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 éhéhé

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Soul D. Heiko
Capitaine des Désossés


☠ Messages : 122
☠ Âge du Personnage : 24 ans
☠ Berrys (x1000) : 13383
☠ Localisation RP : Présent-ation !
☠ Fruit du Démon : Hone Hone no Mi
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Soul D. Heiko
Capitaine des Désossés

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MessageSujet: éhéhé   éhéhé EmptyDim 21 Jan - 19:35



Heiko




Prénom et Nom: Soul D. Heiko
Âge : 24 ans
Sexe : Masculin
Avatar : Grimmjow - Bleach
Groupe : FM
Métier : Archéologue
Espèce : Humain
But : Découvrir la vérité sur sa mère et la sortir d'Impel Down.

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Fruit du Démon : Hone Hone no Mi - Fruit des Os
Autres capacités : Ryusoken


Description physique

éhéhé Qsqcc10

On commence par où ? En vrai un mec comme moi ça n’a pas besoin de décrire son physique. Je possède une carrure atypique, je suis musclé mais en même temps je suis pas très imposant. En gros je suis élancé quoi. J’ai des cheveux bleus, ils sont pas mal d’ailleurs. En vrai je pourrais faire une pub pour un shampoing avec mes cheveux, mais au moment où on verrait mon visage et la bouche osseuse que j’avais sur le côté de la joue bah tout le monde éteindrait la télé je crois. J’ai été beaucoup jugé la dessus d’ailleurs. On me voyait comme un monstre, une bête de foire et ça depuis que j’ai mangé le fruit. Ce n’est pas une obligation, je pourrais tellement recouvrir ça et faire comme si j’étais quelqu’un de normal, mais en vrai je m’en foutais d’être différent. Mon maître m’avait appris qu’être différent c’était avant tout une qualité et non pas un défaut donc bon, c’était quelque chose que j’aimais bien maintenant. Le monde me percevait surement comme une abomination de la nature simplement car on voyait l’os de ma bouche clairement, mais moi je savais que j’étais plus humain que n’importe qui et ça, c’était grâce à mon maître. J’ai eu du mal d’ailleurs à ne plus prendre en compte l’avis des gens, mais au final j’ai réussi et ça m’a fait grandir. Car en vrai en début j’étais très complexé par ça, mais maintenant ça va beaucoup mieux.

Pour le reste je possède un corps plutôt bien taillé. Mes muscles sont bien tracés et mes courbes sont magnifique. Ouais j’adore me jeter des fleurs et alors ? Je rêve jamais content ces correcteurs. Enfin bref j’étais aussi assez grand, pas une taille de géant pour un humain normal j’étais assez grand puisque je faisais 1 mètre 98. Un vrai joueur de Baskette moi, le genre de Kobe D. Bryant, le seul joueur de baskette qui contrôle le Haki le l’observation parfaitement. Bah ouais je suis un peu le sport, on se divertie comme on peu que veux-tu. En plus j’ai une grande cicatrice sur l’avant-bras droit, je sais pas d’où ça vient c’était le scientifique qui m’avait gardé qui me l’avait fait. Qu’est-ce que je peux dire d’autre ? En vrai j’ai les yeux bleus, j’ai aussi un regard de flemmard. Tu vois le genre de regard qui fait comprendre à l’autre personne, sans avoir besoin de parler, qu’il faut qu’elle aille chercher la télécommande parce que toi t’iras pas ? Bah ce regard la je l’ai tout le temps ! En vrai je peux pas m’empêcher de regarder le monde comme ça car franchement depuis petit j’en ai vu des vertes et des pas mures, on peut dire que je connais le monde comme ma poche et que surtout le monde me dégoute. Donc moi au lieu de m’énerver et de mal le regarder, bah j’ai la flemme de lui donner de l’intérêt. Logique quoi.

Vestimentairement maintenant c’est ça ? Je sais même pas si ce mot se dit d’ailleurs, mais bon c’est rien on est là nous. En vrai je me change pas beaucoup. Je sais certains vont dire que je suis sale, que je n’ai pas d’argent pour m’acheter des habits et les vannes vont vraiment commencer à fuser, donc je vais être obligé de prendre mon fémur et les frapper avec. Mais enfaite c’est vraiment vrai, je n’ai pas trop d’argent donc comment m’acheter des vêtements ? Surtout que mon pantalon noir, mes chaussures de ville et mon haut blanc c’était plutôt cool comme style quoi. Vous avez déjà vu un franc marin ne pas se cacher avec une capuche ? Bah moi je suis le seul qui fait ça ! En vrai je suis le seul franc marin qui le déclare au monde je crois, car je crains rien ni personne. Je me prends pour le plus fort etc tout ça parce que j’ai un sweet blanc à capuche. Putain je suis si une merde que ça ?




Description mentale

éhéhé Qqww10

« J'suis une étoile parmi les lampes torches, j'suis une fracture parmi les entorses. »

Comment décrire le psyché d’un homme quand celui-ci même n’est pas capable de se résumer en quelques phrases simples ?

L’exemple de l’immaturité, de l’incompréhension des règles mais surtout du rejet de l’ordre c’est lui. Heiko de son prénom, de son surnom mais aussi de son nom puisque personne n’avait eu vent d’une autre appellation. Ce n’était pas pour autant qu’il était discret, loin de là d’ailleurs. Les personnes ayant croisés sa route se demandaient encore comment un homme pouvait faire autant de boucan, c’était une question qui revenait d’ailleurs assez souvent lors des réunions de franc marinerie. Il fallait dire que son incapacité à suivre un plan, mais surtout son problème avec l’ordre et la hiérarchie faisait de lui un homme plutôt instable qui ne pouvait pas faire équipe avec quelqu’un d’autre. C’est pour ça d’ailleurs qu’il était envoyé en mission seul la majorité du temps. Il préférait d’ailleurs être seul que mal accompagné. Il ne respectait d’ailleurs rien ni personne. Pour lui aucune hiérarchie ne comptait, il avait un but en tête et il allait l’accomplir. Rien d’autre ne comptait pour lui et recevoir des ordres par des mecs qui restaient, pour la plupart, derrière des bureaux au lieu de sortir et accomplir des missions risquées n’était pas fait pour lui et il le savait.

