The Undead - Marshall Master [en cour]

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !



Taille : XXXX
Poids : XXXX
Cheveux : XXXX
Yeux : XXXX




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D’innombrables râles, grognement et menace de mort en fond sonore. Des bruits de pas lourds, des souffles courts. Cours il nous rattrape !! lança un homme à son compère qui devançais tout deux un autre groupe plus imposant.

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Vous voulez mon histoire, bien, la voici :

Bien loin est la cour de la maison de mon enfance. Celle où je fis mes premiers pas sous les yeux de ma bonne tante Mathilda. Née un vingt-neuf février dans un patelin pommé de North Blue, je fus en plus un bébé abandonné dans ces premiers jours de vie. Je fus donc élevée par ma tante Mathilda, qui me recueillit après la disparition volontaire de sa propre sœur, ma mère. En parlant d'elle, il faut dire qu'au passage, je ne l'ai jamais connu. D'elle, je n'ai vue que de vieilles photos. Des photos, qu'au passage, ma tante avait espéré me cacher. Selon elle, c'était soit disant affin que je ne développe un quelconque traumatisme, chose que je n'ai jamais eux, enfin d'autre dirons le contraire. De même, par la même occasion, je n'ai par ailleurs, jamais connu non plus mon père. Ma mère avait tue le secret sur sa personne, elle n'en a jamais parler à quiconque au point de ce demander, s'il existait vraiment. En tout cas, que ça soit l'un ou l'autre, je ne me suis jamais plains de leur absence. Jamais serait vraiment mentir, car c'était le prétexte idéal et facile à la moindre de mes conneries, prétextant que sans mère ou père, j'étais un peu perturbé.

Pour en revenir avec ma naissance, ma venue au monde n'avait pas, du moins au départ, réjoui la famille de ma mère. Et pour cause, elle n'était pas mariée, ce qui faisait un certain tors à sa condition, de plus, prétendant ne pas connaître le nom du père aggrava ces relations avec les siens. Pour couronner le tout, la famille de ma mère spécula de nombreux mois sur l'identité de mon père, affirmant sans doute à tort, qu'il s’agissait d'une personne malfamée ou d'un connard de la pire espèce, ce qu'il devait être. Il fallait bien dire aussi que ma mère fréquentait selon les dires de mes grands-parents, des gens peut recommandable. Des gens qui vinrent à la changer en une personne qu'ils n'avaient alors, pas reconnu de celle qu'ils avaient élevé et côtoyé des années durant.

Ma mère m'abandonna donc quelques jours après ma naissance, me laissant ainsi avec sa sœur qui, elle non plus n'avais jamais eut d'enfant. Le geste de ma mère ne lui donna aucun remords et peut être encore même à l'heure d'aujourd'hui qui sait. Peut-être a-t-elle refait sa vie ou est-elle bien mort, je ne le sais pas et pour tout dire, je m'en fiche complètement depuis des années.

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La horde ce rapprochaient, les deux hommes courraient, fuyant cette même horde enragée qui les poursuivaient. L'un deux était Marshall, l'autre ne mérite même pas qu'on le nomme. Tout deux s'essoufflaient depuis bien quelques centaines de mètres. Marshall, tout en courant, tirait sur la horde du mieux qu'il le pouvait. L'autre lui, venait de recharger son arme et s'apprêtait lui aussi à faire feux. C'est ce qu'il fit.

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Je me souviens encore de ce grand arbre qui régnait sur la rue d'en face. Cet arbre autour duquel, je poursuivais les enfants du quartier plus grand que moi, cela afin que ces derniers daignent jouer avec moi. Malheureusement, je n'étais pas dans les beaux papiers, bien trop différent. Il fallait aussi dire que ma tante n'était pas la meilleurs des voisines, elle traînait des rumeurs peu folichon. J'en ai entendus certaines, mais je n'y ai jamais porte attention, je savais la vérité et ça me suffisais.


Mise à part tout ces histoires, mon enfance et ma vie à proprement parlé, fut pour le moins banal. Une éducation normale, bien que stigmatisé et plutôt exclu par les autres enfants, faisant de moi un solitaire pendant quelques années. Je me fis pourtant de vrais amis, mais seulement au cours de mes années d'adolescent. De bon amis, enfin, si on oublie qu'ils m’ont fait plongé avec eux petit à petit dans les méandre de la drogue. J'avais par ailleurs, suivit une filière plutôt artistique, celle de peintre, mais plus les années passaient, moins j'étais appliqué dans mon travail, n'émergeant alors que sur les coups de treize quatorze heure après des nuits à ce défoncer à avec des substances peu recommandable.

