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 Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea

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Saoirse Balfour


☠ Messages : 27
☠ Âge du Personnage : 23 ans
☠ Berrys (x1000) : 1055630
☠ Localisation RP : Loguetown - East Blue
☠ Fruit du Démon : Hie Hie no Mi
☠ XP Dorikis : 2075
☠ Notoriété :
Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea Ync90 / 9990 / 999Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea Gubc
☠ Karma :
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Saoirse Balfour

Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea Empty
MessageSujet: Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea   Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea EmptyLun 6 Nov - 4:20



Saoirse Balfour




Prénom et Nom: Saoirse Balfour
Âge : 23 ans
Sexe : Féminin
Avatar : Jigoku no Fobuki • One Punch Man
Groupe : Chasseurs de Prime
Métier : Navigatrice
Espèce : Humaine
But : Vivre

---------------

Fruit du Démon : (sous réserve de validation) Hie Hie no Mi
Autres capacités : (sous réserve de validation) ///


Questionnaire


1. Apparence physique


Taille : 1m64
Poids : 62kg
Cheveux : Noirs, possédant des reflets verts foncé.
Yeux : Pairs, passant habituellement du vert au gris et plus rarement au bleu.


2. Tenue vestimentaire habituelle


Des vêtements légers, qui me tombent sous la main. La vie de voyage ne se prête pas à une garde-robe très fournie. Je ne possède que quelques robes, deux noires et une verte. Une paire de pantalons, une chemise et un imposant manteau de fourrure me suivent également presque partout. Ajoutons-y deux paires de souliers et des sous-vêtements et le portrait est déjà complet.

J’aime généralement, selon l’endroit où je suis, m’acheter des vêtements locaux le temps de mon séjour. Cela me donne l’impression d’être à ma place, de me fondre dans la masse. Les bijoux me plaisent particulièrement, tout comme les accessoires féminins et empreints de classe. Que dire de plus, j’aime me mettre en valeur, ça me rend plus confiante.

3. Motivations


Je suis une femme plutôt simple. J’aime avoir un endroit où dormir à l’abri, de la bonne nourriture à savourer. J’aime prendre du temps pour moi, pour profiter de la vie, et j’aimerais qu’il en soit ainsi le plus longtemps possible. Je me contente de faire mon travail, de chasser les primés pour subvenir à mes besoins primaires. Pourquoi ne pas joindre la Marine, me demandez-vous ? Je préfère être mon propre patron, penser pour moi-même et aller où je veux quand je le décide. Également, romantique dans l’âme, j’espère que cette vie de bohème me guidera vers ma place dans ce monde. J’ose espérer que mes rencontres changeront ma destinée et m’ouvriront un chemin jusque-là inconnu de ma personne. Je m’endors chaque soir en espérant que, quelque part, ma future famille m’attend.

4. Opinion sur le gouvernement mondial


Je préfère généralement leur montrer patte blanche, comme on dit. Je ne souhaite pas m’attirer de problèmes auprès de la Marine, estimant qu’il est plus facile de demeurer dans la légalité. Cela est en partie dû à mon sens de l’éthique et, plus majoritairement, à mon envie de ne pas finir mes jours dans une cellule étouffante. Bien sûr, cela ne signifie pas que je cautionne tous leurs actes ou que j’irais partager une bouteille de rhum avec eux, simplement que je préfère m’en tenir loin. Vivre et laisser vivre, comme on dit. Enfin, c’est ce que moi j’aime me dire.

5. Opinion sur la piraterie


Je leur dois beaucoup et je souhaite que les pirates continuent de prendre la mer par dizaines. Ils sont, après tout, la grande majorité de mon gagne-pain. Après, c’est surtout une question de cas par cas. Les pirates sont tellement variés d’un équipage à un autre, ce serait ridicule de tous les mettre dans le même panier. Certains sont de véritables crapules qui savent s’attirer mon jugement et me dégoûter. Je me montre avec eux sans merci et me fait un plaisir de les mettre remettre aux autorités, non sans leur avoir craché au visage. Dans d’autres cas, néanmoins, il peut m’arriver de respecter leur choix de vie et, même, d’apprécier la compagnie de certains pirates. Puis bon, ce n’est pas de ma faute s’ils m’ont échappé de manière malencontreuse, on ne peut pas toujours faire un sans-faute. J’ai vraiment essayé de les arrêter, juré.