« J’suis plus qu’un homme, j’suis un bonhomme. »

Il se considérait comme un bonhomme avant tout. Etre un homme pour lui ne voulait plus rien dire. L’époque et le temps faisait que pour devenir un homme il fallait maintenant être seulement un majeur. Selon le syndicat des blues et l’assemblé patriotique des anciens combattants, la majorité était de 18 ans. Vous en connaissez beaucoup vous des hommes, des vrais, tout juste âgé de 18 ans ? L’âge mentale aussi avait son importance et malgré ses allures de grand con des bois, Heiko était pourtant un homme bien réfléchis. Il savait prendre du recul quand il le fallait et même si dans la plupart du temps ses nerfs contrôlaient le moindre de ses faits et gestes, il pouvait se permettre de dire qu’il était un bonhomme car il faisait partie des rares personnes sur cette terre qui avait assez grandit mentalement pour pouvoir voire le monde comme il était vraiment.

En parlant du monde, il considérait la vie comme un cadeau. Au combat bien-entendu il n’hésitait jamais pour la prendre, mais pour lui un monde où le racisme entre les différentes espèces existe n’était pas un endroit viable. L’homme aux cheveux azurs avait grandi dans une île paumée donc le racisme il connaissait plus que n’importe qui. Il avait mangé son fruit très tôt et n’avait pas eu d’autre choix que de vivre avec une différence physique notoire qu’était sa bouche osseuse. Petit et même maintenant du haut de ses vingt-quatre ans il a toujours été rejeté et était considéré comme un monstre. Pour les personnes qu’il croisait il était une créature des abysses venu parcourir les mers car s’étant échappé des enfers. Ça fait très contes pour enfant je vous l’accorde, mais ça reste néanmoins la vérité.

« J’ai trop la flemme de me plaindre si tu savais putain ! »

C’était peut-être la représentation la plus parfaite de la flemmardise. Il fallait le dire Heiko était un homme que rien n’atteignait. L’esprit entrainé à ne pas subir la pression des évènements, il passait souvent pour quelqu’un de détaché voire flemmard. Avec ce qu’il avait vécu depuis tout jeune on pouvait dire logiquement qu’il était quelqu’un qui n’avait pas froid aux yeux. L’homme aux cheveux d’azur pouvait, peut-être, se vanter d’avoir tout vu. C’est pour ça qu’il ne prenait jamais rien au sérieux, préférant plutôt en rire que de donner une importance particulière à une situation quelconque. Pour lui la vie n’est qu’un cadeau éphémère du tout puissant. Car oui même si comme ça l’homme ne l’avouerait pas, au fond il croyait en une force supérieure qui avait créé les hommes et le monde qui l’entourait. Il n’était par ailleurs pas quelqu’un qui veut purifier le monde et les hommes. Loin de là, il fallait déjà qu’il se purifie lui-même avant de vouloir faire quelque chose pour les autres. C’est pour ça d’ailleurs qu’il n’en parle que rarement, préférant de loin se taire quand un sujet aussi sensible apparaissait devant lui que de donner son avis sur la chose. Pour lui les croyances de chacun se situe dans le cœur de chacun. Obliger quelqu’un à croire en une religion était une chose qu’il détestait profondément.

Que dire sinon de son côté loufoque ? Heiko c’était le mec qui détendait toujours l’atmosphère dans une pièce. Toujours le mot pour rire, c’était le joyeux de la bande. Reconnu parmi tous les francs marins avec sa bouche osseuse, il était aussi reconnu grâce à son caractère unique en son genre. Certains dirons que c’est un homme dont la bipolarité n’était plus à prouver, la vérité entant qu’il est un quelqu’un de plutôt ouvert et sociable. Il préfère de loin rire, faire des blagues et bien s’entendre avec les personnes qui l’entouraient plutôt que de passer sa vie de son côté. Ses blagues à répétition peuvent parfois paraitre lourdes, les francs marins considérant la majorité du temps qu’une prise de parole de l’homme signifiait instantanément un manque de respect, mais la vérité était tout autre. Il préférait donner son avis dans n’importe quelle situation, il s’en foutait de passer pour le méchant de l’histoire. Il avait un but et il se donnait les moyens de l’accomplir après tout. C’est pour ça que d’un autre coté, en situation délicate et en combat il devenait quelqu’un de très sérieux. Perdant presque instantanément son sens de l’humour l’homme aux cheveux azurs se concentrait sur l’analyse des capacités de son adversaire. C’est d’ailleurs la seule facette de sa personnalité qui laissait de côté son humour et sa nonchalance.

Certains dirons que c’est dans les moments durs qu’on voit la vraie personnalité d’un homme. Le monstre qu’il est dans ses combats serait-donc son vrai caractère ?  


Histoire

« Chapitre I : La naissance »

éhéhé Css10

L’histoire d’une femme, d’un bébé, mais avant tout l’histoire d’un enfant devenu homme. L’histoire d’Heiko tout simplement.

