veux pas, je le prendrais sous ma patte.
- Si tu veux bon vent ! Qu’il dégage.

Le bison partit furieux, et revint à la maison s’occuper du petit…

Chapitre 2 : Ours

L’ourson avait pu avoir certes tardivement, mais il a pu avoir une figure paternelle qui lui appris l’art de médité, du combat ou même encore de vivre. Les années passent et l’ourson devient à son tour un ours. Charpentier la journée, disciple le soir.

Il a grandi avec des plus jeunes que lui, comme un loup blanc Croc-blanc ou même une Lapine Ambroisie, des copains de fortunes bien sympas. Ils ont partagé leurs peines, les plaisirs et se sont fait engueuler tous ensembles, une longue amitié.

Cet ours dû à sa nature d’ursidé avait une grande force, grâce à cela, le vieux bison lui avait donné le nom de Tsuyoshi. Libre de ses mouvements avec une vraie éducation l’ours devenait un être décomplexé bien que les horreurs de son père l’empêcher de dormir.  
À la même occasion, la maîtrise du bois sortait de ses doigts, souvent appelés par les anciens pour construire.

Une idée avait germé dans son esprit, certes Zou avait tous ce qu’il faillait, du travail, de la nourriture, mais…. Tous étaient trop paisibles. Ouais c’est ça le mot paisible. Aucune action, toujours les mêmes têtes. En plus Croc-Blanc s’était barré avant moi, pour partir à la recherche de son père, on lui avait même érigé une pierre tombale pour ce loup des mers.


De mon côté son départ m’avait inspiré à découvrir le monde des hommes, du coup j’avais pendant de nombreuses années crée et peaufiné un bateau pour moi partir... Mais il y a deux personnes que je devais prévenir. Mon père adoptif et Ambroisie mon amie d’enfance… Comment commencer ? Le vieux ou le lapin ? Les deux aller être dur et sûrement récalcitrant à son idée…

La fin de la journée approcher et l’angoisse monter, le retour à la maison allait être difficile, comment allait-il le prendre ? L’angoisse montée chez Tsuyoshi. Arrivé à la maison, Hiden l’attendait assis en tailleur avec son bol de soupe.

- Oy… Hiden, faut que j’te parle.
- Oui ?
- Ahem…

L’ours s’assit devant lui, son regard avait changé. Il était déterminé.

-  Hiden… Je te remercie déjà pour tous ce que tu as fait. Mais je dois t’annoncer que je veux quitter l’île, je veux partir découvrir le monde.
-Hehahaeahaeha ! Va donc, mon jeune disciple ! La vie est courte, faite se qu’il te chante !
- Eh. Merci, me reste à finir le bateau et à prévenir la Lapine que je pars.

La seule réponse du vieux bison fût de me faire un énorme câlin. Tout le repas se passa bien avant de partir se coucher.




L’ours était charpentier, il travaille notamment sur un des fameux projets. Notamment un bateau, les copeaux de bois avaient pénétré sa fourrure. Un bruit le distrait de son travail, il vit la petite lapine d’Ambroisie. Son air froid laissa apparaitre un grand sourire.


-Salut Lapine !

L’ours puis voir trais vite qu’elle que choses n’allait pas, la lapine qui habituellement lui sauté dessus a coup de gros-bizou, semblais entre épuisé et triste.

- Salut Nounours

L’oreille droite de Tsuyoshi bougea et vit que la Lapine n’allait pas bien. Il posa ses instruments pour travailler le bois, enleva le tablier puis se dirigea vers son amie, vu la taille il posa un genou a terre puis posa ses énormes pattes sur ces épaules
Dit-il en penchant la tête sur la gauche.

-Ça ne va pas ?

-non pas trop
Elle se jeta a son coup pour lui faire un câlin
- Graou-bizou quand même.

Elle lâcha et chercher un endroit pas trop occupé par le bois pour s’asseoir.

-pfff... aujourd’hui j’ai pris une décision. J’ai décidé de partie de Zo pour explorer le monde...

Le regard de l’ours s’arrêta de briller quand elle dit qu’elle allait mal, lequel l’avait emmerdé... si c’était le cas, il allait lui casser la gueule. Il la prit dans ses bras en la serrant contre lui avant de la laisser partir s’asseoir. Il se releva et la regarda.

-Tu veux partir de Zou ? Hm.... Croc Blanc est parti. Et pour te dire, j’allais partir. Le bateau que je construis actuellement est ma dernière création.
Tu devrais attendre avant de partir.

