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 God damn, v'là Mojam.

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Dai Kon Ran
Pion de la Franc-Marinerie


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Dai Kon Ran
Pion de la Franc-Marinerie

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MessageSujet: God damn, v'là Mojam.    God damn, v'là Mojam.   EmptyDim 5 Nov - 6:18



Mojam "Coin"




Prénom et Nom: Mojam
Âge : 22
Sexe :
Avatar : Ayato Kirishima - Tokyo Ghoul
Groupe : Franc-marinerie
Métier : Forgeron/Faussaire.
Espèce : Humain
But : Retourner le gouvernement mondial et instaurer une vraie justice

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Fruit du Démon : Aucun
Autres capacités : Art martial "Hastoera"


Description physique

Mojam est un gaillard de taille moyenne peut être un peu petit face à certains géants des mers, il atteint à peine un mètre soixante quinze. Il prit beaucoup de sa mère, expliquant son visage un peu androgyne bien que masculin tout de même. Sa peau est très blanche, il a un teint assez pâle en somme et ne semble pas prendre particulièrement de couleur au soleil sans être pour autant sensible à une longue exposition, sa peau n'est pas du tout sans imperfection, ses mains commencent déjà à être marquées du travail qu'il exerce autant à la forge qu'en maniement d'arme.
Mais en revanche son visage ne semble pas marqué par des signes distinctifs particulier comme des cicatrices, des tatouages ou même des boutons, un visage simple mais aussi unique, son faciès est à la fois reconnaissable mais en même temps a ce don de se fondre dans la foule sans trop de soucis. Aidé par ses cheveux ébènes mi-long qu'il attache parfois de manière à dégager son front et sa vision, ses pupilles qui sont elles aussi d'un noir profond.

La musculature naturellement imposante de son père lui permit de développer une force assez conséquente, ayant une bonne génétique et le tout couplé à ses entraînements et sa manière intensive à pratiquer les activités physiques l'ont forgé solidement.

La force dans ses bras est bien plus impressionnante qu'ils ne le laisse soupçonnés, passer son temps à frapper sur de l'acier avec un marteau énorme et à défier son père dans des combats l'ont forcément récompensé en force physique. Mais son agilité et sa dextérité son probablement ses plus grands atouts, autant équipé d'une arme qu'à mains nus. Il est capable d'escalader avec facilité des arbres, des maisons, des bateaux, des falaises. Son centre de gravité est très bon à cause de la danse il est capable d'acrobatie diverses et variées tout en étant capable d'asséner de violent coup de pieds. La totalité de son corps est musclé lui permettant d'effectuer quelques prouesses acrobatiques, plus simple pour lui au vu de sa taille.

Son visage est loin d'être sans émotions, même si il a un naturellement un visage assez neutre qui tend à rester calme celui-ci reflète tout de même ses émotions allant de la joie à la tristesse et bien d'autre encore.

Souvent vêtu d'habit de couleurs noir eux aussi, il semble apprécier cette couleur ou du moins il semble en apprécier les usages, pour sa discrétion et sa capacité à dissimuler des choses, le noir est une couleurs permettant bien des choses.  



Description mentale

Mojam est une personne extrêmement déterminée, depuis qu'il a décidé d'intégrer les francs marins, rien ne pourra visiblement le faire revenir sur son choix, sûr de faire le bon choix et d'être du côté de la justice. Mojam fait passer sa vision de la justice avant bien des choses. Homme au grand coeur et ne supportant pas les violences inutiles, il n'hésiterait pas à donner de lui même pour sauver des vies qu'il ne connaît même pas.

Durant ses quatre ans d'errance, il n'eu pas vraiment le temps de se faire des amis, juste quelques connaissances, des amicales, des moins.. Mais globalement aucun lien fort. Il était  seul avec un goût amer en songeant à son île et ses parents. Mais soyez sûr d'une chose, son manque de relation social ne fait pas de lui un pauvre homme perdu au milieu d'une horde de prédateur. Il est assez méfiant et ne laisse pas facilement avoir par les premiers arnaqueurs qui traînent, d'autant plus qu'il semble doté d'une chance ou d'un talent presque honteux. Ne le défier jamais à pile ou face ou n'importe quel jeu de ce type, il n'a jamais perdu. Comme si il pouvait décider de ce qui allait tomber, ou plutôt comme si il savait ce qui allait tomber.

Son côté naturellement gentil et pour la paix ne fait pas de lui une personne non menaçante, loin de là. Il a l'acharnement d'un prédateur enragé, il ne relâche jamais sa garde ou sa pression lors d'un combat, il impose un rythme intense autant à lui qu'à son adversaire. C'est une véritable machine à énergie, il semble inépuisable autant moralement que physiquement mais reconnaît toujours une défaite et ne semble pas naturellement attiré par la vantardise.

En revanche le provoqué n'est pas bien compliqué, il répondra pour défendre son honneur, il semble néanmoins difficile à mettre en colère. Remettre en cause ses convictions et à ses yeux la plus grosse insulte possible que l'on puisse faire envers lui et peut être la manière la plus efficace de le faire sortir de ses gonds. Il a décidé de se vouer corps et âme à ses idéaux et qu'une personne remette cela en cause il ne le permet pas.


Histoire



"Tout commence sur une petite île de North Blue du nom de Medans. Sa superficie ne permet pas la construction de quelconques villes et il n'y a aucun port, les navires débarquent par la côte Est, les autres étant rendue inaccessibles par des récifs rocailleux aux pierres tranchantes et pointus qui prendraient un malin plaisir à déchiqueter la coque simple des navires marchands ou de transports qui sillonnent habituellement ces eaux.