Un cri. Une larme. Un sourire. Un bruit.
Ouais bon, je suis né comme une merde. Tu sais genre quand tu né, t’es moche, t’es plein de saleté, d’eau, de tissu de peau morte collé partout sur ton corps. Bah moi c’était dix fois pire en vrai. J’arrivais même pas à pleurer vous vous en rendez compte ? J’avais le cordon de ma mère qui m’avait enroulé la gorge, les médecins avaient dût travailler deux fois plus pour me faire sortir de là sans aucune séquelle. Putain de j’étais moche et chiant, dès le début je foutais une grosse merde c’est pas un signe du tout puissant ça ? Ah oui, j’étais bleu. J’avais raconté que j’étais bleu ou pas ? Pas seulement des cheveux comme aujourd’hui, non. C’était le cordon qui en étant bloqué autour de mon cou, m’avait complétement privé d’oxygène d’où ma couleur bleuâtre. Putain un vrai bébé chiant par excellence qui faisait pas les choses à moitié.

Et vous savez quoi ? J’étais vraiment un gros con avec un caractère de cochon. Je sais c’est pas très halal tout ça, mais c’est la vérité et rien que la vérité votre honneur, je le jure. Enfin bref on va pas se mentir, j’ai eu une naissance plutôt bizarre et surtout une enfance gâché. Je suis pas le genre de mec qui va se plaindre pendant plusieurs heures ni le genre de mec qui adore en parler, mais je vais faire une exception pour cette fois.  Tu sais je suis née dans la merde, mais vraiment, dans la section psychiatrique d’Impel Down. Ma mère fut internée car elle avait eu quelques petits soucis avec la justice de par son comportement qu’on pouvait qualifier de suicidaire. Elle avait mangé un fruit du démon, avait travaillée avec des pirates et était une pirate reconnu sur Grand Line faisant anciennement partie des pirates d'un certains Scarface. Je comprendrais jamais ce type d’ailleurs. Son délire est un mouvement révolutionnaire alors comment il a pu nous sortir un nom comme la franc marinerie pour un mouvement pareil ? Enfin bref ma mère y étais depuis quelques temps et mais le soucis c'est qu'elle y est entrée enceinte.

Donc neuf mois plus tard vous savez qui à sortie sa tête de ses entrailles ? Ouais un schtroumph grincheux avec des cheveux bleus qu’elle appela Heiko, sûrement parce que sa cellule était tellement vide qu’il y avait de l’écho. Franchement accouchée comme ça, seul dans une prison, c’était vraiment quelque chose de difficile et pour ça je respecterais toujours ma mère. Après y’a des choses qui passent pas, on va pas se mentir. Comme le fait qu’elle m’a abandonné directement après, ne voulant pas de moi avec elle. Certains diront que c’était pour éviter que je grandisse dans une cage, d’autre dirons que c’était pour me protéger car en ayant un lien fort avec elle je m’attirerais les foudres du gouvernement, donc elle a préférée me renier quitte à ne plus jamais entendre parler de moi, tant que je serais dehors et elle emprisonnée ça lui allait. Les hypothèses se tiennent, mais il n’en reste que ce ne sont que des hypothèses et non pas la vérité. Tout ce que je sais c’est moi c’est qu’elle m’a lâchement abandonné directement après et on m’a sortie de là en m’envoyant dans une famille de merde d’accueil chez l’ancien commodore d’East Blue, celui avant Eusine Fullnight.

Ce mec c’était un tortionnaire. Un putain de barge pour être plus précis. En y réfléchissant bien j’aurais préféré grandir dans une geôle accompagné d’une mère aimante que d’avoir sur le dos un homme dur, violent et surtout autoritaire comme lui. Tout juste six mois et il me demandait de parler, il voulait pas me donner mon biberon si je disais pas s’il vous plait etc. Car ouais je devais le vouvoyer l’enfoiré. Hein ? Comment ça je suis pas censé me souvenir de la période où j’étais bébé ? Enfin bref on s’en tape. L’essentiel c’est que j’ai grandis comme une merde, chez une merde et avec une merde. C’est tout ce qu’il faut retenir et c’est tout ce qui compte.

« Chapitre II : L'allégorie de la caverne »

J’ai grandi chez cet homme violent, complétement seul avec seulement sa femme et lui comme compagnie. A chaque fois que je faisais une bêtise je me prenais un coup. Ca a commencé avec des claques sur les fesses, ça a rapidement fini avec des gros coup de poing qui me cassait le nez à chaque fois. J’ai eu je ne sais pas combien d’os brisé juste à cause de ce type, en gros j’étais pas heureux. Et ça c’était jusqu’au jour où, alors que j’avais huit ans j’ai décidé de me barrer. Si tu voyais un petit gars de huit ans préparer son sac dans sa chambre et sortir en douce, en pleine nuit avec son sac sur le dos en attachant un drap à son lit pour faire une échelle. J’étais pas lourd, mais j’avais pas assez de force pour descendre sans tomber donc j’ai chuté … Du deuxième étage. Je me suis cassé le tibias & le genou et le mec qui m’avait recueilli en à profiter pour me casser le nez encore une fois car il avait compris que j’avais tenté de fuir. Bah ouais j’étais con, j’ai fait ça sur un coup de tête et je me suis fait enculé après. Salement même.

