Apa R. Temen charpentière interessée

Vous ne voulez pas passer par l'habituelle case des descriptions ? Alors optez pour ce questionnaire !



Taille : 1m80
Poids : 65 kilos
Cheveux : Roux
Yeux : Vert



Habituellement, Apa porte toujours une armure légère, lui permettant de moins se blesser lorsqu'elle construit ou répare des bateaux. Vous pourrez remarquez qu'à cette tenue or et marron s'ajoute toujours un bouclier rond qu'elle garde, la plupart du temps, accrocher dans le dos. Toujours dans un soucis de protection d'elle-même. A ceci s'ajoute une épée longue, son deuxième héritage de sa mère, avec son premier nom de famille : Ragtamentürwysh ( attention ne le prononcer pas Ragtamenturwysh, sinon elle s'énerve), raccourcie par R. pour plus de simplicité.
Cette tenue ajoute un bruit reconnaissable entre mille sur l'île de Toroa. Une suite de coup métalique résonnant comme un marteau frappant sur des clous. Son corps couvert de légères echymoses, son regard parfois glacial et ses fréquents tics : comme taper du pied et des doigts à un rythme agaçant, ne font pas d'elle une des plus populaire fille de la ville d'Ha’Jience. Elle parle peu ou alors pour utiliser l'ironie, rare sont les chanceux à avoir eu droit au même regard qu'elle offre à un bateau qui vient d'être fini.
Car si elle parait si glaciale et distante, c'est qu'elle ne travaille pas. Dans son boulot elle est une forcenée, une battante et on l'entend... Bien trop. Elle ne parle pas, elle hurle des ordres ou murmure au bois, elle frappe les incompétents et caresse un mât, elle méprise ceux qui font des pauses et pleure une carcasse.
Avant de connaitre Lou Hable, puis peu après Kae Kitas, sa famille, plutôt son géniteur et ses demis-frères et demies-soeurs, la surnommait "Mandragore", comme la plante réputée pour sa laideur et sa capacité à hurler.





Rien de plus simple que d’identifier le mental de notre chère charpentière. Il s’agit du profil : MTLKBMMMMM : Moi, la Trije, Lou Hable, Kas Kitas, Bateaux, Moi, Moi, Moi et Moi mais surtout MOI ! Elle est le centre de son monde, les autres gravitent autour d’elle et ils doivent filer droit. Peu de paroles, beaucoup de cris. Un homme ça se dirige à la baguette et à la carotte. Après si la carotte est pourrite ce n’est pas son problème. Les menaces voilà ce qui fonctionne. Mais elle est capable de rester respectueuse, mais pour cela il faut le mériter.

C’est le cas de Lou Hable… Aaah cette douce et magnifique Lou, cette femme qui fut la première à l’accepter telle qu’elle était, cette femme qui a su la faire rire et sourire. Sa vraie patronne, sa vraie amie. Alors qu’elle travaille pour la mafia, elle se rappelle de chaque menu détail de sa première rencontre avec elle, comme elle connait chaque trait de crayon des plans qu’elle dessine.

Parlons un peu plus en détail de sa mémoire. Elle vous dira qu’elle est normale… On vous répondra qu’elle est sélective, quoique élitiste serait mieux. Se souvenir d’un navire ? Check, elle pourra même vous dire le nom de l’arbre à partir duquel il est construit et même la couleur du clou planté à la 27ème place de la cale en partant de la poupe (une couleur différente des autres porte chance selon elle). Sa prochaine mission pour la Trije ? Pfff tellement facile, elle est même capable de vous dire combien de fois Lou Hable a remis ses cheveux derrière l’oreille et combien de fautes de langue a fait Kas Kitas. Se souvenir de vous ?.... Euuuh vous êtes ? Quoi ? Vous vous êtes présenté il y a cinq minutes ? Ben elle a oublié. Comment vous êtes entré ? Vous avez rendez-vous avec elle ? Ah… Peut-être. Elle s’en fiche en fait. Oui, elle n’a pas la mémoire des noms, pas plus que celle des visages. Pour cela elle a toujours un ou deux assistants, assistants que vous identifiez à leur léger collier vert.

Ces colliers sont les résultats de l’utilisation de son fruit du démon, le fruit du dresseur. Donné par Lou dans le but de renforcer la mafia, il est rapidement devenu ce qui rend la Mandragore redoutable : Produisant une fine membrane verte, elle va l’attacher autour du cou des gens qu’elle cible afin de les rendre esclave de ses ordres. C’est beau, c’est simple ! Mais sachez qu’elle a quelques soucis… Selon certains elle entendrais une voix… Mais je vous laisse en discuter avec elle, la voilà.




Inutile. Il se sert à rien, la preuve en est que la Trije se moque de lui depuis bien trop d’années. D’accord, il peut effrayer les simples d’esprits, mais globalement, à part nous offrir des belles tranches de rires… Il ne fait pas grand-chose. Ah si !!! Doux moi-même, j’oubliais. Ils sont nos clients les plus fidèles. Quoi ? De la mafia ? Aaah petit simplet, je parle de l’entreprise de ma famille… Enfin… MON entreprise



Certains sont utiles, d’autres débiles. On peut se servir d’eux comme mouton noir ou pour terroriser un concurrent. Mais il faut savoir s’armer car ils ne respectent aucuns contrats. Ils me font penser à moi… Cela doit être pour ça que je les hais. PERSONNE d’autre que moi ne peut me ressembler.