Dit-il en posant sa main sur son épaule.

Ses oreilles de redressèrent
- tu t’en vas ?
Deux lueurs se décelé dans ces yeux, de l’espoir et de l’inquiétude

- Ce que je ne t’ai pas dit c'est que ma mère a passé un « pacte avec moi » si un Minks revient du monde extérieur, j’ai le droit de partir à mon tour. Mais pourquoi toi me dis-tu d’attendre ?

Il l’écouta et souris en voyant les lumières dans ses yeux. Puis il l’écouta avant de lui dire.

-Oui je m’en vais, je finis le bateau et je taille ma route. Hehe... Je vois que ta mère ne te laissera pas partir. Tu n’es pas prête. Je me suis entraîné toute ma vie. Je veux juste découvrir le monde des hommes.

Il vient poser son front contre celui de la Lapine


-Hé
Elle fit une grimace

- moi aussi je me suis entrainé. Tu ne vas pas me dire que toi aussi tu me prends pour un petit lapereau fragile.
Juste après avoir prononcé ces mots elle sentit une décharge électrique, l’un des coups que lui avait portés ça mère la relancer, comme pour la narguée.

- Bon OK je ne suis peut-être pas aussi solide que je le crusse, vus que ma mère me tape dessus depuis une semaine sans que je n’arrive à me défendre. Mais, ce n’est pas une raison
Puis elle se mit à bouder
-Et puis je pourrais faire une super second d’un équipage de fier matelot
Bon là elle ne savait pas de quoi elle parler et sa ce voyait un peut. Mais son ego qu’est-ce que vous voulait ?

Il sourit et garda le front coller contre le sien, une main venant se poser sur l’arrière de sa tête, l’ours ferma les yeux
- T’es mon petit lapereau fragile
Il sourit de toutes ses dents
- Peux-être. Devenir pirate ? Krararaara....
dit-il en rigolant
-tu sais, continu de t’entrainer, je viendrais te chercher. J’te tirerai pour créer notre équipage.
Dit-il avec une certaine lumière dans ses yeux


Elle arrêta de boudée et l’inquiétude avait pris le pas sur l’espoir, même s’il rester présent.
- tu... tu me le promets ? Tu reviendras ? sans faute ?

Il la regarda en plongeant ses yeux dans les siens
-oui je reviendrais en un seul morceau. En attendent... Entraîne-toi pour pouvoir être ma seconde.
Dit-il en souriant

Elle s’extirpa de l’emprise amicale de l’ours tout en arborant un large sourire.
- très bien, dans ce qu’a je vais me donner a font dans, mais entrainement avec ma tyrannique de mère. Toi tu reviendras et on fera le meilleur équipage de minks du monde.

Sa fatigue semblait avoir disparu elle sauta dans tous les sens prenant des poses héroïques comme si elle se battait contre des ennemies imaginaires. Enfin jusqu’à ce qu’une douleur la paralyse dans une de ces dites position héroïque. Elle fessait mine de rien.


Sa lui fis plaisir de la voir reprendre vie d’un coup, il se releva et lui tapota la tête
-j’suis sûr que l’électro tu le maîtrises pas.
Dit-il pour la provoquer avant de remettre son tablier de charpentier
-Fais attention à ta santé Lapinette



Au moment où il la provoqua, Ambroisie oublia la douleur. Elle attend que l’ours est remis son tablier et qu’il se soit retourné.
-très bien, mais avant de partir un petit cadeau.

Elle bondit d’un coup, utilisant sa grande rapidité pour ce lancé vair lui et frappa son bateau en construction les étincelles furent suffisamment visible pour prouver a l’ours qu’il avait tors. puis elle lui mordu l’oreille en signe d’affection amicale et s’en alla

- dit-moi quand aura lui la mise a l’eau que je vienne te dire au revoir. /elle lui fait un clin d’œil et s’en partit.

Il se retourna en voyant les étincelles frapper mon bateau
-PUTAIN, MON BÉBÉ !! MONSTRE !!

Dit-il en venant se faire croquer l’oreille


-Ouais j’te préviens , aller fille ! avant que j’t’en mette une.


De nouveau plusieurs jours étaient passés, il est temps de mettre le navire à flot.

La lapine revint voir l’ours. Son bateau était prés même si on pouvait voir un petit roussissement dû à un choc électrique sur la coque.
- Salut nounours, GRAOU-BIZOU !

Elle sauta sur l’ours.

- prés aux départs ?