Ca fait quand même assez mal de vouloir faire le bonhomme, mais c’était dans ma nature je crois. Grande gueule, grosse couille comme on dit. Ouais on dit ça donc ta gueule. Enfin bref, deux ans plus tard j’ai retenté. Cette fois-ci j’ai rien pris avec moi. Agé de 11 ans, je suis sortie avec une grosse doudoune en été, prétextant vouloir aller jouer dehors avec mes copains. C’est pas très bien passé, je me suis fait frapper mais je suis quand même sortie … Sans ma doudoune. Tu me verrais marchant en t-shirt en pleine nuit dans loguetown. J’avais froid, très froid. Mais franchement je préférais mourir de froid que de retourner dans cette maison avec ces merdes qui étaient censés être mes parents. Je préférais souffrir dehors et de loin plutôt que retourner dans cette maison. Enfin ça c’était jusqu’au moment où amarré dans le port de Loguetown je vis un bateau de marchandise sur le point de mettre les voiles. Je connaissais pas sa destination, mais dans la cale du navire il ferait sûrement plus chaud que dehors. Car même si c’était l’été, il faisait plutôt froid la nuit durant l’été, surtout pour un gosse de mon âge. J’ai donc réussi à me faufiler à l’intérieur. J’étais resté caché dans la cale pendant plusieurs jours, me nourrissant de ce que je pouvais trouver dans les cartons présents à l’intérieur. Un navire de marchand avec plein de nourriture dans la cale, c’était une aubaine pour moi ! Enfin j’étais content jusqu’au jour où le navire s’arrêta, trois nuit après et posa l’ancre sur Shimotsuki. C’est là d’ailleurs que je m’étais fait voir par les marchands possédant le navire et que commença le début des problèmes.

« Revient ici espèce de petit merdeux ! »
« Tu m’attrapperas pas ! Nananananèèèèèèèèèèeuuuuh ! »

Ces hommes qui couraient derrière moi, c’était eux les marchands hein. Au fond je comprenais aisément leurs violences dans leurs propos. J’étais pas né de la dernière pluie, loin de là d’ailleurs. Je suis peut-être né dans une caverne, enfin un endroit qui ressemblait à une caverne qui s’avérait être une geôle de prison, mais j’étais pas con. Je pouvais facilement voir le monde comme il était vraiment et avec la violence, la dureté de l’homme qui m’avait recueilli le commodore là, bah j’étais préparé pour affronter le monde. J’étais indestructible mentalement, rien ne pouvait m’atteindre. Bon a onze ans je savais pas, j’étais un petit con qui mangeait encore ses crottes de nez, mais vous avez compris. Enfin bref ce jour-là j’avais pris avec moi un fruit dans une caisse de nourriture avant de me faire poursuivre par les marchands et de leur échappé en me cachant dans une poubelle. Je m’en souviens comme si c’était hier, j’avais choisi ce fruit car il ne ressemblait en aucun cas aux autres. Si à ce moment-là j’avais su que ce fruit allait être le début des emmerdes, je l’aurais vraiment pas mangé croyez-moi. Enfin bref le fruit dans ma main, je me baladais tranquillement sur Shimotsuki après avoir laissé passer l’orage des marchands. Les gens me regardaient bizarre, je savais pas pourquoi. Non pas parce que j'avais un fruit du démon entre les mains, les gens étaient très peu au courant de l'existence des fruits du démon donc non. Ils me regardaient bizarre car j'étais jeune et tout seul. En plus avec ma petite taille je faisais plus que pitié, mais bon. Un petit avec un fruit dans la rue tu connais ? Bah à cette époque c'était moi.

« Eh petit t’es perdu ? »

C’est à ce moment-là que tout avait dérapé. Dès que cet homme avait commencé à me parler, à me retourner le cerveau et à gagner ma confiance, parce que ouais j’avais 11 ans donc donner ma confiance je le faisais à tous les coins de rues on va pas se mentir. Même si franchement avec l’histoire du commodore comme père violent, j’avais du mal à aller vers les gens. Mais une fois qu’on savait me parler, qu’on me mettait en confiance surtout à 11 ans j’étais prêt à tout. Et c’est ce qu’il avait fait, tant mieux pour lui après tout hein. Il me proposa de le suivre dans un endroit plus que magnifique où je pourrais prendre une douche, me réchauffer et manger. Il ne demanda rien d’autre comme condition, il disait qu’il faisait ça de bon cœur. C’était quand même un sacré type au premier coup d’œil, faire ça de bon cœur alors qu’on ne connaissait ni d’êve ni d’adam les gens, fallait avoir un cœur aussi pur que de l’alcool à 90 degré. Ça se dit comme ça non ? Enfin bref moi comme le con que j’étais bah je l’ai suivie. Sur la route il m’a proposé de me porter mon fruit, chose que j’avais accepté évidemment. Moi dès qu’on me parle de bouffe et de douche je suis le premier des imbéciles. Et c’est d’ailleurs pour ça qu’a l’angle d’une rue il m’assommât. Je dis ça parce qu’encore aujourd’hui je me souviens de rien mise à part d’avoir perdu connaissance d’un coup et de m’être réveiller comme une bête dans une cage quelques heures plus tard en compagnie d’autre enfant de mon âge.

J’étais sortie de mon cocon, j’avais fugué de chez moi parce que mon père me battait et je m’étais retrouvé face au monde tel qu’il est vraiment. Je me souviendrais toute ma vie de la phrase de cette fille qui était à côté de moi dans cette cage. Directement elle m’avait regardée et m’avait dit d’un air plutôt flippant d’ailleurs quand j’y repense :

« Bienvenue dans le vrai monde. »

Ouais, j’étais sortie de ma grotte et la lumière m’avait complétement éblouie les yeux.

