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 Présentation de Rhees [Terminé]

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Rhees
Membre des Désossés


☠ Messages : 75
☠ Âge du Personnage : 26
☠ Berrys (x1000) : 21037
☠ Localisation RP : GL (Ishiro) [Présent] / North Blue ou South Blue [FB]
☠ Fruit du Démon : Aucun
☠ XP Dorikis : 2308
☠ Notoriété :
Présentation de Rhees [Terminé] Ync90 / 9990 / 999Présentation de Rhees [Terminé] Gubc
☠ Karma :
Présentation de Rhees [Terminé] Ml89500 / 999500 / 999Présentation de Rhees [Terminé] Pe6n

Rhees
Membre des Désossés

Présentation de Rhees [Terminé] Empty
MessageSujet: Présentation de Rhees [Terminé]   Présentation de Rhees [Terminé] EmptyJeu 8 Mar - 22:56



Rhees





Prénom et Nom: Rhees
Âge : 26 ans
Sexe :
Avatar : Regal Bryant - Tales of Symphonia
Groupe : Franc-Marin
Métier : Vigie
Espèce : Humain
But : Faire en sorte que personne ne soit jamais oublié dans ce monde. Il veut défendre cette pensée, estimant que chaque personne compte pour quelqu'un sur Terre et il est prêt à assumer ce rôle pour ceux qui sont seuls.

---------------

Fruit du Démon : Aucun
Autres capacités : Volta Kick


Questionnaire


1. Apparence physique


Taille : 1,89 m
Poids : 85 kg
Cheveux : Longs et Bleus
Yeux : Bleus


2. Tenue vestimentaire habituelle


Rhees est habillé de la façon la plus simple possible, pour deux raisons : la première, la simplicité et l'aisance des mouvements durant un combat et ses déplacement ; la seconde, pour casser l'image de son enfance où il avait tout ce qu'il voulait et qu'il s'habillait de façon très classe.

Il a donc un haut blanc, très court, recouvrant juste ses épaules et ses pectoraux. Ce dernier est resserré grâce à des lacets attachés sur les manches. Ce haut dévoile donc ses abdominaux biens sculptés.

En bas, il porte un simple pantalon vert, soutenu par une ceinture en cuir marron, ainsi qu'une paire de chaussures noires. Par dessus, il met des jambières qui partent des genoux jusqu'aux bouts des pieds. Ces jambières sont en acier et offrent à la fois une bonne protection et une bonne force de frappe.

Le dernier point marquant de sa tenue, ce sont les fers qu'il a aux poignets, il les garde par choix, comme représentation de sa vie passé, de ce qu'il a vécu et de ses divergences avec le milieu gouvernemental dans lequel il a baigné.

3. Motivations


Les motivations de Rhees sont très simples... changer le monde. Il croit en ce monde idéal où la vie de chaque personne aura de l'importance, où les différences ne seront plus légions.
Cette idée lui provient de sa jeunesse et de son ami Flynn, ce dernier était pauvre et n'avait plus personne dans sa vie. Il ne comptait pour personne, encore moins pour la haute société. Cette vie l'a détruit et a mené à sa mort. Rhees est le seul à entretenir la flamme de son souvenir.
Il sait donc le mal que l'ignorance et la solitude peuvent faire à une personne et fera donc tout pour éviter ça, même au plus parfait inconnu. Il est prêt à entretenir les flammes de toute personne qu'il croisera, estimant que toutes ces flammes formeront un jour un gigantesque brasier qui enflammera le monde, permettant alors de le reconstruire, de lui donner une nouvelle vie.

4. Opinion sur le gouvernement mondial


Son opinion sur le gouvernement est tranchée et pour cause, il a été membre de la marine, ce qui lui a permis de voir les divergences d'opinion.
Le gouvernement est prêt à tout pour faire régner l'ordre et la loi, quitte à tuer certaines personnes qu'il estime inutiles. Ce qui, pour Rhees, est inadmissible, car personne n'est inutile  partir du moment où elle sert à apporter de l'amour et de la reconnaissance pour quelqu'un.
Il n'a donc rien contre leur principe, mais juste contre leur méthode.

5. Opinion sur la piraterie


Il n'a absolument rien contre les pirates, bien au contraire, il estime ces personnes qui se battent pour leurs rêves et leur liberté.
Pour lui, la piraterie est une image de la représentation qu'il se fait du monde de ces rêves, une bande de camarades, d'amis, qui se battent les uns pour les autres.
A vrai dire, c'était un pirate qui l'avait abordé le jour où il a pris la décision de changer de vie, il aurait très bien pu en devenir un.
La seule chose qui l'empêche encore aujourd'hui de partir chez les pirates, c'est qu'il ne rêve pas forcément d'aventures, il souhaite surtout faire bouger les choses, il veut agir pour ce monde.

6. Opinion sur la franc-marinerie


S'il a décidé de rejoindre ce groupe, ce n'est pas pour rien... il est dans la logique d'agir pour faire bouger les choses, quitte à utiliser des méthodes extrêmes. De plus, le but de cette révolution coïncide avec le sien, lever le voile sur le siècle oublié et donc sur toutes les personnes qui y ont contribué. Ces personnes pour qui, à l'heure actuelle, on n'a aucuns souvenirs.
Rhees va donc tout faire pour les rétablir et rendre à ces personnes l'estime auquel ils ont droit.