Il avait fait les dernières modifications, il était prêt à partir. Il se fit déçu de ne pas avoir su enlever la trace à cause de l’électro
Salut Lapine, ouais prêt. J’attendais ton arrivée.

- J’ai un cadeau pour toi !

Elle sortit de son sac un Jolly Roger

Spoiler:

Le drapeau était parfaitement cousu, ce qui ne ressemblait pas à son travail.

-Évidemment c’est moi qui l'est fait hihi.
Tout à coup une autre Lapine ne sortit de nul par.
-c’est faux, je te rappelle que tu ne sais même pas repriser une chaussette alors coudre un drapeau.
Ha...
La Lapine rousse à lunette qui ressemblait beaucoup à Ambroisie était évidemment une autre de ses 4 sœurs.
-Aubépine tu peux me laisser me laisser faire des cadeaux s’en tout gâcher ?
À partir de là les deux Sœurs commençaient à se disputer comme des chiffonnières.

Il se tourna vers la Lapine, il regarda le Jolly Roger.
-Heheh s'est pas mal...
Dit-il avant de voir une de ses petites soeurs ? Il vient rigoler en les voyants se disputé
-sa rappellera Zou au moins les filles
Il finit de faire son sac.

Pour finir la dispute, Ambroisie sortit une carotte.
- Je te rappelle que c’est bon pour la vue
Et elle la lança, Aubépine suivit la seconde suivante.
- Bon OK ce n’est pas moi qui le suis cousu, mais c’est moi qui en suis eu l’idée. Et c’est fait exprès que ça ressemble à Zo. C’est pour quand tu auras le mal du pays

Dit-elle avec un grand sourire sourire 

Il sourira, en vint prendre les deux lapines dans ses bras
-merci, les filles, je n’oublierais pas qui je suis et d’où je viens quand j’aurai rencontré les hommes.
- Et n’oublie pas, tu reviens en un seul morçeau, et moi je m’arrange pour qu’on ne t’érige pas un monument funéraire comme pour croc blanc entendu ?

-Hm.... Laisse les faire. Sa donnera l’illusion a mon père d’avoir réussi sa vie.

Il lui caressa la tête
- et moi qui me plie de mes parents

 Rigola-t-elle  C’était l’heure de la mise à l’eau, ambroisie essaya d’aider, mais la force physique n’était pas ça qualité première, heureusement, Salsepareille (une autre sœur) était là pour aider, ce revaloriser les lapins.

Il tira le bateau jusqu’au point de rendez-vous
-sur Zou appart à toi et tes soeurs je manquerai à personne !
Dit-il en riant , il accrocha le Jolly Roger
-le marchant de bois et d’outils aussi ?
Répondirent-elles en riant : c’est petit échange vont me manquer à vrai dire
(Salsepareille)- moi ça m’arrange que tu partes, comme ça dit Salsepareille l’air toujours aussi sérieux. / Ambroisie arrêtera de s’éparpiller et se concentrera sur son entrainement.
-Hé, mais c’est méchant ça !  Dis Ambroisie
- Ouaip
Ambroisie lui fit les gros yeux.

Il les regarda en haussant les épaules
-P'têtre en attendent Salsepareille, Ambroisie est une super personne ne la dénigre pas.


- Ouai, bien dit me dénigre pas je suis super forte
- Je le reconnaîtrais le jour où tu me battras dans combat singulier. Ambroisie se mis à bouder, à cause de sa sœur
-bon on le jette à l’eau ce rafiot !

Il regarda la petite soeur d’Ambroisie en soupirant
- Tu verras quand je reviendrai j’te ferrai avaler ton sifflet.
Dit-il se mettant à côté du bateau. Il posa ses grosses mains avant de les regarder sur leurs épaules.

-Ce n’est qu’un au revoir les filles ! Merci pour tout !


Les au revoir étaient arrivés. Avec le temps les 4 sœurs d’Ambroisie avaient coudoyé l’ours, de ce fait elle était toute venue. Athelas apporta même une resserve de carotte et un des livres qu’elle avait écrits, pour le voyage.
- Bon, c’est le moment. Qu’une qu’un veut dire un mot pour la postérité ? /dit Ambroisie. Mandragore, la chipie de la bande s’avança et commença un éloge funèbre
-nous sommes ici pour mètre a l’eau... l’ours dont j’ai encore oublié le nom. Qu’il repose en paix, j’espère que du haut il...
-qu’elle qu’un d’autre ? Coupa Ambroisie, légèrement agacé.
-Dit, tu feras mieux l’éloge funèbre pour Ambroisie quand elle partir j’espère !? -
-Athelas ne t’y mes pas s’il te plaît.
Toute ce mis à rire, sauf Salsepareille qui ne riait jamais, et Ambroisie qui en avait marre, d’elles.