Il n'y a qu'un seul village, assez vaste, les habitations sont séparées et possèdent tous de large domaine sauf quelques exceptions qui se contentent de demeure modeste. Ce village possède quelques boutiques, il y a un marchand qui possède divers articles réapprovisionner toutes les deux semaines, il vend peu de nourriture principalement des objets utiles mais, il est possible d'y trouver de quoi manger. C'est un autre magasin qui s'occupe de l'alimentaire, un homme adulte, d'une trentaine d'année. Il cultive une partie des fruits et légumes qu'il vend, la viande est toujours l'importation, il n'y a pas vraiment de bovin ici et pas vraiment de quoi chasser, en revanche il y a du poisson. Ces marchands ne font pas fortune malgré que tous le monde semble s'y rendre au moins une fois par mois. Il faut dire que dans ce village, tous le monde semble posséder ses propres ressources, certains ont un jardin et des animaux, d'autre commande directement dans les navires qui importent et stock en gros chez eux.

C'est le cas de Geb, le père de Mojam.

Geb vie avec sa femme Aoi dans une maison suffisamment grande pour trois, il n'a jamais été un homme attiré par les apparats, rien d'extravagant ou de tape à l'oeil sur et dans sa maison, si ce n'est sa taille, plus petite que certaines du village, mais loin du manque de confort offert par les bicoques un peu miséreuses qu'habitaient certaines personnes en manque d'argent.

Exemple de l'acharnement et de l'astuce, Geb était, jadis un simple forgeron qui sut se forger une réputation grâce à la quantité et la qualité de son travail. Il devient rapidement propriétaire d'une petite échoppe dans laquelle il vendait ses propres articles et son succès fut rapide. Il forgeait tous type d'arme, aucune n'avait la prétention d'aller se frotter avec les plus hautes lames de ce monde, mais leurs qualités suffisantes combiné au prix lié à sa vitesse de travail rendait le tout très attractif.

Gonflé de sa réussite, Geb se lança dans plus gros, il se mit à former des personnes de confiances, notamment son propre frère et un ami de longue date. Il ouvrit alors un second magasin mettant son frère à la tête de celui-ci, sur une autre île c'est cette même année alors qu'il était âgé d'une vingtaine d'année qu'il rencontra Aoi. La future mère de son fils.

Aujourd'hui Geb est propriétaire de plusieurs magasins qui vendent des armes blanches de tous types. Il continue de forger et possède d'ailleurs une petite échoppe à côté de sa maison ou il vend des articles d'une grande qualité, il s'est peu à peu retiré du travail acharné que lui imposait son ancien statut et s'occupe principalement de géré ses affaires, mais dès que le temps lui permet, c'est à dire au moins deux fois par jour, il passe à la forge et continue inlassablement son travail.

Aoi est une femme plutôt spirituel, chose assez étrange vu son mari qui est un homme très terre à terre. Elle est très gentille et calme et surtout très artistique. Originaire d'une île où la danse est omniprésente, elle continue encore aujourd'hui à danser. Malgré qu'elle soit calme, elle garde un fort caractère, sans jamais hausser la voix elle ne pliera jamais l'échine pour autant si on la lance sur un sujet qu'elle défend. Mais elle préfère  garder le silence, ne lançant aucun sujets à disputes ce qui leurs permet de garder un équilibre depuis temps d'année malgré leurs nombreuses différences, la plus notoire étant sûrement leurs tailles.

Geb est un homme grand et bâtit par des années de travail même si sa gourmandise est un peu visible, il atteint sans broncher le mètre quatre-vingts-dix et dispose d'une carrure plutôt imposante, brun aux cheveux courts, son iris brille d'une couleur ambré, il a souvent l'air maussade mais est très accueillant avec les clients, un homme d'affaire avant tout.

Aoi semble minuscule à côté de lui, mesurant tout juste un mètre soixante, elle a une taille fine, les années ne semblent pas avoir d'effet sur elle, pas plus que la grossesse qu'elle a endurée, la danse semble lui faire tenir une forme exceptionnelle. Elle a de longs cheveux noirs et une peau blanche, ses yeux sont aussi d'un ébène plus noir que le charbon, souvent habillée de manière à pouvoir se mouvoir simplement, il n'est pas rare pour autant de la voir vêtu d'une robe et se montrer très raffinée. "


Mes lèvres se pincent légèrement alors que je regarde le ciel étoilé. Tenant entre mes doigts ce cahier de mes mémoires que je rédige depuis quelques temps, depuis mon départ, pour ne pas oublier. Pour affirmer ma décision mais la relecture me le confirme, je n'ai rien oublié, ni leurs visages, ni mon village.. Ni ma décision.

"  15 Février 1395.

Date de naissance de Mojam, un bébé normal, aucun soucis particuliés, selon sa mère il était plutôt silencieux comme nourrisson malgré qu'elle n'ai pas l'expérience d'un précédent enfant. Chacun des parents avaient son idée de l'éducation de l'enfant mais aucun ne voulaient empiéter sur les idées de l'autre ce qui donna lieu à une sorte de double éducation.

Dès son plus jeune âge, Aoi lui contait des histoires extraordinaires et dès qu'il fut en mesure de tenir debout il essayait d'imiter les mouvements de danse les plus plus acrobatiques de sa mère. Son père lui l'entraînait dans la chaleurs de sa forge où il lui apprit les rudiments de son métier.

Mojam sortait peu, ce village était assez particulier, il y régnait une ambiance étrange les gens semblaient tous venir ici pour s'éloigner de la société et Geb préférait les éviter, cela se sentait  et expliquait que la seule personne que Mojam connaisse vraiment dans le village soit Mr. Bucker, Jonas de son prénom, propriétaire de la boutique aux allures de bazars dans laquelle il se rendait parfois avec sa mère pour acheter des babioles.

Aoi méditait beaucoup quand son mari n'était pas là, Mojam se mit à l'imiter très tôt le calme et la concentration que cela lui apportait furent bénéfique dans le métier que lui enseignait son père, il fallait énormément de patience et de concentration pour faire des armes de qualités mais aussi et surtout beaucoup d'entraînement.