Histoire


Prélude

Je m’appelle Rhees Percy, fils unique d’une famille noble de North Blue, menant une vie sans histoire, entouré de ma mère, un médecin de renom, mon père, un haut gradé de la marine et notre fidèle valet, Alfred. Ma famille était très généreuse, offrant leur aide aux plus démunis, que ce soit financièrement ou de tout autre façon ; ce qui faisait d’eux l’une des familles les plus appréciées de cette mer.
Mais pour moi, la vie n'a pas toujours était rose ; avant cette période de prospérité pour ma famille, j'avais eu un destin un peu particulier.


Chapitre I

Présentation de Rhees [Terminé] 9609810


Le destin, ce terme que certains emploient pour parler de de ce qu’il leur arrive et ce qu’il va leur arriver. Pour ma part, à l’heure actuelle je parlerais plutôt… de fatalité.

Tout commence dès ma plus tendre enfance… en réalité, à cette âge-là, on ne parle même pas encore d’enfance, j’étais toujours un bébé, je ne savais même pas marcher. Enfin, ça, ce n’était pas difficile puisque c’était justement le fond de mon problème. Quand la plupart des enfants marche entre un et deux ans, moi, à trois ans, je n’arrivais même pas à me tenir debout.
En effet, la vie avait choisi un drôle de chemin pour moi. Très jeune, on m’a découvert une maladie assez rare : le syndrome de la jambe folle. Ce dernier était à l’origine de mon retard moteur ; il engendrait chez moi des tremblements importants dans les jambes perturbant mon équilibre et m’empêchant donc de tenir debout.

La maladie a été découverte assez tard, les tremblements étaient au départ très légers et comme je ne marchais pas, j’étais trop jeune, mes parents n’ont rien dessellé. Avec le temps, les secousses se sont faites plus intenses et les difficultés que cela engendrait quand je tentais de me mettre debout ont fait leur apparition. C’est à ce moment-là qu’on a commencé à aller voir des médecins, mais le syndrome avait déjà bien avancé, rendant la tâche des docteurs plus difficile.

C’est donc ainsi que, depuis mes quatre ans, je passe la majeure partie de mon temps à l’hôpital. Ma vie social en a pris un coup puisque je ne sors pas, je marche toujours avec beaucoup de difficultés, je n’ai donc aucun ami, ni même aucune connaissance, mis à part les autres enfants de l’hôpital, mais là encore la fatalité est venue mettre son grain de sel.
Car comme si mon destin à moi n’était pas assez pourri, celui de ceux qui croisaient ma route n’était pas plus glorieux… Tous les jeunes qui sont passés par ma chambre et qui étaient donc susceptibles de devenir des amis… ils sont tous morts.
Les médecins ne l’expliquaient pas. Même s’ils rentraient tous pour une bonne raison, avec une maladie plus ou moins grave, tous ceux qui m’ont côtoyé ont fini par succomber.

J’étais certainement l’enfant le plus triste de cette île et chaque jour, je regardais par ma fenêtre en rêvant d’aventure, du jour où je pourrais sortir de cet endroit et enfin me déplacer librement.
C’était cette pensée qui me motivait chaque jour pour réaliser les exercices que me donnaient les médecins, consistant à me faire marcher en prenant appui sur des barres parallèles. Ce genre d’atelier était destiné à me muscler les jambes petit à petit, mais jusqu’ici, c’était plutôt mes bras qui avaient pris en masse.

Cependant, au fur et à mesure du temps, on pouvait tout de même observer de réels progrès, si bien qu’à l’âge de 10 ans, j’ai enfin pu commencer à marcher seul, mes premiers pas… un peu tardifs certes, mais c’était les premiers.

Le seul petit problème qu’il me restait était que, lorsque je me déplaçais, mes jambes avec encore tendance à frotter l’une sur l’autre à cause des tremblements, cela avait pour effet de me rendre littéralement électrique. J’étais devenu une vraie réserve d’électricité statique, dès que je touchais quelqu’un ou quelque chose, je pouvais ressentir une petite décharge ; c’était marrant sur le coup, mais pas très pratique pour les relations avec les autres.

C’est justement durant cette période que le destin se décida enfin à être un peu généreux avec moi… durant cette période, j’ai rencontré un jeune garçon de mon âge, il s’appelait Flynn. Je ne savais pas trop pour quelle raison il était là, à vrai dire, je pensais que comme tous les autres, il n’allait pas tarder à partir lui aussi, mais contre toute attente, il est resté et nous sommes devenus amis, mon premier ami.

Flynn et moi, on passait tout notre temps à discuter, de tout et de rien, de nos familles respectives ; j’appris donc que lui avait un grand frère et une petite sœur, quant à moi, je lui avouai qu’il était un peu comme le frère que je n’avais jamais eu.
Le temps passa, pour nous deux ; ce n’est que deux ans plus tard que je pus enfin sortir de l’hôpital, un grand bol d’air frais pour moi qui n’avais vécu qu’entre quatre murs blancs. Mon ami, lui, devait rester encore quelques temps, ce qui ne m’empêcha pas d’aller le voir un peu chaque jour jusqu'à sa sortie.