Il soupira en les voyant les sœurs se disputé, avec sa grande force il tira le bateau sur la pente et monta d’un coup sec en faisant les au revoir en ayant au préalable pris les carottes et les livres. Il fit de grands signes aux filles.
-MERCIIIIII A LA PROCHAINE LES LAPINES !


Les Lapines répondirent en même temps
-A la prochaine , bon voyage ! avant de le voir disparaître.
-il va me manquer mine de rien. / dit Mandragore.
- Tu parles, tu n’arrêtais pas de l’embêté / répliqua Aubépine.
-bah justement l’embêté va me manquer hahahahaha les autres sœurs partirent plaisante Ambroisie seule face à la mer.
-t’a intérêt à revenir, mh./ bon c’est l’heure de me faire torturée par ma mère. Espérons qu’elle sera de bon poil, l’entrainement sera dur...

Quant à l’ours il glisser sur la pente avant de sortir de l’éléphant Zou… Et de tomber a la flotte. Il mit les voiles et partis vers une direction inconnue…

Depuis combien de temps, il était sur ce rafiot ? Il n’en savait rien. Les carottes se fessaient de plus en plus maigre, et les bouquins, il l’est avais lu trois fois chacun au moins. Aucune terre n’a l’horizon allonger dans sa barque, allait-il finir a claqué dans se brouillard infernal ? Alors qu’il lui laisser tant de choses a voir.

Il fixait le ciel comme il pouvait, la brume ne voulant pas lui laisser voir le soleil. Pas un bruit dans cet endroit de mort. Le temps était trop long, il ferma les yeux avant de heurtés quel que chose, d’un coup il se releva avant de soudain voir un bout de terre, il se leva et pris la seule corde qui lui rester pour l’attacher a un arbre , puis il sauta a terré avant de l’embrasser. Cette impression d’être sur dur lui avait terriblement manqué. Après quel que minute d’embrassade il se leva et commença a marché vers le bruit qu’il pouvait entendre, il se mit une sorte de foulard sur la tête pour approcher tranquillement, en avançant il laisser de grosses traces dignes de l’ours qu’il est.

Il atterrit dans une sorte de foire au mercenaire. En voyant de tous les horizons les différents brigands, des têtes sympathiques aux têtes de tueur…  Part dépit il choisit le seul camp qui mêlé les deux, les Corneux.

Il va vers se qui semble être le recruteur de la bande.

- À non… Désolé on recrute plus. On a recruté le dernier gars aujourd’hui.
- AH… Y’a pas moyen de s’arranger ?
- Hm. Si t’arrives à le mettre K.O, je veux bien revenir sur ma décision… Sur ceux je te souhaite un bon massacre et adieu… J’vais pisser.

Dit-il en partant vers une sorte de cabine avant qu’un molosse de 3 mètres vienne essayer de le planter, rapide malgré sa carrure il l’esquive avant que l’ours vienne lui mettre un coup de poing suivi d’une balayette.

L’homme de bleu vêtu se relève avant de lui enfoncer le couteau dans le ventre, une rage intense le prend, l’ours le chargea avant de le mettre à terre et d’enchainer les coups au niveau de sa mâchoire, chaque coup déchaussant les dents de l’homme. Une fois que Tsuyoshi jugea que l’humain en avait eu assez, il prit les dents de ce dernier.

Le recruteur étant encore aux chiottes, enfermer dans une cabine. L’ours regarde où cet homme est mis avant de se planter devant la porte, de passer sa main par le haut. Et de lâcher les dents de l’humain.

Le recruteur hurla d’effrois en voyant les dents tomber.

- C’est bon t’es pris ! T’es pris mec ! T’ES PRIS C’EST BON CALME !

L’ours rigola avant de sortir et rejoindre ses nouveaux et nouvelles confrères et consœurs de bataille.

Il passa très longtemps dans le monde des hommes, il y découvrit leur vie qui était similaire a ceux des minks, il y découvrit aussi… L’horreur de la guerre. Les terreurs nocturnes et les cauchemars devenaient de plus en plus violant, sur les champs de bataille qu’il put arpenter il acquit le nom de Satsujin ou le meurtre. En référence au carnage qu’il provoquer.
Mais une autre chose le rend spécial… Il écoute une voix qu’il nomme Colère… Elle l’habiterait et il utiliserait sa force pour se battre.