Son père avait aussi une sorte de parano, une obsession envers les pirates depuis qu'il s'était fait voler deux cargaisons, impossible de pardonner et surtout impossible de vivre hors de la peur, il avait apprit à se battre dans sa jeunesse et maniait les armes blanches avec une certaine dextérité, loin d'être expert il n'avait pas un niveau de pur amateur et connaissait les mouvements basiques sans avoir pour autant les réflexes liés à un apprentissage sévères, mais c'est pourtant ce genre apprentissage qu'il décida d'imposer plus ou moins à son fils, qui de toute façon n'avait rien d'autre à faire et  fut très vite passionné par les mouvements lui rappelant la danse que lui enseignait sa mère, danse très acrobatique qui était en vérité une danse martial permettant de se défendre et par les armes d'hast qui devinrent la principal source de son entraînement.

Les années s'écoulèrent lentement, la paix de ce village ne semblait pas pouvoir être ébranler, mais la paix du pays elle se mit à trembler alors que Mojam était âgé de dix ans, il avait surpasser son père dans le combat à l'arme, il était devenu très habile et très agile, il ne cessait de danser et était capable de grand prouesse acrobatique comme tenir debout en équilibre sur une jambe sur l'extrémité d'un bâton ou d'un manche d'arme d'hast. Un mystérieux personnage nommé le Duc fit parvenir une lettre ouverte au monde rapidement relayée. S'en suivit plusieurs autres dans lesquels ils dénigraient le gouvernement mondial prétendant que ses dirigeants étaient et sont des usurpateurs ayant créer le gouvernement mondial sur un mensonge et qu'ils auraient pour cela effacer un siècle entier de l'histoire. Geb se braqua, ces informations ne lui plaisaient pas, pour lui la marine et le gouvernement mondial protégeait et protège le peuple des pirates et ce Duc n'est qu'un menteur en recherche d'attention ou pire un pirate prêt à tout pour semer le chaos.

Mojam ne savait guère quoi penser de tous cela, il ne s'était  jamais intéressé à toute ces histoires politiques et même au monde en général, vivant depuis toujours ici avec sa famille, condamné à reprendre le marché de son père. Il ne rêvait de rien, il ne savait guère ce qu'il y avait plus loin, si ce n'est quelques voyages en bateau pour aller en ville, il n'avait jamais vu de pavillon noir ni de pirate mais il avait en revanche été témoin de l'inégalité sociale qui existe. Et ce Duc parlait d'esclavage et bien d'autre chose. Était-ce vrai ? Le garçon n'en savait rien et il n'avait pas de quoi faire ses recherches, les seuls livres que possédait sa mère ne traitait pas de ce genre de sujet. Alors il vivait dans la frustration du manque d'information, et sous un constant doute imposé par son père. Après tout, il avait peut être raison ?

Mais l'année qui suivit vint chambouler la vie de cette petite famille. Cela faisait déjà quelques mois que Mojam avait fêté ses dix-huit-ans son père parlait de le mettre à l'oeuvre dans un magasin en ville, sa mère acquiesçait,mais elle savait au fond d'elle que son fils avait d'autres désirs pour sa vie, désirs qu'il ne connaissait pas encore mais qu'elle avait pus sentir en lui, elle ne voyait pas son fils finir forgeron comme son père, il avait l'âme bien trop aventureuse et une trop bonne réception aux choses invisibles.

Dans le courant du mois de Septembre, vers 18h trois coups retentirent à la porte de leurs maison, ce n'était pas quelque chose d'habituel sans être particulièrement étrange, Geb se trouvait dans la forge avec Mojam et c'est tout naturellement que Aoi partit ouvrir la porte un peu intriguée. Lorsqu'elle fut ouverte, la femme d'une quarantaine d'année se retrouva figée de surprise et de stupéfaction car face à elle se tenait un immense personnage aux allures de béliers, il avait la tête de l'animal, les oreilles de l'animal et même les cornes mais se tenait debout comme un être humain et son corps possédait nombreux attributs physique semblable à ceux d'un homme. Pendant un instant elle voulut crier de panique, surtout face aux trois mètre de la créature. Mais elle se contint ne pouvant retenir un pas de recul elle fixait depuis son mètre soixante le visage du Mink comme elle pouvait, muette de surprise.

- Je m'appel Alfonsio Parmeggiano, vous devez être Aoi je suppose ? Je désirerais parlez avec Geb, dans la mesure du possible, s'il vous plaît, cot-cot..

Il gardait un air très sérieux et très poli.. Mais la fin de sa phrase provoqua une incompréhension lisible chez la seule femme de la maison. il était à vrai dire assez dur de comprendre le sens de l'utilisation d'un tel mot ici même. Mais outrepassant cette énième bizarrerie elle sourit et ouvrit la porte en grand se décalant sur le côté en même temps pour laisser la place à l'inconnu.

- Je vous en prie, entrez, je vais chercher mon mari.

Le dénommé Alfonsio la remercia d'un hochement de tête et entra dans la bâtisse, se baissant comme il dut pour passer sous la porte, à l'intérieur il pouvait se tenir debout, la maison était plutôt grande, l'entrée ouverte sur un espace de vie sans porte dans lequel étaient disposé cuisine, salon et salle à manger. Des escaliers menaient à l'étage et un couloirs reculait dans les profondeurs de la maison, couleurs qu'emprunta Aoi après avoir constaté qu'Alfonsio se soit bien installé et que celui-ci ai poliment refusé la proposition de boisson.

Geb était dans la forge avec Mojam, les deux travaillaient des armes, un sabre pour Geb et une hache pour Mojam, des produits qu'ils revendaient. En entrant dans la forge, une forte odeur de souffre et un puissant souffle de chaleurs s'échappèrent de la porte d'entrée, la chaleurs à l'intérieur était élevé malgré les cheminées des fours et l'aération bien étudiée cet endroit restait une fournaise. Aoi laissait la porte ouverte derrière elle et en quelques pas rejoint son mari, sa présence fit cesser tout le boucan des marteaux et du métal seul le feu continuait de crépiter avec ferveur.

- Geb, il y a quelqu'un qui désire te voir dans le salon, un certain Alfonsio. Il est un peu étrange.