Nous avons alors tous deux repris le train de vie normal des garçons de notre âge.

Notre amitié était devenue très forte, mais elle fut ébranlée par un fâcheux événement, encore un coup de la fatalité qui me poursuivait.


Chapitre II

Un soir, tandis que j’allais le rejoindre pour jouer après l’école, comme d’habitude, je le découvris en pleurs, son père venait de tomber gravement malade et il n’était pas certains de s’en sortir vivant; sa mort survint d'ailleurs quelques temps après. Dès lors, le comportement de mon camarade changea. Il s’est mis à voler pour aider sa mère à s’en sortir ; elle n’arrivait plus à subvenir aux besoins de sa famille à elle seule et elle n’osait pas demander de l’aide à la mienne.

Le problème, c’était que ces mauvaises actions qu’il réalisait l’amener souvent à se battre et souvent contre plus fort que lui, si bien qu’il rentrait presque tous les jours complètement amoché. Je ne pouvais pas supporter de le voir dans cet état et ne rien faire, je me mis donc à le suivre dans ses mésaventures.

Les premières fois furent très compliquées pour moi, je n’avais jamais appris à me battre, lui avait de l’avance sur moi, il savait aussi bien manier un bâton, que se battre avec ses poings ou bien même utiliser son lance pierre. Moi, je n’étais pas très doué, je lui servais plus de soutiens qu’autre chose. J’étais doué dans un seul domaine… courir. Depuis que j'avais retrouvé l'usage de mes jambes, je passais mon temps à ça, c'était une des sensations les plus agréables que j'ai jamais connu et à force de m’échapper avec Flynn des scènes de bagarre, j’étais devenu un vrai sprinter et j’avais développé une certaine force dans mes membres inférieurs.

Mais cela commençait à ne plus suffire, j'essayai alors de mettre au point une technqiue bien à moi, tirée de mon expérience à l'hôpital... la jambe électrique. En frottant très vite mes jambes l'une contre l'autre, j'espérais pouvoir créer une vraie décharge pour assommer nos adversaires, mais j'arrivais à peine à produire de l’électricité statique, tout juste capable de provoquer une légère impulsion.

A plusieurs reprises nous nous prîmes donc des roustes, mais au fur et à mesure de nos expériences, on devenait des adversaires de plus en plus sérieux. Car oui, des expériences on en a eu et pour cause, le comportement de plus en plus agressif de Flynn. Ce changement intervint une nouvelle fois suite à la mort de sa mère, la raison de cette dernière était inconnue ; lui était persuadé que sa mère était morte de tristesse. Son grand-frère avait pris la mer, il n’avait plus de nouvelle de lui ; quant à sa sœur, elle s’était marié avec un vieux bonhomme pour obtenir de l’argent, ce dernier ne voulait plus avoir de lien avec sa famille.

En plus de ça, il aimait se battre et cherchait donc de plus en plus la confrontation, allant insulter des bandes dans la rue pour le plaisir, en provoquant des vieux bourrus éméchés dans les bars ou tout simplement en provoquant en duel n’importe quel type prêt à se battre pour un oui ou pour un non..
Heureusement que j’étais là, car j’arrivais, de temps en temps, à mettre ses envies de bastons au service de la bonne cause en aidant ceux qui en avait besoin : des petits maltraités par de grosses brutes par exemple.
C’est ainsi que se passa toute notre enfance… si on peut encore parler d’enfance à nos âges. En effet, cela dura jusqu’à nos 18 ans, plus exactement jusqu’aux miens, puisque tout bascula le jour de mon anniversaire.

Ce jour-là, Flynn et moi décidâmes d’aller boire un verre au bar pour fêter l’événement entre nous. Enfin, ce n’était pas exact de ma naissance, en réalité ce n’était que le lendemain, mais ce jour-là, je le passais en famille, il avait donc insisté, comme tous les ans, pour boire un coup à ma santé pour me donner du courage avant cette longue journée, entre les bras et les bisous baveux de ma grand-mère. Cependant, plus le temps passé, plus mon camarade forçait sur la bouteille, si bien qu’il termina complètement bourré.
Le problème avec lui, c’était que l’alcool avait tendance à faire ressortir ses pires côtés, qui n’étaient déjà pas bien glorieux à l’état normal. C’est donc ainsi, comme vous pouvez vous l’imaginez, qu’une bagarre éclata dans le bar, avec pour investigateur de l’événement, mon cher copain Flynn.

Ce dernier commença à insulter gratuitement certains consommateurs, mais surtout… il entama une tentative de drague sur une jolie jeune femme attablé non loin de nous. Bien évidemment, comme si cela ne suffisait pas, il s’avéra que cette dernière était mariée et le mari était furax quant au comportement de mon ami. Il attrapa Flynn par l’épaule et tandis qu’il tira son bras vers l’arrière pour frapper, je fus obliger d’intervenir.
J’attrapai donc l’homme par le poignet pour retenir le coup, mais un autre partit alors de son autre main. Son poing termina alors sa course dans ma joue, ce qui provoqua la réaction immédiate de mon partenaire qui se leva et répliqua aussitôt en se jetant sur mon agresseur.