Chez les Corneux, il devint un commandant d’un petit groupe de fou furieux. Des têtes brûler, des kamikazes appeler les comme vous voulez !

Une bataille a changé le cours de la vie de Satsujin… Sa phobie de l’eau.


Tous se sont passés en milieux d’après-midi… Le temps était chaud et les troupes prêtent à se battre.
L’ennemie c’était retrancher dans une veille battisse aménagée depuis le temps, sa troupe avancée, les boulets de canon sifflet, les morts se comptaient part doigt dans la bataille.

Ils avaient réussi à pénétrer à l’endroit, les forces de l’ours étaient tous gonflées à block. Ils envahirent l’endroit, sauf qu’il y a eu un hic…. Une sorte d’humain très très grand… Genre 6 ou 8 mètres avec un casque en forme de taureau… Barrer la route et décimer les troupes de l’ours.

C’est à l’alors qu’une voix grave, celle du minks se fit entendre

- Eh… la vachette folle. C’est moi ton adversaire.
- MEUHEUHUEHUEH ! Je suis un taureau ! Meuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh-rush !

L’immense vachette de fer fonça vers Satsujin, avec ça force-t-il pensa pouvoir l’arrêter, mais au lieu de sa… Il se fit soulever en se tenant aux cornes et traversa plusieurs murs. Chaque mur se briser sous les corps de l’homme et l’animal. L’ours fut éjecté et atterrit dans la salle aux trésors, au sol, il essaya de se relever sous la douleur que lui procuré les différents murs qu’il avait pu traverser.

Quelque chose lui tomba sur la main... Une forme de fruit. Ni une ni deux, il se releva

-Meuheuhueuheu… STOMP !

Sauf que la vachette folle n’eu le temps de pouvoirs lancé sont pieds que le fruit qu’avais l’ours atterrit dans ses mains.

-Meuhuehueh ! Tu es fou de lancer un fruit du démon ! Le boss va me tuer si je le….

Le taureau de fer sentit sont genoux plier part une grande force... Et pourquoi sa picotée ? Le minks avait utilisé dans son coup de poing l’électro pour le faire flancher en arrière, le fruit roulant sur le côté.

Satsujin monta sur le taureau et lui arracha une corne d’acier. La pointa sur sa gorge et appuya sur cette dernière.

- Meuheuheuh ! Ne me tue pas s’il te plaît ! Je peux parler ! Ne me fais pas de mal !!
- S’est quoi ça un fruit du démon ? Parle !
- Meuheuheuhu ! Calme-toi !  Les fruits du démon sont des... Mueheuheuheh !

D’un coup le poing de Satsujin abattit contre le torse rempli d’électro.

-Parle.
-  Meuheuhueuh ! Ils donnent de grands pouvoirs !
- Biens.
L’ours retira la pointe de la gorge de l’homme, mais dans sa tête une voix sombre… Froide et pas rassurante lui disais « Laisse-toi aller… Tue-le », tous dans sa tête devenaient flou… La voix lui susurré des mots qui le rendit fou, la corne d’acier qu’il avait arraché venait de se loger dans l’oeil du taureau qui hurler à la mort. Plusieurs giclées de sang venaient de reprendre le faciès de l’ours et également ses vêtements. Après plusieurs minutes, l’ours sorti de l’endroit devant ses hommes triomphants avec le fruit du démon a la main.

- Bien les gars… Tuer-moi les prisonniers et prenez le butin que vous pouvez porter. On se barre d’ici.

Après la razzia l’endroit fut brûlé.


Deux jours, c’était écoulé depuis le massacre, les nuits étaient longues. Toutes ses pensées étaient dirigées vers l’objet de son obstination… Le fruit du démon. Il s’était renseigné sur le pour et le contre de le manger… Il n’avait qu’une vie… Il fallait en profiter. Il le mangea, d’abord un goût infect lui arriva en bouche. Mais rien… Il s’était fait rouler… Bref, la nuit allait être longue.

Il s’endormit un peu. Mais une explosion le réveille-lui et le monde autour… Une petite explosion.
Tout le monde était aux aguets… Une attaque de nuit ?!

Non… Tout le monde c’était attrouper prêt de la tente de l’ours qui courrait en créant des explosions à chaque fois qu’il agitait les mains.