6. Opinion sur la franc-marinerie


Alors là, c’est une toute autre affaire. Certains diront que j’ai une opinion tranchée sur la question, prétendront que je suis bouchée ou que je gagnerais à m’informer davantage. Pour ma part, je me contente de rouler des yeux et de soupirer en ignorant les supporters de ce mouvement que je considère profondément débile. D’accord, le Gouvernement Mondial aurait menti à tout le monde, nous aurait dissimulé une partie de l’histoire ou quelque chose comme ça et notre société est potentiellement basée sur un mensonge. Jusque-là je comprends l’idée. Ça donne envie de se révolter, etc. etc. Mon problème, c’est le manque de vision de ces personnes. Je m’explique.

D’accord, avoir la vérité parfois c’est bien, mais pas toujours. Si la société telle que nous la connaissons est basée sur un mensonge, peut-être est-ce pour une bonne raison ? Si demain matin le Gouvernement Mondial s’effondre, on fait quoi ? Ils y ont pensé, eux, entre deux attentats ? Qui va faire respecter l’ordre et la loi ? Qui va protéger les innocents ? D’accord, on peut dire que la Marine ne fait pas toujours du super boulot, il y a de belles crapules dans leurs rangs, mais au moins ils sont là. Les francs-marins, ils offrent quoi ? Une vérité avec laquelle on pourra bien aller se torcher le cul et puis c’est tout. Il y a des problèmes bien plus importants dans le monde, actuellement, que ce qui s’est passé il y a je ne sais combien de temps. On devrait peut-être se poser un peu moins de questions sur ce qui était avant et agir sur ce qui est maintenant devant nos yeux.



Histoire

« D’accord, j’ai compris, mais je m’en fiche de ça. Ce que je veux savoir, c’est si tu as vu cet homme, c’est tout ! »

Mon index tapota avec véhémence l’affiche posée sur le comptoir, devant moi. Mon irritation était exacerbée par les gouttes d’alcool disséminées sur le bar, lentement absorbées par le papier déjà bruni, quelque part entre deux chiffres de la prime indiquée. Ajoutons-y des yeux qui piquent à cause de la fumée et un mal de jambes causé par une longue journée à talons hauts et le portrait était plutôt complet. Ah, en fait non. Il faut aussi mentionner le refrain de l’autre imbécile qui ne cessait de se répéter, encouragé par d’autres clients. Son rythme de travail était aussi pathétique que sa vitesse de réflexion et je ne pouvais que remarquer les stries laissées par son torchon sur ses verres « propres ». Oui, dès lors que je perds patience, il ne m’en faut pas beaucoup pour être ennuyée.

« J’aimerais bien le rencontrer moi ce… Conte ? Ou c’était un Marquis ? »
« Mais non, c’est un Duc ! »
« T’es sûr de ça ? Je pensais que c’était un Conte… »
« Non non, il a raison. Je le sais, moi ! C’est bien un Duc. »
« De toute façon, la différence au fond, c’est quoi ? »

Je redressai la tête, mes lèvres se pinçant en une moue agacée. Ne pas laisser paraître ma frustration, ne pas m’abaisser à ce niveau. Je suis plus fière que ça. Je ne vais pas leur étamper leur verre dans le front. Je ne vais pas les frapper jusqu’à ce que leur âme sorte de leur corps pour poser directement mes questions à ce qui restera de leurs esprits charcutés.

« Hey, l’affiche. Tu l’as vu ou tu l’as pas vu ? »

Ne m’adressant qu’un rapide regard, le tenancier fit mine de regarder l’avis de recherche que je lui montrais depuis au moins une quinzaine de minutes. Comme si toutes ces âneries n’étaient pas assez insultantes, il se contenta de lever une épaule en signe d’impuissance avant de retourner à sa conversation précédente. Bon, je n’allais rien tirer d’eux. J’avais beau être bornée, je savais reconnaître une perte de temps lorsque j’en voyais une. Je roulai donc mon avis de recherche avec amertume, tournant les talons en rajustant fièrement mon manteau de fourrure. J’aimais en ressentir le contact contre mes doigts. En vérité, si les femmes portent de la fourrure, c’est qu’elles sont trop vieilles pour se trimbaler un ours en peluche, tout simplement.