Les sourcils de Geb se froncèrent, il n'aime pas être dérangé pour des raisons étranges et le début de cette histoire commençait mal.

- Comment ça, étrange ?

- Vois par toi même.

Mojam observait la scène un peu à l'écart, il ne savait pas trop comment réagir ni quoi dire mais se contentait de suivre le mouvement imposé par sa mère qui retournait en direction de la maison en jetant derrière lui sa paire de gant sur l'atelier.

Lorsque la famille arriva ensemble dans le salon, le père et le fils eurent la même réaction d'étonnement, effectivement il était étrange et incroyablement grand même assis cela se remarquait et que pouvait bien vouloir une tel personne ? Geb s'avançait en premier alors que son regard croisait celui de l'inconnu qui se relevait par politesse, ce fut la première fois que Geb se sentit petit, ils s'échangèrent une poignée de main alors que l'invité prenait la parole.

- Bonsoir, je suis Alfonsio, ravis de faire votre connaissance Mr. Rington ainsi que celle de votre famille Cot-cot.

Le regard de l'homme glissa et dévia jusqu'à celui Mojam qui lui rendit la pareil avec la difficulté inclut par la différence de taille sans pour autant répliquer quoi que ce soit vocalement. Geb, en revanche lui était méfiant et ne cherchait pas à le cacher.

- Bonsoir Alfonsio, j'imagine que vous connaissez déjà mon prénom dans ce cas, asseyez-vous et passons donc à la raison de votre venue sans plus tarder.

Il parlait sur un ton sec sans être provocateur ou même insultant, mais il était chez lui et asseoir son autoritée sous son toit était une de ses habitudes.  Surtout qu'il n'aimait guère la personne en face de lui, cela se ressentait dans l'atmosphère, sûrement était-il trop différent, ou peut être Geb avait il eu un pressentiment.

Alfonsio lui se contenta d'acquiescer sans plus chercher, en s'asseyant il commençait à parler.

- Bien, si je suis ici, c'est pour vous parlez de la Franc-Marinerie et de notre but Cot-cot.

Il marqua un silence qui fut partagé, tous le monde l'écoutait et personne ne disait rien mais la tension augmentait du côté de Geb, toute ces ressentes histoires et soudain cette organisation.

- Nous avons pour but de rétablir la vérité en trouvant les ponéglyphes, cela va être dur à croire mais nous sommes persuadés que le Duc dit vrai, nous pourrions renverser le gouv..

- Sortez de chez-moi.

Le ton était sec, le message clair. Alfonsio se tut, il se releva et acquiesça simplement.

- Nous aurions été ravis de vous compter parmi nous cot-cot.

Geb se redressait à son tour, son regard était emplis de dédain, une colère étrange qui était palpable jusqu'à l'autre bout de la pièce où se trouvait Mojam et sa mère. Mojam lui était intrigué, la réaction de son père ne l'étonnait pas mais il était passionné par ces histoires de franc marins, il n'avait connu aucun rebondissement dans sa vie et eux prétendaient que le gouvernement mis en place mentait, qu'il avait caché plus d'un siècle d'histoire et qu'il fallait trouver d'étrange écriture disposées à travers le globe pour rétablir la vérité. L'espace d'un instant, la lueur de l'espoir, la lueur du doute ou l'appel de l'aventure brilla dans les yeux de Mojam, et si il disait vrai ? Ne serait-ce pas là, son devoir de rétablir la vérité et la justice ? Peut être que son espoir fut puissant ou peut être est-ce une simple coïncidence mais à ce moment précis, Alfonsio lui jeta un bref regard, accommodé d'un micro rictus avant de prendre la porte et de repartir.

Cette discussion jetait un froid dans la maison, Geb ne retournait pas à la forge mais partit pester dans un coin seul à l'étage. A peine il fut partit que Mojam se rua vers l'extérieur, il devait rattraper cette étrange personne mais impossible de le retrouver. Rentrant, déçus, quelques minutes plus tard il s'affalait dans un fauteuil proche de sa mère, regardant le plafond d'un air distrait tandis que Aoi semblait être encore une fois dans une de ses méditations sur un des fauteuils du salon. Il passait un instant comme ça à regarder le plafond en ruminant ses questions sur le gouvernement mondial jusqu'à ce qu'il soit tirer de ses interrogations par la voix de sa mère.

- Qu'est-ce qui te tracasse ?

Ses yeux roulèrent jusqu'à ceux sa mère, il les relevaient au ciel un court instant comme l'espace d'une courte réflexion avant de replonger son regard dans celui de sa mère qui cherchait le sien.

- Ces histoires de Duc de Franc Marinerie, ça m'intrigue.. Est-ce vrai que le monde est aussi inégale ? Qu'un siècle à disparus de l'histoire ? Je veux dire si c'est le cas c'est affreux. il faut faire quelque chose.. Non ?

Il était déterminé mais en même temps perdu il ne pouvait s'engager corps et âme pour un objectif qui n'était peut être pas véritable. Après tout son père avait toujours protégé le gouvernement mondial et ses choix. Il faut dire que les marines tiennent les pirates éloignés de nos îles et qu'ici malgré qu'il n'y ai aucun poste le calme règne. Alors il ne savait plus qui croire quoi écouter.

Dans un premier temps, sa mère garda le silence tout en fouillant dans sa poche, elle en ressortit une petit pièce de monnaie de loin elle semblait tout à fait normal, mais en y regardant de plus près, le dessin dessus était différent, il n'y avait aucun chiffre écrit sur quelconques faces simplement deux gravures en reliefs, sur la première était visible un oeil ouvert il semblait entourer d'une forte lumière, sur l'autre face un oeil fermé mais au dessus de lui était gravé deux arc de cercles verticales formant une sorte de fente."  