- PUTAINS LES MECS ! ON SE FAIT ATTAQUER ! IL EXPLOSE TOUT PUTAIN !

Et la… Des éclats de rire et des visages sombres.  Mon second, me fis m’arête avant de me dire.

- Commandant… C’est le « fruit du démon » que vous avez sûrement ingurgité. Ça sera la proposition la plus vraisemblable et logique.

L’ours se calma en soupirant.

- Ouais ouais… allez dormir tout !

Il remit le reste de sa tente en états avant d’essayer de trouver le sommeil.
Les mois passés et la voix de la Colére prenaient le dessus sur les batailles, toujours plus sanglantes.  Les cris. Les os brisés. Les pleures les explosions. Voilà son quotidien.

Certes les Corneux gagnaient en « puissance », mais… La présence de l’ours n’était plus tolérée. Pour ça des tentatives d’assassinat ont été mises en place. Satsujin est certes un bagarreur, mais il y a de la matière grise, le second de ce dernier est un maitre-espion, il l’avait prévenu du mieux qu’il pouvait. Après le massacre, le second et l’ours se retrouvent.

- Sound… Tes renseignements ont été d’une précieuse aide.
- De rien, mon commandant. Il est temps de reprendre la route pour moi.

Sound donna un escargophone à l’ours avant de partir dans la forêt.

Quand a la masse imposante qu’est l’ours, il partit de son côté.

hapitre 4 :  Floraison

Après une vie dédiée au combat, la pensée de passer de vagabond a sédentaire lui mieux. Le mal du pays commençait à se faire sentir pour l’ours, la terre éléphant lui manquer quand même au côté du vieux Hiden. Mais une question lui revient en tête. Pourquoi il avait quitté Zou ?  Pour découvrir le monde des Hommes ? Effectivement… C’est le cas. Mais leur monde est rempli du mal. Ils sont comme… Des graines bouffies partent un concentré de mal pur, de tous sont périple il n’avait pas trouver une seule personne sympathique qui ne voulait pas est le tuer ou le donner au dragon céleste.

Mais qu’est-ce que les humains lui ont appris ? Appart lui faire découvrir le sexe, l’alcool et le tabac ? Appart lui avoir appris la violence et le mépris des autres ? Rien. Juste, ils n’ont juste fait qu’accroître la haine de l’ours envers toute forme vivante.


Un jour tous avaient basculé alors qu’il était contre un arbre en train de manger un pot de miel en fessant divers bruits pas forcément très normaux pour quel qu’un qui mange.
Mais au loin. Une ombre élégante et raffinée se dessine, qui s’approche et scrute l’énorme… Chose ? Se dit-elle ? Puis une voix toute petite et douce arrive aux oreilles de l’ours, qui se retourne avec plein de miel autour de la bouche.

- Euuuh… Bonjour… Nounours-sama ?
- Ahem. Vire de la, y’a rien n’a voir.
- KIYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Elle part en courant se cachant derrière un arbre au grand désarroi de l’ours.

-Eh gamine… Reviens ici, je ne vais pas te faire de mal promis.
- IL PARLE AU MON DIEU !
- Putain… Les humains sont vraiment cons ma parole…
- IL SAIT BIEN PARLER EN PLUS
- Mais putain de…


Satsujin se lève avant de se venir derrière l’arbre ou est cachée la jeune femme, une fois à l’arbre il tourne pour venir devant les yeux ébahit de la jeune.

- Oy… Gamine, tu l’appelles comment ?
- A.…Asae Nounours-Sama
- Nounours. ? Sama ? Qu’est-ce que…
- Bah, vuiiiiiiiiii, vous êtes un ours !
- Euuuuh…
- Et un nounours, se tout gentil !  YATTAAAA CâLIN!

Dit-elle avant de tomber dans les bras de la personne qu’elle surnommer Nounours-Sama, l’ours qui ne connaît qu’a douleur est surpris, il referme doucement ses bras autour de la femme en gardant les sourcilles hausser ne comprenant pas tous ce qu’il se passe.
La jeune s’amusant a fourré sa tête dans le pelage de l’ours.

- YATTTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA C’EST DOUX !
- Euh… A.…Sae , c’est ça ?
- Oui Nounours-Sama !
- Ta quel…euuuuuuh… Âge pour faire ça ?
- 23 !
- Eh merde… Dans quelle emmerde je me suis encore fourré.
- Nounours-Sama venez avec moi ! Je dois vous présenter à des gens !
- Quoi ?! Non !