« Que des conneries tout ça… »

Arrivée dehors, je tournai mon regard vers le ciel nuageux. De la pluie, bien sûr. Il ne manquait que cela pour ajouter au cliché de ma situation. Une chasseuse de prime, seule, sans la moindre attache ou la moindre piste, désespérant sous la pluie. Un portrait tout à fait romantique, poétique. C’est avec cette pensée en tête que je restai immobile, prenant la pose. Je me demandai si quelqu’un allait arriver, me voir et être subjugué par ma sublime beauté. Il y aurait ensuite un échange de regard, un moment bref, et je partirais rapidement sans être rattrapée. Ne resterait plus, dans les pensées de cet inconnu, que le souvenir d’une femme mystérieuse, intrigante. Et j’attendis. Juste un peu plus longtemps. Du coin de l’œil, sans bouger la tête, je tentai de scruter mon environnement. Rien, si ce n’est la pluie. Pffh. Pourquoi ça ne m’arrive jamais à moi ces trucs. Déçue, je quittai les lieux, laissant vagabonder mes pensées au rythme de mes pas. Le monde que nous connaissions, basé sur un mensonge ? Et alors ? Parfois, se débarrasser des menteurs, ça ne règle pas le problème.

***

J’ai toujours eu une imagination débordante. Un goût pour la vie au-delà de l’ordinaire, de la routine et de ce qui est attendu. Un profond désir de fuite m’habitait, me poussant à apprendre la navigation, dans l’espoir d’un jour pouvoir quitter mon île natale. Celle-ci se situe quelque part dans West Blue. Un petit endroit reculé, là où les navires sont rares et où personne ne va jamais. Néanmoins, telle n’était pas la seule justification à mon envie de prendre la mer. En effet, dès ma tendre enfance, j’avais décidé d’emmener avec moi les miens, toute ma petite famille : ma mère, mon père et mon frère aîné. Comme la grande majorité des habitants de notre île, ils travaillaient tous les trois pour un certain Auclair. Ce dernier possédait une large entreprise de mines, procédant à l’extraction de minerais et à leur exportation par bateau. Par conséquent, l’économie de notre petit patelin dépendait d’abord et avant tout des humeurs d’Auclair. Malheureusement, cela impliquait aussi de voir mon père et mon frère rentrer tous les soirs couverts de poussière, toussant et crachant, leur santé se détériorant de jour en jour. Ma mère, elle, avait plus de chance. Navigatrice pour les bateaux d’Auclair, elle était fréquemment en déplacement et ne revenait sur terre que de temps à autre. J’aimais qu’elle soit à la maison, je n’avais pas à cuisiner et elle pouvait m’aiguiller pour la poursuite de mes études. Il lui arrivait même de me ramener des cartes ou autres documents traitant de la navigation. Une année, elle m’offrit un sextant pour mon anniversaire, j’étais si contente.

Au quotidien, cette situation était très pénible. C’est moi qui, trop jeune pour travailler, m’occupait de la maison le matin et le soir, chargée de prendre soin de mon père et de mon frère. Il n’y avait que durant la journée que j’avais du temps pour moi. Je passais donc l’avant-midi à étudier et, en après-midi, allais rejoindre d’autres jeunes habitant près de chez moi. Nous nous réunissions souvent, d’abord pour jouer, puis, avec l’âge, pour discuter de nos envies de partir. Nous savions que, une fois plus vieux, ce serait à notre tour de travailler pour Auclair. Le petit chef de notre bande, Ciarán, avait un an de moins que moi. Néanmoins, il était aussi le plus teigneux, le plus fervent détracteur du maître des mines. Sans cesse, il parlait de rester, de reprendre cette île pour nous-mêmes. Nous étions les jeunes, l’avenir, il n’appartenait qu’à nous de changer les choses. Les autres jeunes étaient un peu mal à l’aise lorsque Ciarán nous partageait ses projets, nous incitaient à la révolte. Non pas qu’ils rejetaient ses idées, simplement personne n’osait faire quoi que ce soit. Personne ne savait quoi faire, de toute façon. Il n’y avait que moi pour essayer de le calmer, esquisser un sourire poli et essayer de le faire patienter juste un peu plus. Mine de rien j’étais inquiète. S’il décidait de faire un coup d’éclat tout seul, qui sait ce qui pourrait lui arriver. Ma position sur ses idées ne changea que plus tard, l’année de mes dix-sept ans.