J'étais devenu un problème pour ma tante, ce qui, me fit faire le choix de prendre la route avec mes potes, me permettant aussi, de me défoncer tranquillement loin de ses murs. En tout cas, avec le temps, je compris ainsi que je ne causais plus que des problèmes à ma tante, ça non, car de par ma condition, les problèmes, ne retombaient que sur moi. Les plus importantes étaient les dettes, surtout ceux envers mon revendeur. Cella en devenait dangereux, il m'avait cassé le nez une première fois, tabassé quasiment à mort la seconde, c'était impossible que je lui rendre le moindre kopeck, je n'avais pas le moindre revenu.

C'est alors que je parvins, par la force des choses, à me sortir de la drogue. Réussissant à vendre quelques toiles de ma création, ce n'était serte pas encore assez pour effacer mes problèmes, mais cela m'ouvrit quelques portes. L'une d'entre elle, m’amena à rencontrer et à m'attirer les faveurs d'une charmante demoiselle. Riche et amoureuse, je vins à vire à son crochet pendant quelques années, me mariant même avec elle. Malheureusement quand elle compris par la suite que je l'avais un peu utilisé pour en finir avec mes dettes, elle me mit rapidement à sa porte.

Divorcé, je repris le chemin de '' l'atelier '' et me mit à repeindre pour subvenir à mes besoins. Devenant en parallèle peintre en bâtiment, je fis une nouvelle rencontre qui me fit mettre une nouvelle bague à mon doigt. Cella dura quelques années, mais venant à me faire tromper et à savoir que l'enfant qu'elle attendait n'était pas le mien me fit revenir sur mes vœux. En tout cas, cela ne m'empêcha pas de réitérer le serment en troisième fois avec une autre charmante jeune femme. Elle m'obligea serte devoir m’installer sur son île, mais je l'aimais. Quel con j'ai été, est dire que je me suis marié à une folle, une vrai de vrai, enfin je ne le savais pas à l'époque. Sachez qu'un jour, elle a tué ses propres parents par pur jalousie envers l’attention qu'il portait soit disant plus à sa sœur, qu'elle a aussi tué au passage, mais je me dis que j'aurais pu être dans le lot moi aussi. J'enchaîne vraiment les emmerdes.

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L'autre tira. Marshall s’écroula lourdement sur le sol. Hurlant après quelques seconde, ce tenant le genoux, les mains couvertes de son sang. Pourquoi !! Le groupe d'homme se rapprochait de plus en plus et l'autre ne lui dit que pour réponse, qu'il préférait vivre avec sa mort sur la conscience que mourir à ces côtés.

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Obligé de divorcé, je me retrouvais alors sur cette île que je ne connaissais pas vraiment. Pour couronner le tout, ma vie partit de nouveau en sucette quelques temps après l'arrestation de ma troisième femme. Je vins à tout perdre, incendie de merde, je survie pourtant et vint à rencontrer d'autres gens. Tombant dans le crime banalisé, devenant voleur et escroquer à un âge maintenant avançait, je fus ainsi trahis par l'un de ceux que j'avais pensé être mon ami.

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Cette histoire aurait pu finir ainsi, car je vins à me faire battre à mort par ce groupe de gens enragé que nous venions d'importuné, ou du moins d'avoir raté d'escroqué. Sans comprendre pourquoi, après cette traumatisante fin, je vins à revenir. J'étais vivant, serte en charpie, mais vivant et avec tout ses morceaux de chairs m'appartenant et éparpillés sur le sol, c'est effraie et sans demander mon reste, que j'ai fuis et me suis caché à l’abri des regard. Par chance, mes bourreau ne m'ont pas vue ainsi, étant déjà repartie tout laissant mon corps toujours chaud sur le sol. Je ne compris pas ce qui m'était ainsi arrivé, jusqu'au moment ou je fis le lien avec ces histoires de soit disant fruit dit '' Du démon'' et cette étrange évènement qui, du jour au lendemain, ne me permettait plus de nager dans l'eau comme j'avais l’habitude de faire avant cela. Ce fruit abjecte que j'avais mangé par le passé était-il vraiment un fruit du démon, où étais-je quelqu'un de maudit ? Préfèrent cette histoire de fruit à tout autre chose, je tenta de vivre avec cette nouvelle apparence. Cherchant l'aide de nombreux médecin qui finirent tous pas me claquer la porte au nez, je dus dépassé cette état de loque humaine.

Depuis, et bien, je survis comme je peux. Je suis mort, en décomposition, me badigeonnant de produit pour couvrir les odeurs de mots que je dégage, j'évolue dans ce monde, cherchant à dépassé mon état pour visé plus haut.