Mais même si l’ours est fort physiquement, il se laisse tirer part le bras part la jeune. Après plusieurs dizaines de minutes de marche, les deux se retrouvent dans une sorte de camp, d’un coup Satsujin se contracte, il sent le guet-apens arrivé. La jeune femme le rassure avant de l’amener voir tous les habitants d’un soir de foire qui vend des charmes pour les gens… Une sorte de maison close ambulante. Après un repas. Le Mink décide de rester travailler avec eux pour se sédentariser d’une façon, son rôle est de faire les gros bras pour dissuader toute tentative de violence, le rôle lui convient.

Il partit maintenant dans une nouvelle aventure en devenant plus… Humain ? Une certaine Asae a su faire tomber le cœur de pierre gelé et par la même occasion a mis le grappin dessus. L’amour. Effectivement même l’ours n’est pas venu venir le combat qu’est l’amour, un conflit passionnel avec sa moitié qui se règle sous l’oreiller bien souvent...

Le temps a encore passé, l’ours est devenu un humain qui apprécie enfin la vie, certes elle reste difficile, mais il l’aime à sa juste valeur, en parlant de valeur… L’anniversaire d’Asae vient d’arriver, quoi de mieux que d’offrir un cadeau et une nuit charnelle pour l’occasion ? Mais quelque chose de nouveau germe dans l’esprit de l’ours… Qui lui donne la marche à suivre quand il goûte au plaisir charnel… Une nouvelle voix. Luxure…

Spoiler:

Pendent une pose, l’ours aller voir Asae pour lui tendre son cadeau… Un katana décoré. Pour toute réponse elle l’embrasse avant de reprendre du service. Puis la soirée se passa bien… Même si la roulotte tangue de droite à gauche.


Deux jours plus tard, une bande de brigands vient se ‘’relaxer ‘’. Le problème c’est qu’ils sont trop violents et ne veulent pas payer, du coup l’ours fait son travail et va voir le chef des bandits.

- Monsieur, je vous prierai de payer et de partir.
- Ahahaha ! Il est mignon, dégage.

Sur le laps de temps ou l’ours parle, les bandits commencent à raser l’endroit, tuant tous se qu’il bouge. L’ours se retrouva à genoux avec des lames sous la gorge, Assistant au viol de sa bien-aimée. Une rage sourde l’envahit, un poing se charge d’électricité et l’autre d’explosion, malheureusement Asae a péri sous une lame avant qu’il puisse faire quelque chose, l’ours déchaîne alors sa rage tapante tous ce qui bouge dans des explosions et des bruits électriques. Après plusieurs vagues de coups, Satsujin tombe au sol, aux pieds du chef, ce dernier le regardant de haut.

- Ahaha… Sous race. Tuez-le les gars !
Le chef tourne les talons, mais l’énorme patte de l’ours vient lui attraper la cheville. Dans plusieurs gerbes de sang ce dernier lui dit.

- Un tombera. Un survivra.

Chapitre 5 :  Rage

L’imposante masse rouvrit les yeux, et regarda les alentours... Ils n’y avaient plus personne, à par le patron. Ce dernier est septique part rapport à l’histoire racontée. La voix du vieillard est tremblante.

- J’ai des doutes sur cette histoire…
- Et elle est bien vraie. Aussi vrai que je sois vivant.

D’un coup la masse enleva le masque pour le poser, sous le regard rempli de peur du vieillard.

- Non… Ce n'est pas… Pas possible… Comment ?!
- Ce soir-là… Tu ma ratée, et maintenant… Tu vas en payer les frais.

D’un coup l’ours se lève en posant une patte sur un manche rose, soudain d’un mouvement rapide un reflet argenté vient se planter dans les deux mains de l’homme en face de Satsujin, puis cette lame se plante dans le mur dans un râle de douleur. Le bruit a attiré l’attention d’une femme qui sort mousquet à la main, tremblante accompagner d’une petite ombre derrière elle.

- Ne... Ne….

L’ours n’hésite pas et viens tirer l’arme de la main de la femme avant de venir lui donner un coup de crosse pour la faire tomber dans des pleurs. Mais trop tard la rage de l’ours, mais à la fois la luxure… Tous sont confus dans sa tête, une douleur atroce. Puis plus rien. Une seule voix… Légion, tous sont clairs.  Une fois ce mal de crâne passé, le concentré de haine qu’est l’ours vient écraser la crosse contre la nuque de la femme qui implorer son pardon.  Le vieux sans défense pleurant et priant les saints de l’aider.