C’est cette année-là que mon frère est mort. Il avait été longtemps malade et je craignais fortement que mon père soit le prochain à y passer. Affecté par la mort de son aîné, son moral en avait pris un coup. Ma mère, pour sa part, était toujours en déplacement. Elle n’avait même pas pu être présente pour mon frère. Elle ne savait même pas qu’il était parti. Et moi ? Je pleurais en serrant les poings. Ce fut mon tour d’aller trouver Ciarán et de lui proposer l’impensable. Nous devions empêcher l’entreprise d’Auclair de causer plus de tort aux gens de notre île. Voyant la détermination dans mon regard, et probablement heureux qu’on aille enfin dans son sens, mon ami d’enfance acquiesça sans poser de questions. Dans les semaines qui suivirent, je travaillai à me faire embaucher en tant que femme de chambre par le maître des mines. Je serais notre porte d’entrée. Celle qui apprendrait la disposition des lieux et pourrait, malencontreusement, laisser une porte ouverte durant la nuit.

Nous n’étions que deux sur le projet, mais ça devrait suffire. Je fis en sorte que Ciarán puisse s’introduire, ni vu ni connu, dans le vaste manoir d’Auclair. Pendant qu’il irait à la chambre à coucher du vieux maître pour mettre fin à son empire minier, il était convenu que je me rende dans son bureau pour y piller le coffre. Obtenir la combinaison avait été un jeu d’enfant : la mémoire de notre cible faisant défaut, les quelques chiffres avaient été griffonnés sur un bout de papier resté dans ses tiroirs. Je l’avais trouvé, non par hasard, un jour alors que je faisais « le ménage » de fond en comble. Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque j’ouvris enfin le coffre, de découvrir que la fortune d’Auclair se constituait de quelques sacs de Berry et d’un fruit. Je tombai des nues, ne comprenant pas ce qui se trouvait devant moi. Si peu d’argent ? Et pourquoi un fruit ? Ce dernier objet m’intriguait tout particulièrement. Serait-ce une variété très rare ? Ça ne fonctionnait pas, dans ma tête. Mon frère avait perdu la vie en travaillant pour un homme dont le plus précieux trésor n’était… que ça ? Sans y réfléchir, sans doute en un acte de révolte, je décidai d’en prendre une bouchée. Je le regrettai immédiatement, recrachant celle-ci, mais l’amertume dans ma bouche valait le coup. Je remis le fruit à sa place et refermai le coffre. Voilà. On avait mordu dans son précieux fruit. C’était ridicule. Ce n’était rien. Ça ne m’empêchait pas d’espérer que, de là où il était, Auclair en serait furieux. Quelle façon puérile de se venger, n’est-ce pas ? Si j’avais su la vérité, à ce moment-là, je me demande si j’aurais fait la même chose.

J’allai jeter les bourses de Berry par une fenêtre, droit dans les buissons, là où nous les récupérerions plus tard. Puis, après cela, il ne me restait plus qu’à terminer mes tâches du soir et à rentrer chez moi, ni vu ni connu. C’est la femme de chambre du matin qui découvrit le corps rigide d’Auclair. Il ne nous restait plus qu’à attendre en nous faisant discrets. Satisfaits de notre œuvre, nous n’en pouvions plus d’imaginer des scénarios de renouveau, de début plein d’espoir. L’île était débarrassée du maître des mines. Nos familles n’auraient plus à travailler jusqu’à se tuer pour une poignée de pain. Nous étions des héros. C’est ce que nous pensions.

Quelques semaines plus tard, Auclair fils débarqua sur l’île. Ouais. Je sais. Nous avons été très, très cons sur ce coup-là. De tout ce que nous imaginions, ça, ce n’était pas dans la liste des possibles. Certes, l’espoir était toujours permis. Peut-être serait-il plus à l’écoute des besoins de ses travailleurs que son père ? Peut-être aurait-il des idées novatrices pour le développement de l’île ? Mais non. Il était encore plus avare et déclara à tous qu’il fermait la compagnie et quittait l’île en apportant avec lui son patrimoine familial. Selon ses dires, l’entreprise peinait à faire un profit, son père ayant toujours presque tout réinvesti dans la compagnie pour la faire tourner et permettre aux gens de continuer à travailler. Continuer ainsi ne lui apporterait rien et il préférait donc aller faire affaire autre part, là où se trouvaient les berrys. Voilà un dénouement que nous n’avions pas prévu. Du jour au lendemain, la majorité des habitants de notre île se retrouvaient sans emploi et les exportations et importations effectuées par l’entreprise d’Auclair venaient également de prendre fin.