Aaaah enfin des pi… Pardon, des gens utiles. Entre les infos qu’ils achètent à prix d’or, les rations et armes qu’ils payent vingt fois leur prix… Et les passages secrets au travers des Blues ?! Mais ces gens sont mes amis ! Des amis que je n’hésiterais pas à sacrifier et à torturer au besoin… Mais des amis quand même. Aaah les meilleurs pige… CLIENTS du monde veuillez m’excusez.

Mon histoire ? Ma vie ? Pfff je te la laisse narrateur. Je n’aime pas parler de moi. Quoi ? Que je le fasse quand même ? Bon bon bon…

Tout commence dans la ville portuaire d’Hajience, sur l’île de Toroa. La grande famille Temen est connue comme étant celle qui possède 80% du gigantesque chantier naval, et pour sa tolérance achetable pour la modique somme de 600 000/ berrys par mois des 20% restants. Aaah le sens des affaires, le sens de la famille ! Voilà ce qui compte pour eux ! Voilà pourquoi jamais un membre de la famille sera maltraité, relégué en tant qu’ouvrier sur le chantier…. Quoi ? Moi ? Ah, je ne fais pas partie de la famille. Enfin, si… Enfin non… Euh comment dire ? Ah je sais !!!

Je suis né d’un adultère ! Oui c’est cru, j’aurais pu vous dire « Par une belle soirée, blablabla, Rencontre, blabla, amour, bla, mort et papa accueille fille » … Vous savez que la vie parfois c’est de la merde ? Donc pour résumer : Enfant d’un adultère ! Dixième enfant d’une famille qui ne m’aime pas. Elevée plutôt tranquillement, envoyée sur le chantier en tant qu’employée.  Ma mère ? Disparue en me laissant une épée et un nom. Je crois qu’elle n’aimait pas mon père… Ou l’inverse…

Oui, voilà… C’est simple non ? J’avais… 18 ans à peu de choses près. Non 17 ans !! C’est d’ailleurs ce jour là que je rencontrais Lou Hable. Elle venait de me sauver la vie, empêchant qu’une poutre me tombe sur le coin du crâne. Encore un piège d’un de mes frères. C’est peu de temps après que nous commencions à créer ce qui deviendra rapidement la Trije.
Le père de Lou Hable était connu sur l’île. On le pensait mafieux et mon père se méfiait de cette famille. Pourtant notre amitié restait innocente… Enfin jusqu’à la maladie de ma onzième sœur et de ma belle-mère. Une maladie que Lou m’aida à provoquer en me donnant les plantes qui allaient servir à l’assassinat de celle qui me méprisait le plus. Ne vous ai-je pas dit ? Je suis rancunière… Très rancunière !!! Je hais mes frères et sœurs, ceux qui auront le contrôle de l’entreprise… Enfin… Avaient le contrôle de l’entreprise.

Pour vous expliquer cela je dois vous parler de l’attaque… devrais-je dire la débâcle des pirates du petit capitaine… Merde… Son nom…. Attendez ça va me revenir…. Merde…. Euuuuh…. Appelons-le… Euuuuh… Pirate A !! Voilà c’est plus simple. Donc ce cher Pirate… E !! Oui Pirate B, Pirate B !!!  Venait, avec son équipage, appelons-les les crétins… Donc Pirate C avec les cons, arrivent à l’auberge de Lou. Franchement… Quelle belle bande d’idiots. Ils étaient là à gueuler « Ouais !! Nous on a un fruit de démon et nous on veut le vendre !! Et on va gagner des sous !! On va gagner pleins de trucs !! Et nous ceci ! Et nous cela ! » MAIS VOS GUEULES BANDE DE SAC A **** !! Quoi une censure ? Mais que… Comment ? Des enfants pourraient me lire ? …. JE VAIS TE LES **** AU FOND DU **** CES *** D’ENFANTS DE MES *****

[Le narrateur présente ses excuses pour les dires d’Apa, elle a du mal avec la civilisation]

CIVILISATION MON ***

[Toi tu te tais ! Reste calme !! Tu veux ton fruit non ?]

Ben oui mais si je ne peux pas jurer…

[Soit sage ma petite]

PETITE ? PETITE ? D’OU TU ME TRAITE DE PETITE SAC A VIN ? ON EN PARLE DE TES SOIRÉES PICOLE ?!

[Euuuh non… Tu te tais genre… Vraiment !!! Je vais finir pour toi.]

Tata…

[Mmmh et bien !!! Oui petit aparté : elle a conscience que j’existe, c’est aussi une des raisons pour lesquelles sa famille ne l’aime pas. Bien… Alors cette nuit là Apa et Lou se sont introduites dans les chambres, et les ont tous tués. Récupérant le fruit, Lou l’offrit à notre chère Apa et cette dernière se rendit vite compte qu’il s’agissait du fruit du dresseur. Grâce à ce fruit, elle réussit à prendre le contrôle du chantier naval en offrant un collier fin asservissant sa famille. Des ordres furent donner immédiatement :

- Déclarer ce collier comme représentant de la famille.
- Oublier qu’Apa les contrôle
- Ne jamais dire la vérité sur qui contrôle
- Continuer leur vie.

Dès cet instant la Trije se fit de plus en plus connaître, en effet, les pirates pouvaient se faire enfin ravitailler et protéger en échange d’un surplus. C’est ainsi que vécu la belle Apa, au milieu de son chantier et proche de l’auberge de Lou. Bras droit de la mafia elle se montre d’une efficacité plus que redoutable. Attention à vous donc !!]

J’aurais pu résumer ça en dix mots…

[Vraiment… Ta gueule !]