Les amis de ce dernier lui vinrent alors immédiatement en aide, moi je me relevai et défendit le mien.
- Attention Flynn !

Il se baissa pour éviter un coup et je répliquai d’un coup de pied pour mettre à terre l’homme en question. Je frappai dans tous les sens, alternant par moment avec des parades défensives. Le problème était leur surnombre et leur agressivité due aux effets des verres de sakés qu’ils avaient enchainé.
Flynn sortit alors son bâton afin de mettre au tapis les quelques hommes restants, faisant tournoyer son arme autour de lui en frappant net nos adversaires au niveau de la tempe pour les assommer.

Après plusieurs minutes de combat acharné, tout le monde était à terre, il ne restait plus que nous deux debout, fiers de nous, cherchant du regard l’admiration des quelques clients qui étaient restés et qui avaient l’habitude de ce genre de discorde.

- Aller Flynn, on rentre ! Tu en as assez fait pour aujourd’hui.
- Non attend Rhees, un dernier verre avant de partir !?
- Flynn…


Je n’eus même pas le temps de terminer ma phrase, qu’un petit bruit bien reconnaissable se fit entendre derrière moi, celui d’une arme qu’on charge ; et un bout dur et froid se posa sur le derrière de mon crâne.

- Cassez-vous espèces de morveux !!! Et ne revenez jamais ici ou je vous flingue.
- C’est bon, on s’en va, on ne veut pas plus d’ennuis… Viens Flynn, on s’en va !


J’attrapai mon ami par le bras et commençai à nous diriger vers la sortie. C’est alors que mon camarade plongea sa main à l’intérieur de sa veste et en extirpa à son tour une arme à feu. Il se retourna en une fraction de seconde et, sans que je n’ai le temps de réagir, braqua son pistolet vers l’homme qui venait de pointer le sien sur ma nuque.


*BANG*


Un coup de feu retentit et une tâche pourpre vint imbiber le haut de l’homme en face de nous qui tomba au sol.

- Flynn… ça va pas dans ta tête ? Tu viens de tirer sur un homme ! Et… depuis quand tu as un flingue toi ?!

Un regard noir s’afficha alors sur le visage de mon ami qui, à ce moment précis, était méconnaissable. Il ne ressemblait en rien au petit garçon que j’avais connu jadis et qui avait grandi à mes côtés.

- Viens, vite on s’en va avant que ça dégénère et que la marine arrive.

Je conduisis donc mon camarade à l’extérieur du bar, mais malheureusement, devant l’établissement, les membres du gouvernement mondial nous attendaient déjà, certainement alertés par les clients sortis durant la première altercation.

- Lâcher votre arme et rendez-vous ou nous serons obligés de faire feu.

Flynn ne semblait pas vouloir entendre raison et refusa de poser son pistolet. Je tentai moi de le convaincre de se rendre.
- Flynn… ne fait pas n’importe quoi s’il te plait ! Donne-moi ton arme et rang toi ! Mon père t’aidera et moi aussi je serai là pour toi. Mais il faut que tu te rendes.

Aucune réponse de sa part ne sortit de sa bouche, il regardait fixement l’horizon, puis, il baissa la tête, regarda ses mains ; quelques gouttes commencèrent alors à tomber. C’est alors qu’un son, à peine audible, sortit de sa bouche, une réponse que je fus le seul à pouvoir entendre.

« ok »


Un sourire commença à se dessiner sur mon visage, lorsqu’un coup de tonnerre gronda dans le ciel, me faisant sursauter, ainsi que Flynn qui, dans son sursaut, pointa son arme vers les forces de l’ordre… un autre coup retentit.

Cette fois-ci, il ne s’agissait pas d’un phénomène climatique, ce bruit était mécanique, un coup de feu ?

C’est alors que Flynn se mit à genoux, il était en train de se rendre et j’en étais heureux.

- C’est bon, il se rend, ne tirez pas !

Je remarquai alors que tous les regards étaient fixés sur mon ami, mais un regard désolé, ce qui ne correspondait pas vraiment à la situation.
Je tournai donc à mon tour mes yeux vers mon camarade qui restait complètement immobile, positionné sur ses rotules.

- Flynn, que se passe-t-il ? Pourquoi ils te regardent tous bizarrement ?

Soudain, mon ami s’effondra par terre dans une flaque qui avait commencé à se former avec la pluie. Cette dernière se colora de rouge au contact de mon partenaire. C’est alors que je compris.
Je levai les yeux pour voir d’où était venu la balle, puisqu’il s’agissait bien d’un coup de feu qui avait retentit quelques secondes auparavant. C’est alors que la stupeur s’empara de moi, puisque le responsable de ce qui était en train de se passer n’était nul autre que… mon propre père.



Chapitre III


Ce dernier n’avait pas bougé depuis son tire, son fusil fumait encore dans la froideur de l’air amenait par la pluie. Son regard était vide.
Ce n’est que lorsque ce dernier croisa le mien que mon paternel fit volte-face, sans un mot, sans une réaction. Je ne pouvais y croire, si bien que je restais plusieurs secondes complètement paralysé.

Quand je repris mes esprits, je me jetai sur mon ami qui gisait maintenant dans une mare de sang.