« Chapitre III : La naissance d'un démon »

Un an plus tard j’étais toujours dans cette cage de merde. Je commençais sérieusement à penser que le restant de ma vie. J’étais déjà né dans une geôle, j’avais grandi dans une caverne imaginaire et maintenant dans une cage. L’homme qui m’avait enlevé était sûrement un brigand, un bandit des montagnes. Shimotsuki était une grande île donc il y avait un tas d’endroit où il pouvait se cacher. Il venait une fois par jour pour nous donner à manger, j’avais très maigri à cette époque. Enfin bref il expérimentait plein de truc bizarre sur nous, il trouvait toujours quelque chose pour passer le temps. C’était un scientifique, encore aujourd’hui je ne connaissais pas son nom. Je me souviens d’un jour il était venu pour enmener une fille, le jour d’après elle était revenu avec une oreilles seulement au lieu de deux et un bandage sur l’œil droit. Et après un an de test en tout genre ce fut mon tour. On va pas se mentir je le sentais bien depuis un moment, je savais que le prochain ça serait moi. Au début il venait me voir de temps en temps pour me prendre du sang et m’injecter une sorte de calmant directement avec une seringue. Je savais que c’était un calmant parce que je dormais directement après qu’il me l’injectait et je me réveillais deux trois jours après, sans souvenir de ce qu’il s’était passé avec ce fou.

Et un matin alors que je dormais encore, il était venu me réveiller en me sortant de là de force. Je dis de force car je me suis débattu vraiment courageusement, mais j’ai rien pu faire. Il avait une force énorme et moi … Bah j’avais que douze ans hein, je pouvais faire quoi face à un gars comme lui ? Il m’allongea directement sur un lit genre lit d’hôpital. On va se dire la vérité, à ce moment-là j’avais mon cœur qui voulait sortir de ma poitrine tellement il battait vite ! J’avais peur, mais genre vraiment. Et j’avais raison d’avoir peur. J’essayais de me sortir de là, mais rien n’y faisait. Il m’avait attaché les mains et les pieds et même en me débattant assez vigoureusement, j’ai rien pu faire. Et alors que je faisais mes prières, que je fermais les yeux pour essayer de ne pas sentir la douleur qui allait sûrement arriver dans les secondes qui allaient suivre … Après un long moment à trembler, pleurer, tenter encore et toujours de me débattre bah rien. J’ouvrais alors doucement les yeux, regardant l’homme en face de moi se retourner vers moi avec une assiette et un fruit. Après quelques secondes de réflexion je reconnu le fruit que j’avais eut en main un an auparavant dans les rues de Shimotsuki.

« Tu vas manger ça hihihihi » S’écria le scientifique fou.
« Sérieusement ? Y’a que ça à faire, faut juste que je le mange ce fruit ? »

Bah quoi ? Enfaite j’étais une vraie pédale moi. J’avais pleuré, je m’étais débattu et tout sans aucune raison ? J’avais le seum au fond de moi on va pas se mentir, mais j’étais aussi rassuré. Enfin bref il m’a tendu le fruit et je l’ai croqué. En plus j’avais trop faim franchement. Je pensais de base que ça allait me faire du bien, mais rien du tout. Il était vraiment dégeulasse en plus le fruit, mais vraiment quoi. Puis après il a commencé à me faire faire une sorte de test. Franchement je ne comprenais rien au début, mais après quelques prises de sang, quelques testes basique il s’est mis à me briser l’os du bras. La douleur qu’était de se briser un os était vraiment énorme. De ma vie je n’avais jamais eu aussi mal … Enfaite si. Je me faisais battre depuis tout petit par le commodore qui m’avait recueilli donc la douleur je connaissais quand même. J’avais l’habitude de souffrir … Mais ce qui me dérangeait le plus c’était de ne pas savoir pourquoi il faisait ça. Non pas que je ne souffrais pas, car si je souffrais énormément. Je me tordais de douleur il fallait que je l’avoue, mais le but de cet homme je ne le comprenais pas … Enfin jusqu’au moment où mon os se remit en place et cicatrisa directement. La douleur disparu en s’éloignant en quelques secondes. Je ne comprenais plus rien. Mes yeux ronds regardaient l’homme en face de moi, ce fichu scientifique de mes couilles. Il venait de me transformer en bête de foire ? Sous le choc et sur le moment on va pas se mentir j’ai perdu connaissance.

Je me suis réveillé quelques temps après dans ma cage. Je me souvenais de ce qu’il s’était passé mais rien d’autre. Les gens me regardaient bizarre comme si j’avais quelque chose sur le visage, je me disais que j’avais sûrement bavé sur moi comme d’habitude quand je dors. Vous savez quand vous ronflez et que vous vous bavez dessus, bah je me disais sur le moment qu’il m’était arrivé peut-être pareil, mais au final non en aucun cas. En tentant de m’essuyer le visage et la bouche j’ai senti un truc dur sur mon visage, comme si c’était … Un os ? J’ai essayé de tirer du plus fort que je pouvais mais ça me faisait souffrir ! La douleur était atroce quand j’essayais de tirer pour l’arracher.

« Heiko … T’as l’os de ta bouche qui se voie clairement comme si t’avais plus de chair à cet endroit … »
« Comment ça l’os de ma bouche ? »
« Bah l’os de ta bouche … T’as pas mal ? »
« Bah non j’ai pas mal putain ! »
« Ah bah bizarre, ça doit être normal alors. »
« Y’A L’OS DE MA BOUCHE QU’EST VISIBLE ET TU TROUVES CA NORMAL TOI ?! »
« Crie pas Heiko il va venir sinon »
« PUTAIN »

Vraiment conne celle-ci. J’étais devenu un monstre mais elle trouvait ça normal. Putain c’est quel genre de fille ça ? Bon je sais qu’on disait qu’a douze ans on savait pas trop reconnaitre ce qui était normal ou non, ça doit être pour ça que de ma vie entière les êtres avec qui j’étais enfermé là-bas étaient les seuls qui ne m’avaient jamais jugé, mais quand même. L’os de la mâchoire se devait d’être invisible sous un tas de chair !