Ma main libre s'enfonce dans la poche de ma veste, lentement j'en retire une pièce brillante, comme neuve, tenut entre mon pouce et mon index. J'observe l'oeil ouvert qui semble me fixer lorsque je le place en face de moi, puis je fais tourner la pièce pour observer l'autre côté, l'oeil fermé et cette fente au dessus, je ne pense pas avoir spécialement de réponse à ce symbole mais je tiens suffisamment à cet objet pour me battre pour. Je cesse mon observation et range la pièce là où elle était avant de reposer mes yeux sur les lignes du cahier.

"D'un geste ample et précis elle envoyait la pièce à son fils qui la réceptionnait un peu étonné. Alors qu'il se mit à l'observer suite à l'indication du regard que lui fit sa mère, celle-ci commença à prendre la parole.

- La face que tu vois, c'est pile, celle avec l'oeil ouvert. L'autre, donc celle avec l'oeil fermé, c'est face.

Au moment où elle disait cela, Mojam retournait la pièce pour observer l'autre face.

- Le principe est simple, tu peux faire ça tout seul ou jouer avec quelqu'un, tu choisis pile ou face, tu lance la pièce de manière à la faire tourner et tu regarde sur lequel des deux elle est retombée. Un exemple, Pile tu garde la pièce, face je reprends la pièce.

Mojam ne comprenait pas vraiment l'opération, ni même le but mais il avait toujours apprécié ce genre de petit jeu après tout il devait gagner et ce même si cela répondait du hasard. «Qu'est-ce que le hasard hein ?» fussent les dernières pensées de Mojam avant qu'il ne lance la pièce à l'aide de son pouce. Celle-ci se mit à tournoyer, Mojam très serein ne pensait qu'à une chose, pile. La pièce se mit à retomber très rapidement d'un geste de la main il l'attrapait et vint plaquer la paume de sa main contenant la pièce contre la face extérieur de son autre main. Mojam et sa mère avait leur regard braqué sur la pièce, lentement il commençait à bouger sa main soulevant délicatement sa paume pour révéler la pièce, Aoi eu un mouvement de recul alors que la pièce se révélait entièrement pour dévoiler l'oeil ouvert signifiant la victoire de Mojam. Automatiquement, il lança un regard vers sa mère Mojam gagnait toujours à ce genre de jeu mais celui-ci elle venait de lui apprendre. Pourquoi maintenant ? Il voulut aussi s'assurer que la défaite était prévut pour sa mère, et effectivement elle accueillait celle-ci avec un sourire trop naturel en félicitant son fils.

- Désormais, si tu as une question pose la à la pièce.

Elle lui faisait un clin d'oeil avant de s'éclipser avec grâce et discrétion, lui il poussait un léger soupire en récupérant la pièce, pourquoi tous le monde était-il si étrange dans sa famille ? Bon, il n'était pas mieux après brève réflexion. Assit il fixait la pièce dans la paume de sa main et pensait aux paroles de sa mère c'était un peu stupide mais pourquoi pas ? Fallait-il le tester ? D'un côté il le voulait bien mais d'un autre il trouvait la démarche un peu stupide, ce genre de chose marche que quand on y croit, le tester revient à remettre en cause notre foi en ces choses alors que c'est là l'essence même de l'idée de ce jeu, autant dire que le testé revint à supprimer la règle qui assure la fonctionnalité du produit.

Venant à bout de son interrogation, il restait alors la question, le simple serait de demandé si ce que dise les francs marins et vrai ou tout autre chose, mais ce n'est pas jouer, on ne fait que poser une question, il faut jouer c'est ça le secret pour obtenir réussite. C'est ainsi que Mojam se retrouva à jouer avec comme enjeu.

- Pile je pars, face je reste.

Il prononçait cela à voix basse, son regard fixé sur la pièce coincée entre son index et son pouce prêt à l'envoyer tourner dans les airs. À l'étage il entendait des bruits de pas, sûrement son père, ce serait la dernière fois qu'il le verrait. Le pauvre, son fils partant pour une cause qu'il ne défend pas quel honte sur son nom. Où peut être comprendrait-il ?Qui sait ? Au fond peu importe le sort n'était pas encore décidé. Il relâcha la pression sur son pouce, envoyant la pièce tournoyer dans les airs. Une fois de plus, il la rattrapait et vint l'écraser contre la partie supérieur de sa main gauche pour révéler : Pile. Drôle de coïncidence ? Cette idée lui traversait l'esprit, il songeait à relancer, mais ce serait idiot il faut dire que c'est sûrement le stresse de partir qui lui fit avoir cette pensée. Après tout il n'avait songer à cela que quelques fois sans vraiment y réfléchir pourquoi partir ? Pour l'aventure ? Oui pourquoi pas mais cela ne fut jamais assez motivant, la gloire, la fortune ne l'ont jamais motivé, mais pour une cause, c'était différent. Et désormais il était trop tard pour reculer du moins à ses yeux. Alors il rangeait sobrement la pièce dans sa poche et attendit l'heure du couchée pour préparer sa grande recherche de vérité.

C'était aujourd'hui, le départ des navires d'import export, souvent il reste au port une nuit pour que les marins se reposent, certains plus courageux repartent directement mais il y a un bon nombre qui dort ici la nuit enfin selon ce qu'il entend. Son plan est simple, voler une arme dans la collection de son père, il sait déjà laquelle, Justice, cette lame forgé par son père qu'il estime lui même comme la plus belle réussite de sa collection d'Hast et comme le reflet de sa vision de la justice. En secret, Mojam s'entraînait à la manier chérissant l'espoir que son père la lui donne un jour mais il savait bien cette cause peine perdu. Alors pourquoi lui voler ? C'était peut être sa façon de lui dire au revoir et de lui rendre hommage, il pensait trouver une cause juste et en le faisant armé de l'arme qui représente pour son père la justice il voulait honorer sa pensée en permettant peut être de changer les choses.