- Flynn ! Non Flynn, ne me laisse pas ! Tu es tout ce que j’ai, tu es mon seul ami !
- Je… Je suis désolé Rhees ! Je ne voulais pas que ça se passe comme ça !
- Chut ! Tait-toi ! Tu vas t’en sortir, on va te soigner.
- Rhees…
- Ne dis plus rien !
- Joyeux anniversaire, mon frère !


C’est alors que ses yeux se fermèrent, à tout jamais, un dernier sourire aux lèvres. Des larmes se mirent à couler le long de mes joues, mais aucun son ne les accompagna.

Quand mes larmes cessèrent de couler, elles firent places à la colère, une haine envers l’assassin de mon ami… Je devais rentrer chez moi au plus vite.
Une fois sur place, tout était calme et les lumières éteintes. Je me dirigeai vers la chambre parentale, ma mère y dormait paisiblement, mais mon père n’y était pas.

Une lueur émanait du bureau ; je m’y rendis et fus surpris du tableau qui se présenta devant moi… une bougie était posée sur le meuble, éclairant de sa faible lumière une lettre, un coffre et surtout, le corps de mon père, pendu au plafond.

Je pris alors le bout de papier et entama la lecture.

Lettre a écrit:
« Mon fils, je suis désolé de ce qu’il vient de se passer, cela n’aurait jamais dû arriver, c’était un accident.
Cependant, il m’est impossible de continuer à vivre et de soutenir ton regard chaque jour, je préfère donc mettre fin aux miens dès maintenant.
J’espère que tu trouveras un jour la force de me pardonner. Prends bien soin de ta mère.

Ton père.

PS : Le coffre est pour toi, Flynn me l’a laissé pour te le donner avec tous les autres… Joyeux anniversaire mon fils ! »


J’hésitai un instant, mais me décidai finalement à ouvrir le coffre pour voir ce qu’il y était caché. A l’intérieur y étaient enfermées une paire de jambières. Je me souvenais de ces dernières, Flynn les avait piqué à un gars que nous avions battu un jour pour s’en être pris à des jeunes gamins du quartier ; c’était la première fois que j’avais vraiment collaborer à notre victoire avec un coup de pied bien placé. C’était le dernier souvenir de mon ami.

Je récupérai le reste de mes affaires, mis les jambières dans mon sac et quittai la maison. Je n’avais pas la force de réveiller ma mère et de lui faire mes adieux… Je ne pouvais plus rester ici, dans cette maison, sur cette île, je devais partir.

J’allais rejoindre les rangs de la marine, non pas en mémoire, ni en l’honneur de mon père, mais simplement pour pouvoir venir en aide à tous ceux qui, comme Flynn devait se battre pour survivre, pour défendre tous ceux dont la vie importait peu à certains, mais qui avait beaucoup d’importance pour d’autres.


Chapitre IV

Ces gens-là ont de l’importance, tant qu’il y a une personne dans le monde pour penser à eux. C’est pour ces personnes-là que je voulais me battre.

Je rejoignis donc les rangs de la marine et m’appliquais à devenir le meilleur. Je me mis à m’entrainer très sérieusement ; j’avais choisi de m’orienter vers le combat au corps à corps et plus particulièrement l’art de se battre uniquement avec ses jambes. Ce choix était une évidence pour moi, d’une part grâce à la force développer dans mes cuisses et mes mollets à force de courir, mais surtout grâce à Flynn… son cadeau d’anniversaire était un signe supplémentaire pour m’indiquer le chemin à suivre.

J’étais devenu un bon soldat, nettement supérieur à ceux de ma promotion, aussi bien physiquement, qu’intellectuellement.

Mon père ne cessait de me répéter, étant plus jeune, que j’allai faire un excellent amiral un jour et même si je n’avais plus fois en mon paternel, je comptais bien atteindre cet objectif… pas pour lui, non ! Mais pour avoir de l’importance dans ce monde et ainsi pouvoir agir.
Mon but était de donner une existence à ceux qui n’existaient pour personne, donner de l’importance à ceux qui ne comptaient pour personne ; je voulais que, même après la mort, toute personne sur cette terre ait quelqu’un pour penser à elle, même si je devais supporter sur mes épaules le souvenir de tout être vivant dans ce monde.

En tout cas, c’étaient les arguments que j’avais avancé lors de mes concours pour monter en grade, mais, malgré mes excellents résultats sur le terrain, mes supérieurs trouvaient ce rêve risible, ils me répétaient que c’était impossible, que le gouvernement ne pouvait s’occuper de toute la misère de ce monde et que, parfois, il fallait laisser tomber les fruits pourris de l’arbre pour permettre aux autres de murir correctement. Une métaphore parfaitement claire pour moi signifiant qu’il fallait sacrifier les plus pauvres pour que les plus riches prospèrent.