« Chapitre IV : La grande évasion »

« Bon vous avez compris le plan ? J’ai pas besoin de répéter donc ! »
« Chut il arrive ! »
« Me dit pas chut espèce de mocheté sur patte ! »

Bon j’étais pas trop fier de cette discussion, mais si vous voulez comprendre la grande évasion d’Heiko et ses amies de cet enfer fallait bien que je vous raconte tout. Donc bon trois ans plus tard et donc à l’âge de 15 ans je commençais vraiment bien a maitriser mon fruit du démon. Bon j’étais toujours aussi gringalet et sans force physique mais genre je pouvais créer des petits bouts d’os pour jouer avec et faire passer le temps. C’est d’ailleurs pour ça que j’avais décidé avec mon petit groupe de pote, enfin mes codétenu pardon … Quoi ? J’avais envie de faire genre le gros détenu dans une prison de haute sécurité. Enfin bref avec eux on avait réfléchi à un plan du tonnerre qui devait marcher comme sur des roulettes. Je dis devais car franchement il n’y avait eu aucune étape du plan qui avait marché. En vrai même le plan en lui-même n’avait pas marché. Je vous explique le truc. On devait l’attirer en faisant du bruit au début donc la fille qui était dans la cage à côté de la mienne devait faire semblant de souffrir le martyre pour qu’il vienne la voir.

Malheureusement elle a eu beau crier de toutes ses forces il n’avait même pas montrer le bout de son nez, j’ai dû moi-même crocheter la serrure pendant plus d’une heure avec deux petits bouts d’os pour sortir et enfin libérer les autres. Ensuite on devaient tous sortir de là vivant. Mais vu que chacun était aussi con que l’autre bah ça s’est pas passé comme ça. Au final je suis sortie avec la fille et deux autres garçon de mon âge, le reste ils se sont fait attraper par des membres du gouvernement. Comment je le savais ? Simplement car en sortant on a fouillé un peu et dans les dossiers il y avait écrit que l’homme qui menait les expériences sur nous depuis le début était un membre du gouvernement, un scientifique embauché seulement pour tester ses connaissances sur nous. Putain ça me dégoute encore comment ces gens pouvaient faire des choses comme ça seulement pour de l’argent ou une avancée scientifique. Une fois dehors on s’étaient dit qu’on allaient rester ensemble car l’union faisait la force, mais les problèmes nous rattrapèrent toutes et tous rapidement. Bien-sûr que le gouvernement était intelligent et qu’il n’allait pas laisser échapper des enfants qui pouvait faire éclater au grand jour ce qui se passait dans cet planque depuis plusieurs années. Surtout moi avec ma mal formation au niveau du visage et de mes pouvoirs apparu à cause de ce type.  

C’est ainsi que je m’étais retrouvé à courir avec des membres du gouvernement au cul. Je parcourais les ruelles à une vitesse folle. Je ne savais pas trop où aller, j’essayais seulement d’échapper à ces hommes. J’avais quinze ans, je venais de passer plusieurs années dans une cage à subir des expérimentations plus dangereuses les unes que les autres et je savais une chose c’était que je n’y retournerais pas quoi qu’il arrive. M’arrêtant dans une impasse, je savais que j’étais bloqué et pourtant. Le regard noir je savais que j’allais me faire avoir, mais je ne mourrais pas sans combattre. Ce jour la, vraiment, je pensais que j’allais devoir mourir pour pouvoir leur échapper. Ils étaient deux contre moi, un môme de quinze ans. Enfin jusqu’au moment où cet homme arrive et change tout. Cet homme ultra badass et beau gosse. Ce brun ténébreux, ce vieillard plutôt mais qui était brun et ténébreux aussi ne nous mentons pas. Il avait couché les hommes du gouvernement en quelques secondes, seulement avec son style de combat. Le regardant avec des yeux d’enfant, j’étais vraiment abasourdie par ce que je venais de voir. Le mec savait ce qu’il faisait quand même, il venait de coucher deux membres du gouvernement ! Il me regarde ensuite et part sans rien dire. Réfléchissant rapidement, moi en tant qu’enfant apeuré et ayant perdu les autres en chemin en essayant d’esquiver ces hommes du gouvernement, je l’ai suivie jusqu’à chez lui.

« Alors papy tu m’apprends à combattre comme toi ? »
« De grand pouvoir impliquent de grandes responsabilités »
« T’es sérieux là papy ? »
« Tais toi ! »
« Aiiiiiiieuuuuh »

Ouais il venait de me frapper, mais c’est comme ça qu’on à parler pour la première fois. Juste après il m’avait gardé chez lui pour quelque temps. Bon j’avais pas trop le droit de sortir pendant un moment, il préférait que je reste caché. Mais au final quelques mois après j’ai eu le droit de sortir et de me promener. C’est d’ailleurs à ce moment-là, juste après qu’il m’ait dit que j’avais un cœur pur selon lui que l’entrainement commença. C’était dur, intense et plutôt fatiguant, mais d’années en années je sentais mon corps prendre forme avec ce style de combat si particulier : Le Ryusoken.

« Chapitre V : L'entrainement »

En vrai le grand père c’était comme la famille que j’avais jamais eu. J’ai vraiment adoré les cinq ans passés avec lui. Je me rappelle encore d’un entrainement en pleine été, il me faisait tenir debout droit en dessous du soleil. Je ne devais pas bouger d’un pouce. Si je tremblais, bougeait ou même respirer trop fort alors il venait et me frappait. Pour lui la puissance du Ryusoken réside dans le corps de l’utilisateur. Si ce dernier était prêt en tant que machine de guerre, alors il ne lui faudrait rien d’autre pour maitriser cet art. Il faut dire qu’au début j’étais très nul et dissipé. J’écoutais rien, ne faisais rien comme il le voulait et pensait que j’allais me battre comme lui quelques jours après. J’avais vite compris que non et qu’il fallait que je fasse un effort pour arriver à sa maitrise. En vrai j’ai vite compris que même avec un effort considérable j’arriverais pas à sa maitrise en si peu de temps, donc je me suis mis à fond. Les entrainements étaient de plus en plus dur. Je devais frapper dans un arbre avec mes trois doigts en forme de griffe jusqu’à ce que j’en pouvais plus. Je devais aussi courir jusqu’à l’évanouissement total pour travailler mon endurance.