La nuit était avancé lorsqu'il s'extirpait de sa chambre, avec lui il embarquait de l'argent celle de la vente d'arme qu'il effectue depuis maintenant quelques années avec son père. Sans aucun soucis il parvint à subtiliser Justice et a décamper. À l'attention de sa mère, il laissait une pièce de monnaie du côté pile sur le fauteuil où il avait prit sa décision de partir sans savoir si le message serait comprit. Quelques Berrys en poche il courut à travers la nuit sans lanterne pour s'éclairer le bruit des pièces dans ses poches s'entrechoquait l'arme d'hast était solidement attaché dans son dos avec une sorte de harnais prévu pour et elle ne le gênait pas du tout dans sa course. En quelques minutes d'acrobaties et raccourcis en tout genre malgré son arme supposément gênante il parvint jusqu'à l'endroit où accostait le peu de bateau qui venait. Sur le rivage apparut alors une grande embarcation de transports marchands, peu d'homme là dedans même si il faut un personnel suffisamment nombreux pour gérer le bateau, le navire de transport civil est déjà repartit à cette heure là. C'est sans aucune hésitation qu'il sautait à l'intérieur en tant que passager clandestin et vint se caler derrière des sacs de farine, son arme caché non loin et attendit le lendemain matin.

C'est vers six heures que les premières activités avaient commencés dans le bateau mais le voyage se passa néanmoins sans encombre, il ne croisa aucun membre d'équipage et n'entendit que quelques bruits de pas et bribes de conversation,  sans aucun problème il put piquer quelques denrées laissant quelques berrys en échange adaptant la somme à son bon vouloir.

Il eut le temps de dormir trois fois, en prenant en compte l'heure à laquelle il avait embarqué et son temps passé à ne presque rien faire, cela devait s'étendre sur environ deux jours de voyage pour qu'enfin le bateau accoste dans un port. A peine il entendit la nouvelle qu'il trouva une porte de sortie et parvint à s'extirper avec la même discrétion avec laquelle il était entré. Il était désormais dans une grande ville, le soleil commençait à être haut, il devait être onze heure. Son arme attirait quelques regards mais personne ne l'interrogeait il n'était pas si rare de voir des gens armés de nos jours. Aujourd'hui, il se rend compte qu'il cherche un homme qu'il ne connaît pas dans un monde vaste. "


La suite n'est pas lisible, raturé grossièrement par plusieurs coups de stylo. Je me souviens bien ce moment, seul au milieu d'un endroit inconnu armé mais perdu. J'ai perdu mon sang froid et ai raturé le cahier frénétiquement avant soupirer longuement et de le glisser à l'intérieur de ma veste. Je n'écris plus aussi souvent depuis ce jour, il m'avait fallut au moins deux semaines pour réécrire dans le cahier, deux semaines à essayé de me débrouiller pour survivre trouver des informations, deux semaines d'échecs. Mes économies s'envolaient déjà et chaque boutique où je voyais une arme portant l'insigne de mon père me déprimait encore plus.  Des journées vides passé à chercher mais rien, rien n'apparaissait sous mes yeux, rien ne voulait m'aider dans ma quête. Tournant une page du cahier je me replongeais dans la lecture l'écriture se faisait plus brève.

"Cela fait déjà quelques temps que je parcours la ville et je ne trouve rien d'intéressant je vais partir, il faut que je le retrouve."

Plutôt bref comme phrase mais au moins elle explique la situation, je ris légèrement en relisant cette phrase, cela remonte à quatre ans je me remémore amusé ma panique mais aussi ma détermination et cette soudaine envie de changer rédigeant soudainement plus intimant ce journal et non plus comme une histoire fictive.

"J'ai réussis à me faire engager comme mousse sur un bateau le temps de la traversée n'ayant pas d'argent pour la payer, je serais en plus rémunéré ça me soulagera un peu et m'assurera au moins de manger le temps de la traversée et un peu après. Je me dirige vers une île, j'espère avoir plus de réussite là-bas.  

Le temps s'écoulait ainsi de nombreuses semaines, parfois rien n'était écrit, parfois raturé, barré et quelques écrits subsistaient. Mais pour faire simple, les deux premières années de recherche se sont soldé par un échec cuisant, plus de rencontre avec des tordus et des pirates en revanche. Mais je fit quelques rencontre qui m'apportèrent des témoignages intriguant, certains disait que les nobles esclavageaient des êtres humains. De l'esclavage de nos jours ? Je ne savais quoi en penser mais si cela était vrai alors c'était une horrible nouvelle qui donnait une raison supplémentaire à ma motivation.

Malgré mon échec pour les contacter la franc-marinerie se faisait de plus en plus importante et influente, plus recherché encore que les pirates, cela était à mes yeux une preuve que leur but avait une part de vérité, pour certains ce n'était que des pirates évoluant sous un autre nom, des terroristes.

Je me souviens bien de cette année, tout le monde s'en souvient, 1415 j'avais vingt ans à l'époque. Les francs marins parviennent à défaire trois capitaine corsaires au cours d'une bataille et l'amiral en chef de la marine et violemment tuer par un empereur pirate. Le gouvernement mondial tremble, le monde tremble. Je me souviens avoir été comme tous le monde choqué par les nouvelles, mais j'avais en même temps ce sentiment que les choses allaient changer et que le moment était venu.  

"Cela faisait bientôt trois années que je voyage, j'entends souvent parler de franc marin mais la plupart sont des arnaques ou des hommes un peu trop alcoolisé pour dire quoi que ce soit de clair. Mais je ne perds pas espoir, je parviendrai à les trouver. Je suis depuis quelques semaines une piste sur cet homme bélier, je l'ai vu sur des affiches de recherche, il est hautement recherché, mais le problème est que mes recherches m'ont menés à la conclusion,
qu'apparemment, il se déplacerait partout autour du monde à l'aide d'un appareil pour voler. Honnêtement j'ai du mal à y croire mais si c'est vrai cela ne facilitera pas ma tâche.