Ce fut le début de la misère, de la famine et de la pauvreté. Les habitants déjà malades avaient moins de ressources que jamais pour espérer se soigner et tous souffraient de cette nouvelle condition. On tenta de lancer un semblant d’agriculture, mais le sol n’y était pas adapté et cela n’avait jamais été un point fort de l’île. Nous n’avions pas le matériel, pas le savoir requis, et les récoltes étaient donc très pauvres. Je pense que vous serez à même de comprendre la culpabilité et le regret qui m’envahirent. Je n’en pouvais plus de voir la douleur et la tristesse sur le visage des gens, jour après jour, étant trop consciente que c’était de notre faute. Sans en informer Ciarán, je choisis d’avouer mes fautes à mes parents. Faute avouée est à moitié pardonnée, bien qu’en ce cas il était trop tard. La nouvelle les surprit autant qu’elle les choqua. Je ne pouvais les en blâmer. Si mon père eut besoin d’aller prendre l’air, ma mère garda son sang-froid et alla me préparer un sac de voyage. Selon elle, je devais quitter les lieux au plus vite avant que l’on apprenne la vérité. Qui sait ce que les gens feraient, s’ils savaient que j’avais participé à la création de leur malheur. Consciente de la véracité de ses propos, mais le cœur brisé, j’acceptai de suivre ses conseils et de quitter l’île. Moi qui n’avais souhaité que ça toute mon enfance, ce départ précipité m’apprit à regretter mes rêves. Si seulement les choses s’étaient passées autrement.



Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Appelez moi Sao'
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Josh Leone
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea   Saoirse Balfour ► A Blizzard at Sea EmptyMar 7 Nov - 0:28




Validation


Salut poupée glaciale ! Je passe donc m'occuper de ta fiche ! J'espère que tu es prête ? Very Happy

Qualité : 500/500


Je me montre avec eux sans merci et me fait un plaisir -> me fais. Je est toujours le sujet.

Hey, l’affiche. Tu l’as vu ou tu l’as pas vu ? -> vue. Le COD c'est l'affiche, et il est placé avant le verbe. Donc le participe passé doit s'accorder avec lui.

C’est moi qui, trop jeune pour travailler, m’occupait de la maison le matin -> m'occupais.

Et voilà, je crois que c'est à peu près tout ! Autant dire que c'est presque totalement parfait ! Ton style est vraiment très très bon, simple, sans complication inutile. Tu vas au but, et c'est exactement ce qu'on demande !

Cohérence : 350/500


Taille : 1m64
Poids : 62kg ?

Petite erreur ici, je crois bien. A vue de nez, je pense que ton personnage est plus mince Razz

Sinon, à part ça, ton histoire est ancrée dans le monde de One Piece et de Jolly Roger, avec des références, quoi que légères, faites à notre univers.

Là où tu perds toutefois des points, c'est sur ce que j'appellerai la "cohérence des capacités martiales". Autrement dit, le fait que le personnage que tu nous décris n'est pas un combattant, et perd donc des dorikis en conséquence. Eh oui !

J'ai aussi un petit souci avec le fait que le patron ait un fruit aussi rare que celui de la glace dans un simple petit coffre. Pourquoi il ne l'aurait pas mangé directement ? Ou revendu ? Le truc vaut quand même plusieurs millions de Berrys, et il décide de ne pas le mettre en réelle sûreté alors qu'il semble être un sacré homme d'affaires.

Longueur : 150/250


Si ton histoire n'est ni longue, ni vraiment corute, elle manque pourtant de détails qui auraient été intéressants. Par exemple, comment tu as réagi en découvrant les pouvoirs de ton fruit ? Ca t'a choquée ? Amusée ? Tu le maîtrises ? Tu en as peur ? Tu sais ce que c'est, au moins ?

Originalité : 400/500


On a ici une belle chasseuse de primes qui, in extenso, a donc refusé de jouer pirate ou marine ! Et ça, ben ça vaut automatiquement des points en originalité.

Ton histoire valait aussi son pesant de points, étant donné qu'elle sort de ce qui se voit habituellement.

Par contre, je regrette un peu le manque de folie de ton histoire. Certes, tu as ce petit dialogue sympa au début, mais je reste avec un goût de pas assez en bouche. Pour moi, et par extension sur Jolly Roger en général, l'univers doit avoir sa part de sérieux mais aussi une part relativement importante faite au côté loufoque de One Piece. Et on n'y a que bien trop peu droit, finalement.

Subjectivité : 250/250


Subjectivement, pourtant, j'ai vraiment adoré ta présentation ! Je l'ai lue d'une traite sans m'arrêter ! Tu as une plume particulièrement agréable, et tu peux être sûre de me compter parmi tes prochains lecteurs.

Note finale : 1650 Dorikis

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