« Tu dois frapper avec tes trois doigts comme si c’était ton poing lui-même. La griffe qu’ils forment n’est que le prolongement de ton bras, il faut que tu la ressentes. »
« Si je mets un gant en forme de griffe ça passe ? »
« Tais-toi et travail ! »

Ouais bon il était pas très drôle ce type. Entrainement encore entrainement. Je voyais doucement mon corps prendre forme en vrai. J’avais plus de force, j’étais plus rapide et j’étais plus résistant. Le vieillard m’avait aussi expliqué que le fruit que l’homme m’avait fait mangé était un fruit du démon. Il avait l’air de s’y connaitre et m’avait expliqué que jamais de ma vie je ne pourrais nager dans l’océan. L’eau de mers m’attirerait complétement au fond, comme une enclume et je mourrais si je tentais le coup. Il m’a d’ailleurs montrer comment contrôler son pouvoir et en même temps que la maitrise du Ryusoken, je tentais de maîtriser mon fruit du démon. Je pouvais durcir mon corps à ma guise et surtout créer des Os pour pouvoir combattre avec. C’était pas mal de pouvoir maitriser mon fruit du démon et surtout d’en apprendre un peu plus sur moi-même. Ca m’avait fait grandir, prendre du recul et réfléchir. Je lui avais tout raconté à ce vieillard, enfin tout ce dont je me souvenais. Ma naissance sur Impel Down, le fait que ma mère était une pirate enfermée depuis pas mal de temps dans cette prison, l’ancien commodore du gouvernement qui m’a recueilli et me frappait, les années passées dans cette cage et surtout la manière dont j’ai mangé mon fruit. Il savait tout de moi, c’était celui en qui j’avais le plus confiance à cette époque. Mais le temps est malsain.

Un jour il tomba très malade. Durant tout mon entrainement d’ailleurs il était de plus en plus malade, mais un jour il tomba vraiment. C’était le jour de mes 21 ans. Dans l’incapacité de bouger et se sentant faiblir, le vieil homme me demanda de partir et de le laisser. Un élève comme moi n’abandonnerait jamais son maître et donc, je suis resté jusqu’au bout, jusqu’à la fin. Faut dire que quand quelqu’un meurt c’était moche, mais j’ai lâché ma petite larmichette. Il m’avait demandé de tenter de retrouver ma famille, mes parents, les vrais cette-fois ci. C’était une chose que j’avais prévu de faire car l’entrainement que j’avais subit n’était pas seulement physique, il était aussi mental. La maitrise de ce style de combat était quelque chose qui englobait les deux, pour moi c’était avant tout une façon de voir le monde qu’un art martial. J’avais pu prendre du recul et réfléchir à ce que je voulais vraiment faire. Je savais rien après tout de ma mère ni pourquoi elle était enfermée sur Impel, je savais même pas si elle y était encore d’ailleurs. J’étais donc motivé à faire quelque chose de ma vie, peut-être affronter le gouvernement pour dire au monde ce qu’il m’avait fait ? Ou la marine pour expliquer au monde qu’un ancien commodore était violent ? Peut-être.

« Chapitre VI : Alfonso »

On me retrouve deux ans plus tard, sur West blue, sur l’île de Ohara pour être plus précis. Les mecs ici on va pas se mentir ils étaient plutôt très intelligent. Je me souviens c’est sur cet île que j’ai été recruter pour faire partie de la franc marinerie par un certain Alfonso. La vérité c’était que depuis la mort de mon maître je n’avais qu’une idée en tête : c’était faire éclater la vérité sur le gouvernement mondial. J’étais la preuve vivante qu’ils faisaient des expériences sur des enfants, j’étais la preuve vivante qu’un ancien commodore était trop violent avec son fils et surtout j’étais la preuve vivante qu’il y avait des conditions de vies infectes dans les murs d’Impel Dawn, la célèbre prison. Donc on va pas se mentir mais depuis la mort de mon sensei je foutais la merde un peu partout. Deux ans d’errance, deux ans de combat. Il m’est même arrivé d’arriver bourrer devant une caserne de la marine et d’éclater les deux gardes qui était stationner à l’avant. Gros thug tu vois, éhé. Enfin bref les Francs-Marins avait une cellule assez développée sur Ohara et j’avais entendu via le bouche à oreille qu’il y avait une planque d’arme du gouvernement et surtout de la thune caché dans la forêt de l’île. Moi en bon suicidaire j’y suis aller tout seul, mais en vrai je pense au jour d’aujourd’hui que c’était une mauvaise idée car je me suis fait enculé dès le premier mec que je devais affronter.

Bon en vrai j’ai eu de la chance parce que les francs marins avaient profité du grabuges que j’avais fait en attaquer de face pour les contourner et les prendre à revers, mais s’ils étaient pas là j’aurais complétement fini en taule en mode codétenu de ma propre mère sur Impel Dawn. Car ouais moi dès qu’on va me choper s’ils me chopent un jour je serais directement emmené à Impel pour me faire taire, je le sais ça. Alors que j’étais au sol complétement et que j’entendais les membres des francs marins crier de joie parce qu’il avait réussi leur mission, un homme s’approcha de moi et m’aida à me relever. Il connaissait mon nom, d’où je venais et savait même qui était ma mère et pourquoi elle était sur Impel. Le mec savait tout de moi quoi et moi, rien du tout de lui sauf qu’il était plutôt moche. Il me donna son nom, Alfonso et me proposa de rejoindre la franc marinerie. Et franchement après avoir vu de quoi ils étaient capables j’ai direct dit oui, surtout que leurs idéaux semblaient être en parfaite adéquation avec les miens donc bon. Combattre l’injustice tout ça, je suis la preuve vivante de l’injuste gouvernemental. Bref c’est comme ça que j’étais devenu Franc Marin.


Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Yaku
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! Ouais




Dernière édition par Heiko le Dim 25 Fév - 2:15, édité 2 fois
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Soul D. Heiko
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MessageSujet: Re: éhéhé   éhéhé EmptySam 24 Fév - 13:18

Terminé, éhéhé. Bonne lecture !
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: éhéhé   éhéhé EmptyMer 7 Mar - 22:29




Validation


Salut monsieur ! Après toute cette attente, je peux enfin passer sur cette fameuse fiche !

Qualité : 400/500


Pour lui aucune hiérarchie ne comptait, il avait un but en tête et il allait l’accomplir. Rien d’autre ne comptait -> répétition du mot « comptait » en l’espace de deux phrases

un homme bien réfléchis -> « réfléchi » parce que c’est un adjectif qui s’accorde avec « un homme » qui est masculin singulier

il faisait partie des rares personnes sur cette terre qui avait assez grandit mentalement pour pouvoir voire le monde comme il était vraiment. -> qui avaient assez grandi (participe passé du verbe grandir se finit toujours en -i) pour voir (du verbe voir)

Pour lui les croyances de chacun se situe
-> se situent (le sujet c’est les croyances)

Certains dirons -> diront (le sujet c’est « certains », donc un « ils »)

quand tu né -> nais (né c’est du participe passé, ici c’est du présent de l’indicatif)

les médecins avaient dût -> dû

une enfance gâché -> gâchée (ça s’accorde avec enfance)

Elle avait mangé un fruit du démon, avait travaillée avec des pirates et était une pirate reconnu sur Grand Line faisant anciennement partie des pirates d'un certains Scarface -> avait travaillé (on n’accorde pas le participe passé avec le sujet quand c’est l’auxiliaire avoir) […] une pirate reconnuE. Il y a aussi trois fois le mot « pirate » dans la même phrase

ma mère y étais -> était

je me suis fait enculé -> enculer (si deux verbes se suivent, le second est à l’infinitif. Au pire, remplace « enculer » par « prendre »)

Enfaite -> en fait (et c’est toujours comme ça que ça s’écrit, alors retiens-le !)

Impel Dawn -> Impel Down !

Bon ! Si ton style est plutôt correct, il y a en revanche pas mal de petites erreurs ! Faut que t’essayes de rectifier tout ça, surtout en te relisant, quitte à le faire à voix haute.

Cohérence : 300/500


on m’a sortie de là en m’envoyant dans une famille de merde d’accueil chez l’ancien commodore d’East Blue, celui avant Eusine Fullnight. -> Sur toute la planète entière, on t’envoie en famille d’accueil chez un haut-gradé de la Marine ? Sacrément chanceux quand même. En principe, avec une mère emprisonnée, t’aurais été envoyé moisir en SDF je pense

Simplement car en sortant on a fouillé un peu et dans les dossiers il y avait écrit que l’homme qui menait les expériences sur nous depuis le début était un membre du gouvernement, un scientifique embauché seulement pour tester ses connaissances sur nous -> Ahlala, cette diabolisation du gouvernement ! Perso, je suis vraiment pas chaud. Si le gouv légitime des expériences sur des enfants, ça se fait vraiment en mode caché, dans des locaux préparés, voire même au QG de l’unité scientifique. Pas comme ça… Et puis d’ailleurs, j’ai du mal à imaginer le gouv faire des expériences sur des enfants, en fait. Mais bon.

Ah, et puis... Comment tu peux être au courant de l'état de ta mère ? Si ton padre adoptif voulait t'aider en t'adoptant (ce que tu aurais pu exploiter peut-être un peu mieux, je trouve, en jouant sur le côté violent mais aimant, à la Garp) il aurait pas mieux fait de te cacher toute cette histoire ? Et d'ailleurs... Impel Down est réputée pour être une prison aux conditions difficiles, donc bon, prouver que les conditions d'existence sont déplorables, ça sera pas grand chose hahaha

Longueur : 200/250


Une histoire de taille correcte, bien découpée en chapitres, avec des dialogues, des objectifs et des explications sur la situation actuelle ! C’est cool ! Par contre… Il est où MON COMBAAAAAT ?! T’as un fruit intéressant, et tu prends même pas la peine de nous le montrer pour de vrai dans un fight ? AAAAAAAARGH !

Originalité : 500/500


Rien à dire de ce côté-là ! Ton histoire est sobre mais marrante, et mini Heiko fait carrément shonenesque ! Bien joué Very Happy
J’aurais pu t’enlever des points pour le côté un peu cliché et semblable à Luffy, mais c’est rattrapé par le coup de la naissance à Impel Down, plutôt intéressant au final !

Mention spéciale au bouffage de fruit, super bien exploité dans le ressenti ! C'était cool Very Happy

Subjectivité : 250/250


Une prez vachement sympathique pour un perso intéressant ! J’ai vraiment hâte de voir ce que tu vas en faire IRP, du coup, de ce pratiquant du Ryusoken boosté au calcium Very Happy

Le FDD et l’art martial sont validés, tu peux foncer dans le monde du rp !

Note finale : 1650 Dorikis

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