Cela fait maintenant quelques temps que j'essaye de déchiffrer les messages codés du Duc mais pour l'instant rien à faire, ça reste incompréhensible, les francs marins doivent forcément savoir quelques choses là dessus. Plus je voyage, plus je me rends compte que le monde est dur, j'ai croisé des gens avec des histoires extraordinaires et des personnes que le gouvernement mondial n'aide pas, ce n'est pas normal, je ne veux pas rester plus longtemps spectateurs de leurs misères, mais la violence usée par les francs marins n'est elle pas excessive ? Je ne sais pas vraiment. La vie semble empreinte de violence après tout et si nous ne le sommes eux le sont. Et ces ponéglyphes. Plus je me rapproche de ça, plus j'entends parler d'histoire de personne disparaissant mystérieusement probablement assassiné par le gouvernement mondial pour cacher ce fameux du siècle. Du moins ce sont les théories les plus concluantes et les plus logiques. Mais il m'est impossible pour l'instant d'en avoir le coeur net."


Je relisais ses phrases avec un certains amusement, aujourd'hui je crois que nous touchons bon, je survole les quelques pages du cahier restantes, remplis de griffonnage de théorie rature et quelques écritures et m'arrête à la dernière phrase que je lis

" J'ai beaucoup de mal à réunir les bouts manquants, la solitude commence à peser, j'ai vraiment l'impression de tourner en rond, c'est l'impasse mais je ne perds pas espoirs, enfin je crois.. Le cahier est remplis de toute façon alors finissons simplement sur : Mémoires de Mojam Rington."

Quelques jours après avoirs écrit ça, j'étais tombé sur cet homme bélier Alfonso, quand je l'ai vu, je cru d'abord à un mirage, je ne le cherchais pas particulièrement, je cherchais juste quelques choses à chercher en fait, et là impossible de le louper, aussi immense que dans mes souvenirs et encore plus dérangé car il venait effectivement du ciel avec une étrange machine dans son dos lui permettant visiblement de voler. J'étais assez surpris  d'autant plus qu'il venait d'atterrir très naturellement sur la place de la ville avant de repartir en marchant l'air de rien. Avec sa grande taille il était impossible à perdre de vue et j'avais commencé à le prendre en filature  en attendant une occasion où il serait un peu seul mais il me prit rapidement au dépourvu, tournant dans une rue sur la droite, je le suivais et m'engageais dedans alors qu'il avait disparut de mon regard, pressant le pas pour le rattraper je tombais finalement sur un cul de sac. Alors que je me retournait et m'apprêtait à faire volte-face une masse sombre plana soudainement au dessus de moi aussitôt je m'apprêtais à me défendre dégainant Justice avec une assurance plutôt moindre, je ne voulais pas me battre avec lui.

- Le fils Rington Cot-cot ?

Il réapparut devant moi en un instant. Je ne savais pas vraiment comment réagir face à cette démonstration de force, j'avais dû affronter quelques pirates lors de mes voyages, les bagarres sont mêmes des choses assez fréquentes et je pus m'endurcir assez simplement, ne serait-ce qu'en continuant de m'entraîner mais lui était d'un tout autre niveau. Je rengainais mon arme avant de tendre la main en sa direction.

- Mojam. C'est bien moi, Alfonso si je ne me trompe ? Je cherche des réponses et je pense que vous allez pouvoir m'en donner.

L'étrange biquette ne dit rien, se contentant d'acquiescer me faisant comprendre ainsi que je pouvais poser mes questions après avoir serré ma main.

- Que veux la franc marinerie ?

- Nous voulons retrouver les ponéglyphes pour découvrir et rétablir la vérité caché par le gouvernement mondial et ainsi instauré un ordre et une établir une véritable justice loin de leur fausse justice gouverné par la noblesse et d'autre nombreuses choses dont tu ne soupçonne à peine l'existence, pourquoi cela ? Tu es intéressé ? Cot-cot.

J'avais envie de craquer rien de nouveau dans ce qu'il me disait, un épais mystère restait enveloppé autour de cette organisation alors même que des questions de recrutement était sous entendus.

- ATTENDS ! T'imagine pas ce que j'ai du me taper, quatre ans que je te cours après, j'ai dû en faire des trucs pour survivre ! Entre les métiers pourris, la fausse monnaie forgée dans des forge dans lesquels je m'introduis en fraude, les pirates qui tentent de me voler les seuls souvenirs que j'ai de ma famille tout en me tuant au passage et ces messages codés, ces ponéglyphes.. J'y comprends rien ! Je veux juste faire ce qui est juste okay. En quatre ans j'ai vus énormément de monde souffrir, j'ai entendu parler d'esclavage, de chose horrible. Je ne veux pas que ça existe.

- Nous ne voulons pas non plus. J'imagine si tu es venus me voir ce que tu t'attends que je te convainc, mais je ne compte pas le faire, si tu te bats pour tes propres convictions tu nous seras plus utile, tu dois comprendre pourquoi tu te bat et non pas te questionner sur les possibilités que tu ai fais à un moment une erreur Cot-cot.

Alfonso ne dit rien de plus, restant silencieux alors que je le fixais mon regard devint un peu perdu et colérique, lui était si droit moi j'étais à bout de nerf d'un voyage en solitaire trop épuisant. Il posa une main sur mon épaule et dit simplement

- Je repasse ici dans trois jours, à cet endroit précis, soit là si tu es décidé.

Ne me laissant guère le temps de répondre il repartit me laissant seul à cogiter dans un coin de rue. Les trois jours passèrent étonnement rapidement peut être à cause de mon incertitude et de mon questionnement incessant sur le quoi faire. Finalement, en ce troisième jour, je crois que ma décision est prise, adossé au mur de la ruelle, je sors la pièce de ma poche et la coince  entre mon index et mon pouce.

- Pile ou face.

Je lance la pièce, elle effectue une multitude de tour dans les airs jusqu'au moment ou je la rattrape alors que sa retombée la rapprochait dangereusement du sol, la déposant contre la face extérieur de ma main gauche, je dévoile la partie avec l'oeil fermé.