C’est pour ça que je voulais devenir amiral, pour changer les esprits, mais personne ne croyait en moi, j’allai devoir faire mes preuves.
Mes talents m’amenèrent rapidement sur le terrain pour diverses missions, des occasions pour montrer ma détermination, mais l’une d’elles fut plus particulière que les autres…



Chapitre V


Un jour, on m’envoya donc en mission sur North Blue, ce n’était pas très compliqué à la base, nous devions juste escorté un homme d’un point A à un point B, mais tout ne se déroula pas comme prévu…

La mission était plutôt ennuyeuse, nous étions une dizaine de marine pour un simple individu, comme si un homme sur terre méritait autant de considération. Toujours est-il que tout se passait pour le mieux lorsqu’un coup de feu retentit ; un de mes collègues s’écroula alors par terre.
La panique gagna nos rangs, personnes n’avait pu voir d’où provenait le tir, mais nous devions réagir au plus vite pour mettre notre client à l’abri. Tandis que tous les marines s’attardaient à chercher le tireur à l’aveugle, je fus le seul à avoir le réflexe de mettre notre homme à l’abri, le tirant dans une ruelle en espérant que celui qui nous visait n’avait pas d’angle de tir dans notre direction.

Tous mes collègues s’étaient déployés afin de trouver le tireur, me laissant seul avec notre homme, cachés derrière un mur. Soudain, tandis que je surveillais une fenêtre de tir afin de nous échapper et de rejoindre notre destination, un type arriva en courant dans notre direction, une arme blanche à la main… il voulait s’en prendre à notre client.

Je me ruai donc vers lui pour le stopper, parai un premier coup avec mon bras, effectuai un coup de pied retourné dans le but de le désarmer et terminai mon assaut par un attaque direct dans l’estomac, ce qui l’envoya boulet quelques mètres plus loin.
Les renforts arrivèrent une poignée de secondes après mon action, il était déjà trop tard, j’avais fait tout le boulot. C’est alors que mon supérieur se dirigea vers l’agresseur et pointa une arme à feu dans sa direction.

- Monsieur… que faites-vous ?
- Je mets un terme à la menace !
- Mais Monsieur, il est déjà neutraliser, il n’y a plus qu’à l’arrêter.
- Même si on l’arrêtait, d’autres pourraient recommencer, il faut montrer l’exemple ! Et puis, cette vermine ne manquera à personne.


C’était la phrase de trop, tout le monde comptait pour une personne dans ce monde et si ce n’était pas le cas, je prendrais cette responsabilité.

C’est alors que, au moment où mon chef s’apprêtait à appuyer sur la détente, je fis ce qui me semblait juste… je lui envoyai un coup de pied latéral d’une rare violence, ce dernier s’écrasa alors contre le mur de la ruelle.

Je fus immédiatement arrêter par mes camarades, mon chef se releva et se tournant vers moi, me jeta un regard empli de colère.
- Tu viens de faire une grave erreur jeune !

On m’accusa alors de haute trahison ; je fus enfermé dans une cellule et reconduit vers notre base pour être jugé…


Chapitre VI

Une pluie battante tombait sur le toit de la carriole où j’étais enfermé, laissant juste le bruit des gouttes venant s’écraser sur le bois parvenir à mes oreilles ; tout autour, le silence était maître. On me conduisait lentement vers la base marine de l’île afin d’y être enfermé, le temps que l’on juge de mon sort, j’allai certainement finir mes jours à la grande prison d’Impel Down, le tout était de savoir où ?

Soudain, le chariot s’arrêta, je restais impassible, faisant abstraction de ce qu’il se passait à l’extérieur, mais un bruit assourdissant vint rompre ce long et lourd silence qui s’était installé jusque-là… On aurait dit une explosion, j’ouvris alors les yeux pour la première fois depuis le début de mon voyage, mais il n’y avait rien aux alentours.
Puis, une autre détonation, cette fois-ci beaucoup plus proche, je regardai à nouveau autour de moi et cette fois-ci… une déflagration.

Que se passait-il ? Je l’ignorais. Mes geôliers restaient sur leur garde, puis une vague de soldats blancs accourut vers la ville.

- Surveille le prisonnier, nous allons voir ce qu’il se passe !

On me laissa donc seul avec le garde chargé de ma surveillance… je fermai à nouveau les yeux, attendant que les choses se passent, j’avais accepté mon sort depuis bien longtemps.
Cependant, l’attente se fit longue, interminable et nous n’avions toujours pas de nouvelles des marines partis en reconnaissance. Je jetai alors furtivement un coup d’œil sur le garde posté devant moi, il tremblait, arme à la main, scrutant les alentours… inquiet.

C’est alors que je pris le temps d’observer pour la première fois le paysage de l’endroit où je me trouvais, je ne savais pas où j’étais exactement, mais le cadre était des plus apaisants ; ce qui contrastait complètement avec l’atmosphère qui nous enveloppait. En effet, quelque chose se déroulait ici, quelque chose d’important.
Soudain, un objet volant non identifié se dirigea vers moi avec une vitesse impressionnante ; plus le projectile approché et plus je pouvais discerner de quoi il s’agissait… une grenade. Cette dernière vint s’écraser contre la porte de ma cellule mouvante, par réflexe, je me recroquevillai en me protégeant le visage.
Puis, l’explosion… mis à part le bruit assourdissant me privant de mon audition quelques instants, je n’avais rien, il devait certainement s’agir d’une grenade flash. Toujours était-il que, l’impact de l’objet et la détonation de ce dernier, avaient permis à la porte me retenant de s’entrouvrir.