L’ours rentre comme un sauvage dans la pièce où pleure un jeune enfant recroquevillé sur lui-même.

- Maman… Papa…
- T’es parent gamin, on crée une abomination qui ne devrait pas exister. Comme toi d’ailleurs.

Il pose l’arme avant d’attraper l’enfant par le cou, de passer une main autour de sa gorge et de serrer.  Une fois l’enfant parti, il jette le corps inerte part terre avant de retourner dans la pièce où le vieillard est. L’ours attrape une chose et se met devant lui, un air vicieux au visage.

- Non… Assez ! Ne me fais pas de mal ! J’ai beaucoup d’argent ! Mais je t’en prie ne me tue pas !
- Tu n’es qu’un cloporte. Tu te souviens de ce que j’ai dit ? Un tombera. L’autre survivra.
- Mais qui es-tu ?! À la fin pour avoir traquer quelqu’un !
- Je suis amant d’une femme assassiné, amoureux d’une femme assassinée… Je suis. Non. Nous sommes Satsujin Tsuyoshi. Et j’aurai eu ma vengeance dans cette vie.

Et avant que le chef puisse parler, l’ours, pose sa grosse patte sur son visage avant d’user de l’électro, lui faisant griller la face. Une fois son acte fait, il remet son masque avant de repartir pour sa terre natale.  

Certes, il n’a pas toute sa tête, mais il a embarqué quelque chose de très précieux… La vive carde de sa chère Lapine, son ticket pour Zou. Il reprit la mer pour plusieurs mois dans un périple très… dangereux.


Après plusieurs mois… Il arriva enfin sous la surprise de beaucoup de monde, notamment de son père dont il ne prit pas la peine d’aller voir.  La première chose qu’il fait, c’est d’aller chercher sa Lapine, au bout de quelque minute de marche… Il l’avait trouvé, mais elle lui rentra dedans. Ce qui fait légèrement rire Satsujin, le visage de ce dernier exprimé une sorte de folie incompréhensible pour les autres. Après un gros-bisou pas forcément apprécié de la part de l’ours il discuta un peu avant de se rendre à la ville ou… Il aperçut Croc-Blanc. Il était encore vivant lui ?  En soi… C’est plutôt ce qu’il dit qui est intéressant.  L’ours se joint à la foule en écoutant le loup blanc.


‘’ Mes amis, Zou est une terre magnifique, mais il arrivera un jour où des personnes mal intentionnées la découvriront et tenteront de s'en emparer. J'ai dédié mes vingt dernières années au combat, affrontant sans relâche les criminels les plus redoutables de ce monde. J'ai parcouru des océans et découverts des trésors de beauté, et bien que rien ne me puisse jamais me faire oublier cet Éléphant qui nous a tous vus naître, je ne puis me résoudre à abandonner cet océan sur lequel il marche sans relâche. ‘’

Effectivement… Il n’avait pas tort le blanc. Un Mink contre-amiral de surcroits… Qui cherche du monde ? Il était peut-être temps de prendre le destin de l’ours en main… Travailler pour la marine afin de blanchir ses actes passés. Demain. Il allait retrouver l’aventure se dis-t-il en riant.
La seconde chose qu’il allait faire ses allers voir le vieux Hiden… Mais malheureusement. Les ravages de l’âge l’avaient tué… Lui aussi.  

La seule chose positive du retour de l’ours, ses que son père mourra dans la seconde ou il a posé le pied sur Zou.

La nuit est courte pour l’ours qui a emprunté la voie de la rage… La nuit lui avait porté conseil.  La première… Il voulait devenir un capitaine accompli...Et il ne tolérerait que les minks dans l’équipage qu’il voulait… Un nom lui vient en tête. Les Déchaîner ? Ouais… C’était un bon nom. Des bêtes de guerres qui mettraient la misère aux gens. La deuxième chose… Toute cette violence l’avait fatigué. Il voulait maintenant une terre loin de toute celle connue… Pour pouvoir y vivre en paix. Il lui rester encore une vie pour accomplir ses deux objectifs.

Le lendemain, il prit le peu d’affaire qui lui restait, une fois au groupement pour partir, il observa les différents minks présents… Un panda qui ne devait pas forcement boire que de l’eau, un singe bien trop distrait et une lapine surexcitée et bien d’autres tous différents les uns des autres... Son aller promettre. Il embarqua de nouveau sur un rafiot sans se retourner de nouveau pour une vie meilleure… L’espérait-il.


The End ~