- Face

Avant de renfoncer la pièce dans ma poche et de faire de même avec le cahier que je tenais dans mon autre main. Quelques secondes plus tard à peine débarquait Alfonso par la voie des airs.

- Tu as pris ta décision Cot-cot ?

J'acquiesçais d'un mouvement de tête, il était clair dans ma tête désormais que je n'avais pas fais tout ce chemin pour rien et là n'était que le début de ma quête, une fois que j'aurais rejoins les franc Marins peu à peu le monde s'ouvrira à moi et je découvrirai la vérité.

Mon but est de faire régner la justice, que plus personne n'ai besoin de souffrir sans raison. La marine protège le peuple des pirates mais les hautes sphères sont corrompus plus encore que n'importe quel pirate. Je veux rencontrer les franc marins, leurs apporter mon aide et ensemble peut être parviendront nous à instaurer un climat de paix. Alfonso ouvre la marche je lui emboîte le pas sans rien dire, jetant mon carnet dans le premier brasero allumé que nous croisons.
 


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Josh Leone
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: God damn, v'là Mojam.    God damn, v'là Mojam.   EmptyDim 5 Nov - 12:40




Validation


Salut Mojam, forgeron de l'obscure franc-marinerie !

Qualité : 200/500


Sa peau est très blanche, il a un teint assez pâle en somme et ne semble pas prendre particulièrement de couleur au soleil sans être pour autant sensible à une longue exposition, sa peau n'est pas du tout sans imperfection, ses mains commencent déjà à être marquées du travail qu'il exerce autant à la forge qu'en maniement d'arme.  -> Beaucoup de répétitions et une phrase vraiment trop longue.

son agilité et sa dextérité son probablement -> sont probablement.

même si il a un naturellement un visage assez neutre qui tend à rester calme celui-ci reflète tout de même ses émotions allant de la joie à la tristesse et bien d'autre encore. -> même s'il a naturellement un visage assez pâle, en somme, et ne semble pas prendre particulièrement de couleur au soleil, sa peau n'est pas pour autant sensible à une longue exposition. Elle n'est pas sans imperfection non plus, ses commençant à être marquées du travail...

Ces marchands ne font pas fortune malgré que tous le monde semble s'y rendre au moins une fois par mois -> bien que tout le monde s'y rende. Malgré que est suivi d'une proposition nominale, pas verbale.

ce qui leurs permet de garder un équilibre depuis temps d'année malgré leurs nombreuses différences, la plus notoire étant sûrement leurs tailles. -> ce qui leur permet de garder un équilibre depuis tant d'années

Son père avait aussi une sorte de parano, une obsession envers les pirates depuis qu'il s'était fait voler deux cargaisons, impossible de pardonner et surtout impossible de vivre hors de la peur, il avait apprit à se battre dans sa jeunesse et maniait les armes blanches avec une certaine dextérité, loin d'être expert il n'avait pas un niveau de pur amateur et connaissait les mouvements basiques sans avoir pour autant les réflexes liés à un apprentissage sévères, mais c'est pourtant ce genre apprentissage qu'il décida d'imposer plus ou moins à son fils, qui de toute façon n'avait rien d'autre à faire et  fut très vite passionné par les mouvements lui rappelant la danse que lui enseignait sa mère, danse très acrobatique qui était en vérité une danse martial permettant de se défendre et par les armes d'hast qui devinrent la principal source de son entraînement. -> est-ce que tu te rends compte que tu as fait une seule phrase en un paragraphe ? Ca c'est pas possible...

Bon, ton gros problème, ce sont les phrases infiniment longues. C'est vraiment compliqué de te suivre. Essaye de mieux découper ce que tu dis et n'hésite pas à te relire à voix haute pour ça. D'ailleurs, une relecture serait forcément favorable puisque tu as pas mal de faute d'inattention, genre des mots qui manquent ou se répètent.

A part ça, ton français est correct et ton style plutôt cool ! Mais il faut vraiment que tu te relises...


Cohérence : 350/500


Au niveau de la cohérence, tu as fait au mieux pour t'inscrire dans l'histoire du forum, et ça c'est cool ! Les références au contexte sont très nombreuses, et je te tire vraiment mon chapeau.
Par contre, j'ai un problème avec ta façon de jouer Alfonso :

- Nous avons pour but de rétablir la vérité en trouvant les ponéglyphes, cela va être dur à croire mais nous sommes persuadés que le Duc dit vrai, nous pourrions renverser le gouv..

Pourquoi est-ce qu'il s'intéresserait à ton père ? Normalement, Alfonso ne s'occupe que de transformer les pions en tour, ça lui arrive effectivement de recruter de nouveaux membres, mais il faut vraiment que cette personne ait des prédispositions pour la FM. Par exemple, que cette personne soit un rebelle notoire, quelqu'un de fermement opposé au Gouvernement. Or, il n'a vraiment aucune raison de s'intéresser à ton père qui a l'air particulièrement favorable au gouvernement.

J'ai trouvé aussi un peu facile qu'Alfonso se souvienne de toi. Mais en soi, c'est pas tellement grave, il est fort et a une bonne mémoire.


Longueur : 250/250


Au niveau de la longueur, c'est idéal ! On a pas mal d'infos sur toi, tu n'as pas hésité à inclure des dialogues, et ça c'est sympa !
La fin est un peu rapide, mais tu as fait en sorte de laisser durer le plaisir. Bien joué !

Originalité : 450/500


Forgeron franc-marin, c'est fun ! Tu as aussi décidé de sortir des sentiers battus pour une arme de hast, sans sabre et fruit du démon, donc ! Gj à toi !

Bien joué aussi d'avoir inclus le cot-cot d'Alfonso !

Subjectivité : 100/250


Globalement, ta présentation était cool ! Par contre, tes phrases trop longues ont rendu la lecture compliquée, et j'ai été un peu attristé que tu ne donnes pas un peu plus de folie dans ton histoire. C'était de façon générale assez neutre comme ambiance, et un peu plus de légèreté aurait été apprécié.

Note finale : 1350 Dorikis

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