Le garde me surveillant n’avait pas réagi, sans doute trop préoccupé par la situation actuelle, il était vrai que, avec les bruits aux alentours, celui provoquait par la grenade responsable de ma liberté était risible.
Je poussai donc doucement la porte, hésitant un moment… Jusqu’ici, j’avais accepté mon sort : ma capture, ma condamnation, mon futur en prison. Cependant, cet événement inattendu était peut-être un signe, celui d’un nouveau départ.
C’était donc décidé, je pris la poudre d’escampette ; il ne me restait plus qu’à trouver le moyen de quitter cet endroit sain et sauf, ce qui ne saurait pas forcément évident avec des chaînes aux poignets.

Je devais me diriger vers le port, afin de trouver un bateau pour quitter cet endroit le plus rapidement possible, avant qu’on ne découvre ma disparition.

Je compris rapidement qu’un soulèvement était en train d’avoir lieu sur cette île, des hommes se rebellaient contre le gouvernement et avaient bien l’air décidé à mettre à feu et à sang ce quartier général. De qui pouvait-il bien s’agir ? Une folie de la sorte ne pouvait provenir que d’un groupe marginal, je doutais donc qu’il s’agisse des pirates.

Avançant de cachette en cachette, profitant de la cohue générale provoquait par tous les affrontements qui avaient lieu sur l’île, je réussis sans trop de difficultés à atteindre ma destination, il ne me restait plus qu’à choisir avec qui j’allais voyager.
Il y avait plusieurs bateaux amarrés sur le port, je ne savais vraiment pas sur lequel monter.

J’avais un choix à faire, celui du navire qui allait me faire quitter l’île et je devais faire vite avant que l’on ne me tombe dessus, ce qui finit par se produire.

Un homme avec une capuche se dirigea vers moi, je n’arrivais pas à voir son visage, mais il ne semblait pas faire partie du gouvernement.
Il s’approcha et, sans même se présenter, se pencha vers moi et me murmura quelques mots à l’oreille.

- Tu as l’air perdu cot-cot ?!

Je ne savais pas trop quoi répondre, sa présence m’intimider et je ne voulais pas l’interrompre.

- Si tu veux changer le monde, je t’invite à monter sur ce navire cot-cot !

Il pointa alors un gros bateau du doigt ; cela ne dura pas longtemps, il savait exactement ce qu’il avait à dire et ne passa pas par quatre chemins. Il était très sûr de lui et très convaincant dans l’intonation employée. A peine il avait terminé sa phrase qu’il repartit aussi vite qu’il était arrivé.

Je restais quelques temps sur place, ne sachant pas trop quelle décision prendre, mais finalement, je pris la direction indiquée par le mystérieux inconnu.
Je montai à bord, il n’y avait pratiquement personne à bord, deux hommes et une femme. Ces derniers, voyant les chaines à mes poignets ne prirent même pas la peine de m’interroger sur ma présence, ils me sourirent et reprirent leur activité.

Ce n’est que bien plus tard que le bateau se remplit à nouveau, on était prêt à partir visiblement. Je ne savais pas trop ce qu’il s’était passé ici, mais ce n’était pas vraiment ce qui me préoccupait… je voulais savoir qui étaient ses hommes.

L’un d’eux s’avança vers moi et présenta la situation.
- Bienvenue à toi ! Alors comme ça tu veux rejoindre la Révolution, tu veux devenir un franc-marin ?

J’avais le fin mot de cette histoire, la révolution. J’hésitais un moment avant de répondre, mais j’estimais que si j’étais là, ce n’était pas un hasard, il y avait une raison : la divergence de point de vue avec la marine en était une et rejoindre ce groupe me permettrait peut-être d’atteindre mon objectif.

Je rompis donc le silence qui s’était installé et fis part d’une requête avant.
- Je voudrais me rendre sur l’île de Flevance avant de partir avec vous définitivement… Je dois parler à ma mère !

Mon interlocuteur esquissa un léger sourire et fit un signe à ses acolytes qui virèrent de bord, direction mon île natale.



Chapitre VII


Nous arrivâmes sur l'île après quelques heures de navigation.

- J’en ai pas pour longtemps.

Je traversai le village, repassant devant le bar où mon ami Flynn avait été tué, puis continua mon chemin. Je me retrouvai alors devant ma maison, celle où j’avais grandi… où mon père s’était suicidé.
Elle était dans un piteux état, pas du tout entretenu. J’entrai sans frapper, il n’y avait aucune lumière allumée, aucun bruit, mis à part un grincement provenant du salon.

J’approchai et vis ma mère, assis dans son rocking-chair, se balançant lentement, l’air perdue.

- Maman ?!
- Rhees, mon fils ! C’est toi ? C’est bien toi mon enfant !
- Oui maman, c’est moi !
- Qu’est-ce que tu viens faire là Rhees ? Tout se passe bien au gouvernement ?
- Justement mère, c’est pour ça que je suis là…


Un silence s’installa, j’enchainais rapidement pour ne pas le faire durer.

- Je… Je vais quitter la marine maman
- Pardon ! Mais… pourquoi ça ? C’est pas à cause de ton père j’espère ? Tu sais que moi aussi je suis fière de toi et de ce que tu es devenu.
- Non maman, ce n’est pas à cause de lui. On m’a fait une proposition que je ne peux pas refuser… c’est ma chance de changer ce monde !
- Et tu vas faire quoi alors ?
- Je vais rejoindre la Révolution !
- Rhees !!! Tu ne peux pas faire ça !
- Je ne te demande pas la permission maman, ma décision est prise. Je te demande juste de la respecter et je voulais t’en informer.
- Rhees, je… je ne peux pas…
- Je continuerai à t’envoyer de l’argent régulièrement maman. Je t’aime !


Sur ces mots, je quittai la pièce sans lui laisser le soin de répondre et de réagir d’avantage. Elle ne pouvait pas comprendre, pas avec un père et un mari dans la marine.
J’espérais pouvoir revenir la voir de temps en temps… après tout, on a qu’une seule mère et j’aimais la mienne… elle était tout ce qu’il me restait !

Mais maintenant... Les Francs-Marins m'attendaient !


Présentation de Rhees [Terminé] 491810



PS : Pour info, cette présentation reprend une partie d'une autre prez à moi que j'ai fait sur un autre forum, j'ai adapté un peu par rapport à ce nouveau personnage et par rapport au contexte du forum.
Je mets le lien en dessous si besoin :
Spoiler:

Sinon, ton pseudo à toi, derrière l'écran ? Pas de pseudo particulier, appelé moi Rhees
Si t'as un commentaire à faire, fais-le maintenant ! C'est où les toilettes ?


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Rhees
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MessageSujet: Re: Présentation de Rhees [Terminé]   Présentation de Rhees [Terminé] EmptyDim 11 Mar - 12:12

Terminé^^
J'ai rajouté quelques passages pour le Volta Kick, j'espère que ça suffira, parce que comme je l'ai dit, je compte pas l'utiliser de suite, mais la développer plus tard, au fur et à mesure, donc voilà.

Merci au correcteur Very Happy
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Josh Leone
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MessageSujet: Re: Présentation de Rhees [Terminé]   Présentation de Rhees [Terminé] EmptyMer 14 Mar - 15:30




Validation


Salut Rhees ! Désolé du retard pris Very Happy Je passe enfin sur ta prez !

Qualité : 350/500


Il sait donc le mal que l'ignorance et la solitude peuvent faire à une personne et fera donc tout -> répétition de "donc"

la vie n'a pas toujours était rose -> été

pour parler de de ce qu’il leur arrive -> de ce qui leur arrive

cette âge-là -> cet

Ma vie social -> sociale

il n’était pas certains -> certain

Lâcher votre arme -> lâchez

Donne-moi ton arme et rang toi
-> rends-toi

Bon ! Un style plutôt simple et efficace, mais très sympathique ! En revanche, tu perds des points en raison des nombreuses petites erreurs et fautes qu'on trouve dans ton texte.

Cohérence : 250/500


Mais cela commençait à ne plus suffire, j'essayai alors de mettre au point une technqiue bien à moi, tirée de mon expérience à l'hôpital... la jambe électrique. En frottant très vite mes jambes l'une contre l'autre, j'espérais pouvoir créer une vraie décharge pour assommer nos adversaires, mais j'arrivais à peine à produire de l’électricité statique, tout juste capable de provoquer une légère impulsion -> Beaucoup trop simple comme explication. Tu imagines si tous les gens qui vivent à l'hosto se découvrent la capa de faire une jambe électrique ? On ne s'en sort plus haha ! Le mieux aurait été que ce soit un vrai art martial que ton père t'aurait enseigné.

On m’accusa alors de haute trahison ; je fus enfermé dans une cellule et reconduit vers notre base pour être juge -> la haute trahison, c'est vraiment extrême. C'est le terme employé pour des dirigeants qui passent à l'ennemi.

Si ton histoire ne fait pas d'erreur sur le contexte du forum, et que l'intervention d'Alfonso est sympatoche, elle souffre cruellement de grosses facilités scénaristiques. J'ai aussi un gros souci avec cette lettre laissée par ton père, que je trouve beaucoup trop simple et pas vraiment crédible. En fait, c'est tout le malentendu avec ton père que je trouve difficilement crédible. Il n'a peut-être pas fait exprès, mais c'est à lui que tu en veux, alors que ton pote a tué un innocent juste avant. Bizarre pour quelqu'un qui considère que toute vie mérite d'être sauvée.

Longueur : 150/250


Une histoire relativement longue, mais qui manque d'informations suffisantes sur ton fameux volta kick, avec une véritable scène de combat mais également plus d'explications sur la découverte et l'exploitation de cette capa.

Originalité : 400/500


J'aime beaucoup le côté naïf et sauveur de Rhees, qui contraste beaucoup avec les personnages agressifs et bagarreurs qu'on voit en général.
En revanche, je regrette le stéréotype de la marine que tu dresses, mais également le manque de côté "One Piecien" de ton personnage, à base de traits loufoques et burlesques.

Subjectivité : 250/250


Une prez vachement sympa, au final, présentant un personnage particulièrement sympathique. Je trouve juste un peu dommage que ton perso ait une apparence qui contraste autant avec son caractère, mais j'imagine que c'est l'effet escompté !

Ta capa t'est accordée de justesse, mais je pense que tes explications n'étaient pas assez importantes. Mais t'inquiète, je te l'accorde quand même

Note finale : 1400 Dorikis

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